Reprise du message précédent :
Salut topic,

Je lis des livres grand public, mais si ça peut donner des idées...

Récemment ou en cours :
L'étranger d'Albert Camus : facile à lire, j'ai bien aimé la curieuse posture donnée au personnage principal.
1984 de George Orwell : les premières pages sont très prometteuses !
Latitude 0 de Mike Horn : facile à lire, c'est un euphémisme de dire que ces aventures sortent de l'ordinaire
Sauvage par nature de Sarah Marquis : romain d'aventure plus orienté introspection.
Paris est une fête d'Ernest Hemingway : je n'ai pas du tout été touché et je le trouve mal écrit

 
Un des livres les plus vendus après les attentats de Paris  

C'est pour ça que je me l'étais procuré. Plutôt déçu.

Choisir ses lectures en écoutant une vieille qui s’énerve au journal télé, ça présente des risques littéraires  

 
Quel auteur?
Je le trouves pas chez Gallmeister

 
Tim O'Brien.
 
Gallmeister a changé le titre récemment pour devenir "Les choses qu'ils emportaient"

Si tu ne connais pas un minimum les quartiers de Paris et les artistes dont parle Hemingway dans ce livre c'est clair qu'il y a peu de chances de passer en bon moment.
Bon après mal écrit t'es quand même sévère mais au final c'est un simple récit de sa vie à cette période donc il y a peut-être moins de travail sur l'écriture que dans ses romans.

Les phrases du type "blabla et blabla et blabla et blabla" je trouve ça très lourd

 
Ca vient peut-etre de la traduction, car j'en ai un souvenir d'une ecriture legere et enjouee. Un livre tres plaisant car il ne cherche qu'a recreer cette atmosphere d'emulsion avec les autres artistes de sa periode Parisienne.

J'ai pensé à ça oui

J'ai commencé Les saisons de la nuit de Colum McCann dont on a dit du bien ici, j'aurais tendance à croire que ça pourrait te plaire.
 

Je t'aurais pas imaginé lire ça et encore moins l'apprécier.
C'est quoi son meilleur tu penses ?
C'est chaud de trouver des polars bien écrits.
 

Wilderness me tente bien par contre les sujets des deux autres sont durs durs...
 
 
C'est pas très très clair comme commentaire.
(J'ai pas lu le livre, par contre puisque tu parles de romans assez classiques tu pourrais tenter Le vieil homme et la mer.)

Du coup je regarde un peu les lauréats du prix Quai des orfèvres, les critiques sont pas terribles globalement.
https://www.babelio.com/prix/37/Quai-des-Orfevres
(Et je crois que je connais pas un seul auteur. )

Il est dans ma PàL, également
 

 
Wilderness  
My Absolute Darling, je peux comprendre mais A propos de courage n'est pas dur, en soi. Certes, le sujet est douloureux mais il ne s'agit pas d'un étalage de violence.

Des phrases sans fin avec la juxtaposition de plusieurs propositions.

C'est un de mes livres préférés, le seul que je relis régulièrement avec Le chien des Baskerville

Je plussoie.

Pas plus que dans n'importe quel genre.    

C'est un prix qui récompense un roman qui exalte le travail remarquable de la police française. Liste des jurés : https://www.fayard.fr/prix-du-quai- [...] s-orfevres . A quelques très rares exceptions près, les Prix du Quai des orfèvres sont de médiocres romans écrits par de médiocres auteurs.

C’est connu, Hemingway utilise la conjonction « et » à répétition, ça ne vient pas de la traduction. Une fois que tu repères un tic comme ça, ça peut devenir pénible à lire.

Il écrit en français ?    

J’ai failli écrire « and » en plus, mais je me suis retenue au dernier moment parce que je trouvais que ça faisait snob

J'en avais lu un, je ne me souviens même pas du titre tellement c'était mauvais...

Rien que les couvertures me dissuadent

 
Je viens de voir de quoi ça parlait et ça a l'air très bien. Je l'ai ajouté à ma liste du coup.
 
Sinon ce midi j'ai feuilleté "Jours barbares, une vie de surf" et le sujet m'a bien plu bien que je ne sois pas spécialement attiré par le surf, ni connaisseur, mais l'autobiographie de ce journaliste me tente bien. Ca va peut-être être celui le 5ème roman des vacances.
 
 

Ouaip très bien les saisons de la nuit.

De mon côté j'ai commencé En Marge la bio de Jim Harrison.

 
En dehors du genre et sous-genre pour qui c'est forcément nécessaire, il y a tout de même un sacré bail que les éditeurs ne s'arrêtent plus à ce genre de truc.
 
Pour ce qui est du bouquin que je commence, on me l'a sympathiquement donné, je dois donc le lire et rester poli, mais c'est sans doute mal barré. C'est le premier que je lis dans la liste de ce prix. Je fais complètement confiance au jugement de Bora pour le reste, mais je crois que le prix du Quai des orfèvres s'intéresse moins à la qualité littéraire qu'à la précision et la crédibilité d'un cadre d'enquête, c'est déjà pas si mal tout de même.

Je n'ai pas compris ta remarque sur les couvertures ?

Qu'il s'intéresse peu à la qualité littéraire, c'est ce que je disais plus haut. Qu'il s'intéresse à la précision et crédibilité d'une enquête, c'est à la fois vrai et faux. C'est un prix décerné par de hauts fonctionnaires de la police et dont l'argument d'origine était de montrer le beau travail de notre belle police. Il est maintenant rédigé de manière plus neutre, ne citant que les techniques et la crédibilité mais garde sa vocation d'origine. Autrement dit, le roman primé doit dire la vérité mais pas toute la vérité. Ne montrer que la face positive mais surtout pas les dysfonctionnements, qu'ils soient imputables aux flics eux-mêmes ou que les flics imputent à raison aux gratte-papiers qui gèrent leur travail quotidien. Le prix est annoncé chaque année par le Préfet de police, ne pas évoquer la réalité du travail quotidien des flics, s'en tenir au strict cadre juridico-légal pour décrocher le prix. Et surtout pas de politique.

Mais quel gâchis !

J'étais sûr d'avoir fait un message sur Beniowski, mais je ne retrouve peut-être plus le topic.

Tu aurais du / devrais plutôt lire ce qui est très certainement la source originelle de ce livre, à savoir les mémoires de Maurice Beniowski. Il écrivait en français, et dans l'éition que je possède http://www.editionsphebus.fr/memoi [...] 2752904638 il y a un historien ou quelque chose comme ça qui a fait un travail fou de recherches et de notes de bas de page et d'annexes afin de montrer l'authenticité du récit / d'ajouter détails et explications de ce que rapporte l'auteur.

Comme souvent dans ce genre de livre, en tout cas à l'époque (parce que par ex aujourd'hui c'est quasiment l'inverse), on peut dire que le livre pèche par la modestie de l'auteur qui essaie de se cantonner à la donnée brute des faits plutôt que d'essayer d'agrémenter la lecture en nous livrant ses sentiments ou en s'arrêtant plus longuement sur certaines scènes, mais si on aime lire entre les lignes, on voit que c'était un excellent meneur d'homme et un fin calculateur.

Sinon, les livres que je me rappelle avoir lu cette année (ou un peu avant) :

L'honneur perdu de Katharina Blum
Le style n'est pas ce qui se fait de mieux à mon avis, mais le livre est suffisamment court pour être recommandé.
Le dernier corsaire (1914-1918) - Felix von Luckner
Encore quelqu'un qui a eu une vie extraordinaire et qui vaut le coup d'être lue.
On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans
C'est le livre du malaise. C'est très bien écrit, très touchant, tout ça, mais trop touchant pour moi. Je suis qu'un sale fragile devant ce genre de livres, vous voyez quelqu'un gâcher sa vie et vous avez envie de l'aider mais vous n'êtes qu'un spectateur et c'est trop tard... J'ai pas réussi à le finir, ça m'a mis le même malaise que devant perfect blue, ou lors du passage des mémoires de raging bull où on voit qu'il a gâché la vie d'une meuf.

Principal ou imam de la République
Plutôt équilibré et bien écrit (et de gauche) malgré son titre pamphlétaire. J'ai lu un autre livre de principal, si celui-ci ne nous renseigne pas sur la routine d'un principal type, il a au moins le mérite d'avoir des trucs à raconter (puis c'est toue une carrière qui est résumée).
Enfermez-les tous
6/5 déjà parce que c'est bien écrit, bien documenté (30 ans d'engagement dans la défense des droits sur le sujet en milieu associatif), je dirais même exhaustif sur le questionnement à poser (le sujet reste néanmoins assez restreint à mon avis), et pourquoi 6 et pas 5, parce que je suis très sensible à ce sujet (la psychiatrie, bon le livre traite plus des internements forcés).
Orange is the new black
Bon. Une personne aisée fait des erreurs de jeunesse, heureusement son milieu social vient à son secours, elle fera une faible peine de prison dans un établissement si cool qu'une politicienne célèbre a failli atterrir dans la même prison et elle sera même dans le journal, bref, heureusement la narratrice ne se plaint pas et ne demande pas qu'on la plaigne de manière ostensible, mais bon ça reste quand même ce que j'ai retenu du livre.
Le diable s’habille en prada
C'est simple, j'ai lu le début, le milieu et la fin. Alors, en gros je suis quasiment sûr de n'avoir rien loupé, hein. Le narrateur s'évertue à nous faire croire qu'elle n'est pas à sa place dans ce milieu professionnelle (comprenez : elle est mieux, plus intelligente, toussa) et dans le même temps la fascination de l'auteure (ou sa manipulation de la fanbase des lectrices sur la plage) pour tout ce qui est superficiel transparait à chaque anecdote. Et le boss n'est pas effrayant du tout, et la fille ne sait pas ce que sont de vrais problèmes, sérieux. Odieuxconnard aurait tout aussi bien pu lire ce livre au lieu de 50 nuances de gray, y avait autant de potentiel et la fin est tout aussi ridicule

Les hommes de Dien Bien Phu
Et j'ai aussi lu d'autres livres sur la guerre d'Indochine. Bref, ce qu'il faut retenir, outre que l'aspect historique laissant à penser que le commandement était à la ramasse, c'est qu'il y a un mépris, ou à tout le moins une déshumanisation et une indifférence des officiers vers les soldats de base, et dans ce livre, en particulier concernant les légionnaires. C'est à dire que le moindre officier qui se tord le bras est cité, mais que ce livre se contentera de "un légionnaire" pour désigner un héros qui sauve 300 personnes (là j'invente peut-être). Et puis de manière générale, je trouve que les militaires ne savent pas écrire. Notamment ils ne peuvent s'empêcher de ne pas être neutres vis à vis de l'ancien ennemi, et ce manichéisme est, avec le recul de ce que, quand même, on était en train de refuser à un peuple le droit de s'administrer tout seul, assez cocasse.
Des nouvelles de Prosper Mérimée, notamment Carmen
Voilà quelqu'un qui écrivait bien, et qui n'écrivait pas sur du vent de manière ridicule comme beaucoup de romantiques de son époque (parmi lesquels je citerais Théophile Gautier qui m'a énormément déçu car le Capitaine Fracasse est peut-être dans mon top 3 - à ce propos je ).
Un héros de notre temps
Bon en fait ce n'est pas vrai, je ne l'ai pas lu cette année, mais je ne résiste pas à le poster vu que je parlais de mon hypothétique top 3. Malheureusement inachevé, tout comme le livre auquel il fait suite "la princesse de Ligovskoï", que je mets avec, chef d’œuvre quand même.
Jamais sans ma fille
Intéressante cette rencontre des cultures. J'aime bien lire entre les lignes et m'imaginer qu'à la fin la famille était admirative devant la rébellion perpétuelle de l'oiseau qui n'a jamais connu la cage mais l'éducation et que ça explique des trucs du livre, tout ça.
Des pièces de Pagnol
Il est très fort pour faire passer des sentiments, je trouve. J'ai commencé par Marius et du coup je n'étais jamais sûr de comment allait se terminer les histoires de Pagnol, qui sait mettre du suspens jusqu'au bout. J'ai enchaîné sur César, ce qi me fait juger Fanny dispensable maintenant que je l'ai lu. J'ai aussi lu "Angèle", excellent, et le Schpountz, aussi bien en livre qu'en film.

Là, je lis un "nouveau genre", des polars, oui, mais des polars écrits par des policiers. En général, je ne peux pas encadrer la littérature policière, clichée au possible (tout comme la littérature d'espionnage, nous délivrant pour héros des losers qui sont censés nous faire rêver par le seul fait qu'ils exercent un métier soi-disant cool alors que tout simplement très déformé par l'auteur).

Donc là j'ai commencé par "Une couverture parfaite". https://www.babelio.com/livres/Chas [...] ite/436334
Bon, je ne suis pas d'accord avec la fin du commentaire de l'internaute, en effet, pour moi, l'intrigue d'un polar ne doit pas être l'élément principal d'un livre, on s'en fout de savoir qui a tué qui, sinon on ferait des polars en trois phrases et interchangeables, l'important c'est l'écriture (et donc je ne comprends pas la critique du ton "classieux" en gros ce serait trop bien écrit pour un demeuré de flic, quoi) et ce à quoi l'intrigue sert de prétexte, c'est à dire des descriptions sociologiques ou des introductions à des sujets tiers, etc. et là clairement les auteures connaît son ancien métier quand même, bref, moi j'ai bien aimé cette immersion et les réfléxions sur la profession et la psychologie que nous distillait les narrateurs. En fait, un chapitre sur 2 c'est le héros à la première personne, et le reste c'est à la troisième et on suit des enquêteurs ou le tueur, etc. Je suppose donc que les auteures font un chapitre chacune.

Je vais enchaîner sur : Roger Borniche (lisez ce lien sur l'auteur  https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Borniche ): Le coréen et deux autres livres que je n'ai pas sur moi (donc pas le titre) afin de vérifier ma théorie selon laquelle ce genre est supérieur au polar classique

Ca y est tout le monde est parti à la plage ou quoi ?  
 
Bon en attendant les vacances, justement, je me suis pris le recueil de nouvelles de Dino Buzatti, le K. Je n'avais jamais lu Buzatti, certaines nouvelles sont très bonnes, d'autres, vraiment très courtes, sont plus anecdotiques. Le style de Buzatti est très classique, néanmoins il y a parfois de très belles envolées, et les thèmes abordés (le temps qui passe, la futilité des choses, la vanité des hommes...) me parle beaucoup. Je lirai certainement "Le désert des tartares" plus tard dans l'année.
 
Je me suis aussi commandé "Heurts et malheurs du sous majordome Minor" de Patrick de Witt (Les frères Sister) qui me tentait depuis pas mal de temps. Je l'ai acheté d'occase, depuis quelques temps j'essaie cette formule (notamment chez recyl livres), les tarifs sont assez intéressants (2 euros et quelque pour celui ci, plus 2,99 de port, dommage que le port soit imputé à chaque article).

Je viens de finir Train d'enfer de Trevor Ferguson.
 
Roman d'une équipe de poseurs de rails, composée de personnes peu recommandables et travaillant dans des conditions exécrables,  pour relier un complexe minier. Le récit se base sur l'histoire d'un jeune contrôleur qui arrive sur le chantier, avec une vision naïve des choses.
Ambiance noire, assez oppressante, avec des relents de Mc Carthy. La noirceur est "compensée" par quelques remarques légères du personnage principal, qui détend l'atmosphère.
Particularité, il est souvznt difficile de dater les évènements : j'ai eu tendance à les situer, intuitivement, aux années 1860, alors que cela se passe en 1960.
 
Très belle lecture en tout cas, noir comme je les aime.
 
J'attaque désormais le dernier Colson Whitehead, Nickel boys, en VO.

The Poet, Michael Connelly, 1996 : traque d’un tueur en série, surnommé le poète par le FBI. Un journaliste personnellement impliqué dans l’affaire suit l’investigation.
Pas du tout ma came. Ce qui m’a rebuté : le style plat, super descriptif. Par exemple, dans un Connelly, si un personnage va d’un point A à un point B, aucun détail n’est épargné au lecteur : il prend un taxi, il va à l’hôtel, il traverse le lobby, il monte dans les étages avec l’ascenseur, il marche dans le couloir jusqu’à sa chambre, il ouvre la porte, si il est allé se chercher une boisson, on te le dit, des fois que ce serait important, quand il ressort, il reprend un taxi, il va voir le flic Truc au commissariat et de là, ils prennent la voiture de Truc pour aller...résultat, tout le long (et c’est long), j’ai eu l’impression de regarder un film hollywoodien à la tv. Et d’ailleurs si, comme moi, vous avez passé trop de temps devant la tv, vous pourrez deviner facilement les rebondissements de fin, très convenus.

Merci pour ce poste qui va m'aider à charger ma liseuse avant de partir en vacances  
De mon côté, je viens d'achever Inhumaine, de Patricia Cornwell. Apparemment, elle a écrit toutes une série de bouquins mettant en scène le même personnage. Ou devrais-je dire les mêmes personnages : tous sont très intelligents, très professionnels, très froids et très bien équipés. Mais certains sont des femmes et d'autres des hommes, certains sont plutôt gentils et d'autres carrément méchants. A part ça, ils se ressemblent tous.
J'avoue avoir eu un préjugé sur ce roman dès lecture des premières lignes du roman, en incriminant la traduction.
Mais sérieusement, 500 pages pour

C'est sans doute 450 de trop.
L'écriture (la traduction ?) est plate, l'intrigue, cf ci dessus, bref, c'est indigeste, ne perdez pas votre temps à lire ça. Je serai curieuse de savoir si le reste de la série est haletant ou simplement correct, parce que bordel, comment l'auteur a-t-elle pu vendre 100 millions d'exemplaires, c'est un mystère pour moi.

C'est une intrigue autour de Kay Scarpetta,je suppose? Franchement les deux ou trois premiers étaient biens, mais après ça s'est enlisé...

C'est ça  

Nan, je bosse...    
 

Un livre qu'il FAUT avoir lu.  
 
J'attaque Sous les yeux de l'occident de Conrad. Ça commence bien !  
 
C'est malin, j'ai du coup envie de relire les Démons de Dostoievski...  

 
J'en avais  lu un récent et j'avais eu la même impression que toi. Froid, convenu...

 
Je glande chez moi, j'ai eu un accident de Gibert l'autre jour, je voulais y aller dix minutes pour un livre, je suis restée une heure et j'en ai acheté cinq

THAT'S THE SPIRIT!  
 
Pour ma part, ce fut chez Compagnie.  

Gibert, Companie... vous vous êtes peut-être croisés dans la rue.  

Je ferais bien appel à tes services, mais je ne vais jamais dans ton quartier...  

Ha ben j'ai regardé la vitrine de Compagnie en partant tiens. Mais Randall et moi on hante souvent les mêmes coins

 
J'ai voulu acheter celui de Recyclivres, j'ai eu un mail « ah zut on l'a déjà vendu oups ». Si ça se trouve c'était toi  
(J'en ai trouvé un autre depuis.)
 
J'ai eu la confirmation que le mien a été jeté à la poubelle il y a longtemps