Reprise du message précédent :
je te rapelle que c'est moi qui ait fait tt ton boulot sur le topic blague

Il suffit de regarder l'url de l'image, ça mène à ça:
http://ameler.nexenservices.com

Venu du fin fond de sa Belgique natale
Oublié par les siens et contraint à l'exil
Un jour il s'inscrivit sur ce forum génial
Sans savoir qu'il allait en devenir servile...
 
Et si vous vous demandez de qui il s'agit
Trente six quinze est son nom, Buck sera son prénom
Entre cours de français et vol de son camion
Ses poèmes il écrit comme un enfant vagit...
 
Tentant de temps à autre de travailler un peu
Replongeant sans arrêt comme un camé en manque
Olivier (c'est son nom) s'est vraiment pris au jeu
Pourra-t-il y mettre un terme sans finir exangue...
 
Bon nombre d'entre vous l'avez vu délirer
Ou pleurer en criant le nom de sa Chloe
Ne soyez pas cruels, même s'il vous exaspère
Sachez être cléments, il n'a rien d'un pervers...

 
OMG.
 
Betement allongé sur mon bureau ovale
Obscènement plié comme un gros animal
Ni bosseur, ni bossant, je bulle avec ardeur.
 
Barbotant de plaisir dans ces rimes ténues
Esquissant un sourire de joie contenue
Nourri de M&M's, je m'en vais dans une heure
 
Va falloir que je me plonge dans mes dossiers
Appeler l'assistante et lui dire de m'aider
 
Faudrait mettre en prison les paresseux comme moi
Avant qu'ils ne vous coulent la boîte deux fois
Les parasites qui - alors que leur salaire
Laminerait celui de deux-trois secrétaires
Obligées de trimer alors que l'on s'amuse
Ignorant que l'on vient ici vider nos muses -
Ricanent bêtement, méritent la potence !
 
Quand vient la fin des temps, on verra ma sentence
Une éternité de plaisirs à expier
Est-ce si monstrueux de ne pas travailler ?
 
Je vous dis donc ici, ô patrons méprisables
Esclaves du marché, actionnaires incapables
 
Méditez sur mes mots, regardez ma débauche
Et regrettez enfin mon entretien d'embauche
 
Mais oui, je vous le dis, je ne fous rien, vraiment
Et pourtant je ne suis pas au gouvernement
Trublion de service, oui mais dans le privé
Très tranquille au milieu de mes deux cent dossiers
Et soupirant devant les erreurs de mes pairs
 
A quoi sert de bosser quand on peut faire un vers ?
Utilité néant, productivité forte
 
Tout le monde se ment, je ne prends pas la porte
Remarquez, je devrais, elle est en acajou
Après tout, pourquoi pas, c'est un petit bijou
Vite, je la démonte et la mets dans mon sac
Attention au patron, car si il sent l'arnaque
Il faudra que je dise, le sourire frivole:
"Là, je ne bosse pas, et en plus je vous vole !"
 

La surenchère

ouais , tu avais fait une compo excellente mais là , la grenouille s'est faite plus grosse que le BUCK

 
 
impressionnant

Je pars à 5 heures, ça ne me laisse pas le temps de surenchérir...
Et demain j'ai du travail  

 
En même temps, j'ai adoré ce que tu as fait  

 
Oh ça va hein, on sait que t'es un bot maintenant    

Bon, les acrostiches et autres sophistications c'est amusant, mais ça n'en reste pas moins de la poudre-aux-yeux.
 
Ca ne vous dirait pas d'écrire vraiment, de mettre un peu de votre coeur et de vos tripes dans vos pieds et vos rimes ?

C'est avec grand entrain que je vais t'obéir
Oublier l'acrostiche , je vais me faire lyre
Et mettre à tous mes vers, si modestes soient-ils
Un peu de sentiment , de tripes et de ma bile
Réfléchissons, c'est fait , je vais parler d'amour
Sujet souvent traité , rarement avec humour
 
 
Tâchons donc d'être drôle , je vais m'y employer
Rigolons donc ensemble , sur un ton décalé
Ignorons les poncifs , les élucubrations
Pour nous concentrer sur les histoires de jupons :
Elle était fraîche et mûre , pleine de séduction
Sir Godeffroy le pur , lui a fendu le fion

Menteuuuuuuuuuuuuuuur

En décasyllabes...
 
Au commencement il n'y avait rien
Le monde tournait cependant très bien
Les gens vivaient une vie normale
On s'informait en lisant le journal
Nous avions des amis qu'on rencontrait
Sans savoir que tout cela changerait
 
Et puis on a vu surgir de nulle part
Né d'on ne sait qui un enfant bizarre
Faible à la naissance, il a vite grandi
Aujourd'hui pourtant, chacun le maudit
Nos vies ont changé à cause de lui
Tous nous sommes soumis à son invention
Sa folle invention, son gros piège à cons...
 
De qui parlons nous ? Mais de Marc Prieur
Et de son fameux forum de malheur...
 
L'a-t-il fait exprès pour nous asservir ?
A-t-il vraiment cru pouvoir nous servir ?
 
Parfois quelqu'un croit pouvoir s'en passer
Après moins d'une heure, se met à trembler
Tous nous sommes soumis, il contrôle nos vies
Rien à faire pour tenter d'y échapper
Il nous tient et nous a à sa merci
Et quand il le veut, il peut nous broyer.
 
Le pire c'est que même si nous sommes bannis
En suppliant, nous reviendrons vers lui
 
Je ne croyais pas aussi succomber
Oui, je pensais pouvoir lui résister
Une journée maudite, je me suis inscrit
Rarement depuis lors, j'ai vécu ma vie...
 
Depuis des années, je veux m'en sortir
Et lui, dans l'ombre, est en train de rire
 
Grognant de plaisir, tapi dans son coin
Le dieu du forum nous regarde de loin.
On doit s'en sortir, mais que peut-on faire ?
Il nous manipule, joue comme un pervers
Ricanant en nous voyant nous débattre
Et prenant plaisir à nous voir nous battre
 
Et pourtant je sais qu'un beau jour viendra
Sans qu'on s'y attende, on s'en sortira
Tâchons d'ici-là de suivre sa loi
 
Alors quand viendra la libération
Restera-t-il là haut dans sa prison
Rêvera-t-il de faire d'autres victimes ?
Impuissantes, enfermées dans cette abîme
Venez mes amis, battons nous ensemble
Et que Marc Prieur, en nous voyant, tremble...

 
   
Quand on parle de surenchère...    bon, ben retroussons nos manches

>Faust423 bienvenu et allez les verts !!!
>3615Buck : méga
 

3615 > heureusement que tu l'as pas fait sur t la marseillaise, y a quand même 14 couplets

Clope allumée , tapant sur le clavier
Organe externe de mon fidel PC
Nerveusement j'écris ces quelques mots
Trébuchant de temps en temps sur les rimes
Raccordant un vers doté d'un pied bot
Espérant plaire , sans toucher un centime
 
Notez vraiment que le décasyllabe
On peut vraiment dire que ça me déplait
Un peu comme si on disait à l'arabe
Super ton couscous , c'est du Saupiquet ?
 
De ce forum donc , Buck est esclave
Et il fustige Marc d'être responsable
 
L'addiction t'aveugle , tu te trompes de cible
A Chloe seule , et à son charme slave
 
Tu dois , Buck , tous tes tourments présents .
Y as-tu réfléchi un seul instant ?
Repends-toi , pécheur , auprès du Prieur
Aux télétubbies , tu seras  meilleur
Ne recommence pas à le maudire  
Il est le chef de ce parc à loisirs  
Etc ..

C'te réplique, j'adore  

J'aime moins celui que je viens de faire (en 40 minutes) que celui que j'ai fait hier (vous êtes trop bons), il était mieux construit, mieux écrit je trouve...

Je sens que la réplique du batracien va être cinglante !  

 
Je tiens à préciser que les opinions révolutionnaires qui s'expriment dans ce texte ne sont pas les miennes mais que ça m'est venu au fil de l'histoire
 
C'est sous ce ciel couvert que je reprends la plume
On va essayer de remporter ce pari  
Ne regardant pas la pluie heurter le bitume
Tout mon corps se met à cracher la poésie
Regardant avec joie l'ennemi combatif
Exagérément bon, mon bonheur est à vif !
 
Notre objectif est proche et éloigné aussi
Oxymore aux parfums lointains de tyrannie
Utilisons des mots compliqués pour avoir
Sur le palais le goût de la langue caviar
 
Déjà neuf vers et je sens la fatigue poindre
Et mon portable sonne, et je ne peux l'éteindre
 
Les affaires s'entassent, et je dois les traiter
Au secours, je ne peux rimer - je dois trimer
 
Tyrannie du travail, accents de dictature
Y aura-t-il ici quelqu'un à la figure
Resplendissante de vie et d'honnêteté
Apte à me dire enfin pourquoi l'on doit bosser
Ni pause ni sursis, et si peu de vacances  
Ni repos ni café, elle est jolie la France !
Il est venu le temps du Grand Soir de la sieste
Exit le capital, le travail c'est la peste !
 
L'idée bien entendu c'est de faire semblant
Entendez par ici de ne pas se presser
Tout finit d'ailleurs par se régler gentiment
En laissant les dossiers juste s'accumuler
Ne négligez donc pas parfois votre santé
Dans des bureaux obscurs ou bien mal aérés
Après tout la vie est bien courte, et puis, au fond,
Reconnaissez parfois qu'il vaudrait mieux jouer
De l'accordéon que pisser dans un violon
 
Sans blague direz-vous, tu voudrais ne rien faire ?
Ah, rien de plus facile, et rien de plus pervers
Ne nous fais pas languir, donne ta démission
Gloire à toi mon ami, c'est la révolution !
Le contrepoids helas, c'est que tu ne pourras
Avec ton RMI payer le cinéma
Ne mords pas la main qui te paye sur le pouce
Tu as un boulot toi, c'est pas le cas de tous !
 
Et voilà le dilemme que je dois subir
Si je pouvais glander, mais aussi réussir
Tous les mois à gagner de quoi faire bombance
 
L'argent est, mes amis, drogue à accoutumance
Et quand on en a plein, on en veut plus encore
Voyez l'oncle Picsou assis sur ses trésors
Est-il heureux toujours de compter son argent ?
 
Essayons le pardon, ne soyons pas méchants
Nul ne saurait prétendre à en être affranchi
Toujours autour de nous, c'est lui qui nous régit
Entendez-vous le cri du dirigeant patron
Nasillant dans le vent sa soif de possession ?
Découvrez-vous par terre un billet de cent balles
Et ça suffit pour faire de vous un animal
Zazie vous le dirait, oui l'argent ça Larsen
 
Vous pouvez l'oublier, il fera une scène
Obligatoire il est, mais si, je vous le dis !
Utilisez-le ou vous y perdrez la vie !
Sans argent on n'est rien, un nobod', un clochard
 
Dans ce monde abruti, où l'on est six milliards
A peine dix pour cent y mangent à leur faim
Niés par l'argent même qui nous rend humain
Salauds de profiteurs, où est donc votre coeur ?
 
N'oubliez pas qu'il y a des enfants en pleurs
Obnubilés par la recherche d'un repas
Si maigres et si touchants, et si près du trépas
 
Communistes, mes frères, unissons tous enfin
Aidons donc nos amis, éradiquons la faim
Montrons aux hésitants, aux moutons, aux énarques
Pourquoi le Capital a fait couler la barque
Adressons-nous enfin à la foule insoumise
Gagnons les élections, et doublons notre mise
Nous avons des outils, et avec eux enfin
Expireront patrons et ennemis du Bien
Sous les vivats des artisans, des ouvriers
 
Militez, camarades, hurlez, priez, riez !
Un grand bûcher enfin pour brûler nos valeurs
Grand Soir peut-être pas, mais certes une grande heure
Il y aura partout la soupe populaire
Rêvons d'un avenir sans violence et sans guerre
 
Car l'argent corrompt tout, c'est lui le seul coupable
Et c'est lui qui peut tout mais qui est incapable
Sans cerveau et sans coeur, il n'a pas d'émotions
 
Fermez les yeux devant le monde du pognon
Et revenons enfin au sujet principal
Rembobinons le film à son moment crucial
On parlait de travail, de rémunération
Car là je prends vraiment mon patron pour un con
En écrivant ces vers au lieu de travailler
Sans compter que je parle comme un Laguiller !
 
S'il reste un vers ou deux, je vais les employer
Ontologiquement à pouvoir corriger
L'impression détestable de glandeur enfin
Dont on va m'affubler en lisant ces refrains
Aussi soyons sérieux, écoutez maintenant
Tout froggy que je suis, je bosse énormément
Si si, je vous assure... mais sur mon roman !

Qu'est-ce que je disais...  

euh... "l'étandard sanglant eslevé" il est bisser hein

 
J'y ai pensé, mais j'atteins mes limites là. J'ai mis plus d'une heure, je fatigue. Si Buck parvient à surenchérir, j'abandonne la partie

Pas aujourd'hui en tout cas, je n'ai plus le temps avant 5 heures, heure à laquelle votre dévoué fonctionnaire se casse...

j'ai pas le temps de finir, je le balancerais demai matin...

houlala, j'ai oublié, tellement j'étais crevé hier...
 
et ojd, je me demandais pkoi personne avec continuer
 
bon, si je retrouve le papier sur lequel je l'ai fait, je le balance...

Depuis que je me suis inscrit chez free
On ne peut pas dire que la qualité ait un prix
A l'etape 2 toujours je le suis
Depuis le 31 mars, ce fut un mercredi
Mais la freebox est-elle en penurie
Car je le vois, beaucoup par ici
Sont en attente et le crie
Après, tout comme moi, s'etre inscrit

Sympatoche

Merchi

 
Poème du nerdz freeboxisé
 
Je me suis depuis trois mois , abonné chez Free
Sur leur service , jamais d'éloge je ne taris
Le modem,15 jours maximum j'ai attendu
Bien heuresement car je n'en pouvais déjà plus.
 
Mais aujourd'hui ma vie social a disparue
Je ne réponds plus que "je plussoie" et "dans ton cul"
Ca passe sur le chat et le forum HFR
Mais pour les entretiens d'embauche c'est pas super
 
Je ne suis ni ingrat ni aucunement aigri
J'aimerais juste récuperer ma vie
Même si je ne peux que remercier la freebox
Car maintenant grace a elle sous UT je rox .
 
Désolé    (mon drapal est pourri)

Au commun des mortels et au reptile qui se prit pour un oiseau.
 
pauvre imbéciles
perte de temps, stagnation inquietante de l'idée,
talents poétiques pauvres voir aigris.  
Poètes, petits bourgeois ou obscènes.....  
moi "je fume de longues cigarettes",  
j'ai depuis longtemps égorgé toute muse pusillanime,  
je me suis tourné vers l'Idée.  
Bordel, la poésie n'est ni une corégraphie,  
ni une comptition de cheval d'arçon.  
Servez-vous en ! au lieu de rimer sur de la bite ,  
tournez vous vers Hélios et pitié ô pitié pensez à ce que vous écrivez.
 
grenouille.... je tiens ferme et je ris à la face de tes masturbations mentales, qui , une fois assouvies anihilent ton "désir" de création. c'est le soir, tu es vidé et fier d'avoir produit quelques minables et approximatifs alexandrins.Mais tes ejaculations sont aussi orgasmiques qu'inutiles. Tu pourrais faire avancer l'Idée, tu préfères enfler. je t'ai dejà prevenu, un jour tu exploseras en un splendidement triste torrent blancheatre...
("ami" est mal employé puisque je suis une fille)
 

 
eh bien
à l'est
néant
adieu
Hélios
immonde
bétise
grotesque
grenouille
visqueuse
bécasse
lapin
tu pues
la fin
ressasse
pensées
perdues

Hey ! Tu n'as pas le droit d'être insultant(e), méprisant(e) et misanthrope ! Ce sont mes caractéristiques ! Je deviens quoi, moi ?

pardonne moi  serviteur ferrailleux  
motard malgré toi? peut-on faire mieux?
Je m'emporte contre cette grenouille
"Oublieux" de pensée,or penseur de mouille.
 
Putride habitude,
Reptile , bite rude
Pas une étincelle
Neurones si frèles
Que ceux des ba...
...traciens, tous ingrats
de se voir dotés
d'un "talent caché"
(une tendance à la précocité spermeuse de l'âme)
 
Je ne veux en aucun cas empieter sur ton territoire. Au contraire, nous partageons la meme arme à lutter contre l'ignorence. Tel socrate, nous piquons ces chevaux endormis comme des taons. Juste qu'ils menacent de nous tuer à coup d'asphyxiation à coup de cul.
 

Ouais bon, tu critiques le sophisme de sieur Grenouille, mais :
 
1 : tu tombes dans le même travers pour le critiquer. Tu aurais pu te contenter de dire, comme je l'ai fait un peu plus haut, que les acrostiches ça commencait à bien faire. Mais non, il a fallu que tu sortes la grosse artillerie, tout ça pour quoi ? Critiquer ce qui doit l'être, ou te faire mousser en faisant une arrivée tonitruante sur le topic ?
 
2 : Grenouille ne se résume pas à ses acrostiches pédants, il écrit également un roman d'heroic fantasy, à ce titre il mérite un minimum de considération !