Reprise du message précédent :

 
 
Elle tête sa clope comme un sein irréel
Comme si le tabac était de l'ambroisie
Mais l'Olympe est pour nous une illusion mortelle
Et l'âme est un bateau à la coque moisie.
 
Fumer est un plaisir onaniste et cruel
Orgasme solitaire au moment qu'on choisit
Sans autres sentiments - elle échange, pucelle,
La noblesse de l'âme contre sa bourgeoisie.
 
Jour après jour enfin, sa meilleure ennemie
Imprègne son physique, imprègne son esprit
Rassurée, enivrée, elle vous juge et vous toise.
 
A quoi servent les hommes, les histoires de fesse ?
"Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse"
Dans un monde gaulois, elle préfère les gauloises

Quelle chute, quel beau rythme et quel grand esprit
La grenouille azurée boxe avec les vocables
Lecentredumonde flirte avec la sur-vie
Déesse Vierge* , non , mélange très improbable
 
Entre Alizée , Gainsbourg , le charme et la folie .
Donc la cigarette , c'est le thème aujourd'hui ,
Fumeur à temps partiel , je m'invite à la table
Et je sors ce "sonnet"** du fond de mon cartable .
 
Que tu sois brune ou blonde , américaine ou non
Je vais te consommer ; j'aime bien le goudron ,
La nicotine ,le cyanogène et l'arsenic .
 
La libido paniquée par la cigarette ,
Le cancer menaçant armé de sa faucette  
Rien ne m'arrêtera , ma mort je la fabrique .
 
 
 
* expression préférée de Shareen
** ouais je sais , il ne respecte pas exactement les règles abba abba ccd eed mais j'aime pas les règles

Confrères poètes, je tire mon chapeau
Au yotbrr des steppes et à la grenouille bleue!
Nouvelle, je ne peux que m'émerveiller de
Ce talent en bouteille brisant les goulots....
 
Et vos pas vous mènent au noble concerto
Rabelaisien de l'imaginaire et du "je".
Débat stupide qu'une flamme dans le feu
Et dans la poussière , et dans les bouts de mégots.
 
Pavannons-nous, nous autres écrivains plumés
Oui, je tire ma clope, vous tirez l'épée?
Et le gaulois que je tirais, hors de ma vue!
 
Si l'on garde ainsi le vicieux goût du saccage
Il n'y a ni plaisir, ni douceur, ni mirage
Et si l'âme moisit, mon chapeau dans ton cul......  

si un jour au crépuscule,  
tu as quatres testicules,  
ne te prends pas pour Hercule,  
y a quelqu'un qui t'encu.....  
 

C'est pas de toi  

 bande de gogols
voyez pas comment vous couilles sont molles?

Avec vous, j'eusse ri de bon coeur
Si de vos anus ne s'échappait cette odeur ©
 

 
Quand ils partent en plongée, tous les plus grands nageurs
Ont le corps endurci, les bouteilles remplies.
Un peu plus de respect pour leurs couilles, ma soeur
Car sans ces grands sacs mous ce serait l'asphyxie.

Mais à quoi bon une paire de bourses seules
Si ce n'est pour les remplir d'argent ou de blé
Car un  gland , deux couilles solitaires et veules
Ne sont que de bons a rien pour faire des bébés......

Si la vie n'était pas un fruit
 La mort ne nous rongerait pas
 Si le soleil ne brillait pas
 Le monde vivrait sans aucun bruit
 
 Mais de cet astre vient la lumière
 Lui qui fuit devant la lune
 Laisse les étoilles veiller comme hier
 Chassant les nuages et la brumes
 
 De nos âmes sans cesse tourmentées  
 Mais le jour venu, le ciel bleu
 Ramène dans nos coeurs troublés
 Le chemin d'une vie en feu...

 
Alors tous à vos parapluies!
Belle prédiction météo
J'espère donc qu'il fera beau
Et que tu dors quand tu écris..........    

Alors on parle sexe, on parle temps qu'il fait
Deux sujets passionnants sur lesquels on ne sait
Pas grand chose à part que dans les deux cas mettez
Un imper, un bonnet - le terrain est trempé.

 
Tu aurais pu finir tes vers
En nous disant sortez couverts

la grenouille serait-elle devenue myope  
Malgré  son analogie du terrain mouillé,
ou peut-être même borgne tel le cyclope ?
Pataugera-on plus loin que nos bout du nez?

On la croyait finie, et je n'avais plus mal
Tout au plus endormies, ces douleurs infernales
Il n'y à rien à faire, plus un médicament...
Terrassé comme naguère, je souffre énormément
Et les antidouleurs m'assomment littéralement.

Etant gamin souvent , elles m'ont agressées
Ces douleurs lancinantes m'ont marquées à jamais
Mes oreilles sonnent quand je suis en plongée
Salleté d'otite , maladie que je hais.

A l'autre bout du monde, il y a dix-huit mois
Nageant dans l'océan, elle se jeta sur moi.
Toute petite bactérie, pouvant sembler risible,
Il me faut reconnaitre qu'elle est pourtant terrible.
Depuis le Sri Lanka, elle me pourrit la vie
On a tout essayé pour m'en débarrasser...
Une mutation, une autre, quand elle en a envie
La voilà aujourd'hui impossible à tuer.
Elle épuise ORL, labos et pharmaciens
Un tout dernier essai encore une fois pour rien...
Reste-t-il une chance ? Je le saurai demain

Étant nouvelle ici, je ne peux, chers poètes,
Que bien vous saluer et me tenir nue tête
Devant le fin apprêt qu'à tous égards vous faites
Des mots et des syllabes dont vous semblez les maitres.
 
Quant à moi, je ne suis qu'une jeune adepte
Qui ne sait faire rimer que des mots guindés -
De ceux qu'on voit dans les  grands vers trop apprêtés
Et qui au quotidien paraissent un peu ineptes -
 
Qui ne sait transformer la pure réalité
Et ne dévoile aux yeux que des mondes rêvés.
J'ai eu en vous lisant une jolie gaiété
Bien que j'ai ainsi vu mon incapacité
    A vous égalez!

Ne soit pas si modeste et bienvenu à toi
Blodeuvedd , c'est bizarre , que signifie cela ?
 
edit : une super faute d'orthographe

Yotbr, "bienvenu", une erreur qui me surprend !  
Et Blodeuvedd, on te souhaite la bienvenue...
3615 Buck, lui, est pratiquement mourrant
Quand au batracien, je crois qu'il a disparu.....
 
Maîtresse de poésie je ne le suis point
Comme toi, nous demeureons de jeunes adeptes
Munis de nos muses, fouillant chaque recoin
De nos grouillantes,  nos fourmilliantes têtes...
 
J'écris ça, me débarassant d'autres images
Plus vides et dépouillées les unes que les autres
Car je m'assèche, je m'éloigne du rivage
Des terres du Beau, dont le vers était l'apôtre.

 
Nom étrange,blodeuvedd peut être traduit
par "visage de fleur". Ainsi était nommée
dans les contes celtiques celle dont la beauté
sans égale en ce monde éclipsait la nuit.
 
Comm' Galatée fut donnée à Pygmalion,
Blodeuvedd était attachée aux pas de Lleu.
Sans son consentement le mariage eut lieu,
Et du premier venu elle s'éprit sans raison...
 
Ps our la faute:ouch: j'ai honte quand même, elle crève les yeux!

 
La vie parfois a des tournants malencontreux
Et l'amour n'est jamais ni simple ni tranquille
S'il faut souffrir autant pour être un peu heureux
Je vais jeter le gant, c'est bien trop difficile.
 
On a tous les ennuis, je crois, que l'on mérite
J'avais deux dulcinées, du coeur, non de la b...
Il fallait faire un choix, et ce fut malheureux
J'en aimais une seule et j'ai perdu les deux.
 
Si je suis moins présent, amis, sur ces forums
C'est que je suis parfois pris de mélancolie
Je brûle les photos tirées de mon album
Je suis célibataire, et j'ai très mal dormi.

Bredouille tu te crois en  rentrant de ta quète
Impitoyable mais charmeuse qu'est l'amour.
Soumis, tu te laisse trainer par les vautours
Oisifs et vils de la Gorge serrée, des Larmes, du Mal de tête.
 
Usurpé, tu t'adresses une plainte secrète
"Oublie les, et crève, désesperé du jour!"
Usé, même meurtri, tu ferais demi-tour
Captif du passé, foudroyé par ses comètes.  
 
Abrite toi-en, forge toi un bouclier
"Batracien en chute libre" n'est pas français!
Resplendissant et noble de par ta souffrance,
 
Un Ecrivain-Poète splendide tu reste.
L'admiration que tu puise en moi est célèste....  
Et la force tu l'as, te manque la confiance.  
 

Une amitié profonde est ici soulignée.
Avec des amis si tendrement attachés
Le Batracien azuré, je puis l'assurer,
Restera pour jamais un "prince" raffiné
Écrivain-poète de grande qualité....

.

j'ignorai l'existence de tels privés
mais je sais grace à toi où je puis les trouver!

tu scrolls tout en bas, il te suffit de cliquer
Sur "aller à" , de choisir " messages privés" ( c'est le dernier en bas)

 
 
Mais l'Homme est destiné à vivre en couple enfin
Et son humanité dépend de son prochain
Regarde les oiseaux, c'est le printemps, ils chantent
Car je me fais tromper - les filles sont méchantes !
Imbécile je suis de croire en ces chimères
Bercé de cauchemars et de pensées amères
Enfoui sous la chape de la solitude
Assis, désespéré, je n'ai pas l'habitude
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé
Croyez-en Lamartine, il faut se résigner.
Oh, pourquoi faudrait-il vivre quand je n'ai plus
Une présence douce, intelligente et nue
Penchée sur mon épaule à caresser mon cou
 
! Merci à toi lecentre, ça me touche beaucoup !

Bon on va vous laisser , et si vous faîtes des petits
On ne peut pas douter qu'ils aiment la poésie .
Non , je plaisante bien sur , Batracien azuré ,
Je compatis vraiment , la solitude c'est
Onctueux autant que des champs de barbelés
Urticant et brûlant comme du poil à gratter .
Riches et heureux sont ceux qui sont accompagnés .

 
 
Que veux-tu mon ami, je suis cette semaine
Fatigué, lessivé, c'est une catastrophe
Au point de sourire aux fillettes lycéennes
C'est un détournement de mineures philosophes

Chloe s'en est allée et j'ai cru en crever
On finit tôt ou tard par s'y habituer
Un jour tu t'y feras, sans pourtant l'oublier
Rassure-toi si tu souffres, ça va s'atténuer.
A l'apprenti sorcier, tu as voulu jouer.
Gageons quà l'avenir, ton coeur écouteras
Et cesse de te punir, ça ne t'aidera pas.
 
Grenouille a perdu l'être plus que tout aimé
Rassemblons nos talents, il faut le soutenir
Ecrivons-lui des vers, qu'il se sente entouré
Nous sommes passés par là, et il va s'en sortir.
Oui tu as mal Grenouille, et tu vas regretter
Un jour viendra pourtant, la page sera tournée.
Il te faudra du temps, ça passera, tu le sais
Les larmes sur tes joues finiront par sècher
Laisse tes doigts courir encore sur ton clavier
Exorcise ta douleur en écrivant des pieds...

Un tout petit up bien utile
Pour notre grenouille en exil

Parce qu'il le vaut bien ( on aime sa faconde )
Et que pendant ce temps , Miss Lecentredumonde
Rencontre blodeuvedd quelque part dans Paris .
Côté soutient , heureusement qu'on est ici .
Un pauvre loup des steppes et un prof belge malade
Tapissent ce topic de vers et de boutades .

 
Tiens, voila ce que j'ai pu, en des temps plus anciens,
écrire en ces lieux quand j'avais ton chagrin
 
---
Malade à en crever de vouloir trop en faire  
ballade élaborée de mouroirs en Enfer  
jeter sa raison d'être aux vents de la folie  
hurler comme une bête qui enrage et oublie  
l'horreur est quotidienne dans nos pensées obscures  
qui pleurent de la haine, lacèrent et murmurent.
 
Je suis une amertume, je suis l'amant frustré  
qui se voit éconduit malgré tous ses efforts  
avoir donné vraiment le meilleur de soi-même  
et ne savoir encore où cela va mener  
est un arrêt du temps, une petite mort  
elle ne sera pas mienne, voilà mon anathème.
 
Évincer le soleil d'un faisceau d'envie pure,  
Et régner sans soumettre par la simple espérance.  
L'absolu est intime, accessible et souffrance  
De mourir du partage quand on voudrait qu'il dure.
 
---
 
Ces phases d'ombre ne sont que de mauvais moments
qui éduquent les âmes de ceux qui sont patients...
 

 
C'est très réconfortant d'avoir un tel soutien
Ami bien virtuel, mais ami pas pour rien.
 
Ma "Chloe" m'a trompée et la tienne est partie
Et pourquoi m'étonné-je ? Car ainsi va la vie
 
Tout finit par s'éteindre et la passion aussi
On y pense le jour, on y pense la nuit
Une lune est partie, c'est la nuit qui s'éveille
Comment sans son parfum retrouver le sommeil ?
Helas il faut souffler les bougies de l'amour
Et dire que ça faisait deux mois jour pour jour.
 
Bien quoi, que voulez-vous, je suis sentimental
Et je fais travailler mes glandes lacrymales
Après chaque aventure, un soir ou bien un an
Une larme s'écrase et je deviens pédant.
Comment me regarder dans la glace après ça ?
Oh, vivre seul, eh non, je ne le pourrai pas !
Une étude sérieuse de mes sentiments
Prouverait que j'ai peur - eh oui, peur du néant.
 
 

Permettez à une grisette
De joindre son soutien au vôtre.
Les trahisons du bel Apotre
Ont encore blesser un être.
 
Gageons que la blessure ouverte
Va promptement cicatriser
Et que la grenouille éthérée
De jolis vers refera naitre...

 
Non mais ! pour qui me prend-on là ?
Puis-je vous signaler quand-même
que l'on ne me détourne pas
Aussi simplement... Lycéenne
Je ne suis plus dans quelques mois,
La mention "très bien" sera mienne.....  
 
Fillette, certes en apparence
Mais j'ai déjà deux cents six ans,
De vécu, et d'experience,
Trois ans que j'ai le même amant....
L'amour, j'en aurais fait ma science!
LE NEANT N'EST PAS EFFRAYANT.....

kikoooooooou !!! Je viens rejoindre ce tchat pour talker avec vous!
Je voulais juste me tenir au courant des ptites histoires, et j'ai vu que c'était pas la joie !!!!    J'ai lu que mr grenouille n'était pas au top paskeu sa cops lui a fait un sale coup, moi je dis, ah la p***e ! Mais ne t'en fais pas, une de perdue, dix de retrouvées et comme dit ma grand mamie  il y a plein d'autres poisson dans l'o-C-an !!    En parlant de ca, je voulais vous montrer comment ça allait pas tip top de mon coté non plus, parceque je suis en train de perdre ma grand mamie ( elle va bientot mourir) alors je voulais lui donner cette poésie, mais je voulais quelques avis honaites avant, en faite.
 
Ton odeur me rappelle le parfum des coquelicots,
Fraichement cueillis le matin dans le pré ,
A l'heure ou le coq fait coceriquot  
Tu te levais et tu venais m'embrasser.
 
Sèches tes larmes, arrètes de pleurer
C'est pas parcequ'il nous a quitté, qu'il est partis
Que grand-papi nous a abandonnées, nous a oubliées.
Car il nous regardes depuis la haut ,au paradis.
 
Mais comme toi aussi tu ne seras plus parmi nous
Je vais te regreter et très mal supporter
Qu'il n'y ait plus personne pour me faire des calins doux.
Mais tout revient à Dieut et son choix est déjà fait.
 
 
 
voila...    sniffffffffff !  
 
s'il vous plait
Lacher vous, Allez!
ecrivez ce que vous en pensez
et surtout dites moi la verité !  
 
Big
Bisous
Bien
Baveu !!!!!!!!!!
 
J-lo miss divine
 
 

J?te vois rigoler alors j?écris
Si tu t?en fou tant pis
Tu sais j?aime pas cette vie
Regarde j?sais rire moi aussi
Tu sais j?déconnais pas
J?ressentais vraiment de l?Amour pour toi
T?as pas cru en moi
Tu sais j?t?en veux pas
La vie c?est comme ça
J?pensais qu?j?allais plus rester là
Mais maintenant je sais pas
La Mort c?est quoi ?
Y en a qui disent qu?y a une seconde vie
Franchement j?en ai pas envie
J?te revois qui ris
Mais moi tu m?oublis ?
Regarde le passé
Tu me vois pas en train de pleurer ?
C?était pour toi tu sais
Que toutes ses larmes j?ai versé
Culpabilise pas
Tu vois le problème c?est ça
Tu t?inquiètes un peu pour moi
Tu sais c?que j?en dis moi ?
Putain laisse moi souffrir
Et continue de rire
J?pense pas qu?ça puisse être pire
Et oué je soupire
Parce que j?en peux plus
Putain tu m?a pas vu !
Putain tu m?a pas vu !
J?avais mis mon c?ur à nu
Mais j?veux pas de ta pitié
Putain tu le sais !
De la vie je suis lassé
Et toi tu m?as brisé
Pulvérisé dans l?infini
Maintenant j?te fuis
Maintenant c?est fini
Ma souffrance est infinie

voilà j-lo moi j'écris ma putain de déprime
Je souhaite à personne d'en arriver à mon stade