Reprise du message précédent :
Pour ma culture, c'est quoi bit-lit?
Apparemment de la littérature pour ado mais j'arrive pas à trouver ce qui se cache derrière le bit

C'est écrit clairement sur la page wikipedia pourtant :
 

 
Bit -> mordre, le thème principal c'est les vampires et associés.
 

Je pense pas te l'avoir dit : j'adore ta signature.

Le Lys dans la vallée
   
J'ai lu pas mal de Balzac, mais je le sentais venir et c'est pas pour rien que je repoussais sans cesse sa lecture : qu'est-ce que c'était RELOU.
Alors l'écriture est magnifique, de nombreux passages sont d'une belle puissance visuelle et poétique (ce sont des promenades dans la campagne tourangelle, des bouquets réalisés avec AMOUR et décrits par le détail) mais quand même, que de niaiseries, de comparaisons gnangnan "c'était un ange"    
Le personnage principal menace bien 5 ou 6 fois de se jeter dans l'Indre, il finit par devenir drôle.
Je dois quand même reconnaître que la 2ème partie du bouquin est plus surprenante et que la fin m'a pas mal amusé
 
J'ai bien entamé Le Docteur Jivago, et j'aime beaucoup. C'est du bon roman russe là, avec son tas de personnages aux noms et surnoms si variés et si proches, vivants et turbulents comme j'aime. Je lui trouve pour l'instant (après une bonne centaine de pages) un côté un peu décousu cela dit. Certains passages, que j'ai bien relus, manquaient clairement de sens.

Merci. Dans ma liste  

 
En lisant ton message, je cherchais à me rappeler le roman, et après un peu de vérification, tout ce dont je me souviens vient en fait de La Muse du département

Pêle-mêle, mes dernières lectures :
 
Ours de Marian Engel. Un tout petit livre canadien des années 60 sur une archiviste qui se retrouve à faire du tri dans une grande maison en compagnie d’un ours sur une île un peu isolée. J’imagine que dans les années 60 c’était subversif avec en toile de fond la liberté sexuelle et l’émancipation féminine ; en 2023 ça tombe un peu à plat. Bon, ça a l’avantage d’être court.
 
Swan song de Robert McCammon. Roman post-apocalyptique un peu dans la veine du Fléau de King. J’étais un peu dubitatif mais ça se lit vraiment bien et même si les personnages sont un peu caricaturaux, j’ai trouvé ça sympa comme lecture.
 
Sugar street de Jonathan Dee. J’aurais préféré lire Ceux d’ici ou Les privilèges mais bon, bibliothèque tout ça, on fait avec ce qu’on a Malgré tout le pitch est sympa : un type, blanc (ça a l’air important pour lui en tout cas), csp++ laisse derrière lui sa vie en essayant de disparaître sans laisser de trace armé d’une enveloppe contenant 164000 dollars. Il finit par trouver refuge dans une chambre louée par une jeune femme un peu paumée dans la fameuse Sugar street du titre (ça spoile pas, ça se passe dés le début). Descente aux enfers d’un homme franchement paranoïaque à l’ère de la surveillance généralisée. Je suis un peu déçu parce que le personnage principal est quand même un peu concon et fait des trucs vraiment idiots ça m'a sorti de la lecture...
 
La cité des hommes saints de Luis Montero Manglano, 3ème (et heureusement ( ) dernier) tome d’une trilogie autour d’une organisation secrète nommée le corps royal des quêteurs. Bon, j’ai un peu honte avec celui-là parce que franchement c’est nul et je le savais avant de commencer (le 2ème était déjà nul, le 1er à peine mieux). L’histoire est débile, complètement invraisemblable, les personnages caricaturaux, la langue pauvre. Il ne me reste plus qu’à aller me flageller pour me purifier maintenant.

En bit lit que j'aime bien  il y a  La communauté du Sud (qui a donné True blood mais les livres sont beaucoup moins bien que la série),la saga le protectorat de l'ombrelle (steampunk humour romance) la lignée (bagarre à new york) les anno dracula (uchronie) metaphysique du vampire (français)
dracula, les anne rice , i am legend.  

Où on met la distinction entre romans de vampires et bit-lit ? Pour moi la bit-lit c'est inspiré de la chick-lit mais avec des vampires, loups-garous, etc. Y a un côté « lecture distraction » avec un certain nombre d'éléments attendus, je sais pas trop comment dire. Sur la page de Milady qui présente le genre (archivée ici) il est question en particulier d'univers urbains, d'aventures et d'héroïnes. Et comme c'est quand même du marketing, j'imagine que les éditeurs ont essayé d'élargir le public après en diversifiant les héros et les contextes (et encore ? vu que les femmes lisent plus que les hommes, je sais pas si ça vaut le coup économiquement).

En romans de vampires j'aime beaucoup Fevre Dream de George R. R. Martin mais ça répond pas à la définition. Et j'ai testé Poppy Z. Brite mais j'ai trouvé ça tellement pourri que j'ai pas réussi à aller assez loin pour savoir si ça correspond.

Edit : archivé en 2008

Perso « il s’agit de romans mettant en scène des héroïnes combattant des monstres avec en plus des préoccupations qui relèvent de la vie quotidienne » ça me fait partir en courant

Edit : c'est marrant d'ailleurs, parce que j'adore le réalisme magique par ailleurs, mais  « les préoccupations de la vie quotidienne » dans les romans ou les films qui le revendiquent, je trouve toujours ça ennuyeux, artificiel ou complètement dénué de sens

Ah bah voilà, c'est bien ce que je craignais.

Comme Biez : faut pas non plus ranger tout livre qui comporte un vampire dans la bit-lit. I Am Legend n'est même pas du fantastique, en plus, c'est de la SF.  
 

C'est la vieille recette qui a fait le succès planétaire de Marvel. Je la trouve assez imparable niveau identification.  

Je trouve que c'est pas facile à doser, et je l'ai beaucoup vu en jeu de rôles : tu as souvent des contextes où tu as des choses à faire en tant que personnage pour ta vie, ton village, etc., mais du moment que tu es confronté à une menace existentielle qui va détruire ta vie, ton village, etc., il y a tout un pan de l'action qui disparaît parce que ça n'a plus aucun intérêt, et les organisateurs s'arrachent les cheveux parce que plus personne ne joue certains trucs.

Mais ouais quand j'étais gosse le seul marvel auquel j'avais accès c'était deux numéros dépareillés de Spécial Strange que je lisais en cachette, y avait des épisodes isolés de plusieurs héros (Spider Man, Iron Man, X-Men, Daredevil et ?? je ne sais plus mais y avait Madame Masque). Je me rappelle qu'Iron Man avait des problèmes parce qu'il était noir, Daredevil avait des problèmes parce qu'il avait perdu ses super pouvoirs et était vraiment aveugle, Spider Man avait des problèmes parce qu'il se faisait bolosser ET que tante May était gravement malade et allait mourir, bref, ça pleurait beaucoup et je sautais plein de cases

Vous connaissez Larry Correia? Un américain, très fana des armes a feu, ça se ressent assez mais c'est adapté au sujet donc peu gênant. Il a écrit une série "the Monster Hunters" qui pourrait correspondre : un mec vit une vie normale au cours de laquelle brutalement arrivé un loup garou. Il découvre donc une autre facette du monde réel.  
Lu il y a très longtemps, mais j'ai adoré à l'époque.  
Inconvénient: cette série là n'a pas été traduite en français

J'ai dévoré Le temps qui m'a manqué de Gabrielle Roy, la 3 ème partie (sur 4) où elle raconte la suite de sa vie après la detresse et l'enchantement. Sa vie de journaliste à Montréal,  son premier roman bonheur d'occasion et le deuil de quelqu'un de très important.
 
C'est pas long, même pas 100 pages, car elle a fait une crise cardiaque durant cette periode  
 
C'est excellent bien sûr, tous les superlatifs.

J'ai fini récemment La fin des temps de Murakami, j'ai trouvé ça très chouette. J'aime beaucoup la double histoire qui évolue en parallèle chacune dans une forme de fantasy différente. C'est peut-être moins mature que certaines œuvres plus récentes (j'ai préféré la profondeur des personnages de Kafka sur le rivage ou Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil) mais ça reste d'une lecture fluide
 
Dans un style complètement différent, j'ai lu Paris est une fête d'Hemingway. Je ne sais pas trop ce que j'en attendais mais probablement une forme de littérature plus classique que ce journal où l'auteur raconte toute une séries d'anecdotes de sa vie à Paris entre deux guerres. Vu qu'il s'agit d'une publication posthume, il est probable que ça joue sur la forme.
C'est super intéressant de voir un témoignage direct de quelqu'un qui a réellement connu Francis Scott Fitzgerald ou Gertrude Stein quand on connait un peu la période. Les lieux cités existent toujours pour la plupart et c'est assez drôle de lire qu'il s'offusque qu'on lui pique "son" troquet où il va pour écrire peinard et que ce troquet en question est la Closerie des Lilas
Je pense que c'est intéressant à lire quand on veut comprendre une part de l'imaginaire américain concernant Paris, on voit mieux d'où partent les clichés
 
Là je suis dans La montagne de l'Âme de Gao Xingjiang, je déteste pas mais à force d'onirisme je trouve ça un peu décousu, j'aimerais des chapitres qui s'enchaînent un peu plus.

J'enchaîne les lectures d'été, je viens de lire R comme Revanche, C comme Cadavre et S comme Survie les 3 premiers tomes du cycle Gideon Crew de Preston & Child.  
 
L'histoire c'est celle de Gideon Crew un physicien nucléaire ancien Gentleman cambrioleur (c'est pas banal comme profil), il est recruté par une mystérieuse organisation pour remplir des missions plus dangereuses les unes que les autres (forcément).
On est entre Jack Reacher et Arsène Lupin. Je me suis aidé de chatGPT pour trouver cette saga je voulais tester l'IA en conseil lecture.  
 
Bon comment dire, ça se lit facilement mais ce n'est pas exempt de défauts, le héros manque d'épaisseur, il ya quelques facilités de narrations qui gachent l'intrigue, on sent trop l'écriture à 2 mains. J'ai jamais lu d'autres romans de ces auteurs, j'ignore si ce sont des défauts inherent à leur oeuvre.
 
Malgré tout j'ai envie de connaître la suite car il y a une bonne dose d'humour et d'action donc j'irai jusqu'au tome 5.

Dôra Doralina de Rachel de Queiroz        
 
Des fois, il m'arrive de tomber sur des navets, mais là, c'est une grosse tarte dans la tronche
 

Le titre est une allusion à Kyra Kyralina de Panaït Istrati ?
A+,

 
 
Et bien écoute, je veux bien croire ton expérience de libraire sur la question, mais il n'en reste pas moins que quand j'ai regardé ce que me proposaient amazon et book node sur les ouvrages les plus lus par les ados, la bit-lit ressortait de manière écrasante.
 
Ensuite, c'est peut être aussi une "conséquence" du genre : comme il tient plus de la cuisine "fast food" que du délice de fin gourmet, l'acheteur est peut être plus volontiers enclin à acheter directement en ligne qu'en librairie "physique".
 
En parallèle, on s'attache moins à l'ouvrage et on est plus enclin à le prêter, le donner, le partager, sans l'attendre un retour.
 
ça me fait un peu penser à ce que j'observe empiriquement dans les "bourses aux livres" : les "Harlequins" semblent y être surreprésentés.

On a déjà eu cette discussion, tu confondais déjà bit-lit avec plein d'autre choses pour les besoins de ta socio de drama queen décliniste Figaro-style ("ah là là les jeunes d'aujourd'hui, mon pauvre monsieur..." ). Et non, les différences que tu imagines maintenant entre rayonnage des librairies que tu ne fréquentes pas et meilleures ventes d'Amazon sur lequel tu ne sais pas faire une recherche n'ont rien à voir avec la bit-lit "cuisine fast-food" plutôt que "délice de fin gourmet".
 
Fais une recherche sur ton pseudo sur ce topic, ça évitera de recommencer la même discussion à chaque fois. Et je vais te reposter le lien Amazon des meilleures ventes pour ados : https://www.amazon.fr/gp/most-wishe [...] s_tab_t_mw Contrairement à ce que tu penses, ce n'est pas une référence puisque les achats ne sont pas basés sur l'âge de l'acheteur mais la tranche d'âge déterminée par l'éditeur : les livres enfants/ados achetés en ligne le sont avec la CB des adultes, qui eux-même ne donnent pas forcément leur âge réel quand ils créent un compte. Néanmoins ça a au moins le mérite de montrer que la prédominance écrasante de la bit-lit chez les ados sort de ton imagination galopante.  

 
 
Borabora il va falloir que :
 
- tu redescendes. De plusieurs crans. Tout de suite. Nous avons simplement des échanges autour d'un sous-genre littéraire là.
- tu te guérisses de ton obsession malsaine pour le Figaro, pour lequel tu sembles avoir une détestation particulière.
- tu arrêtes de me prêter des intentions.  
 
Je suis là pour avoir des discussions légères et des conseils de lecture. M'inspirer de celles des autres aussi. Entre 2017 et 2023, mes messages comptent 15 occurrences du mot "bit-lit". Je pense que ça reste tolérable sur la section "Lecture" d'un forum informatique...  

Et on est passé de "les librairies en sont pleines" à un classement amazon...

 
Tu as été identifié comme de droite par un intello de gauche bon courage pour avoir une discussion constructive après ça. J'espère qu'il est plus aimable avec ses clients.
 
Sa réaction peut expliquer celle de mon libraire lorsque je lui ai demandé des livres pamphlétaires comme ceux de Philippe Muray, le type était devenu livide sans doute entendait-il déjà le bruit des bottes dans sa tête.
 

Un libraire qui devient livide parce qu'on lui demande du Philippe Muray, y'en a qui se la racontent...

Ca c'est le genre d'injonction dont je vais laisser ta destination corporelle à ta convenance.

Absolument : je chie sur les éditorialistes du Figaro, leur socio de comptoir et leur déclinisme démagogique. Comme dire "c'est horrible, les ados ne lisent plus que ça, que de la bit-lit avec des couvertures porno gay, ce sous-genre que l'on ne peut qualifier de littérature, dont les librairies sont remplies et qui donne des pulsions d'autodafés nazis".
 
Mais tu sais, je m'en fous, de la bit-lit. Je n'en ai jamais lu, n'en lirai sans doute jamais et je n'ai donc aucun avis, positif ou négatif. J'en ai même très peu vendu. Je sais juste qu'au vu des thèmes et de sa cible très formatée, ce ne sera pas ma tasse de thé. Bref, si tu veux chier dessus, vas-y, tout le monde s'en fout. Tu remarqueras que je t'ai repris uniquement sur la partie complotiste de tes harangues énervées : non, les ados ne lisent pas que de la bit-lit, ils en lisent même peu, non, les rayonnages des libraires ne sont pas noircis de bit-lit, ils en ont même très peu en rayon, non, même le classement Amazon censé démontrer l'omniprésence de la bit-lit n'en comporte quasiment pas. Du fact-checking.
 
Et toute cette discussion pour que tu te justifies de demander des conseils en bit-lit tout en chiant dessus.

Pour en revenir au thème du topic, je poursuis ma lecture des Lois de l'attraction, de Bret Easton Ellis.
 
Je ne crois pas avoir jamais lu un autre ouvrage dont le ressort essentiel et presque unique, reposait seulement sur le style de son écriture.
 
De scenario, il n'y en a pas ou peu. Disons que celui-ci est minimaliste et ne tient que par une succession de scènes qui se ressemblent à peu près toutes : des étudiants ivres, ou drogués, ou un peu de deux, qui cherchent à baiser, viennent de baiser ou cherchent à baiser après avoir baisé.
 
Des étudiants qui trompent leur ennui dans un nihilisme destructeur, - à moins que ce ne soit l'inverse - et dont l'état d'esprit de l'instant est saisi jusque dans ses confusions par un style haché et brut. Je ne sais pour l'instant ce que le roman me réserve en m'exposant ainsi ces tranches de vie prises sur le vif, mais je pense qu'il se terminera brutalement : sans plus de raisons qu'il n'avait commencé.

Je viens aussi d'achever La Guerre de Sécession, de John Keegan.
 
Un ouvrage de référence sur la question, qui n'évite pas quelques redites, mais qui a pour qualités maitresses celles d'offrir au lecteur tout à la fois une "vision d'état major" du conflit, tout en lui octroyant le loisir, de temps en temps, de descendre "à hauteur d'homme" et de voir la guerre par les yeux de ceux qui la font.  
 
Le style enlevé de son auteur n'enlève rien ni à la rigueur, ni à la nuance d'une l'analyse qui envisage toutes les dimensions du conflit. Manque simplement quelques cartes supplémentaires, qui auraient indubitablement été un plus pour ceux qui comme moi, ne seraient pas familiers de la géographie des Etats-Unis.
 

Pour rebondir sur le débat bitlit, je conseille à Critias la trilogie Vampyria de Victor Dixen : c'est le seul roman que je connaisse qui mêle vampires et école, même si dans ce cas ce n'est pas une école traditionnelle. Et Victor Dixen écrit plutôt bien.
 
Sinon, un roman de vampires que j'avais aimé : Je suis ton ombre de Morgane Caussarieu.

L'assommoir est l'un de mes Zola préféré.  
Je les ai presque tous lus.  
 
Si tu veux continuer dans le très bon, tu peux enchainer sur "La terre" (des paysans radins et gratinés), "le Ventre de Paris" (les halles comme si on y était), "Au Bonheur des Dames" (les grands magasins comme si on y était, "La bête humaine" (un crime sordide) ou "Germinal" (les mines du Nord). Bon ce dernier est tellement connu, que tu ne vas moins découvrir.  
 
Pour le truc en bleu, c'est normal car la théorie de Zola c'est que les tares héréditaires des personnages vont peser sur leur destin.   Ca revient dans les 20 romans.  

La Terre est bien mais les scènes de violences et d'agressions sexuelles, ça gonfle à un moment.

 
Ma fille qui lit très peu, ne lit que du manga et vient de se faire La servante écarlate. Ses copines sont très axées manga aussi : d'après les conseils reçus sur le topic adécouettes, c'est du très bon manga.
Bon, ça reste un sondage sur quelques personnes, mais bon

Tiens je serai curieux de lire ça. J'ai lu le roman il y a peu, j'ai plutôt apprécié.

Les japonais ont un peu ça avec la notion de karma, mais ou ce sont les tares d'une vie qui vont peser sur le destin de la réincarnation suivante, cf. par exemple La mer de la fertilité de Yukio Mishima, ou Mille ans de plaisir de Kenji Nakagami.
A+,

Bonne question, n'ayant pas lu Kyra Kyralina.  
 
Elle a 2 identités, certains l'appellent Dôra = douleur. La faute à sa maman qui l'élève seule et est très méchante. Dôra ne l'appelle jamais "maman" ou "la mère" mais "la senhora".  
 
D'autres l'appellent Doralina = bonheur.  
 
Je vais y revenir mais c'est un chef d'œuvre pour l'instant. C'est une brillante écrivaine la madame de Queiroz  

Zola a carrément tenté d'étayer sa théorie sur le plan scientifique avec Le Docteur Pascal, livre qui ferait sans aucun doute le bonheur du topic pouic de nos jours

Bah c'est la science de l'époque, plus personne ne pense ça aujourd'hui.

Les théories fumeuses sur l'hérédité peut-être, les histoires de combustion spontanée aucun scientifique sérieux ne défendait ça même à l'époque...

Et pourtant les batteurs de Spinal Tap...  

Aujourd'hui y'a des gens qui croient à l'homéopathie, la Terre Plate, et que le wifi c'est bien

Justement, c'est important de se renouveler