Reprise du message précédent :
J'adore ce topic

J'y pénètre, las, comme dans un temple
Aux portes herbues et aux terres fécondes
Mais de tout là-haut, toujours me contemplent
Mes vingt-cinq années de douleur immonde
 
Après ce répit de courte durée
L'organe saillant, répugnante loutre
Dégorge puissamment sa lourde purée
Explosion de haine et de maigre foutre
 
La femme qui était le fruit défendu
Devrait, je l'en supplie, vite prendre la porte
Elle ne m'écoute pas, fume, boie, me hue
Elle n'est plus pour moi qu'une nature morte
 
Ses rondeurs félines, son cul de négresse
M'ont rempli d'amour, me dégoutent maintenant
Je l'appelle gentiment, tout plein de tendresse
Saisis mon couteau, fais couler son sang
 
Et voilà qu'elle râle, l'immonde putain
Ses sanglots s'étouffent, comme c'est risible !
Quand son sang impur de pauvre catin
Noie ses cordes vocales désormais visibles.
 
 
 
 
J'aime les femmes, anonyme du 12ème siècle

 
répugnant à souhait !

La miss est revenue, elle m'a tout pardonné
Elle a dit qu'elle m'aimait, je n'osais l'espérer
Venue chez moi hier soir, je n'ai osé y croire
Réécrire notre histoire, c'était mon fol espoir
Elle s'est déshabillée puis elle s'est allongée
Tant de joie tant d'amour, inconnus à ce jour
Tant de peines mon amour, oubliées pour toujours
Elle doit tout oublier de ses souffrances passées...
 

S'aimer pour toute une vie, s'aimer quand vient l'envie
Ouvrir son coeur, son âme, vivre sans peurs sans drames
Désirs inassouvis, plaisir et airs ravis
On s'admire, on se pâme, plus fort que de la came.
Mais ce n'est pas un rêve, ni une simple trêve
En moi jaillit la sève, Chloé, je t'aime, j'en crève...

 
Dis-moi, mon cher ami, ta Chloé que tu vantes,
Ose-t-elle sortir malgré les jets de pierre
Grosse et pataude enfin, un monstre d'épouvante
Gonflée et boutonneuse, petits seins, gros derrière
Yas-tu réfléchi ? Si l'amour est aveugle
Sa voix est une horreur, écoute comme elle meugle
Ta Chloé, mon enfant, est un thon Saupiquet  
Yvette Horner avec les oreilles Mickey
Laisse-la donc tomber, elle offense les yeux
Et me fait douter d'un dieu miséricordieux

très fortiche la grenouille

 
Clair, il est inattaquable...
Le krapaud a flashé sur la grenouille  

zut grillé

 
Grave, il fait peur

Tu as enfin trouvé ton Maître, bretteur de pacotille

 
Il ne va pas se laisser battre sans réagir quand même...
On va compter les points  

 
Grave de vers  

Alors, un uppercut du droit, un crochet gauche, une droite.... 3-0 pour grenouille pour l'instant

 
jeu de mot pourri sur le thème du sujet (hihi c'est redondant comme phrase ) et le vin (les Graves de Vayres)...

 
ça ce n'est pas un upercut, c'est un direct à la pointe du menton

j'aurais plutôt penser à un coup de boule m'enfin...

Ah ok , ok ok  ( je ne connaissais pas ce vin )
Autrement :
Un fight ! Un fight ! Un fight !

Je joue dans la cour des mômes moi quand je vois ça...

Ouais mais l'avantage d'un forum , c'est que les mômes peuvent jouer avec les grands .

En voilà un topic qu'il est beau
J'y dépose de ce pas un drapeau !

 
Pourquoi compter les points d'une lutte stérile ?
J'entends bien ne pas être de ceux qui enragent
à la seule fin vaine de garder leurs rubans
à l'abri de l'éclat d'un autre concurrent
lorsqu'un nouveau talent du troupeau se dégage.
L'orgueil que l'on me prête doit-il être si vil ?

 
ça s'écrit "civil" d'abord!

Les points ne supposent pas une quelconque jalousie
Jacques Martin l'a compris, tout le monde peut gagner
Nous sommes admiratifs devant de tels talents
Nous comptions nous assoir tout en vous admirant
Nous savons qu'à la tâche, vous n'allez rechigner
Et vous départager serait une hérésie...

 
Mieux vaut me critiquer que me faire louange
J'aime bien riposter, les bravos me dérangent
Et si je suis ému par tous vos commentaires
J'essaierai malgré tout d'avoir les pieds sur terre.
 
Beaucoup de gens ici savent tourner les rimes
Voire dissimuler des messages sublimes  
Ne vous rabaissez pas, j'écris simplement vite
Mais niveau qualité, ça reste sans mérites
 
Je vous remercie tous pour ce détournement
Du sujet principal pour notre amusement
Il ne tient plus qu'à nous de prolonger les vers
Et de ressusciter le blabla de naguère
 
 

 
Je l'ai vu employé dans un tome de Brontë,  
"les bas de clamebise", au milieu du sommaire.
Tu ne veux le comprendre, mais à me censurer,
tu exiges de moi de faire Emily taire
 
 

et zut, retour dans mes buts

Je suis tout à fait d'accord, tu es un dictionnaire des rimes vivant, mais tes paroles ne m'interpellent pas quelque part au niveau du vécu

Force est de reconnaître que le rythme imposé laisse assez peu de place à des propos sensés...

 
Ah, les soldats menteurs de la Grande Muette
Dès qu'ils ouvrent la bouche il en sort un mensonge
A part bien sûr avant de rejoindre les songes
C'est pour ça qu'on dit d'eux qu'au moins ils... baillent honnête

Tiens il est revenu, ce topic a deux balles,
Ou j'avais déversé ma logorrhée verbale,
(Pléonasme diront les Capellos ou Bucks,
Et à qui ma réponse en un seul mot tient: "Fuck!" ).
 
Merci à tous ceux qui, ici, viendront pour lire,
Les biens mauvaises rimes qui sortent de ma lyre.
Car j'en suis bien conscient, mes vers sont indigents,
Et je vous prie, lecteurs, d'être un peu indulgents.
 
A+,

le FLAK t'a foutu à la porte?

Bien anticipé Gilou...  

 
Nous voilà donc partis dans des rimes de lourds,
de celles qui s'élancent, le moteur rugissant,
à travers la campagne, les cheveux dans le vent,
mais qui sont celles aussi qui le mieux calent en bourg

 
énorme....  

un régiment de mâles revenant du combat
sortirent leur chibre sale et sonnèrent le glas...
Il le sonnèrent si fort, qu'une vague s'en échappa.
 
Les bonnes soeurs affollées de tant de foutre giclé,
se mirent à prier et elles eurent une idée:
Elles le mirent en bouteille pour la postérité.
 
Et depuis ce temps là , de part le monde entier,
On ne revis jamais , de vin de messe si prisé;
Ni tant de fille vierge, qui eurent à enfanter.

 
C'est bon ni dans les pieds ni en conjugaison,
m'est avis que t'as dû fumer tout le gazon

Commencer lentement, nous avons tout le temps
Avancer prudemment, par derrière, par devant
La laisser un instant, revenir tendrement
Il y a bien un moment où elle désserre les dents
N'hésite pas un instant, et mets-la lui dedans
 
 

Amis du bon goût et de la poésie, bonsoir