Le moteur claquait sauvagement dans l'air frais de ce mois de Novembre. Les immeubles alentour, de vieilles factures renvoyaient en échos les élucubrations tonitruantes de la moto. Le pilote de l'engin avançait doucement sur les pavés. Un dernier claquement, il coupa le moteur, mit la béquille et descendit du roadster. Il s'était garé juste devant un bar où il aimait venir depuis que sa femme l'avait quitté. Voici trois mois que son mariage avait pris fin. Elle s'était enfuie avec un autre. Dés lors, Greg avait quitté son emploi dans l'informatique, pour se mettre à son compte et s'était concentré sur la moto. Les mois d'automne hiver lui laissaient plus de temps libre qu'il n'aurait souhaité. Alors il partait rouler, s'arrêtant parfois en centre-ville. Notamment à ce petit bar qui faisait l'angle d'une rue piétonne. La population y était principalement composée d'originaux, d'atypiques, sûrement artistes, musiciens, pour la plupart étudiants.
La nuit tombait doucement quand il s'assit en terrasse. Il n'y avait pas de vent et l'air sec mais frais lui faisait du bien. A quelques mètres, le pot de la moto craquait encore de chaleur après les quelques heures de promenade sportive qu'il venait de faire dans les campagnes environnantes.Le patron s'était habitué à le voir passer régulièrement et lui apporta sans poser de questions sa pression habituelle. Greg avait déjà sorti un billet et le patron s'occupa lui-même de la note. Les yeux perdus dans les bulles de sa bière, Greg ruminait ses pensées tant et si bien qu'il ne perçut pas les tentatives d'une jeune femme pour attirer son attention quelques tables plus loin. C'est lorsqu'elle s'appuya contre sa table qu'il n'eut d'autres choix que de la regarder. Il connaissait cette jeune femme, Marine. Elle n'habitait d'ailleurs pas très loin. Après quelques mondanités, il l'enjoignit à le rejoindre à sa table. Il put à loisir l'observer tandis qu'elle allait chercher sa veste et son verre à sa table. Malgré le froid, elle portait une robe noire proche du corps, sans décolleté, s'arrêtant mi-cuisse; une paire de chaussures avec de légers talons en daim beige. Pas très grande et plutôt fine, sa silhouette laissait entrevoir une poitrine et des fesses qui sans être opulentes collaient très bien et en toute suffisance à sa stature plutôt fine. Elle vint s'asseoir face à lui et ils discutèrent quelques temps. Un petit nez rond encadré par deux grands yeux noirs délicatement maquillés, au milieu d'un visage qui gardait des traces du bronzage estival et quelques tâches de rousseur discrètes. Ce tableau était entouré par une chevelure imposante, châtain, parsemée de mèches blondes et reposait sur un long cou fin.
Elle s'enquit de la femme de Greg et accusa la nouvelle avec empathie. Elle saisit sa main pour témoigner de sa compassion et maintint le contact quelques instants. Le regard de Greg croisa celui de Marine et ils restèrent scotchés ainsi en silence. L'air de rien, elle déposa sa main juste à côté de celle de Greg et continua le discussion. Au fur et à mesure, elle lui changeait les idées, et ils se surprirent à rire. Elle se fendit d'un large sourire dévoilant des dents parfaitement blanches au milieu de ses lèvres délicieuses. Niveau sourire charmeur, Greg n'était pas en reste. Grand et sec, il avait un visage fin, un peu creux aux joues, ce qui faisait ressortir ses yeux sombres et ses lèvres assez fournies. Il vit le regard de Marine se poser sur ses dents, et se voiler quelques instants. Elle changea de position et ses jambes vinrent heurter les bottes de Greg. Aucun des deux ne bougea. Le motard accentua un peu le contact en glissant plus bas dans sa chaise. Une main se déposa sur son genou, qu'il sentait à peine au travers de la protection qu'il portait. Il avança sa propre main sous la table et entrelaça ses doigts avec ceux de Marine qui désormais le dévorait des yeux. Greg proposa qu'ils prennent un autre verre, mais Marine suggéra qu'ils aillent en boire une chez elle, prétextant qu'elle disposait de bouteilles artisanales plutôt intéressantes et surtout bien moins chères qu'une consommation au bar.
Ils se levèrent donc, elle enfilant sa veste en faux cuir léger, et son sac à main sur l'épaule, lui jetant sa veste en cuir sur son épaule et son casque dans l'autre main. Ils marchèrent sur la dizaine de mètres qui les séparait de l'appartement de Marine, proches l'un de l'autre au point de s'effleurer de temps en temps. Ils entrèrent dans le bâtiment, et gravirent l'escalier. Greg put apprécier les formes de Marine tandis qu'elle montait l'escalier dans cette robe qui n'en révélait pas trop, mais laissait présager des merveilles. Elle ouvrit la porte de son appartement, et ils entrèrent dans l'étroit couloir qui composait son entrée. Greg déposa casque et cuir sur le sol juste derrière la porte et ôta ses bottes sur invitation de la jeune femme tandis que celle-ci retirait ses chaussures et sa veste, l'accrochant sur un crochet au mur. Se faisant, elle se pencha doucement en avant, occupant toute la largeur du couloir. Greg venait de se redresser et ils se retrouvèrent à quelques centimètres l'un de l'autre.
Marine n'était pas très grande, à peine plus d'1m60, et faisait bien moins d'une tête que lui. Il avait toujours eu un faible pour les femmes assez petites. Son parfum vint lui caresser les narines tandis qu'elle le regardait, la tête en arrière. Doucement, il passa ses mains sur ses bras et ses épaules, et la sentit frémir à ce contact. Elle fit un pas en avant, et vint coller son bassin contre lui. Lui, passa ses mains des épaules de la douce femme à son dos et ses flancs, et enfin se pencha en avant pour joindre ses lèvres aux siennes. Elle répondit à son baiser avec une fougue impressionnante et communicatrice, tant et si bien, qu'il la coinça contre le mur opposé, libéra ses lèvres et dévora son cou. Tous deux devinrent vite fébriles, mêlant leurs lèvres et leurs langues dés que leurs bouches passaient trop proches l'une de l'autre. Greg déposa finalement sa main froide sur la cuisse de Marine et elle laissa s'échapper un soupir qui enflamma le jeune homme. Il la saisit à la taille, la souleva et la plaqua au mur en la portant contre lui. Elle s’agrippa à ses épaules, l'entourant de ses cuisses, se laissant dévorer le cou en soupirant de plus belle. Greg passait ses mains sur les cuisses de la femme tremblante, les laissant se perdre sur les fesses qui tendaient la robe. Doucement, il souleva le bas du vêtement, et libéra la jeune femme de cet étau de tissu. Poursuivant son effort, il s'appuya plus fort contre le mur pour permettre à la jeune femme de lâcher les bras, et lui ôta complétement la robe. Elle lui enleva son t-shirt dans le même mouvement. Elle portait un ensemble noir qui sans être affriolant n'en était pas moins élégant, avec quelques touches d'imitation dentelle. Les mains du jeune homme lui caressait le dos. Sa peau chaude et douce dégageait une légère odeur, certainement du karité.
La décollant du mur tout en la portant, Greg s'avança doucement dans le salon, et déposa Marine sur le canapé, sans se défaire de son étreinte.Il s'allongea sur elle, et pouvait sentir son pelvis se presser contre lui avec insistance et onduler doucement au rythme du désir qui inondait la jeune femme. Elle défit le nœud de ses jambes et Greg se décala pour se trouver légèrement à coté d'elle, toujours dévorant sa bouche et caressant ses flancs. De sa main droite, il parcourut l'intérieur de la cuisse de Marine, s'aventurant un peu plus haut à chaque caresse. Il décolla alors doucement sa main et vint l'apposer sur la culotte de la jeune femme. Elle se tendit aussitôt, et ses tremblements s'accentuèrent un peu plus lorsqu'il commença à lentement frotter le tissu. Elle redoublait de vigueur dans ses baisers, commençant même à faire sentir ses ongles sur le dos et les bras du motard. Il pouvait sentir la chaleur irradier sous ses doigts, aussi remonta-t'il un peu plus haut, fit passer ses doigts de l'autre côté du sous-vêtement et s’immisça dans cette intimité accueillante. La demoiselle était parfaitement épilée, et sa peau incroyablement douce sur ce mont de vénus. Il descendit encore un peu, effleurant la perle doucement. Marine s'arcbouta légèrement, cherchant le contact avec ces doigts taquins, mais Greg voulait faire durer le moment, et recula un peu ses doigts. La demoiselle fit la moue entre deux soupirs, mais le jeune homme continua de taquiner la zone en posant la pulpe de ses doigts sur quelques points autour. Soudain, il fondit sur la zone cruciale, glissant un doigt entre les lèvres de la jeune femme, et saluant doucement sa perle avec son pouce. Marine laissa s'échapper un petit cri de surprise, mais se laissa bien vite aller à ce toucher bienvenu. Greg commença à faire tourner son pouce lentement dans un sens, puis dans l'autre, tout en faisant glisser son majeur le long des lèvres humides qui s'offraient à lui. Marine se mordit les lèvres et commença à se tortiller sur le canapé en rythme avec les caresses de son nouvel amant. Celui-ci profita d'un moment où elle décollait son dos du fin matelas du canapé pour glisser sa main gauche vers l'attache du soutien gorge. Glissant un doigt sous l'élastique, il pinça les deux parties dans un déplacement latéral et les crochets se défirent en quelques secondes. Il dégagea sa main, et débarrassa la jeune femme de cet encombrant ustensile. Les seins de Marine firent ainsi leur présentation. Ils étaient plutôt petits mais fermes et parfaitement dessinés.
Sans cesser l'action de sa main droite, il reprit ses embrassades dans le cou de la jeune femme, s'octroyant l'autorisation et le privilège de descendre plus bas le long de la naissance de sa gorge. Sa main gauche caressait toujours doucement les flancs de Marine, et s'égara au contact du sein droit de cette dernière. Plaçant sa main droite en coupe, il engloba le fruit délicat qui s'offrait à lui. Il le massa doucement, et effleura l’aréole du bout des doigts. ils devinrent vite durs et il joua avec, redoublant d'avidité pour cette douce chair rose. Il descendit avec sa bouche, les embrassa, en prit un en bouche, le pinçant avec les lèvres et le mordillant doucement. Marine se tordait dans tous les sens sur le canapé, soupirant de plus en plus, gémissant même de temps en temps. Greg accéléra le mouvement de sa main droite, retourna embrasser la jeune femme sur les lèvres. Soudain, il fléchit son majeur, et l'infiltra d'un coup rapide dans la jeune femme. Elle planta ses ongles, sa cambra brutalement, bascula la tête en arrière en quête d'air. Le jeune homme accéléra le mouvement de son pouce, et bientôt la jeune femme se mit à trembler en poussant un léger râle qu'elle avait du mal à contenir. Elle passa quelques secondes dans cet état, puis, essoufflée, rejoignit ses lèvres à celle du motard, le serrant encore plus fort de ses petits bras. Il retira sa main droite de la culotte de Marine, lui laissant un peu de temps pour reprendre ses esprits. Elle se fendit d'un large sourire, faisant apparaitre ses superbes dents blanches, toujours essoufflée.
Elle déposa sa main chaude sur la joue de Greg, encore souriante, et l'attira vers elle pour l'embrasser avec une grande tendresse. Le jeune homme répondit avec le même entrain, et bientôt, la fougue refit son apparition chez la jeune femme.Greg entreprit de couvrir de ses lèvres le corps de son amante, descendant de la bouche au menton, au cou, à la naissance de sa gorge en passant par la fourchette sternale. De ce petit creux doux et chaud, qui renvoyait toute l'odeur délicieuse de la peau de la demoiselle, il continua sa descente, s'attardant longuement sur la poitrine de Marine et sur ces deux monticules de chair rose qui pointaient vers lui. Il les pinça doucement avec ses lèvres, les mordilla même, jouant tantôt avec sa langue pour les enrouler, tantôt de son souffle pour envoyer un coup de frais salvateur et riche en sensations pour la demoiselle, qui lentement reprenait un mouvement d'ondulation du bassin tandis que le désir grimpait en elle.Ce mouvement devait être involontaire et inconscient, mais il permettait à Greg d'interpréter les réactions de la jeune femme à ses assauts, et donc de s'attarder sur telle ou telle action apparemment riche en sensations. Il descendit encore un peu, s'attardant sur le ventre de Marine.
La douce odeur de la peau de son amante emplissait ses narines et il se délectait de ce contact chaud et doux. Il passait ses mains sur les flancs et les cuisses de sa belle, les remonta sous ses reins et souleva doucement les hanches de la demoiselle pour les décaler. Il descendit du canapé et se mit à genoux au sol proche du bord. Il fit pivoter les hanches de Marine pour qu'elles arrivent juste au bord du matelas, obligeant la jeune femme à se redresser légèrement pour s'adosser confortablement. Il reprit ses embrassades sur le ventre doux et chaud, puis profitant de la position de ses mains, il les descendit lentement le long des cuisses, entrainant dans sa course le dernier sous-vêtement restant à son amante.Il dut se décoller légèrement pour pouvoir faire passer la culotte au bout des pieds de la jeune femme, et apprécia grandement la vue qui s'offrait à lui. Marine le fixait de ses grands yeux noirs, avec un air à la fois grave et légèrement nébuleux. Sa peau légèrement dorée semblait n'appeler que lui, aussi sans la faire attendre, il revint coller ses lèvres proche du nombril. Il descendit encore un peu, se rapprochant du point névralgique qu'il avait déjà entreprit quelques minutes plus tôt. Arrivé à un ou deux centimètres de la zone, la demoiselle se tendit soudain, elle attrapa la main de Greg et serra les cuisses. Il leva les yeux pour lire une certaine angoisse et inquiétude sur le visage de Marine. Il prit sa main dans les siennes. Elle semblait si petite dans les siennes, et la porta à sa bouche. Il déposa un petit baiser sur chacun des doigts et murmura doucement :
" Ne t'inquiète pas. Je veux m'occuper de toi.
- Mais tu l'as déjà fait, haleta la jeune femme.
- Laisse moi donc t'en faire plus encore, répondit il dans un sourire qui se voulait rassurant.
- Mais... avec ce que tu m'as fait juste avant... je... j'ai... c'est tout humide !
Là était donc la source de son inquiétude.
- C'est moi qui t'ai fait ça ? J'en suis navré, laisse moi me rattraper..."
Sur ces mots, il vint déposer ses lèvres sur le haut de sa cible, qui n'était pas dissimulé par les cuisses trop légèrement serrées. A force de baisers doucement déposés, Marine finit par se détendre et relâcha la pression sur ses cuisses. Au fur et à mesure qu'elle se détendait, Greg pouvait descendre plus bas, et bientôt il jouait avec la perle de la jeune femme. Comme il l'avait fait sur les tétons plus tôt, il faisait jouer sa langue sur ce petit amas de chair érogène, tournant, appuyant, pinçant avec ses lèvres. Marine avait complétement oublié son inquiétude, et se tortillait dans tous les sens, une main dans les cheveux de Greg. Elle recommençait à serrer les cuisses mais pour une raison toute autre, et le jeune homme sentait ses oreilles écrasées contre son crâne, mais il était hors de question qu'il s'arrête dans son œuvre. Il força sur son cou pour pencher un peu sa tête et infiltrer sa langue entre les lèvres de la demoiselle, en prenant soin de soupirer un souffle chaud dans le même mouvement. Marine laissait s'échapper quelques exclamations sous les différentes actions qu'elle subissait. Greg se reconcentra sur la perle, à présent bien dure, et redoubla d'efforts. La jeune femme se mit à haleter de plus en plus vite, faisant onduler son bassin en cadence. Soudain, elle se tendit un peu plus, se mordit les lèvres et retint sa voix dans sa gorge, tandis qu'elle se concentrait à fond sur les sensations. Greg accéléra encore ses mouvements, et bientôt la main de Marine s’agrippa dans ses cheveux et ses cuisses se serrèrent tant et si bien qu'il n'entendait plus rien, et qu'il crut que son crâne allait exploser. Elle relâcha son étreinte, et le jeune homme se redressa sur ses genoux devant la jeune femme encore plus essoufflée que précédemment.
Cette fois-ci toutefois, elle ne prit pas de temps pour reprendre ses esprits. Elle s'assit sur le bord du canapé, et ordonna à Greg de se lever. avec des gestes fébriles, elle défit la ceinture du pantalon du jeune homme, le descendit sur ses chevilles et vint au travers du boxer qu'il portait, caresser son membre turgescent.Greg n'était pas doté d'un sexe d'une taille impressionnante, dans la moyenne, mais il disposait d'une belle circonférence. Après les traitements qu'il avait infligés à Marine, il tendait son sous-vêtement, et son érection en était presque douloureuse. Elle libéra bien vite, mais toujours fébrilement l'engin de son écrin de tissu, faisant descendre celui ci sur les chevilles également. Elle le prit entre ses doigts fins et sans attendre le prit en bouche. Greg frémit au contact de cette chaleur moite mais ô combien délicieuse. Un peu empressée, Marine fit quelques aller-retours mais dut bientôt se retirer. Elle n'avait pas une bouche très grande et cela faisait souffrir ses mâchoires.
Elle se mit debout et se colla contre lui, pressant son sexe contre son ventre. Il l'embrassa et la fit s'asseoir à côté de lui sur le canapé. Il en profita pour ôter complétement pantalon, boxer et chaussettes au passage. Marine poussa su le torse du motard pour qu'il s'appuyât sur le dossier, Elle l'enjamba et se jeta avec fougue sur les lèvres du jeune homme. Elle frottait son pubis sur le sexe de Greg déjà dur comme du bois, avant de s'avancer et de murmurer dans son oreille
"Je te veux, tout de suite, dans un soupir un peu tremblant.
- Je suis déjà tout à toi, répondit il, entre deux baisers."
La jeune femme passa une main entre ses cuisses, se redressa et saisit le sexe de Greg pour le guider en elle. Il vint buter sur l'entrée de son intimité, mais heureusement les deux orgasmes qu'elle avait déjà eus rendirent l'insertion des plus aisées. Autant la prise en bouche par Marine avait procuré à Greg d'agréables sensations, autant cette chaleur-ci n'avait rien à voir. Marine était presque brûlante. Elle était également relativement étroite, aussi descendit-elle très lentement le long du membre durci. Concentrée sur ses sensations, elle avait fermé les yeux, mais Greg la voyait grimacer de temps en temps quand un pli de peau se retrouvait doucement pincé. La zone devait être d'autant plus sensible suite aux deux assauts du jeune homme. Elle arriva alors à son maximum, et remonta doucement. Ce faisant, elle lubrifiait le jeune homme en elle, et put accélérer le mouvement. Greg l'attira à lui pour l'embrasser avec fougue, accompagnant son mouvement en l'aidant au niveau des hanches. Elle était vraiment très étroite et le plaisir qu'il ressentait était très important. Il se concentra pour parvenir à se contenir suffisamment longtemps. Il dut bientôt toutefois interrompre la jeune femme pour lui demander grâce, et elle se retira. Il la saisit aussitôt par les bras et la bascula sur le canapé. Elle poussa un rire face à cette attaque, et accueillit le jeune homme au dessus d'elle, refermant ses cuisses derrière lui. Greg adorait ça. Il menait les actions à présent et s'inséra lui-même dans la jeune femme. Elle était préparée et lui également, aussi put-il y aller un peu plus franchement, prenant toutefois soin de ne pas faire mal à la jeune femme en heurtant le fond de son antre d'amour. Ils ondulèrent à l'unisson dans cette position pendant quelques minutes, sentant tous deux le plaisir monter en eux et les envahir. Greg se retira alors, et recula un peu.
Marine s'assit se demandant ce qui pourrait bien l'attendre ensuite. Elle ne fut pas déçue quand le motard la saisit par les bras, et la plaqua face contre le mur, le ventre contre le dossier du canapé. Il vint se placer derrière elle, prit les seins de la jeune femme en coupe, et dévora ses trapèzes avec fougue. Elle l'aida à s'insérer en elle, et ils reprirent leurs ondulations. La différence de taille entre eux, bien qu'à genoux, était telle que Greg entrait avec un angle particulier, frottant sur la paroi antérieure de la jeune femme, résidence du mythique point G, et zone richement innervée. Dans cette position, le plaisir des deux protagonistes était décuplé et les pensées de Greg ne furent bientôt qu'un flou artistique de plaisir et de sensations délicieuses. Marine se cambra alors pour faciliter encore plus l'angle d'approche, et planta ses dents dans le dossier du canapé pour étouffer ses gémissements qui gagnaient en volume. Greg accéléra ses mouvements, une main sur les hanches de la jeune femme, l'autre entrelaçant ses doigts avec ceux de la jeune femme. Le plaisir atteint son paroxysme et Greg s'enfonça au maximum dans la jeune femme, bloqua sa respiration et laissa se déverser le fruit de son plaisir de tout son flot. Marine poussa un cri que le canapé ne parvint à étouffer complétement tandis qu'elle sentait cette délicieuse chaleur l'emplir complétement. Ils restèrent collés ainsi quelques dizaines de secondes, tous deux à bout de souffle, puis Greg se retira et s'assit lourdement sur le canapé. Marine s'agenouilla à côté de lui et l'embrassa avec entrain. Il répondit volontiers à ces témoignages de tendresse. La tension passionnelle retombait peu à peu. La jeune femme posa sa tête sur l'épaule de Greg qui la serra dans ses grands bras fins.
"Tu restes dormir avec moi ? s'enquit la jeune femme.
- Tant que tu le veux, répondit il, en déposant doucement un baiser sur le front chaud et moite de son amante."