Reprise du message précédent :

 
J'en attendais un peu moins...
Celui qui pisse le plus loin?
Mais regarde dont ta prose,
Car c'est chez toi qu'on arrose!
 
 
 

 
 
respect !  

je proteste
on la césure du vers élide le e muet.

http://forum.aceboard.net/p-3447-125-1160-0.htm
en conséquence de quoi je rejette l'objection au vers 11
le vers 8, je me suis fait avoir mais en fait je m'en étais rendu compte après avoir posté (et j'ai du mal à trouver un patch qui me plaise )
vers 7: je pensais que le e ne comptait pas mais si mais le patch a l'air plus simple
tain, s'acharner sur les rimes et négliger les syllabes c nase

v1.3
 
Quand je repense à elle, à ces tristes moments,
Je sens me revenir cette douleur infâme
Qui en d?autres époques a dominé mon âme,
Et qui hélas n?est pas détruite par le temps.
 
Étrange sensation que ce cruel tourment
Où mon esprit entier est jeté dans les flammes
Par d'obscurs démons qui me blessent de leurs lames;
L?ennemi de Baudelaire ingère mon sang.
 
Proust écrivait que les paradis les plus beaux
Sont ceux qu?on a perdus, et je m?inscris en faux.
Rien n?est plus dramatique, dans une destinée,
 
Que ceux qu?on a humés, sans les pouvoir sentir,
Que ce qui à jamais semble vouloir nous fuir,
Que cette femme, enfin, que j?ai par trop aimée.
 
bon là normalement ça respecte strictement les rythmes du sonnet, les alternances M/F, les alexandrins
par contre, ya quelques vers déséquilibrés, notament le 8 et surtout le 7

et j'ai un pb avec le infâme du v2, il est à chier mais je trouve pas mieux

 
Messieurs pourquoi toutes ces joutes
Pour un nombre de pieds
Regardez mes écrits sans doute
Serez-vous rassurés...
 
Je ne puis pas vous égaler.
Ma petite stature
Aux perfections ne peut rêver
Car faible est ma nature.
 
Vos vers plein d'une fière allure
Emplis de prosodie  
Sont entre les écritures
Parmi les plus jolies
 
Seulement je crois bien qu'ici
Je m'essouffle à vous suivre...
Même notre savante amie*
Reste parmi ses livres.  
 
*: je parle de "lecentredumonde"

 
C'est la fraicheur que l'on admire
Non les pieds ou les mains.
Fais-en cinq, huit, ou neuf, ou pire
Ca restera très bien.
Aussi continue à écrire
Sonnet ou bien quatrain
Car franchement ça n'est pas pire
Que ce que font certains !

 
En voilà un beau parlois,
Mais hier encore je m'en souviens,
Ce qu'il faisait avec ses mains..
Mais devant toi, il se tient coi!  
 
 
 
 
[Edit : c koa une prosodie? Une maladie seskuelle?   ]

 
en gros, le spleen te faire croire que la vie est nulle et triste, d'où ma petite modif, qui AMHA permet de garder un meilleur rythme.
pour le reste :      
 
le vers 8 ne me choque pas du tout en revanche  

 
 
C'est poésie à deux balles ici!
Alors siouplait soyez gentils :
Par trop techniques, vous êtes devenus;
Pensez à ceux qui ne suivent plus!
Chacun de vos mots me brise le coeur,
Me rappelant, toutes mes erreurs...

 
 
un peu de respect quand même !  

Tu sais bien que nous autres aimons bien comparer
La taille de toute chose , c'est puérile mais inné .
Il vaut mieux comparer sur ce forum licite
La taille de nos pieds que celle de notre ...
 

 
Un poème est toujours une chose rythmée
son vers une métrique se doit de respecter
et sans vouloir au sexe toujours le comparer
Le mien, j'en suis certain, mesure bien ses douze pieds !  

Avec une telle longueur , marcher , c'est pas génant ?
L'attaches-tu à ta cuisse ou y fais-tu un noeud ?
La mets-tu dans un lieu appelé fondement ?
J'espère que tu comprends que ce n'est pas sérieux

 
Vingt centimètres , partant d'la base,
Certes c'est commun, mais pas si naze.
Tout le monde sait, que c'est complexe,
De comparer, la taille d'un sexe...
 
Mais poésie comme de ces choses,
Toujours la même qui en profite,
Celle qui dit oui, celle qui ose,
Aimant la prose, qui suce des b****
 
 

 
Que veux-tu, c'est mon tort et c'est ma qualité
D'être plus diplomate avec les demoiselles
De caresser leur front quand l'une est alitée
Alors que pour un homme, aucun excès de zèle.

 
Eh bien, quel est ceci ?
Vous tombez donc bien bas
A comparer ainsi
Vos valeureux cobras !
Je ne rentrerai pas
Dans ce concours pourri
Car mon reptile, lui
Ressemble à un boa

 
Bon ben y manque plus que blodeuvedd, et on passe à autre chose    
 
 

 
Si Blodeuvedd parle de la taille du sien, ce sera louche  

 
Y'a pas que le sexe dans la vie,
Y'a aussi les nénés.  

 
 
Je vois que dans cette assemblée
Certains sont trop obnubilés
Qui par le sexe, qui par les nénés...  
Je pense que vous pouriez
De mes mesures vous passer  
Et laissant de côté
Ces chemins boueux, retrouver  
S'il vous plait  
De plus belles choses à conter....
 
Remercions aussi le batracien azuré
Qui sait devant les jeunes filles
redevenir accorte, aimable et sensé.
C'est une qualité, ma foi, des plus gentilles!
Et je lui suis fort gré de cette civilité
 
 
Ps : la prosodie c'est l'art de la métrique et de la versification qui pour moi contient encore quelques subtilités que je n'arrive pas à manier!

bah c'est uen ref aux dernier vers de l'ennemi

le sens disparait un peu
le v8 c'est celui là
le v7 m'emmerde parce que la moitié du vers se trouve entre qui et me ce qui interdit de marquer l'hémistiche ou alors faut la faire au bout de 5 syllabes et c'est tout déséquilibré

en poésie rapide, j'ai à la vérité
moi même sur blabla un assez lourd passé
mais de cet art-là je suis un peu lassé
et tente donc de faire de très jolis sonnets

 
Pour qui te connait un peu
Les choses sont plus complexes
Monsieur se prend pour un dieu
C'est bien là où le bât blesse
 
Qui trop embrasse mal étreint
Comme le dit le proverbe
Et peut rester sur sa faim
L'acte vaut mieux que le verbe !

 
Mais je ne me "prends" pas, je suis juste divin
Léger sous le palais, doux comme du bon vin
Fruité et relevé, un plat de maître en somme
Gentil beau et doué, oui la crème des hommes.
 
J'ai été maladroit, et je le reconnais
Je n'aurais jamais dû hésiter de la sorte
La leçon est amère, me voilà désormais
Abandonné, prié de reprendre la porte.
 
Mais la vie est ainsi, ô mon maître de jeu
J'ai jeté mes dix dés, pas assez de succès
Je vais devoir attendre, accumuler un peu
D'expérience - et puis je retenterai mon jet !
 
Amies qui me lisez, j'ai une confession
Je ne suis pas Satan ni un de ses démons
On me pense pervers ou manipulateur
Je suis juste un timide aspirant au bonheur.

[mode scato on]
 
Elle sort de mon cul
Cette grosse merde qui pue
Quand je suis tout nu
 
[mode scato off]
 
(désolé  )

Mon pantalon
Qu'est décousu
Si ça continue
On verra le trou d'mon...
 
...pantalon qu'est décousu
Si ça continue,
on verra le trou d'mon...
 
..pantalon (ad infinitum)
 

 
Sinon c'est quoi le médicament dont tu parlais ?

 
Dans le genre je débarque et je pourrie un topik...    
C'est con, on s'amusait bien.    
J'en créerais un tout neuf si plus personne ne veut poster ici.    
Je demanderais l'autorisation à un modo.

bouléketué... je ne faisais que partir sur de délire de la personne précédente, lis un peu les citations bourdaile
 
Puis d'une part j'ai déjà posté des vers sur ce topic (hein, bon) et d'autre part c'est pas un ou deux posts qui vont empêcher les autres d'écrire sur ce topic (peut-être que tu en es capable mais moi je n'ai jamais pourri un tomic en un post)
 
alors hein, ton allure de blasé tu peux de la mettre à un endroit qui n'a jamais été évoqué dans des vers
 
Alors arrête ton hors sujet à deux sous et reprenons  

 
Je parlais en fait du post précédent..
Son délire, il ne valait pas ta peine,
je ne constate ici que l'évident :  
Il y a avant, il y a après...
 
L'inspiration, elle n'est pas que divine,
Et après le chef-d'oeuvre de Hokuto,
Il nous en faudra, des coups de bibine,
Pour le relancer, notre paquebot...
 
L'alcool nous essayions de l'oublier,
Si j'ai l'air blasé, eh! je m'en excuse,
J'en ai bien trop vu, des spontanés,
Les errants pathétiques flinguant leurs muses :  
 
Sur l'autel d'une -soi disante- qualité;
Qui les amenant à la dérision,
Les empêche d'entrevoir une vérité,
Celle qui nous fait mal, et nous fait vieux cons.

Un Léviathan terrible écume mon esprit  
Mes fées gaies et superbes, mes fiers korrigans
S'écartent à la hâte devant ce titan,
L'amour en moi a installé sa tyrannie.
 
"Mon soleil est loin de moi" toutest là dedans!
C'est l'éloignement qui écartèle ma vie,
Je me sens vidée, comme inutile sans lui
Et me plonge dans les livres d'un coeur ardent...
 
Je ne sais pas comment je pourrais faire si  
Mes amis ne m'entouraient pas si tendrement.
Au lieu de profiter de ce temps si joli,
Triste, j'attendrais la venue de mon amant.
 
Tout mon sang bouillonne dans mes veines à present  
Et je comprends ce que le Batracien souffrit,
Cette amertume qui nous prend entièrement...
 

 
 
Je connais ta douleur alors qu'elle te déçoit
La vie t'éclaire de sa lueur surranée
Et l'amour, s'il maudit, est un bonheur en soi
Mieux vaut ne pas vivre que de ne pas aimer
 
Tu parles de lutins, de fées ou de spriggans
De légendes bretonnes, leprechauns, korrigans
Eh, l'amour leur ressemble, étonnamment bougon
Mais quand on l'apprivoise - ah c'est tellement bon
 
La distance est un gué difficile à franchir
Loin des yeux, loin du coeur, loin des mains sur ta peau
Mais Iseult souffrit plus, Juliette souffrit pire
Tu n'es pas malheureuse - et puis, il est si beau !
 
Ecoute donc ici les quelques vers miteux
D'un batracien blasé d'avoir roulé sa bosse
L'amour est une route au parfum capiteux
Bonne chance, princesse, montez dans le carosse !

Je descend du ciel azuré,
A vous je viens me presenter.
De par mon amie la Fée,
Blodeuvedd, suis venu chercher
Un endroit ou me reposer,
D'ou je ne ferais qu'observer.
 
Je ne suis, comme vous, des genies,
Mais adore la poesie.
Vous me dépassez mais tant pis,
De vos vers ne changez d'avis.
Sur ce, vous laisse a vos ecrit
Et repart au fond de ma nuit.

Désolé pour les fautes,
Je n'ai pas la barre bien haute.
 

Lit d'ennui, mort de vie,
De malappris, nulle patrie,
Lie d'un mot, mort de rire,
Dit d'ennui, port de vivre.
 
Verbe sans refrain guetteur,
Verve sans malin malheur,
Action prédiction d'humeur,
Acteur direction bonheur.
 
   
Sans saveur,
 
 

Déraisonne à loisir,
Tu fredonnes à mourrir,
De plaisir, tu m'oublies,
De désir, j'te supplie.
 
   
Sans odeur,

Poétique ce topic, à défaut d'être caustique

 
Je vous fais mes plus plates excuses
Pour avoir sali votre beau paquebot
Mais nous sommes ici, si je ne m'abuse
Dans un forum de discussion, jeune et fougueux matelot
 
Quoi qu'il en soit je ne resterai guère
Plus longtemps vous importuner
Mon chat a encore salopé sa litière
Et je suis en charge de tout nettoyer
 
Je vous souhaite donc à toutes
Et à tous le prompt rétablissement
De ce topic qui, je n'en doute
Pas une seconde reprendra vite son intérêt d'antan
 
La basse besogne m'attend
Et je vais de ce pas
M'enduire les mains, et c'est répugnant
Des excréments de mon connard de chat
 
Adieu

Comme votre avatar le suggère, de ce chat vous faites un plat
En espérant qu'il soit exquis, je vous souhaite bon appétit.

 
Mets-le dans le mixer, il comprendra, amer
Que c'est ennuyeux de récurer sa litière
Non, à la réflexion, le mixer est gênant
Car il faudrait ensuite nettoyer le sang...

Histoire de relancer ce sujet qui tombe dans les abysses du forum, voici quelques vers écrits récemment pour la campagne de Vampire que Daviso me fait jouer:
 
 
J'étais voici cent ans Albéric de Grenoble
Simple chevalier qui aimait se dire noble
Mais mon goût pour l'amour et pour la poésie
A coulé ma fortune et achevé ma vie.  
 
Une Toréador, ah, une vraie beauté
A délacé pour moi sa robe immaculée.
Avec mes dents je lui ai mordillé l'oreille
Avec les siennes elle m'a volé le soleil.  
 
J'étais un grand bretteur, un spadassin notoire
Je séduisais les filles, moquais leurs compagnons
Maintenant mes yeux bleus ne voient que dans le noir
Nous sommes les seigneurs mais c'est nous qui saignons.
 
Mais je ne me plains pas, la non-vie a son charme
Je ne suis plus hanté par la peur de mourir
J'ai pu m'améliorer dans ma science des armes
Et je vois la beauté dans le moindre sourire.  
 
Admirez, damoiselle, Alberic de Grenoble
Goûtez à la coupe des plaisirs défendus
Mon sang est plus puissant que le meilleur vignoble
Oui je suis amoureux, mais mon coeur ne bat plus