Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
2914 connectés 

 


 Mot :   Pseudo :  
  Aller à la page :
 
 Page :   1  2  3  4  5  ..  912  913  914  ..  1368  1369  1370  1371  1372  1373
Auteur Sujet :

[LIVRES] Vos lectures du moment

n°54677633
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 11-10-2018 à 15:35:07  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Ça fait un moment :o  
 
On notera qu'il a choisi la mairie de l'Arrondissement-Lumière. Mais je sais pas si on doit s'en réjouir :o


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
mood
Publicité
Posté le 11-10-2018 à 15:35:07  profilanswer
 

n°54677670
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 11-10-2018 à 15:36:35  profilanswer
 

avec une femme privée de son bras droit ?

n°54679963
Profil sup​primé
Posté le 11-10-2018 à 19:37:28  answer
 

C'est quoi l'arrondissement lumière ? Le 18eme? :O

n°54684349
Mountain D​ew
Son of Washington.
Posté le 12-10-2018 à 10:18:38  profilanswer
 

Avec du retard merci de l'idée, je mets ça de côté. :jap:


---------------
★ ★ ★ ★ ★ ★ ★ ★
n°54684479
Mountain D​ew
Son of Washington.
Posté le 12-10-2018 à 10:27:30  profilanswer
 

Outremanche a écrit :

Simenon : Maigret et l'homme du banc.
Un policier sur le thème d'une vie cachée...


 

biezdomny a écrit :

En histoire courte, l'Homme à la lèvre tordue de Conan Doyle (The Man with the Twisted Lip), une enquête de Sherlock Holmes.

Merci aussi. Le Simenon... pourquoi pas. :)


---------------
★ ★ ★ ★ ★ ★ ★ ★
n°54697634
Astravia
1, 2, 3, nous irons au bois...
Posté le 13-10-2018 à 23:28:02  profilanswer
 

Je viens de finir l'Hibiscus Pourpre de Chimamanda Ngozi Adichie. Une histoire de famille, une perte d'identité, une jeune fille qui raconte, en gros, sa vie entre mère soumise, la "folie" de son père religieux.. Et puis vient l'éveil et malgré tout, elle lui reste soumise (ce n'est pas forcément ce qu'il faut retenir de l'histoire mais c'est ce qui me marque).
 
J'sais pas bien parler des livres mais celui là est touchant, il fait froid au cœur parfois et parfois il le réchauffe.


---------------
I sting like a bee.
n°54708134
bubkalours​on
Posté le 15-10-2018 à 15:18:58  profilanswer
 

Steinbeck - J'ai dévoré A l'est d'Eden et Les raisins de la colère, du coup j'ai enchainé avec Tortilla Flat (j'en suis à la moitié) et je suis déception :( je ne retrouve pas la beauté et la profondeur des deux précédents. J'ai loupé un truc ?


---------------
Kalsarikännit
n°54708232
cairn-ivor​e
Posté le 15-10-2018 à 15:27:01  profilanswer
 

J'avais lu des commentaire mitigés, effectivement, cela ne m'étonne pas.

n°54709644
MaxS
Bientôt vingt ans d'HFR
Posté le 15-10-2018 à 17:16:07  profilanswer
 

bubkalourson a écrit :

Steinbeck - J'ai dévoré A l'est d'Eden et Les raisins de la colère, du coup j'ai enchainé avec Tortilla Flat (j'en suis à la moitié) et je suis déception :( je ne retrouve pas la beauté et la profondeur des deux précédents. J'ai loupé un truc ?


Les raisins de la colère, A l'est d'Eden et Des souris et des hommes sont les chefs-d’œuvres. Les autres s'empruntent à la bibliothèque. :o

n°54710397
Kede
Posté le 15-10-2018 à 18:31:05  profilanswer
 

bubkalourson a écrit :

Steinbeck - J'ai dévoré A l'est d'Eden et Les raisins de la colère, du coup j'ai enchainé avec Tortilla Flat (j'en suis à la moitié) et je suis déception :( je ne retrouve pas la beauté et la profondeur des deux précédents. J'ai loupé un truc ?


cairn-ivore a écrit :

J'avais lu des commentaire mitigés, effectivement, cela ne m'étonne pas.


MaxS a écrit :


Les raisins de la colère, A l'est d'Eden et Des souris et des hommes sont les chefs-d’œuvres. Les autres s'empruntent à la bibliothèque. :o


wow  [:the dml] Tortilla Flat est un chef-d'oeuvre de légèreté et d'humour, qui dépeint dans des pages géniales des tranches de vie de marginaux américains, comme seul Steinbeck peut le faire... Un de mes romans favoris.J'adore Steinbeck, j'ai à peu près tout lu de lui, et à mes yeux c'est A l'est d'Eden, roman peut-être trop monumental à mon goût, qui est surestimé (surtout quand on le compare à des grandes fresques françaises ou russes).


Message édité par Kede le 15-10-2018 à 18:32:21

---------------
On est tous en cellule mon petit pote, toi, moi, tout le monde. La vie est une prison. Et la plus terrible de toutes parce que pour s'en évader faut passer l'arme à gauche. Plaisante jamais avec ces choses là. Je vais t'enculer.
mood
Publicité
Posté le 15-10-2018 à 18:31:05  profilanswer
 

n°54714458
MaxS
Bientôt vingt ans d'HFR
Posté le 16-10-2018 à 08:21:13  profilanswer
 

Par contre, bubkalourson va pouvoir lire Le seigneur des porcheries du coup. :o

n°54714797
bubkalours​on
Posté le 16-10-2018 à 09:15:40  profilanswer
 

MaxS a écrit :

Par contre, bubkalourson va pouvoir lire Le seigneur des porcheries du coup. :o


 
Déjà lu :love:


---------------
Kalsarikännit
n°54732805
bouing_bou​ing
Posté le 17-10-2018 à 16:44:19  profilanswer
 

:hello:  
 
Amour monstre de Katherine DUNN.
 
L'héroine, Oly, est une naine chauve, bossue et albinos (oui, ça fait beaucoup  :D  ) qui n'est qu'un phénomène parmi d'autres au sein de la fratrie (ses frères et soeurs ont aussi leurs, euh, particularités). Elle raconte son passé, beaucoup (au milieu de la foire, parmi les siens) et son présent, un peu (son combat pour sauver la « personnalité » de sa fille). On y croise des personnages fabuleux, « anormaux » mais profondément humains. Ça se lit tout seul, c'est excessif, oui forcément mais pas trop, c'est même souvent juste. Un très bon roman sur la normalité. Je ne suis pas près d'oublier Oly, Chick, Arty, les siamoises, l'homme sac et tous les autres.


---------------
The better you look, the more you see.
n°54740328
parappa
taliblanc
Posté le 18-10-2018 à 13:04:34  profilanswer
 

Terminé Flash ou le grand voyage de Charles Duchaussois, les aventures d'un drogué de Paris à Katmandou dans les années 70. Pour le résumer en deux mots et pour ceux qui l'ont lu je dirais que c'est un mélange de Cizia Zykë et de toutes les drogues du monde. :D
C'est vraiment pas très bien écrit, le début est fort abrupt ; les aventures de l'auteur sont assez dingues, ses combines assez merdiques dans l'ensemble – il doit y avoir pas mal d'arrangements avec la réalité (dans quelle proportion, va savoir :o), mais globalement j'ai bien accroché. Je suis assez client des aventuriers débrouillards de ce genre. (J'aime moins le côté truand, mais bon.)
Ah, et c'est un livre écrit il y a longtemps donc il y a quelques trucs amusants, genre la définition d'une overdose. :d


---------------
DU LINO DE BATARD IMITATION CARREAUX DE CIMENTS ILLEGITIMES§§§
n°54748187
muet dhive​r
Posté le 19-10-2018 à 09:35:54  profilanswer
 

Il finit quand même bien mal le Charles Duchaussoy.
 
Bon moi j'ai fini un truc excellent, la famille Winter. Ca se passe de la fin de la guerre de Sécession jusqu'en 1890 environ, et on y suit à travers différentes périodes l'épopée d'une bande de hors la loi. Enfin, ce ne sont pas tant des hors la loi que des types brutaux, cruels et sans pitié, motivés par l'appât du gain, et prêts à exécuter les basses oeuvres de ceux qui en ont besoin, mais qui ne sont pas prêts à le reconnaitre publiquement. C'est un peu un western par certains côtés, mais en même temps c'est très moderne puisqu'on y voit la construction de l'Amérique post sécession, notamment sur toute une partie qui est consacrée aux élections de Chicago.
 
Et j'ai commencé le dernier Donald Ray Pollock, "Une mort qui en vaut la peine", enfin sorti en poche. Pas déçu, on retrouve bien les personnages incroyables de Pollock [:molmock]

n°54748697
gilou
Modérateur
Modosaurus Rex
Posté le 19-10-2018 à 10:07:47  profilanswer
 

Toujours aussi bien l'édition française : Le dernier Haruki Murakami, 騎士団長殺し, soit en français Le Meurtre du Commandeur, deux tomes, soit 47,80€. Le même ouvrage en anglais, Killing Commendatore, est en un seul volume (!), à $18.76, soit 16,40€ (édition brochée dans les deux cas), on peut même le trouver en import pour une trentaine d'euros.
190% de différence entre le prix en France et le prix aux US, bravo a nos éditeurs pour favoriser l'accès à la culture. Il vaut d'ailleurs mieux l'acheter chez les futurs ex-européens d'outre-manche, ou la même édition est un poil moins chère : £14 soit 15.94€.
 
Bon, pour le coup des deux volumes, pour une fois, ça respecte l'édition japonaise qui est aussi en deux volumes (et ¥ 3999 soit 31,06€, l'édition française est donc 50% plus chère).
 
 
A+,


Message édité par gilou le 19-10-2018 à 10:28:53

---------------
There's more than what can be linked! --  Le capitaine qui ne veut pas obéir à la carte finira par obéir aux récifs. -- Il ne faut plus dire Sarkozy, mais Sarkozon -- (╯°□°)╯︵ ┻━┻
n°54755114
Bruere
Posté le 19-10-2018 à 18:39:48  profilanswer
 

Je suis en train des petites nouvelles en prose de Pouchkine, ça passe nickel  :o

n°54755139
parappa
taliblanc
Posté le 19-10-2018 à 18:43:55  profilanswer
 

muet dhiver a écrit :

Il finit quand même bien mal le Charles Duchaussoy.
 


Si j'en crois wikipedia il a plus ou moins continué à vivre de la même manière (mais en Europe. :D)


---------------
DU LINO DE BATARD IMITATION CARREAUX DE CIMENTS ILLEGITIMES§§§
n°54758410
archerosmo​nd
Posté le 20-10-2018 à 09:20:16  profilanswer
 

Les Dieux ont soif, Anatole France, 1912 : l’histoire d’un juré du tribunal révolutionnaire, peintre raté et pur fanatique, dans le Paris de la Révolution, entre la mort de Marat et celle de Robespierre, en gros.
Bon, objectivement, je ne pense pas que ce soit un mauvais livre, mais ça ne m’a fait aucun effet. Pour la partie historique, ça ne m’a rien apporté après le Margerit - qui est très complet, il faut dire. Pour la partie fiction, il y a un ci-devant, de toute évidence le porte-parole de l’auteur, qui fait de grands discours, notamment sur la religion, qui m’ont soûlée. Pour ce qui est du style, je l’ai trouvé neutre, la voix de l’écrivain ne m’a pas plu.
 
City of the Dead (Necropolis), Herbert Lieberman, 1976 : très bon polar, très noir et qui reste très original même avec ses 40 ans d’âge - en tout cas je n’ai rien lu d’équivalent (bon, ok, je n’ai pas une culture polar très pointue non plus). Le style est classique et efficace.
La cité des morts en question, c’est la morgue de New York. Le personnage principal est le médecin légiste en chef, qui est une sommité, ultra-compétent dans son domaine. On suit son quotidien, entre les responsabilités d’un chef de service - qui devra notamment faire face à des affaires de corruption - et les expertises liées à plusieurs enquêtes policières. C’est un homme âgé, à 2 ans de la retraite, dont la vie personnelle, ça va de soi, est un désastre.
Ce qui est particulier dans ce bouquin, c’est que la tension ne vient pas du suspense des enquêtes : c’est une tragédie. On sait, très vite, quelle sera l’issue fatale, et une fois la machine infernale enclenchée, on ne peut plus décrocher.

n°54758910
demars
Posté le 20-10-2018 à 10:44:40  profilanswer
 

archerosmond a écrit :

Les Dieux ont soif, Anatole France, 1912 : l’histoire d’un juré du tribunal révolutionnaire, peintre raté et pur fanatique, dans le Paris de la Révolution, entre la mort de Marat et celle de Robespierre, en gros.
Bon, objectivement, je ne pense pas que ce soit un mauvais livre, mais ça ne m’a fait aucun effet. Pour la partie historique, ça ne m’a rien apporté après le Margerit - qui est très complet, il faut dire. Pour la partie fiction, il y a un ci-devant, de toute évidence le porte-parole de l’auteur, qui fait de grands discours, notamment sur la religion, qui m’ont soûlée. Pour ce qui est du style, je l’ai trouvé neutre, la voix de l’écrivain ne m’a pas plu.


C'est un truc absolument à lire, la série de Margerit sur la révolution ?

n°54759247
parappa
taliblanc
Posté le 20-10-2018 à 11:42:30  profilanswer
 

archerosmond a écrit :


City of the Dead (Necropolis), Herbert Lieberman, 1976 : très bon polar, très noir et qui reste très original même avec ses 40 ans d’âge - en tout cas je n’ai rien lu d’équivalent (bon, ok, je n’ai pas une culture polar très pointue non plus). Le style est classique et efficace.
La cité des morts en question, c’est la morgue de New York. Le personnage principal est le médecin légiste en chef, qui est une sommité, ultra-compétent dans son domaine. On suit son quotidien, entre les responsabilités d’un chef de service - qui devra notamment faire face à des affaires de corruption - et les expertises liées à plusieurs enquêtes policières. C’est un homme âgé, à 2 ans de la retraite, dont la vie personnelle, ça va de soi, est un désastre.
Ce qui est particulier dans ce bouquin, c’est que la tension ne vient pas du suspense des enquêtes : c’est une tragédie. On sait, très vite, quelle sera l’issue fatale, et une fois la machine infernale enclenchée, on ne peut plus décrocher.


Madame a acheté ce livre sur une braderie il y a des années "je sais pas pourquoi, bah c'était un polar je me suis dit allez je le prends" et ne l'a jamais lu. (C'est pas le seul livre du genre d'ailleurs. :o) Moi-même je ne l'ai pas lu, partant du principe que j'ai déjà XX livres en attente dont je sais qu'ils sont bons alors pourquoi se faire ch*er avec un livre dont je ne sais rien. Bon, ben du coup peut-être que je le lirai un de ces quatre. :D


---------------
DU LINO DE BATARD IMITATION CARREAUX DE CIMENTS ILLEGITIMES§§§
n°54759277
jamere
Posté le 20-10-2018 à 11:45:32  profilanswer
 

Des fans de littérature young adult ici ?

n°54759912
archerosmo​nd
Posté le 20-10-2018 à 13:20:52  profilanswer
 

demars a écrit :


C'est un truc absolument à lire, la série de Margerit sur la révolution ?


Si tu cherches un roman historique sur la Révolution, je ne crois pas que tu puisses trouver plus complet, plus fiable et mieux expliqué.
 
Quelques trucs à savoir avant de se lancer :
- c’est touffu, ce n’est pas du genre page-turner divertissant à la Ken Follett.
- le 1er quart du tome 1 est consacré à la présentation des personnages fictionnels, dans la ville de Limoges. L’histoire d’amour triangulaire développée est gnian-gnian, ne pas jeter le livre par la fenêtre, attendre que les Etats Généraux s’ouvrent : là les personnages fictifs passent au second plan et l’Histoire commence. Le système adopté est simple : le personnage fictif est témoin de tous les événements importants. Je sais qu’il y a des gens qui ne supportent pas ce genre de dispositif mais perso ça ne me dérange pas, ça a l’avantage de tracer clairement la limite entre les pensées de l’auteur - attribuées à son personnage fictif - et les faits historiques.
- les portraits des personnages réels sont nuancés, on sent que l’auteur a essayé d’être juste et de relever les défauts et les ratés, comme les qualités et les réussites, de chacun. Bien sûr, il n’est pas complètement objectif, il est plutôt bourgeois qu’exalté.
- Margerit s’intéresse surtout aux conflits politiques, tout ce qui a trait aux luttes de factions dans les différentes assemblées est super détaillé. La guerre sur les fronts Nord et Est est également racontée en détail. En revanche les guerres civiles et les difficultés économiques ne sont abordées qu’en passant.
 
Il y a des passages extraordinaires, très immersifs : la fuite du roi, l’insurrection du 10 août, la description de Paris en 93, le fonctionnement du tribunal révolutionnaire...j’ai eu l’impression de faire un grand voyage dans le temps.

n°54760056
archerosmo​nd
Posté le 20-10-2018 à 13:42:26  profilanswer
 

parappa a écrit :


Madame a acheté ce livre sur une braderie il y a des années "je sais pas pourquoi, bah c'était un polar je me suis dit allez je le prends" et ne l'a jamais lu. (C'est pas le seul livre du genre d'ailleurs. :o) Moi-même je ne l'ai pas lu, partant du principe que j'ai déjà XX livres en attente dont je sais qu'ils sont bons alors pourquoi se faire ch*er avec un livre dont je ne sais rien. Bon, ben du coup peut-être que je le lirai un de ces quatre. :D


Je ne suis pas libraire, je ne saurai pas te dire : si tu as aimé ça, tu devrais aimer ça...mais au vu de tes CR, je pense qu’il y a de grandes chances que ça te plaise : style direct, pas de psychologie, réalité brutale, personnage qui va au bout de sa logique.
 

jamere a écrit :

Des fans de littérature young adult ici ?


C’est une étiquette que j’associe à la Fantasy, t’aurais peut-être plus de succès sur le topic Fantasy ?

n°54760151
demars
Posté le 20-10-2018 à 13:53:16  profilanswer
 

archerosmond a écrit :


Si tu cherches un roman historique sur la Révolution, je ne crois pas que tu puisses trouver plus complet, plus fiable et mieux expliqué.
 
Quelques trucs à savoir avant de se lancer :
- c’est touffu, ce n’est pas du genre page-turner divertissant à la Ken Follett.
- le 1er quart du tome 1 est consacré à la présentation des personnages fictionnels, dans la ville de Limoges. L’histoire d’amour triangulaire développée est gnian-gnian, ne pas jeter le livre par la fenêtre, attendre que les Etats Généraux s’ouvrent : là les personnages fictifs passent au second plan et l’Histoire commence. Le système adopté est simple : le personnage fictif est témoin de tous les événements importants. Je sais qu’il y a des gens qui ne supportent pas ce genre de dispositif mais perso ça ne me dérange pas, ça a l’avantage de tracer clairement la limite entre les pensées de l’auteur - attribuées à son personnage fictif - et les faits historiques.
- les portraits des personnages réels sont nuancés, on sent que l’auteur a essayé d’être juste et de relever les défauts et les ratés, comme les qualités et les réussites, de chacun. Bien sûr, il n’est pas complètement objectif, il est plutôt bourgeois qu’exalté.
- Margerit s’intéresse surtout aux conflits politiques, tout ce qui a trait aux luttes de factions dans les différentes assemblées est super détaillé. La guerre sur les fronts Nord et Est est également racontée en détail. En revanche les guerres civiles et les difficultés économiques ne sont abordées qu’en passant.
 
Il y a des passages extraordinaires, très immersifs : la fuite du roi, l’insurrection du 10 août, la description de Paris en 93, le fonctionnement du tribunal révolutionnaire...j’ai eu l’impression de faire un grand voyage dans le temps.


Merci du CR, ça me tente bien, surtout que je connais très mal la suite de la révolution. Je ne connais que 1789, mais le reste est assez flou.

n°54760210
Groomy
Oisif
Posté le 20-10-2018 à 14:02:29  profilanswer
 

archerosmond a écrit :


Si tu cherches un roman historique sur la Révolution, je ne crois pas que tu puisses trouver plus complet, plus fiable et mieux expliqué.
 
Quelques trucs à savoir avant de se lancer :
- c’est touffu, ce n’est pas du genre page-turner divertissant à la Ken Follett.
- le 1er quart du tome 1 est consacré à la présentation des personnages fictionnels, dans la ville de Limoges. L’histoire d’amour triangulaire développée est gnian-gnian, ne pas jeter le livre par la fenêtre, attendre que les Etats Généraux s’ouvrent : là les personnages fictifs passent au second plan et l’Histoire commence. Le système adopté est simple : le personnage fictif est témoin de tous les événements importants. Je sais qu’il y a des gens qui ne supportent pas ce genre de dispositif mais perso ça ne me dérange pas, ça a l’avantage de tracer clairement la limite entre les pensées de l’auteur - attribuées à son personnage fictif - et les faits historiques.
- les portraits des personnages réels sont nuancés, on sent que l’auteur a essayé d’être juste et de relever les défauts et les ratés, comme les qualités et les réussites, de chacun. Bien sûr, il n’est pas complètement objectif, il est plutôt bourgeois qu’exalté.
- Margerit s’intéresse surtout aux conflits politiques, tout ce qui a trait aux luttes de factions dans les différentes assemblées est super détaillé. La guerre sur les fronts Nord et Est est également racontée en détail. En revanche les guerres civiles et les difficultés économiques ne sont abordées qu’en passant.
 
Il y a des passages extraordinaires, très immersifs : la fuite du roi, l’insurrection du 10 août, la description de Paris en 93, le fonctionnement du tribunal révolutionnaire...j’ai eu l’impression de faire un grand voyage dans le temps.

[:transparency]  
 

Spoiler :

[:somberlain_multi:2]



---------------
Le matin, j'émerge de mes rêves, le plus heureux des anges. Je me couche le soir, un vrai salaud. Qu'ai-je donc fait entre-temps ? J'ai fréquenté les hommes et fouillé dans leur merde.
n°54761392
Laurence67
Posté le 20-10-2018 à 17:20:54  profilanswer
 

Je viens de lire "L'Affaire Sparsholt" de Alan Hollinghurst, un des romans de la rentrée littéraire.
 
https://img.livraddict.com/covers/292/292320//couv64444489.jpg
 

Citation :

En octobre 1940, David Sparsholt fait son entrée à Oxford. Athlète et rameur acharné, il semble d’abord ignorer la fascination qu’il exerce sur les autres – en particulier sur le solitaire et romantique Evert Dax, fils d’un célèbre romancier. Tandis que le Blitz fait rage à Londres, l’université d’Oxford apparaît comme un lieu hors du temps où les attirances secrètes s’expriment à la faveur de l’obscurité. Autour de David, des liens se tissent qui vont marquer les décennies à venir.


 
Alors, je vais vous expliquer ce que j'ai compris et retenu du pitch, et qui m'a donné envie de lire le roman : Oxford, Blitz, romancier. En plus, dès le début du roman, on parle de dessin (un des étudiants est un artiste en herbe qui adore tirer le portrait de ses condisciples), et de tableaux, collectionnés par un autre étudiant, justement le "timide Evert".
 
Tout ça, c'est un contexte qui m'attire comme une mouche. Ensuite, je me doutais que les "attirances secrètes" concernaient l'homosexualité, sujet qui m'intéresse quand il est traité dans un contexte social, surtout quand c'est dans le passé, à une époque où c'était vraiment tabou. Dans ce cas précis, on comprend vite que c'est en même temps très courant dans ces milieux de la haute société où les garçons ont passé 10 ans en internat non mixte avant de mettre un pied à l'université, mais que c'est assez tabou quand même. Bon.
 
Après, "les décennies à venir" impliquait que l'histoire se prolongeait bien après les années 40, peut-être même jusqu'à nos jours. Là aussi, je trouvais intéressant de voir l'évolution de cette petite société de l'Elite. Et bien sûr, j'étais intriguée par cette "affaire" Sparsholt.
 
15 jours au moins plus tard, si je devais résumer mon impression en un mot, ce serait : "ennui". Sur 600 pages, on attend qu'il se passe quelque chose, n'importe quoi, en vain. En gros, l'homosexualité sert effectivement de fil rouge, on voit des hommes de divers âges se rencontrer, se tourner autour, se désirer, parfois même coucher ensemble, ce dont on est d'autant plus heureux qu'au moins ça fait un peu d'action sur une demi-page. J'en étais arrivée à souhaiter la mort de certains d'entre eux, pas par méchanceté, juste par ennui, toujours par envie qu'il se "passe quelque chose".
 
C'est d'autant plus rageant qu'il y avait tous les ingrédients nécessaires pour un roman intéressant. Ils sont présents, mais mal exploités, de façon superficielle ou même éludés.
 
Quelqu'un d'autre a lu ce chef-d’œuvre-encensé-par-la-critique ?


---------------
La Petite Librairie : critiques de romans
n°54762140
Profil sup​primé
Posté le 20-10-2018 à 19:10:43  answer
 

Groomy a écrit :

[:transparency]  
 

Spoiler :

[:somberlain_multi:2]




+1
 
Pour dans 2000 ans grosso modo :o

n°54762519
archerosmo​nd
Posté le 20-10-2018 à 19:56:49  profilanswer
 

Laurence67 a écrit :

Je viens de lire "L'Affaire Sparsholt" de Alan Hollinghurst, un des romans de la rentrée littéraire.
 

Citation :

En octobre 1940, David Sparsholt fait son entrée à Oxford. Athlète et rameur acharné, il semble d’abord ignorer la fascination qu’il exerce sur les autres – en particulier sur le solitaire et romantique Evert Dax, fils d’un célèbre romancier. Tandis que le Blitz fait rage à Londres, l’université d’Oxford apparaît comme un lieu hors du temps où les attirances secrètes s’expriment à la faveur de l’obscurité. Autour de David, des liens se tissent qui vont marquer les décennies à venir.




 [:roxelay] ça me ferait fuir d’emblée, une phrase comme ça, même si je sais que l’auteur n’est pas responsable de la 4ème de couverture.
Je ne l’ai pas lu, j’ai environ 100 ans de retard sur l’actualité littéraire. Parfois je me dis que ce serait bien de lire des idées contemporaines, sur la société contemporaine. Cet été j’ai écouté plein de podcasts de la Dispute et du Masque et la plume, j’ai fait une liste de ce qui pourrait m’intéresser mais je n’ai toujours pas tapé dedans, j’ai des doutes...

n°54762877
Super_grib​ouille
Posté le 20-10-2018 à 20:40:28  profilanswer
 

Terminé Confiteor de Jaume Cabré, No et Moi de Delphine de Vigan et Le Lion de Joseph kessel.
 
Pour Confiteor, je n'ai pas trouvé les personnages attachants. Surtout le "héros", matérialiste, menteur, enfermé dans son monde... C'est bien écrit, mais j'aurai du mal à la conseillé finalement, vu qu'il fait 900 pages, ça (vous) prendra un peu de temps mine de rien.
 
No et moi, c'est gentil, plein de bonnes intentions, mais je crois que j'ai envie d'aventures. Là ça ne vous prendra pas trop de votre temps, les pages sont très aérées.
 
Le lion. C'est la première fois que je lis du Kessel. J'ai trouvé que ça avait mal vieilli. Peut-être que si j'avais lu ça au collège ça m'aurait plus plus ?  
Et ça ne m'a vraiment pas donné envie d'aller faire chier les animaux lors d'un safari mais bien au contraire que tout le monde les laisse tranquilles dans leurs "réserves" au lieu de se justifier avec un détestable "mais on est resté sur les pistes".
 
Là j'attaque Moby Dick d'Herman Melville, je mise sur un peu plus d'aventures. :)

n°54763628
k_raf
Totally nuts!
Posté le 20-10-2018 à 22:04:24  profilanswer
 

Invocation des Dumasphiles  [:bibliophage:1]

 

Je cherche à retrouver une phrase dite par le Comte de Monte Cristo (il me semble que c'est à Rome, dans le tome II, mais je ne trouve pas et je commence à douter) où il dit en substance que l'homme ne connaît qu'une façon de produire la vie, mais qu'il en a inventé tout plein pour la supprimer.

Message cité 1 fois
Message édité par k_raf le 20-10-2018 à 22:04:41
n°54763653
BoraBora
Dilettante
Posté le 20-10-2018 à 22:06:45  profilanswer
 

archerosmond a écrit :


Ce qui est particulier dans ce bouquin, c’est que la tension ne vient pas du suspense des enquêtes : c’est une tragédie.


Pas mieux, c'est ce que je dis à tous mes clients depuis des années (je l'avais lu à sa sortie en 1978 :o ) et il reste l'un des polars que je conseille le plus souvent. Je dis même que c'est une tragédie grecque, le personnage principal a tout d'un Atride (2ème génération, celle d'Agamemnon  :o ) .

jamere a écrit :

Des fans de littérature young adult ici ?


Grenouille Bleue en a publié pas mal, s'il passe dans le coin. Sinon, tu le trouveras sur le topic fantasy.
 


---------------
Qui peut le moins peut le moins.
n°54763777
Bruere
Posté le 20-10-2018 à 22:25:37  profilanswer
 

k_raf a écrit :

Invocation des Dumasphiles  [:bibliophage:1]  
 
Je cherche à retrouver une phrase dite par le Comte de Monte Cristo (il me semble que c'est à Rome, dans le tome II, mais je ne trouve pas et je commence à douter) où il dit en substance que l'homme ne connaît qu'une façon de produire la vie, mais qu'il en a inventé tout plein pour la supprimer.


Je ne trouve que ça
 
— Non… reprit négligemment le comte ; à l’autre… (il jeta un coup d’œil sur le calepin comme pour se rappeler le nom), à Peppino, dit Rocca Priori. Cela vous prive d’une guillotinade, mais il vous reste la mazzolata, qui est un supplice fort curieux quand on le voit pour la première fois, et même pour la seconde, tandis que l’autre, que vous devez connaître d’ailleurs, est trop simple, trop uni : il n’y a rien d’inattendu. La mandaïa ne se trompe pas, elle ne tremble pas, ne frappe pas à faux, ne s’y reprend pas à trente fois comme le soldat qui coupait la tête au comte de Chalais, et auquel, au reste, Richelieu avait peut-être recommandé le patient. Ah ! tenez, ajouta le comte d’un ton méprisant, ne me parlez pas des Européens pour les supplices, il n’y entendent rien et en sont véritablement à l’enfance ou plutôt à la vieillesse de la cruauté.
 
— En vérité, monsieur le comte, répondit Franz, on croirait que vous avez fait une étude comparée des supplices chez les différents peuples du monde.
 
— Il y en a peu du moins que je n’aie vus, reprit froidement le comte.
 
— Et vous avez trouvé du plaisir à assister à ces horribles spectacles ?
 
— Mon premier sentiment a été la répulsion, le second l’indifférence, le troisième la curiosité.
 
— La curiosité ! le mot est terrible, savez-vous ?
 
— Pourquoi ? Il n’y a guère dans la vie qu’une préoccupation grave, c’est la mort ; eh bien ! n’est-il pas curieux d’étudier de quelles façons différentes l’âme peut sortir du corps, et comment, selon les caractères, les tempéraments et même les mœurs du pays, les individus supportent ce suprême passage de l’être au néant ? Quant à moi, je vous réponds d’une chose : c’est que plus on a vu mourir, plus il devient facile de mourir ; ainsi, à mon avis, la mort est peut-être un supplice, mais n’est pas une expiation.
 
— Je ne vous comprends pas bien, dit Franz ; expliquez-vous, car je ne puis vous dire à quel point ce que vous me dites là pique ma curiosité.
 
— Écoutez, dit le comte ; et son visage s’infiltra de fiel, comme le visage d’un autre se colore de sang. Si un homme eût fait périr, par des tortures inouïes, au milieu de tourments sans fin, votre père, votre mère, votre maîtresse, un de ces êtres enfin qui, lorsqu’on les déracine de votre cœur, y laissent un vide éternel et une plaie toujours sanglante, croiriez-vous la réparation que vous accorde la société suffisante, parce que le fer de la guillotine a passé entre la base de l’occipital et les muscles trapèzes du meurtrier, et parce que celui qui vous a fait ressentir des années de souffrances morales a éprouvé quelques secondes de douleurs physiques ?
 
— Oui, je le sais, reprit Franz, la justice humaine est insuffisante comme consolatrice : elle peut verser le sang en échange du sang, voilà tout ; il faut lui demander ce qu’elle peut et pas autre chose.
 
— Et encore je vous pose là un cas matériel, reprit la comte, celui où la société, attaquée par la mort d’un individu dans la base sur laquelle elle repose, venge la mort par la mort ; mais n’y a-t-il pas des millions de douleurs dont les entrailles de l’homme peuvent être déchirées sans que la société s’en occupe le moins du monde, sans qu’elle lui offre le moyen insuffisant de vengeance dont nous parlions tout à l’heure ? N’y a-t-il pas des crimes pour lesquels le pal des Turcs, les auges des Persans, les nerfs roulés des Iroquois seraient des supplices trop doux, et que cependant la société indifférente laisse sans châtiment ?… Répondez, n’y a-t-il pas de ces crimes ?
 
— Oui, reprit Franz, et c’est pour les punir que le duel est toléré.

n°54764021
archerosmo​nd
Posté le 20-10-2018 à 22:59:18  profilanswer
 

Super_gribouille a écrit :

Là j'attaque Moby Dick d'Herman Melville, je mise sur un peu plus d'aventures. :)


Moby Dick, c’est un documentaire sur la pêche à la baleine. Bon, c’est sportif la pêche à la baleine au XIXe, on peut qualifier ça d’aventure, mais ne t’attends pas à des péripéties bondissantes, quoi...je préviens juste pour que tu ne sois pas déçu, je ne cherche pas te décourager, c’est un bon bouquin  :)  
 

BoraBora a écrit :


Pas mieux, c'est ce que je dis à tous mes clients depuis des années (je l'avais lu à sa sortie en 1978 :o ) et il reste l'un des polars que je conseille le plus souvent. Je dis même que c'est une tragédie grecque, le personnage principal a tout d'un Atride (2ème génération, celle d'Agamemnon  :o ) .


Ce qui est explicitement référencé dans le livre, c’est King Lear, mais bon, ne l’ayant pas lu, ça ne m’a rien évoqué (à part un film de Kurosawa avec un vieux bizarrement maquillé  :o )
 
 

n°54764407
jameson
Posté le 21-10-2018 à 00:03:30  profilanswer
 

Super_gribouille a écrit :


Là j'attaque Moby Dick d'Herman Melville, je mise sur un peu plus d'aventures. :)


Je l'ai lu il y a seulement 1 ou 2 ans.  
J'ai adoré. J'étais sur le bateau, sur le pont, bordel, je cherchais cette baleine. Incroyable cette immersion alors que le sujet ne me passionne pas.
Par contre, c'est le livre qui comporte le plus de mots que je n'ai pas compris, et que je ne comprends toujours pas :D (beaucoup de vocabulaire spécialisé).

n°54764448
BoraBora
Dilettante
Posté le 21-10-2018 à 00:13:42  profilanswer
 

archerosmond a écrit :


Ce qui est explicitement référencé dans le livre, c’est King Lear, mais bon, ne l’ayant pas lu, ça ne m’a rien évoqué (à part un film de Kurosawa avec un vieux bizarrement maquillé  :o )


Je m'en rappelle pas mais bon... 40 ans après l'avoir lu, j'ai des excuses. :o


---------------
Qui peut le moins peut le moins.
n°54764450
BoraBora
Dilettante
Posté le 21-10-2018 à 00:15:24  profilanswer
 

jameson a écrit :

Par contre, c'est le livre qui comporte le plus de mots que je n'ai pas compris, et que je ne comprends toujours pas :D (beaucoup de vocabulaire spécialisé).


C'est pourtant pas dur : babord = gauche, tribord = droite.  :o


---------------
Qui peut le moins peut le moins.
n°54764732
Colonelle
Modérateur
Saucisselike
Posté le 21-10-2018 à 06:40:06  profilanswer
 

jameson a écrit :


Je l'ai lu il y a seulement 1 ou 2 ans.
J'ai adoré. J'étais sur le bateau, sur le pont, bordel, je cherchais cette baleine. Incroyable cette immersion alors que le sujet ne me passionne pas.
Par contre, c'est le livre qui comporte le plus de mots que je n'ai pas compris, et que je ne comprends toujours pas :D (beaucoup de vocabulaire spécialisé).


J'ai eu le même soucis avec Même pas mort / Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski sur le champ lexical du cheval notamment.
Moi qui ne supporte pas de lire avec un dictionnaire,  j'ai été tellement contente d'être passée à la liseuse pour ça,  c'est incroyablement facile d'y avoir accès à une définition (même si c'est d'autant plus frustrant quand elle n'est pas disponible).


---------------
I'm the darkness in the light, I'm the leftness in the right, I'm the rightness in the wrong, I'm the shortness in the long, I'm the goodness in the bad, I'm the saneness in the mad, I'm the sadness in the joy
n°54764775
k_raf
Totally nuts!
Posté le 21-10-2018 à 07:22:31  profilanswer
 

Bruere a écrit :


Je ne trouve que ça
[...]


Merci pour ton aide. Malheureusement ce n'est pas ça [:kratos77:4] Je suis à deux doigt de me taper la lecture en diagonale pour retrouver l'extrait, mais je ne suis vraiment plus sûr du tome qui le contiendrait.
Est-ce qu'au moins ça parle à quelqu'un ce passage, ou je l'ai entièrement rêvé?

n°54764789
Tillow
J'aime les tierces picardes.
Posté le 21-10-2018 à 07:44:44  profilanswer
 

BoraBora a écrit :


C'est pourtant pas dur : babord = gauche, tribord = droite. :o


Cette ref :D


---------------
Stabatmaterophile - Witches, Bitches and Britches.
n°54765687
Bruere
Posté le 21-10-2018 à 12:14:44  profilanswer
 

k_raf a écrit :


Merci pour ton aide. Malheureusement ce n'est pas ça [:kratos77:4] Je suis à deux doigt de me taper la lecture en diagonale pour retrouver l'extrait, mais je ne suis vraiment plus sûr du tome qui le contiendrait.
Est-ce qu'au moins ça parle à quelqu'un ce passage, ou je l'ai entièrement rêvé?


La logique voudrait que ce soit autour de l’exécution parce que justement il dit que les hommes sont inventifs pour exécuter leurs semblables.

mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3  4  5  ..  912  913  914  ..  1368  1369  1370  1371  1372  1373

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
Quel mag informatique "papier" lisez vous ?spam => lisez ça, vous serez pas déçu !
Le Jeu du Dico : en attente de renaissance[topic magazine] Quels sont les magazines que vous lisez ?
Quel genre de roman lisez-vous le plus ?Les forumeurs : campagnards ou citadins ? Lisez le 1er post !
Vous lisez quel quotidien ?Combien de livres lisez vous en moyenne par an ?
Quel magazine spécialisé dans le cinéma lisez-vous en priorité ??[ internet ] - Lisez vous les blogs ??
Plus de sujets relatifs à : [LIVRES] Vos lectures du moment


Copyright © 1997-2025 Groupe LDLC (Signaler un contenu illicite / Données personnelles)