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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°45342017
k_raf
Totally nuts!
Posté le 05-04-2016 à 06:08:25  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Et c'est pire pour le topic atelier d'écriture.

mood
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Posté le 05-04-2016 à 06:08:25  profilanswer
 

n°45342258
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 05-04-2016 à 08:12:43  profilanswer
 

j'y vais pas, c'est pour ça.

n°45420548
k_raf
Totally nuts!
Posté le 12-04-2016 à 13:38:27  profilanswer
 

Le club des lecteurs (successeur de la team alexandriz, pourvoyeur d'ebooks gratuits, mais pas toujours légaux) a lancé un concours de nouvelles.
Laquelle doit commencer par la phrase :

Citation :

Il poussa la porte, et découvrit des livres, de nombreux livres.


 
par ici

n°45564237
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 25-04-2016 à 14:06:29  profilanswer
 

Ce qui est bien, c'est qu'on peut partir sur un sujet complètement différent.
 
Genre "Il poussa la porte, et découvrit des livres, de nombreux livres. Comme ça ne l'intéressait pas, il ressortit pour aller aux putes".


---------------
Ma chaîne YouTube d'écrivain qui déchire son père en pointillés - Ma page d'écrivain qui déchire sa mère en diagonale
n°45564285
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 25-04-2016 à 14:10:49  profilanswer
 

Lompoc a écrit :

Bon courage à eux avec cette première phrase qui fait rêver :o


Certes. Mais en cherchant un peu... Spontanément, elle me fait penser à Howard Carter quand il regarde par la petite ouverture de la tombe de Toutankhamon et dit "je vois de l'or, beaucoup d'or". Du coup on pourrait penser à un archéologue qui découvre une bibliothèque borgesienne oubliée et partir de là (par exemple) [:bibliophage:1]


Message édité par biezdomny le 25-04-2016 à 14:11:09

---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°45565630
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 25-04-2016 à 15:48:22  profilanswer
 

Grenouille Bleue a écrit :

Ce qui est bien, c'est qu'on peut partir sur un sujet complètement différent.
 
Genre "Il poussa la porte, et découvrit des livres, de nombreux livres. Comme ça ne l'intéressait pas, il ressortit pour aller aux putes".


 
Il poussa la porte, et découvrit des putes, de nombreuses putes. Comme ça ne l'intéressait pas, il ressortit pour aller se livrer.

n°45576012
Merome
Chef des blorks
Posté le 26-04-2016 à 14:19:57  profilanswer
 

Il porta le livre et découvrit de nombreuses pousses.


---------------
Ceci n'est pas une démocratie
n°45979232
Le profess​eur Chaos
Posté le 05-06-2016 à 14:00:24  profilanswer
 

Bonjour bonjour,
 
j'ai écrit une petite nouvelle d'une cinquantaine de pages et j'aimerais l'envoyer par mail à des amis pour qu'ils me donnent leur avis mais avant je voulais savoir s'il existe un moyen de "protéger" mes écrits.  
Pour prouver que c'est bien moi l'auteur au cas où un esprit crapuleux tenterait de vilement s'approprier mon texte pour profiter de la gloire et de la fortune qui accompagnera inévitablement sa publication  :o

n°45979262
Chou Andy
Would you know my nem
Posté le 05-06-2016 à 14:04:09  profilanswer
 

Poste-la sur le topic, la date du post fera foi devant la justice :o
Et on témoignera pour toi s'il le faut :o

n°45981810
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 05-06-2016 à 18:30:09  profilanswer
 

Dis-donc, la gueule des bons amis !

mood
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Posté le 05-06-2016 à 18:30:09  profilanswer
 

n°46033741
sh0lio
Posté le 10-06-2016 à 10:22:26  profilanswer
 

Bonjour à tous.
Je vous partage ce petit texte, à lire pour se vider la tête et laisser voguer son imagination.
Je le mets en spoiler vu la conteneur  [:rorofox] du texte.

Spoiler :


Le moteur claquait sauvagement dans l'air frais de ce mois de Novembre. Les immeubles alentour, de vieilles factures renvoyaient en échos les élucubrations tonitruantes de la moto. Le pilote de l'engin avançait doucement sur les pavés. Un dernier claquement, il coupa le moteur, mit la béquille et descendit du roadster. Il s'était garé juste devant un bar où il aimait venir depuis que sa femme l'avait quitté. Voici trois mois que son mariage avait pris fin. Elle s'était enfuie avec un autre. Dés lors, Greg avait quitté son emploi dans l'informatique, pour se mettre à son compte et s'était concentré sur la moto. Les mois d'automne hiver lui laissaient plus de temps libre qu'il n'aurait souhaité. Alors il partait rouler, s'arrêtant parfois en centre-ville. Notamment à ce petit bar qui faisait l'angle d'une rue piétonne. La population y était principalement composée d'originaux, d'atypiques, sûrement artistes, musiciens, pour la plupart étudiants.  
 
La nuit tombait doucement quand il s'assit en terrasse. Il n'y avait pas de vent et l'air sec mais frais lui faisait du bien. A quelques mètres, le pot de la moto craquait encore de chaleur après les quelques heures de promenade sportive qu'il venait de faire dans les campagnes environnantes.Le patron s'était habitué à le voir passer régulièrement et lui apporta sans poser de questions sa pression habituelle. Greg avait déjà sorti un billet et le patron s'occupa lui-même de la note. Les yeux perdus dans les bulles de sa bière, Greg ruminait ses pensées tant et si bien qu'il ne perçut pas les tentatives d'une jeune femme pour attirer son attention quelques tables plus loin. C'est lorsqu'elle s'appuya contre sa table qu'il n'eut d'autres choix que de la regarder. Il connaissait cette jeune femme, Marine. Elle n'habitait d'ailleurs pas très loin. Après quelques mondanités, il l'enjoignit à le rejoindre à sa table. Il put à loisir l'observer tandis qu'elle allait chercher sa veste et son verre à sa table. Malgré le froid, elle portait une robe noire proche du corps, sans décolleté, s'arrêtant mi-cuisse; une paire de chaussures avec de légers talons en daim beige. Pas très grande et plutôt fine, sa silhouette laissait entrevoir une poitrine et des fesses qui sans être opulentes collaient très bien et en toute suffisance à sa stature plutôt fine. Elle vint s'asseoir face à lui et ils discutèrent quelques temps. Un petit nez rond encadré par deux grands yeux noirs délicatement maquillés, au milieu d'un visage qui gardait des traces du bronzage estival et quelques tâches de rousseur discrètes. Ce tableau était entouré par une chevelure imposante, châtain, parsemée de mèches blondes et reposait sur un long cou fin.  
 
Elle s'enquit de la femme de Greg et accusa la nouvelle avec empathie. Elle saisit sa main pour témoigner de sa compassion et maintint le contact quelques instants. Le regard de Greg croisa celui de Marine et ils restèrent scotchés ainsi en silence. L'air de rien, elle déposa sa main juste à côté de celle de Greg et continua le discussion. Au fur et à mesure, elle lui changeait les idées, et ils se surprirent à rire. Elle se fendit d'un large sourire dévoilant des dents parfaitement blanches au milieu de ses lèvres délicieuses. Niveau sourire charmeur, Greg n'était pas en reste. Grand et sec, il avait un visage fin, un peu creux aux joues, ce qui faisait ressortir ses yeux sombres et ses lèvres assez fournies. Il vit le regard de Marine se poser sur ses dents, et se voiler quelques instants. Elle changea de position et ses jambes vinrent heurter les bottes de Greg. Aucun des deux ne bougea. Le motard accentua un peu le contact en glissant plus bas dans sa chaise. Une main se déposa sur son genou, qu'il sentait à peine au travers de la protection qu'il portait. Il avança sa propre main sous la table et entrelaça ses doigts avec ceux de Marine qui désormais le dévorait des yeux. Greg proposa qu'ils prennent un autre verre, mais Marine suggéra qu'ils aillent en boire une chez elle, prétextant qu'elle disposait de bouteilles artisanales plutôt intéressantes et surtout bien moins chères qu'une consommation au bar.  
 
Ils se levèrent donc, elle enfilant sa veste en faux cuir léger, et son sac à main sur l'épaule, lui jetant sa veste en cuir sur son épaule et son casque dans l'autre main. Ils marchèrent sur la dizaine de mètres qui les séparait de l'appartement de Marine, proches l'un de l'autre au point de s'effleurer de temps en temps. Ils entrèrent dans le bâtiment, et gravirent l'escalier. Greg put apprécier les formes de Marine tandis qu'elle montait l'escalier dans cette robe qui n'en révélait pas trop, mais laissait présager des merveilles. Elle ouvrit la porte de son appartement, et ils entrèrent dans l'étroit couloir qui composait son entrée. Greg déposa casque et cuir sur le sol juste derrière la porte et ôta ses bottes sur invitation de la jeune femme tandis que celle-ci retirait ses chaussures et sa veste, l'accrochant sur un crochet au mur. Se faisant, elle se pencha doucement en avant, occupant toute la largeur du couloir. Greg venait de se redresser et ils se retrouvèrent à quelques centimètres l'un de l'autre.  
 
Marine n'était pas très grande, à peine plus d'1m60, et faisait bien moins d'une tête que lui. Il avait toujours eu un faible pour les femmes assez petites. Son parfum vint lui caresser les narines tandis qu'elle le regardait, la tête en arrière. Doucement, il passa ses mains sur ses bras et ses épaules, et la sentit frémir à ce contact. Elle fit un pas en avant, et vint coller son bassin contre lui. Lui, passa ses mains des épaules de la douce femme à son dos et ses flancs, et enfin se pencha en avant pour joindre ses lèvres aux siennes. Elle répondit à son baiser avec une fougue impressionnante et communicatrice, tant et si bien, qu'il la coinça contre le mur opposé, libéra ses lèvres et dévora son cou. Tous deux devinrent vite fébriles, mêlant leurs lèvres et leurs langues dés que leurs bouches passaient trop proches l'une de l'autre. Greg déposa finalement sa main froide sur la cuisse de Marine et elle laissa s'échapper un soupir qui enflamma le jeune homme. Il la saisit à la taille, la souleva et la plaqua au mur en la portant contre lui. Elle s’agrippa à ses épaules, l'entourant de ses cuisses, se laissant dévorer le cou en soupirant de plus belle. Greg passait ses mains sur les cuisses de la femme tremblante, les laissant se perdre sur les fesses qui tendaient la robe. Doucement, il souleva le bas du vêtement, et libéra la jeune femme de cet étau de tissu. Poursuivant son effort, il s'appuya plus fort contre le mur pour permettre à la jeune femme de lâcher les bras, et lui ôta complétement la robe. Elle lui enleva son t-shirt dans le même mouvement. Elle portait un ensemble noir qui sans être affriolant n'en était pas moins élégant, avec quelques touches d'imitation dentelle. Les mains du jeune homme lui caressait le dos. Sa peau chaude et douce dégageait une légère odeur, certainement du karité.
 
 La décollant du mur tout en la portant, Greg s'avança doucement dans le salon, et déposa Marine sur le canapé, sans se défaire de son étreinte.Il s'allongea sur elle, et pouvait sentir son pelvis se presser contre lui avec insistance et onduler doucement au rythme du désir qui inondait la jeune femme. Elle défit le nœud de ses jambes et Greg se décala pour se trouver légèrement à coté d'elle, toujours dévorant sa bouche et caressant ses flancs. De sa main droite, il parcourut l'intérieur de la cuisse de Marine, s'aventurant un peu plus haut à chaque caresse. Il décolla alors doucement sa main et vint l'apposer sur la culotte de la jeune femme. Elle se tendit aussitôt, et ses tremblements s'accentuèrent un peu plus lorsqu'il commença à lentement frotter le tissu. Elle redoublait de vigueur dans ses baisers, commençant même à faire sentir ses ongles sur le dos et les bras du motard. Il pouvait sentir la chaleur irradier sous ses doigts, aussi remonta-t'il un peu plus haut, fit passer ses doigts de l'autre côté du sous-vêtement et s’immisça dans cette intimité accueillante. La demoiselle était parfaitement épilée, et sa peau incroyablement douce sur ce mont de vénus. Il descendit encore un peu, effleurant la perle doucement. Marine s'arcbouta légèrement, cherchant le contact avec ces doigts taquins, mais Greg voulait faire durer le moment, et recula un peu ses doigts. La demoiselle fit la moue entre deux soupirs, mais le jeune homme continua de taquiner la zone en posant la pulpe de ses doigts sur quelques points autour. Soudain, il fondit sur la zone cruciale, glissant un doigt entre les lèvres de la jeune femme, et saluant doucement sa perle avec son pouce. Marine laissa s'échapper un petit cri de surprise, mais se laissa bien vite aller à ce toucher bienvenu. Greg commença à faire tourner son pouce lentement dans un sens, puis dans l'autre, tout en faisant glisser son majeur le long des lèvres humides qui s'offraient à lui. Marine se mordit les lèvres et commença à se tortiller sur le canapé en rythme avec les caresses de son nouvel amant. Celui-ci profita d'un moment où elle décollait son dos du fin matelas du canapé pour glisser sa main gauche vers l'attache du soutien gorge. Glissant un doigt sous l'élastique, il pinça les deux parties dans un déplacement latéral et les crochets se défirent en quelques secondes. Il dégagea sa main, et débarrassa la jeune femme de cet encombrant ustensile. Les seins de Marine firent ainsi leur présentation. Ils étaient plutôt petits mais fermes et parfaitement dessinés.  
 
Sans cesser l'action de sa main droite, il reprit ses embrassades dans le cou de la jeune femme, s'octroyant l'autorisation et le privilège de descendre plus bas le long de la naissance de sa gorge. Sa main gauche caressait toujours doucement les flancs de Marine, et s'égara au contact du sein droit de cette dernière. Plaçant sa main droite en coupe, il engloba le fruit délicat qui s'offrait à lui. Il le massa doucement, et effleura  l’aréole du bout des doigts. ils devinrent vite durs et il joua avec, redoublant d'avidité pour cette douce chair rose. Il descendit avec sa bouche, les embrassa, en prit un en bouche, le pinçant avec les lèvres et le mordillant doucement. Marine se tordait dans tous les sens sur le canapé, soupirant de plus en plus, gémissant même de temps en temps. Greg accéléra le mouvement de sa main droite, retourna embrasser la jeune femme sur les lèvres. Soudain, il fléchit son majeur, et l'infiltra d'un coup rapide dans la jeune femme. Elle planta ses ongles, sa cambra brutalement, bascula la tête en arrière en quête d'air. Le jeune homme accéléra le mouvement de son pouce, et bientôt la jeune femme se mit à trembler en poussant un léger râle qu'elle avait du mal à contenir. Elle passa quelques secondes dans cet état, puis, essoufflée, rejoignit ses lèvres à celle du motard, le serrant encore plus fort de ses petits bras. Il retira sa main droite de la culotte de Marine, lui laissant un peu de temps pour reprendre ses esprits. Elle se fendit d'un large sourire, faisant apparaitre ses superbes dents blanches, toujours essoufflée.  
 
Elle déposa sa main chaude sur la joue de Greg, encore souriante, et l'attira vers elle pour l'embrasser avec une grande tendresse. Le jeune homme répondit avec le même entrain, et bientôt, la fougue refit son apparition chez la jeune femme.Greg entreprit de couvrir de ses lèvres le corps de son amante, descendant de la bouche au menton, au cou, à la naissance de sa gorge en passant par la fourchette sternale. De ce petit creux doux et chaud, qui renvoyait toute l'odeur délicieuse de la peau de la demoiselle, il continua sa descente, s'attardant longuement sur la poitrine de Marine et sur ces deux monticules de chair rose qui pointaient vers lui. Il les pinça doucement avec ses lèvres, les mordilla même, jouant tantôt avec sa langue pour les enrouler, tantôt de son souffle pour envoyer un coup de frais salvateur et riche en sensations pour la demoiselle, qui lentement reprenait un mouvement d'ondulation du bassin tandis que le désir grimpait en elle.Ce mouvement devait être involontaire et inconscient, mais il permettait à Greg d'interpréter les réactions de la jeune femme à ses assauts, et donc de s'attarder sur telle ou telle action apparemment riche en sensations. Il descendit encore un peu, s'attardant sur le ventre de Marine.  
 
La douce odeur de la peau de son amante emplissait ses narines et il se délectait de ce contact chaud et doux. Il passait ses mains sur les flancs et les cuisses de sa belle, les remonta sous ses reins et souleva doucement les hanches de la demoiselle pour les décaler. Il descendit du canapé et se mit à genoux au sol proche du bord. Il fit pivoter les hanches de Marine pour qu'elles arrivent juste au bord du matelas, obligeant la jeune femme à se redresser légèrement pour s'adosser confortablement. Il reprit ses embrassades sur le ventre doux et chaud, puis profitant de la position de ses mains, il les descendit lentement le long des cuisses, entrainant dans sa course le dernier sous-vêtement restant à son amante.Il dut se décoller légèrement pour pouvoir faire passer la culotte au bout des pieds de la jeune femme, et apprécia grandement la vue qui s'offrait à lui. Marine le fixait de ses grands yeux noirs, avec un air à la fois grave et légèrement nébuleux. Sa peau légèrement dorée semblait n'appeler que lui, aussi sans la faire attendre, il revint coller ses lèvres proche du nombril. Il descendit encore un peu, se rapprochant du point névralgique qu'il avait déjà entreprit quelques minutes plus tôt. Arrivé à un ou deux centimètres de la zone, la demoiselle se tendit soudain, elle attrapa la main de Greg et serra les cuisses. Il leva les yeux pour lire une certaine angoisse et inquiétude sur le visage de Marine. Il prit sa main dans les siennes. Elle semblait si petite dans les siennes, et la porta à sa bouche. Il déposa un petit baiser sur chacun des doigts et murmura doucement :
" Ne t'inquiète pas. Je veux m'occuper de toi.
- Mais tu l'as déjà fait, haleta la jeune femme.
- Laisse moi donc t'en faire plus encore, répondit il dans un sourire qui se voulait rassurant.
- Mais... avec ce que tu m'as fait juste avant... je... j'ai... c'est tout humide !  
Là était donc la source de son inquiétude.
- C'est moi qui t'ai fait ça ? J'en suis navré, laisse moi me rattraper..."
Sur ces mots, il vint déposer ses lèvres sur le haut de sa cible, qui n'était pas dissimulé par les cuisses trop légèrement serrées. A force de baisers doucement déposés, Marine finit par se détendre et relâcha la pression sur ses cuisses. Au fur et à mesure qu'elle se détendait, Greg pouvait descendre plus bas, et bientôt il jouait avec la perle de la jeune femme. Comme il l'avait fait sur les tétons plus tôt, il faisait jouer sa langue sur ce petit amas de chair érogène, tournant, appuyant, pinçant avec ses lèvres. Marine avait complétement oublié son inquiétude, et se tortillait dans tous les sens, une main dans les cheveux de Greg. Elle recommençait à serrer les cuisses mais pour une raison toute autre, et le jeune homme sentait ses oreilles écrasées contre son crâne, mais il était hors de question qu'il s'arrête dans son œuvre. Il força sur son cou pour pencher un peu sa tête et infiltrer sa langue entre les lèvres de la demoiselle, en prenant soin de soupirer un souffle chaud dans le même mouvement. Marine laissait s'échapper quelques exclamations sous les différentes actions qu'elle subissait. Greg se reconcentra sur la perle, à présent bien dure, et redoubla d'efforts. La jeune femme se mit à haleter de plus en plus vite, faisant onduler son bassin en cadence. Soudain, elle se tendit un peu plus, se mordit les lèvres et retint sa voix dans sa gorge, tandis qu'elle se concentrait à fond sur les sensations. Greg accéléra encore ses mouvements, et bientôt la main de Marine s’agrippa dans ses cheveux et ses cuisses se serrèrent tant et si bien qu'il n'entendait plus rien, et qu'il crut que son crâne allait exploser. Elle relâcha son étreinte, et le jeune homme se redressa sur ses genoux devant la jeune femme encore plus essoufflée que précédemment.
 
Cette fois-ci toutefois, elle ne prit pas de temps pour reprendre ses esprits. Elle s'assit sur le bord du canapé, et ordonna à Greg de se lever. avec des gestes fébriles, elle défit la ceinture du pantalon du jeune homme, le descendit sur ses chevilles et vint au travers du boxer qu'il portait, caresser son membre turgescent.Greg n'était pas doté d'un sexe d'une taille impressionnante, dans la moyenne, mais il disposait d'une belle circonférence. Après les traitements qu'il avait infligés à Marine, il tendait son sous-vêtement, et son érection en était presque douloureuse. Elle libéra bien vite, mais toujours fébrilement l'engin de son écrin de tissu, faisant descendre celui ci sur les chevilles également. Elle le prit entre ses doigts fins et sans attendre le prit en bouche. Greg frémit au contact de cette chaleur moite mais ô combien délicieuse. Un peu empressée, Marine fit quelques aller-retours mais dut bientôt se retirer. Elle n'avait pas une bouche très grande et cela faisait souffrir ses mâchoires.  
 
Elle se mit debout et se colla contre lui, pressant son sexe contre son ventre. Il l'embrassa et la fit s'asseoir à côté de lui sur le canapé. Il en profita pour ôter complétement pantalon, boxer et chaussettes au passage. Marine poussa su le torse du motard pour qu'il s'appuyât sur le dossier, Elle l'enjamba et se jeta avec fougue sur les lèvres du jeune homme. Elle frottait son pubis sur le sexe de Greg déjà dur comme du bois, avant de s'avancer et de murmurer dans son oreille  
"Je te veux, tout de suite, dans un soupir un peu tremblant.
- Je suis déjà tout à toi, répondit il, entre deux baisers."
La jeune femme passa une main entre ses cuisses, se redressa et saisit le sexe de Greg pour le guider en elle. Il vint buter sur l'entrée de son intimité, mais heureusement les deux orgasmes qu'elle avait déjà eus rendirent l'insertion des plus aisées. Autant la prise en bouche par Marine avait procuré à Greg d'agréables sensations, autant cette chaleur-ci n'avait rien à voir. Marine était presque brûlante. Elle était également relativement étroite, aussi descendit-elle très lentement le long du membre durci. Concentrée sur ses sensations, elle avait fermé les yeux, mais Greg la voyait grimacer de temps en temps quand un pli de peau se retrouvait doucement pincé. La zone devait être d'autant plus sensible suite aux deux assauts du jeune homme. Elle arriva alors à son maximum, et remonta doucement. Ce faisant, elle lubrifiait le jeune homme en elle, et put accélérer le mouvement. Greg l'attira à lui pour l'embrasser avec fougue, accompagnant son mouvement en l'aidant au niveau des hanches. Elle était vraiment très étroite et le plaisir qu'il ressentait était très important. Il se concentra pour parvenir à se contenir suffisamment longtemps. Il dut bientôt toutefois interrompre la jeune femme pour lui demander grâce, et elle se retira. Il la saisit aussitôt par les bras et la bascula sur le canapé. Elle poussa un rire face à cette attaque, et accueillit le jeune homme au dessus d'elle, refermant ses cuisses derrière lui. Greg adorait ça. Il menait les actions à présent et s'inséra lui-même dans la jeune femme. Elle était préparée et lui également, aussi put-il y aller un peu plus franchement, prenant toutefois soin de ne pas faire mal à la jeune femme en heurtant le fond de son antre d'amour. Ils ondulèrent à l'unisson dans cette position pendant quelques minutes, sentant tous deux le plaisir monter en eux et les envahir. Greg se retira alors, et recula un peu.  
 
Marine s'assit se demandant ce qui pourrait bien l'attendre ensuite. Elle ne fut pas déçue quand le motard la saisit par les bras, et la plaqua face contre le mur, le ventre contre le dossier du canapé. Il vint se placer derrière elle, prit les seins de la jeune femme en coupe, et dévora ses trapèzes avec fougue. Elle l'aida à s'insérer en elle, et ils reprirent leurs ondulations. La différence de taille entre eux, bien qu'à genoux, était telle que Greg entrait avec un angle particulier, frottant sur la paroi antérieure de la jeune femme, résidence du mythique point G, et zone richement innervée. Dans cette position, le plaisir des deux protagonistes était décuplé et les pensées de Greg ne furent bientôt qu'un flou artistique de plaisir et de sensations délicieuses. Marine se cambra alors pour faciliter encore plus l'angle d'approche, et planta ses dents dans le dossier du canapé pour étouffer ses gémissements qui gagnaient en volume. Greg accéléra ses mouvements, une main sur les hanches de la jeune femme, l'autre entrelaçant ses doigts avec ceux de la jeune femme. Le plaisir atteint son paroxysme et Greg s'enfonça au maximum dans la jeune femme, bloqua sa respiration et laissa se déverser le fruit de son plaisir de tout son flot. Marine poussa un cri que le canapé ne parvint à étouffer complétement tandis qu'elle sentait cette délicieuse chaleur l'emplir complétement. Ils restèrent collés ainsi quelques dizaines de secondes, tous deux à bout de souffle, puis Greg se retira et s'assit lourdement sur le canapé. Marine s'agenouilla à côté de lui et l'embrassa avec entrain. Il répondit volontiers à ces témoignages de tendresse. La tension passionnelle retombait peu à peu. La jeune femme posa sa tête sur l'épaule de Greg qui la serra dans ses grands bras fins.
"Tu restes dormir avec moi ? s'enquit la jeune femme.
- Tant que tu le veux, répondit il, en déposant doucement un baiser sur le front chaud et moite de son amante."

Message cité 1 fois
Message édité par sh0lio le 10-06-2016 à 10:39:32
n°46033791
Chou Andy
Would you know my nem
Posté le 10-06-2016 à 10:26:18  profilanswer
 

Si tu pouvais aérer un peu :D

n°46033874
sh0lio
Posté le 10-06-2016 à 10:32:14  profilanswer
 

Je fais ça, désolé.
Copier/coller du notepad en direct.

n°46034806
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 10-06-2016 à 11:35:18  profilanswer
 

38 fois jeune
33 fois Marine
30 fois femme
20 fois était
19 fois doucement
19 fois lèvres
17 fois quelques
17 fois avait
12 fois homme
11 fois cuisse
 
Mais ouf, avec Marine le pénis se hisse :jap:

n°46037233
Merome
Chef des blorks
Posté le 10-06-2016 à 14:47:33  profilanswer
 

Je trouve que c'est toujours pareil les scènes d'amour. J'arrive pas à en écrire des originales et celle-ci ne l'est pas non plus. Trop longue aussi (la scène).


---------------
Ceci n'est pas une démocratie
n°46038579
sh0lio
Posté le 10-06-2016 à 16:18:38  profilanswer
 

:jap:
 
Merci pour les retours, bien qu'ils soient négatifs.
 
Le champ lexical, j'ai du  mal encore à chercher des synonymes dans tous les sens, sans pour autant que la tournure soit lourde et que la lecture devienne pénible. Comme j'aime écrire de façon assez descriptive pour bien cadrer mes scènes, c'est pas facile de se passer de ce genre de termes :/
 
Merome, j'ai bien noté. Je faisais un test voir si ça valait le coup que je poste mon épisode 2, voire que j'en écrive de nouveau. C'est pas facile d'avoir quelque chose d'original, parce que forcément on a tendance à rester dans un cadre normatif pour essayer de plaire à un maximum de lecteurs.
Scène trop longue... Tu veux dire que le rythme est trop lent ? ou que c'est trop descriptif et donc finalement ennuyeux ?

n°46045382
k_raf
Totally nuts!
Posté le 11-06-2016 à 06:15:46  profilanswer
 

sh0lio a écrit :

Bonjour à tous.
Je vous partage ce petit texte, à lire pour se vider la tête et laisser voguer son imagination.
Je le mets en spoiler vu la conteneur  [:rorofox] du texte.

 

Mes remarques :

 

1) "Conteneur" est masculin.
2) "Conteneur" ne désigne pas le contenu ni la teneur, mais une grosse boite généralement métallique.
3) Du coup je me suis arrêté là :o


Message édité par k_raf le 11-06-2016 à 06:17:31
n°46046139
Merome
Chef des blorks
Posté le 11-06-2016 à 11:13:52  profilanswer
 

sh0lio a écrit :

:jap:
Merome, j'ai bien noté. Je faisais un test voir si ça valait le coup que je poste mon épisode 2, voire que j'en écrive de nouveau. C'est pas facile d'avoir quelque chose d'original, parce que forcément on a tendance à rester dans un cadre normatif pour essayer de plaire à un maximum de lecteurs.
Scène trop longue... Tu veux dire que le rythme est trop lent ? ou que c'est trop descriptif et donc finalement ennuyeux ?


 
Qu'apportent les détails de la scène d'amour (genre les positions, le niveau d'humidité, la taille et la consistance de la mÿtthe dans le slip...)  dans un récit ? Qu'est-ce qui différencie cette scène de toutes les autres du même genre et qui peut nous éclairer sur la psychologie des personnages, apporter quelque chose à une histoire plus générale ?
Bon, si le but est juste de faire de l'histoire érotique, pourquoi pas. C'est ça le plan ?


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Ceci n'est pas une démocratie
n°46049795
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 11-06-2016 à 19:17:46  profilanswer
 

je crois pouvoir insister sur un truc profitable au sujet de la différence fondamentale qui existe entre stéréotype et cliché, qu'il ne faut pas confondre. Le premier est incontournable et détermine un genre, érotique ici, pourquoi pas ? c'est la forme canonique du genre, ou d'un personnage. Un bon écrivain va précisément devoir le transcender à sa sauce pour lui apporter de l'inédit, de l'originalité et surtout s'impliquer personnellement.
C'est ainsi qu'il donnera du poids à son récit en y glissant des éléments personnels et suffisamment neufs pour garder son lecteur en éveil.
En revanche, le cliché est absolument et toujours péjoratif, c'est le poncif, une forme obsolète et tarie. Le lecteur virtuel va instinctivement s'en éloigner.
La plupart des scènes de ce texte se rapprochent du cliché, avec une sécheresse émotionnelle bien embêtante pour un texte érotique ! c'est pour ça, d'après moi, qu'il est effectivement assez ennuyeux.

 


Message édité par talbazar le 11-06-2016 à 19:19:45
n°46767262
r marion
Posté le 17-08-2016 à 02:34:14  profilanswer
 

Bonjour HFR ! Voici le début d'une nouvelle de science fiction.
 

Spoiler :

Le premier voyageur du temps
 
C’est deux cannibales qui discutent, le premier dit « Je n’aime pas du tout ma belle-mère ! » et l’autre lui répond « Pas grave, mange au moins les légumes ! ».
 
Pascal éclata de rire à cette blague que venait de lui raconter sa petite sœur. Elle était beaucoup plus jeune que lui : elle avait dix-sept ans et lui vingt-neuf. Il appréciait beaucoup sa gaité et sa joie de vivre car pour lui la vie était plutôt triste : célibataire, sans emploi, pas vraiment d’activité ou de passion et il vivait toujours chez ses parents, où il eut ce soir-là le plaisir d’entendre cette bonne blague au cours du dîner.
Après le repas, il monta dans sa chambre, regarda quelques programmes idiots à la télévision et se coucha.
 
Le vacarme fût assourdissant. Plus puissant qu’un coup de tonnerre, il aurait pu se croire en pleine guerre. Et encore, une explosion d’obus à côté de son lit eut été moins violente : il avait l’impression que cette explosion avait eu lieu dans sa tête. Il voulut se lever mais se rendit compte qu’il ne pouvait pas poser ses pieds au sol. Ou plutôt si : ses pieds y étaient déjà puisqu’il ne se trouvait plus dans son lit, ni même dans sa chambre, mais nu sur un sol en verre. Froid. Eclairé de partout. Ses yeux mirent un moment à s’habituer à la lumière avant qu’il ne puisse voir où il se trouvait. Il était enfermé dans un cube de verre d’environ deux mètres de côté, au milieu de ce qui semblait être un centre commercial. Des gens passaient, encombrés de sachets aux logos de différentes marques, dont certaines lui étaient connues et d’autres non. Certaines personnes le regardaient en passant, mais la plupart ne faisait pas attention à lui et à sa nouvelle prison, comme si un homme nu dans une cage de verre au beau milieu d’un centre commercial était tout à fait banal. Il commença à se rendre compte qu’il n’était pas dans un rêve, que tout ceci était bien réel, bien qu’inexplicable. Il cachait pudiquement son entrejambe avec ses deux mains lorsqu’une femme, visiblement pressé, s’approcha de lui. Elle fit glisser une sorte de carte magnétique à proximité de l’un des murs de verre et une ouverture apparût, de la taille normale d’une porte, sans qu’il puisse comprendre où la partie de verre manquante avait disparu. La femme, d’une quarantaine d’année, habillée d’un tailleur assez classe, lui remit quelques vêtements et l’invita à la suivre. Elle prit la parole tout en l’entrainant d’un pas rapide vers un bureau situé entre deux boutiques.
- Bonjour, je suis désolé mais je n’ai pas beaucoup de temps à vous accorder, suivez-moi.
- Où suis-je ? Que se passe-t-il ? Qui êtes-vous ?

n°46768458
Merome
Chef des blorks
Posté le 17-08-2016 à 09:07:23  profilanswer
 

r marion a écrit :

Bonjour HFR ! Voici le début d'une nouvelle de science fiction.
 

Spoiler :

Le premier voyageur du temps
 
C’est deux cannibales qui discutent, le premier dit « Je n’aime pas du tout ma belle-mère ! » et l’autre lui répond « Pas grave, mange au moins les légumes ! ».
 
Pascal éclata de rire à cette blague que venait de lui raconter sa petite sœur. Elle était beaucoup plus jeune que lui : elle avait dix-sept ans et lui vingt-neuf. Il appréciait beaucoup sa gaité et sa joie de vivre car pour lui la vie était plutôt triste : célibataire, sans emploi, pas vraiment d’activité ou de passion et il vivait toujours chez ses parents, où il eut ce soir-là le plaisir d’entendre cette bonne blague au cours du dîner.
Après le repas, il monta dans sa chambre, regarda quelques programmes idiots à la télévision et se coucha.
 
Le vacarme fût assourdissant. Plus puissant qu’un coup de tonnerre, il aurait pu se croire en pleine guerre. Et encore, une explosion d’obus à côté de son lit eut été moins violente : il avait l’impression que cette explosion avait eu lieu dans sa tête. Il voulut se lever mais se rendit compte qu’il ne pouvait pas poser ses pieds au sol. Ou plutôt si : ses pieds y étaient déjà puisqu’il ne se trouvait plus dans son lit, ni même dans sa chambre, mais nu sur un sol en verre. Froid. Eclairé de partout. Ses yeux mirent un moment à s’habituer à la lumière avant qu’il ne puisse voir où il se trouvait. Il était enfermé dans un cube de verre d’environ deux mètres de côté, au milieu de ce qui semblait être un centre commercial. Des gens passaient, encombrés de sachets aux logos de différentes marques, dont certaines lui étaient connues et d’autres non. Certaines personnes le regardaient en passant, mais la plupart ne faisait pas attention à lui et à sa nouvelle prison, comme si un homme nu dans une cage de verre au beau milieu d’un centre commercial était tout à fait banal. Il commença à se rendre compte qu’il n’était pas dans un rêve, que tout ceci était bien réel, bien qu’inexplicable. Il cachait pudiquement son entrejambe avec ses deux mains lorsqu’une femme, visiblement pressé, s’approcha de lui. Elle fit glisser une sorte de carte magnétique à proximité de l’un des murs de verre et une ouverture apparût, de la taille normale d’une porte, sans qu’il puisse comprendre où la partie de verre manquante avait disparu. La femme, d’une quarantaine d’année, habillée d’un tailleur assez classe, lui remit quelques vêtements et l’invita à la suivre. Elle prit la parole tout en l’entrainant d’un pas rapide vers un bureau situé entre deux boutiques.
- Bonjour, je suis désolé mais je n’ai pas beaucoup de temps à vous accorder, suivez-moi.
- Où suis-je ? Que se passe-t-il ? Qui êtes-vous ?



 
J'ai envie de dire "bof" [:hahanawak]  


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Ceci n'est pas une démocratie
n°46769748
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 17-08-2016 à 11:13:45  profilanswer
 

La mise en spoiler, c'est quoi, un excès de pudeur, une sorte de braguette intellectuelle, pour éviter de montrer son gros texte à tout le monde ?
 
sinon bosse les temps et le style :
 
Après le repas, il monta dans sa chambre, regarda quelques programmes idiots à la télévision et se coucha = do, ré, mi fa, sol, la,la,la,la,la,la, le doigt coincé sur le piano, là, ça lasse.
 
le bureau magique situé entre deux boutiques, une MILF chez Harry Potter ?

n°46770034
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 17-08-2016 à 11:34:39  profilanswer
 

Bon j'ai la flemme de réviser :o
 
Dans l'ensemble, c'est plutôt maladroit. Il y a des soucis grammaticaux (fût, eut été), de langue (éclairé de partout) et pour le moment ce n'est pas très original, mais le plus grand problème à mon avis c'est surtout que c'est purement descriptif alors que tu as beaucoup d'autres façons moins lourdes de faire passer de l'information. Par exemple ton introduction des deux personnages est vraiment lourdingue :
 

r marion a écrit :

Pascal éclata de rire à cette blague que venait de lui raconter sa petite sœur. Elle était beaucoup plus jeune que lui : elle avait dix-sept ans et lui vingt-neuf. Il appréciait beaucoup sa gaité et sa joie de vivre car pour lui la vie était plutôt triste : célibataire, sans emploi, pas vraiment d’activité ou de passion et il vivait toujours chez ses parents, où il eut ce soir-là le plaisir d’entendre cette bonne blague au cours du dîner.


 
Il s'appelle Pascal.
Il a une sœur cadette.
Il a vingt-neuf ans, elle dix-sept.
Elle est gaie, lui non.
Il est célibataire, au chômage, chez maman.
Ils dînent.
 
J'en oublie peut-être, mais ça fait beaucoup pour trois phrases. OK une nouvelle ce n'est pas très long, mais tu devrais pouvoir passer les informations plus subtilement, les glisser au détour d'une phrase. Si ce n'est pas possible, c'est peut-être qu'elles ne sont pas indispensables. Si tu tiens à parler de sa sœur, elle peut apparaître plus tard, par exemple si ton personnage est enlevé directement, sa première pensée peut être pour elle et tu utilises ce moment d'inquiétude pour montrer à quel point ton personnage ressent le contraste entre eux et l'affection qu'il a pour elle.


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Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°46968044
MasonAge
Posté le 04-09-2016 à 07:14:28  profilanswer
 

J'étais petit, 13 ans je crois, quand ma mère a été enfermée. Elle avait fermé la porte à clé et mis le feu à la chambre où nous nous trouvions.
Des mois plus tard alors qu'elle semblait aller mieux et qu'elle avait été autorisée à participer à une sortie, elle s'est jetée du haut d'une falaise à Étretat.
 
Juste avant de sauter si j'en crois la date affichée du texto elle m'avait écrit : "IL est revenu IL est la"
C'était il y a des années, presque des siècles pour moi...
 
Comme je la comprends maintenant, le spectacle dément du monde ne m'avait pas encore appris que Tout est faux, rien n'est interdit.
 
 
Que c'est tristement drôle tous ces gens avec leurs téléphones. Ils agitent leurs bras tendus dans le vide. J'en ai questionné un il y a quelque jour, il a dit participer à un jeu et capturer des monstres invisibles sans l'appareil.
Une fois l'application éteinte ces pauvres couillons s'imaginent donc que l'air est vide à nouveau, qu'il n'y a rien autour d'eux ?
Je suis donc seul à LE sentir ?
 

Spoiler :

IL m'a montré... moi. Je ne sais pas comment...
Je lisais comme d'habitude dans mon lit et tout d'un coup j'étais... je n'étais plus moi...
Comme si un fragment de ma conscience se trouvait dans un autre être et regardait par ses yeux... moi, mon corps, allongé sur mon lit, devant moi, comme reflété par un miroir, sauf ce sentiment d'être prisonnier, enfermé avec une terrible présence qui s'amuse à me révéler son existence et ce qu'elle pourrait me faire, sans que je ne puisse l'en empêcher.
J'ai vu, de cette façon extérieure et impuissante, la bougie comme poussée vers les nombreuses pages éparpillées sur le lit. Terrifié, je voulais hurler et agir à empêcher cet acte malveillant.
 
 
La vision s'est dissipée, j'ai juste eu le temps de voir une ombre blanche disparaître, une sorte de...
 
forme à travers laquelle la lumière passe mais affaiblie, donnant ainsi aux objets des teintes pâles.


Ce souvenir est si réaliste que je me demande si c'est vraiment arrivé.
 
Depuis ce moment je L'attends, je sais qu'IL va revenir.
 
Je reste, seul, enfermé dans ma chambre devant un miroir, je n'ai pas dormi.
Des heures, des jours, peut-être des semaines depuis que j'attends, et maintenant des sons me parviennent, je commence à voir des images... C'est LUI... non je ne veux pas... IL dit...
Son nom, je crois, il me semble, non je ne veux pas...
 
L'ai je tué ? Non ! Non !
IL est toujours là, je ressens son existence...
IL n'est pas mort ? Non... non...
IL est revenu IL est la

n°47465688
yustone
Posté le 21-10-2016 à 12:00:31  profilanswer
 

Alors, pour ma part, j'ai décider de me lancer dans l'écriture d'un roman. je suis d'accord, ce sera un ouvrage qui me prendra beaucoup de temps... Mais... Je souhaiterais avoir quelques avis extérieurs. Voilà !  
 
PS ; c'est un extrait de ce que je suis en train d'écrire, c'est a dire, de la Science-Fiction.
 
Enyzo ne parvenait pas à se relever, une douleur lui tiraillait les côtes, ainsi que ses tempes. Il était à peine conscient, et son compagnon de cellules ne faisait rien pour l'aider. Au bout d'un certain moment, Enyzo put enfin se redresser sur ses coudes. Sa vue était brouillée, floue, et il avait l'étrange impression qu'une étreinte enserrait son estomac. Tout en s'appuyant contre la porte métallique de la cellule, Enyzo parvint à se remettre sur pied. Il fit un pas et manqua de s'écrouler sur le béton qui recouvrait les parois, le plafond et le sol de cette petite pièce exigüe. Un bras le retint, et le ramena dans un recoin de la cellule où ce trouvait une étroite plaque métallique fixée au mur, juste sous la petite meurtrière dotée d'épais barreaux d'acier. Enyzo, trop épuisé, tarda a comprendre que cet étrange personnage tentait, tant bien que mal, de l'aider. Enyzo sentit l'étreinte se resserrer autour de son estomac. Il bascula en avant, et il manqua pour la seconde fois de se vautrer. Et encore une fois, une puissante main le retint. Enyzo poussa un gémissement et restitua le contenu de son estomac sur le sol froid et rugueux. Juste après s'être appuyé contre le mur, il se sentit presque mieux. La vue d'Enyzo était toujours embuée, et les bruits qui l'entourait semblaient lointains et étouffés. Malgré cela, il réussit à articuler quelque chose d'intelligible ;
-Je... Où suis-je ?
Une voix grave, qui résonnait, lui répondit ;
-En cellule, dans une prison sans grande importance.
-Et vous... vous êtes qui ?
-Un prisonnier, tout comme vous. Mais, au moins, les gardes n'ont pas passés leur colère sur moi... L'homme termina sa phrase, avec un soupçon d'ironie dans la voix.  
Enyzo commença a percevoir plus distinctement les bruits qui l'entourait, et la voix de son bienfaiteur cessa de résonner.
-Bon, dit l'homme, reposer vous encore un peu, et seulement après, je répondrais à vos dernières questions.
Enyzo, quand à lui, terrasser par la fatigue, s'était déjà endormit, la tête appuyée sur le mur.

Message cité 2 fois
Message édité par yustone le 21-10-2016 à 12:08:44
n°47465865
k_raf
Totally nuts!
Posté le 21-10-2016 à 12:17:22  profilanswer
 

yustone a écrit :

Alors, pour ma part, j'ai décider de me lancer dans l'écriture d'un roman. je suis d'accord, ce sera un ouvrage qui me prendra beaucoup de temps... Mais... Je souhaiterais avoir quelques avis extérieurs. Voilà !  
 
PS ; c'est un extrait de ce que je suis en train d'écrire, c'est a dire, de la Science-Fiction.
 
Enyzo ne parvenait pas à se relever, une douleur lui tiraillait les côtes, ainsi que ses tempes. Il était à peine conscient, et son compagnon de cellules ne faisait rien pour l'aider. Au bout d'un certain moment, Enyzo put enfin se redresser sur ses coudes. Sa vue était brouillée, floue, et il avait l'étrange impression qu'une étreinte enserrait son estomac. Tout en s'appuyant contre la porte métallique de la cellule, Enyzo parvint à se remettre sur pied. Il fit un pas et manqua de s'écrouler sur le béton qui recouvrait les parois, le plafond et le sol de cette petite pièce exigüe. Un bras le retint, et le ramena dans un recoin de la cellule où ce trouvait une étroite plaque métallique fixée au mur, juste sous la petite meurtrière dotée d'épais barreaux d'acier. Enyzo, trop épuisé, tarda a comprendre que son étrange personnage tentait, tant bien que mal, de l'aider. Enyzo sentit l'étreinte se resserrer autour de son estomac. Il bascula en avant, et il manqua pour la seconde fois de se vautrer. Et encore une fois, une puissante main le retint. Enyzo poussa un gémissement et restitua le contenu de son estomac sur le sol froid. Juste après s'être appuyé contre le mur, il se sentit presque mieux. La vue d'Enyzo était toujours embuée, et les bruits qui l'entourait semblaient lointains et étouffés. Malgré cela, il réussit à articuler quelque chose d'intelligible ;
-Je... Où suis-je ?
Une voix grave, qui résonnait, lui répondit ;
-En cellule, dans une prison sans grande importance.
-Et vous... vous êtes qui ?
-Un prisonnier, tout comme vous. Mais, au moins, les gardes n'ont pas passés leur colère sur moi... L'homme termina sa phrase, avec un soupçon d'ironie dans la voix.  
Enyzo commença a percevoir plus distinctement les bruits qui l'entourait, et la voix de son bienfaiteur cessa de résonner.
-Bon, dit l'homme, reposer vous encore un peu, et seulement après, je répondrais à vos dernières questions.
Enyzo, quand à lui, terrasser par la fatigue, s'était déjà endormit, la tête appuyée sur le mur.


 
Je ne parle pas du fond du texte, car la science-fiction n'est vraiment pas ma tasse de thé et j'ai l'impression que ceux qui veulent se lancer le font tous dans ce style (difficile du coup de ne pas faire dans le vu et revu). Mais le texte lui-même comporte trop de fautes, c'est un vrai frein à la lecture et ça sous-entend que tu ne t'es pas relu...
Plus le "vautrer" qui ne me dérangerait pas si l'ensemble du texte était dans le même registre, mais qui là est un peu trop isolé.

n°47467137
yustone
Posté le 21-10-2016 à 14:04:27  profilanswer
 

Oui, je suis d'accord. je ne me suis pas relu, c'est vrai, et c'est ce qui m'a empêcher de corriger mes quelques fautes... (Souvent des fautes d'inattention, ça marche comme çà pour moi...)
Après, j'avoue que le "vautrer" s'est placé là pour la simple raison que je trouvais pas d'autres mots sur coup !  
Bon, et bien... Merci pour cet avis !    
Truc à retenir ; se relire impérativement !

n°47467179
yustone
Posté le 21-10-2016 à 14:06:58  profilanswer
 

k_raf a écrit :


 
Je ne parle pas du fond du texte, car la science-fiction n'est vraiment pas ma tasse de thé et j'ai l'impression que ceux qui veulent se lancer le font tous dans ce style (difficile du coup de ne pas faire dans le vu et revu). Mais le texte lui-même comporte trop de fautes, c'est un vrai frein à la lecture et ça sous-entend que tu ne t'es pas relu...
Plus le "vautrer" qui ne me dérangerait pas si l'ensemble du texte était dans le même registre, mais qui là est un peu trop isolé.


 
Hum... Je voudrais avoir un avis concret sur les tournures de phrases et le style d'écriture ! Ce serait possible ?

n°47467708
CyrilleTel​mer
magical négro
Posté le 21-10-2016 à 14:40:03  profilanswer
 

yustone a écrit :

Alors, pour ma part, j'ai décider de me lancer dans l'écriture d'un roman. je suis d'accord, ce sera un ouvrage qui me prendra beaucoup de temps... Mais... Je souhaiterais avoir quelques avis extérieurs. Voilà !  
 
PS ; c'est un extrait de ce que je suis en train d'écrire, c'est a dire, de la Science-Fiction.
 
...


Outre l'orthographe, je n'aime pas le rythme et le style.
Je vois souvent ça dans les textes sur internet, cet espèce d'enchaînement de phrases avec a peu près la même structure, la même longueur et la même fonction. En général, ce sont des phrases de descriptions du style "machin faisait X". C'est visible dès le début:

Citation :


Enyzo ne parvenait pas à se relever, une douleur lui tiraillait les côtes, ainsi que ses tempes.
 Il était à peine conscient, et son compagnon de cellules ne faisait rien pour l'aider.  
Au bout d'un certain moment, Enyzo put enfin se redresser sur ses coudes.


Ca fait très: gnagnagnagna point. gnagnagnagna point. gnagnagnagna point. Et ainsi de suite. Ca fait une espèce de rythme que je trouve très désagréable.
En général, je pense qu'il vaut mieux varier. Moi j'aurais entamé avec un truc du style (c'est du bullshit hein? c'est pour illustrer l'idée)
 
Pour avoir le privilège de croupir dans la cellule la plus sordide de Blabla-Merogis, Enyzo avait du blabliblater un blablabla. [long]
Crime insolite. [court]
Cette vicieuse douleur, qui se chargeait de le maintenir assez conscient pour qu'il puisse la savourer, lui martelait le flanc droit, ainsi que blablablba.. [long]
Sous le regard indifférent de son compagnon de cellule, l'homme parvint finalement à se redresser. [moyen]
 


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Test scientifique de prédiction de miss france 2023 @HFR
n°47467874
yustone
Posté le 21-10-2016 à 14:49:17  profilanswer
 

CyrilleTelmer a écrit :


Outre l'orthographe, je n'aime pas le rythme et le style.
Je vois souvent ça dans les textes sur internet, cet espèce d'enchaînement de phrases avec a peu près la même structure, la même longueur et la même fonction. En général, ce sont des phrases de descriptions du style "machin faisait X". C'est visible dès le début:

Citation :


Enyzo ne parvenait pas à se relever, une douleur lui tiraillait les côtes, ainsi que ses tempes.
 Il était à peine conscient, et son compagnon de cellules ne faisait rien pour l'aider.  
Au bout d'un certain moment, Enyzo put enfin se redresser sur ses coudes.


Ca fait très: gnagnagnagna point. gnagnagnagna point. gnagnagnagna point. Et ainsi de suite. Ca fait une espèce de rythme que je trouve très désagréable.
En général, je pense qu'il vaut mieux varier. Moi j'aurais entamé avec un truc du style (c'est du bullshit hein? c'est pour illustrer l'idée)
 
Pour avoir le privilège de croupir dans la cellule la plus sordide de Blabla-Merogis, Enyzo avait du blabliblater un blablabla. [long]
Crime insolite. [court]
Cette vicieuse douleur, qui se chargeait de le maintenir assez conscient pour qu'il puisse la savourer, lui martelait le flanc droit, ainsi que blablablba.. [long]
Sous le regard indifférent de son compagnon de cellule, l'homme parvint finalement à se redresser. [moyen]
 


Bon et bien, merci. Ça m'apprendra à faire des phrases trop.... direct. Il faut tourner autour du pot, c'est ça ?

n°47467884
Chou Andy
Would you know my nem
Posté le 21-10-2016 à 14:49:58  profilanswer
 

Débarquement de Grenouille Bleue dans 3, 2, 1... :o

n°47467921
k_raf
Totally nuts!
Posté le 21-10-2016 à 14:51:40  profilanswer
 

yustone a écrit :

Oui, je suis d'accord. je ne me suis pas relu, c'est vrai, et c'est ce qui m'a empêcher de corriger mes quelques fautes... (Souvent des fautes d'inattention, ça marche comme çà pour moi...)
Après, j'avoue que le "vautrer" s'est placé là pour la simple raison que je trouvais pas d'autres mots sur coup !  
Bon, et bien... Merci pour cet avis !    
Truc à retenir ; se relire impérativement !


C'est un vrai problème car la relecture ne sert pas qu'à éliminer les fautes. C'est aussi l'occasion d'homogénéiser le texte, supprimer les répétitions, reformuler certains passages, etc...

n°47468145
CyrilleTel​mer
magical négro
Posté le 21-10-2016 à 15:04:04  profilanswer
 

yustone a écrit :


Bon et bien, merci. Ça m'apprendra à faire des phrases trop.... direct. Il faut tourner autour du pot, c'est ça ?


Pour moi, oui.
Avant même que le lecteur soit en position de pouvoir juger le scénario (ce qui n'arrivera qu'après qu'il ait pas mal avancé), il faut l'avoir séduit avec ta façon d'écrire. Ou au moins pas rebuté. Donc je pense qu'on ne peut pas se contenter de dire ce qui se passe sans aucune fioriture.


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Test scientifique de prédiction de miss france 2023 @HFR
n°47468217
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 21-10-2016 à 15:07:36  profilanswer
 

C'est pas une question de fioritures, c'est d'abord une question de rythme. Prenons un écrivain chiant, à savoir Marguerite Duras :  
 

Citation :


Des années après la guerre, après les mariages, les enfants, les divorces, les livres, il était venu à Paris avec sa femme. Il lui avait téléphoné. C'est moi. Elle l'avait reconnu dès la voix. Il avait dit: je voulais seulement entendre votre voix. Elle avait dit: c'est moi, bonjour. Il était intimidé, il avait peur comme avant. Sa voix tremblait tout à coup.


 
C'est sans fioritures et c'est déjà bien plus rythmé [:cosmoschtroumpf]


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Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°47469030
yustone
Posté le 21-10-2016 à 16:05:01  profilanswer
 

CyrilleTelmer a écrit :


Pour moi, oui.
Avant même que le lecteur soit en position de pouvoir juger le scénario (ce qui n'arrivera qu'après qu'il ait pas mal avancé), il faut l'avoir séduit avec ta façon d'écrire. Ou au moins pas rebuté. Donc je pense qu'on ne peut pas se contenter de dire ce qui se passe sans aucune fioriture.


 Bon, bon, bon... Après maints relectures et transformations, je pense peut-être avoir fournit un texte potable !
 
Enyzo ne parvenait pas à se relever, une douleur lui tiraillait les côtes, ainsi que ses tempes. Il était à peine conscient, et il se tortillait en gémissant sous le regard indifférent de son compagnon de cellule. Au bout d'un certain moment, il se redressa sur ses coudes, haletant, et il fût ébloui par une pâle lumière blanche provenant d'une petite meurtrière incrustée dans le mur. Sa vue était brouillée, floue, et il avait l'étrange impression qu'une étreinte enserrait son estomac, aux haut-le-cœur se succédaient des élancements de douleur. Tout en s'appuyant contre la porte métallique de sa cellule, Enyzo parvint à se remettre sur pied. Il fit un pas en avant et manqua de s'écrouler sur le béton qui recouvrait les parois, le plafond et le sol de cette petite pièce exigüe. Un bras le retint, et le ramena dans un recoin de la cellule où se trouvait une étroite plaque métallique fixée au mur, juste sous la petite meurtrière qui laissait entrevoir un ciel d'azur, pâle et froid. Enyzo, trop épuisé, tarda a comprendre qu'un étrange personnage tentait, tant bien que mal, de l'aider. Enyzo sentit alors l'étreinte se resserrer autour de son estomac. Le regard dans le vide, il réprima un haut-le-cœur, mais malgré cela, il se plia en deux et une puissante main le retint juste avant qu'il ne restitue le contenu de son estomac sur le sol rugueux. Après s'être appuyé contre le mur, il se sentit presque  
mieux ; cette douleur qui l'avait malmené n'était plus présente, mais il se sentait abattu. La vue d'Enyzo était toujours embuée, et les bruits qui l'entourait semblaient lointains et étouffés. A chaque battements de son cœur, à chaque flots de sang glissant dans ses veines, Enyzo se sentait près à s'évanouir.  
Malgré cela, il réussit à articuler quelque chose d'intelligible ;  
-Je... Où suis-je ?  
Une voix grave, qui résonnait, lui répondit ;  
-En cellule, dans une prison sans grande importance.  
-Et vous... vous êtes qui ?  
-Un prisonnier, tout comme vous. Mais, au moins, les gardes n'ont pas passé leur colère sur moi... L'homme termina sa phrase, avec un soupçon d'ironie dans la voix.  
Le silence se fit. Enyzo sentit quelques volutes d'une fraîche brume matinale lui lécher doucement la peau. C’était un bienfait, car ses cheveux étaient plaqué sur sont front par la sueur, la fièvre ne l'avait quitté que peu de temps auparavant. Enyzo farfouilla un instant dans l'une des poches de sa veste, il en sortit une gélule transparente contenant quelque gramme d'une étrange poudre blanche. Sans aucunes formalités, il l'avala. Il sentit la gélule couler lentement en obstruant sa gorge.
-Bon, dit l'homme après un court soupir, reposer vous encore un peu, et seulement après, je répondrais à vos dernières questions.  
Enyzo, quant à lui, terrassé par la fatigue et accompagné par les quelques grammes de drogue, s'était déjà endormi, la tête appuyée sur le mur et une cicatrice sur les côtes en guise de souvenir de la part des gardes.
 
Il peut sans doute rester quelques fautes d'orthographe et de grammaire, j'en suis désolé...

Message cité 3 fois
Message édité par yustone le 21-10-2016 à 16:08:32
n°47469428
Chou Andy
Would you know my nem
Posté le 21-10-2016 à 16:35:57  profilanswer
 

Je vais peut-être être un peu élitiste, mais regarde tes 4 premières phrases : ce sont les mêmes...
 
Action
virgule
précision plus ou moins intéressante
virgule
"et"
deuxième action qui se trouve être fade par rapport à la première action de la phrase
 
Résultat, des phrases mollassonnes qui ne retombent pas, à la construction cheap qui te fait galérer avec les pronoms (Enyzo il il il il il Enyzo il il Enyzo Enyzo il Enyzo).

n°47469658
yustone
Posté le 21-10-2016 à 16:52:42  profilanswer
 

Chou Andy a écrit :

Je vais peut-être être un peu élitiste, mais regarde tes 4 premières phrases : ce sont les mêmes...
 
Action
virgule
précision plus ou moins intéressante
virgule
"et"
deuxième action qui se trouve être fade par rapport à la première action de la phrase
 
Résultat, des phrases mollassonnes qui ne retombent pas, à la construction cheap qui te fait galérer avec les pronoms (Enyzo il il il il il Enyzo il il Enyzo Enyzo il Enyzo).


 Bon.... Et la suite du texte ? Est-elle tout aussi mollassonne ?
En tout cas, merci pour cet aide !

n°47470147
Profil sup​primé
Posté le 21-10-2016 à 17:35:47  answer
 

yustone a écrit :


 Bon, bon, bon... Après maints relectures et transformations, je pense peut-être avoir fournit un texte potable !
 
Enyzo ne parvenait pas à se relever, une douleur lui tiraillait les côtes, ainsi que ses tempes. Il était à peine conscient, et il se tortillait en gémissant sous le regard indifférent de son compagnon de cellule. Au bout d'un certain moment, il se redressa sur ses coudes, haletant, et il fût ébloui par une pâle lumière blanche provenant d'une petite meurtrière incrustée dans le mur. Sa vue était brouillée, floue, et il avait l'étrange impression qu'une étreinte enserrait son estomac, aux haut-le-cœur se succédaient des élancements de douleur. Tout en s'appuyant contre la porte métallique de sa cellule, Enyzo parvint à se remettre sur pied. Il fit un pas en avant et manqua de s'écrouler sur le béton qui recouvrait les parois, le plafond et le sol de cette petite pièce exigüe. Un bras le retint, et le ramena dans un recoin de la cellule où se trouvait une étroite plaque métallique fixée au mur, juste sous la petite meurtrière qui laissait entrevoir un ciel d'azur, pâle et froid. Enyzo, trop épuisé, tarda a comprendre qu'un étrange personnage tentait, tant bien que mal, de l'aider. Enyzo sentit alors l'étreinte se resserrer autour de son estomac. Le regard dans le vide, il réprima un haut-le-cœur, mais malgré cela, il se plia en deux et une puissante main le retint juste avant qu'il ne restitue le contenu de son estomac sur le sol rugueux. Après s'être appuyé contre le mur, il se sentit presque  
mieux ; cette douleur qui l'avait malmené n'était plus présente, mais il se sentait abattu. La vue d'Enyzo était toujours embuée, et les bruits qui l'entourait semblaient lointains et étouffés. A chaque battements de son cœur, à chaque flots de sang glissant dans ses veines, Enyzo se sentait près à s'évanouir.  
Malgré cela, il réussit à articuler quelque chose d'intelligible ;  
-Je... Où suis-je ?  
Une voix grave, qui résonnait, lui répondit ;  
-En cellule, dans une prison sans grande importance.  
-Et vous... vous êtes qui ?  
-Un prisonnier, tout comme vous. Mais, au moins, les gardes n'ont pas passé leur colère sur moi... L'homme termina sa phrase, avec un soupçon d'ironie dans la voix.  
Le silence se fit. Enyzo sentit quelques volutes d'une fraîche brume matinale lui lécher doucement la peau. C’était un bienfait, car ses cheveux étaient plaqué sur sont front par la sueur, la fièvre ne l'avait quitté que peu de temps auparavant. Enyzo farfouilla un instant dans l'une des poches de sa veste, il en sortit une gélule transparente contenant quelque gramme d'une étrange poudre blanche. Sans aucunes formalités, il l'avala. Il sentit la gélule couler lentement en obstruant sa gorge.
-Bon, dit l'homme après un court soupir, reposer vous encore un peu, et seulement après, je répondrais à vos dernières questions.  
Enyzo, quant à lui, terrassé par la fatigue et accompagné par les quelques grammes de drogue, s'était déjà endormi, la tête appuyée sur le mur et une cicatrice sur les côtes en guise de souvenir de la part des gardes.
 
Il peut sans doute rester quelques fautes d'orthographe et de grammaire, j'en suis désolé...


bon, voila comment je transformerai à peu près ton texte. Sachant que je ne suis pas écrivain pro, pas encore. (finger crossed.)
 

Citation :

Enzo ne parvenait pas à se relever. Une douleur lui tiraillait les côtes, ainsi que ses tempes. Il était à peine conscient et se tortillait en gémissant sous le regard indifférent de son compagnon de cellule. Au bout d'un moment, il se redressa, haletant, et fût ébloui par une pâle lumière blanche provenant d'une petite meurtrière incrustée dans le mur.


 
Peu de changements ici. J'ai créé des phrases plus courtes et enlevé des pronoms.
 

Citation :

Sa vue était brouillée. Il avait l'étrange impression qu'une étreinte enserrait son estomac, aux haut-le-cœur se succédaient des élancements de douleur.


 
Une etreinte qui enserre l'estomac ? J'ai jamais entendu, personnellement. Déjà une étreinte qui enserre, c'est un pléonasme redondant. Et est ce qu'il est possible d'enserrer ses tempes ? Encore une fois, ca me semble bizarre. Enfin, est ce qu'on peut avoir l'étrange impression d'avoir l'estomac noué ? Non. Tu l'as ou tu l'as pas. Mon conseil : simplifie. Du genre, il avait l'estomac noué, le gout de la bile encore présent sur ses gencives (si tu veux décrire une sensation de maladie.) Sa tête martelant une migraine au rythme de ses battements cardiaques. Tout était flou.
 

Citation :

Tout en s'appuyant contre la porte métallique de sa cellule, Enzo parvint à se remettre sur pied. Il fit un pas en avant et manqua de s'écrouler sur le béton qui recouvrait les parois, le plafond et le sol de cette petite pièce exigüe.


Je pensais qu'il était dans son lit mais je comprends qu'il est sur le sol en fait, non ?
y'a encore de la redondance sur l'histoire du béton : on se doute bien qu'il y a un sol, des murs et un plafond s'il se trouve en prison. De même que le lieu est exigu. Demande toi pourquoi tu veux dire cela. Qu'elle est l'idée que tu veux véhiculer ici ?

n°47470750
yustone
Posté le 21-10-2016 à 18:41:48  profilanswer
 


 
En réalité, je veux faire passer l'idée que la cellule est entièrement faite en béton, dans le sens où il n'y a QUE du béton. Les murs sont nu et froid. En clair, la cellule n'est pas confortable. Ensuite, je parlais seulement de l'estomac et( en simplifiant) Enyzo a la sensation qu'une paire de mains lui a attrapé l'estomac ! Voilà ! Merci pour cet aide !

n°47473471
BoraBora
Dilettante
Posté le 21-10-2016 à 23:17:37  profilanswer
 

yustone a écrit :


 Bon, bon, bon... Après maints relectures et transformations, je pense peut-être avoir fournit un texte potable !
 
Il peut sans doute rester quelques fautes d'orthographe et de grammaire, j'en suis désolé...


Une bonne solution pour ne pas être désolé : les corriger avant de poster. Il y en a au moins une par phrase, quand ce n'est pas deux ou trois. C'est un roman, tu pars pour un an de travail quotidien à raison d'au moins une à deux heures par jour si tu veux arriver à quelque chose d'à peu près lisible. Tu n'es pas à 3 minutes près. [:spamafoote]  
 
Si tu veux faire "direct", évite les redondances, les répétitions, les descriptions inutiles. Ce passage, par exemple :

Citation :

-Un prisonnier, tout comme vous. Mais, au moins, les gardes n'ont pas passé leur colère sur moi... L'homme termina sa phrase, avec un soupçon d'ironie dans la voix.  
Le silence se fit. Enyzo sentit quelques volutes d'une fraîche brume matinale lui lécher doucement la peau.


Si tu as terminé la phrase, inutile de préciser que le personnage a terminé sa phrase. Et l'ironie doit ressortir du dialogue. "Le silence se fit" suivi du matin indique j'imagine qu'Enyzo est tombé dans les pommes ou s'est endormi. En ce cas, "le silence se fit" n'a pas de sens (outre que l'expression est pompeuse). Quand tu t'endors, tu n'as pas conscience que le "silence se fait". Quant à la phrase sur la fraîche brume matinale dont les volutes viennent lui lécher doucement la peau, c'est cucu au possible.

Citation :

Malgré cela, il réussit à articuler quelque chose d'intelligible ;  
-Je... Où suis-je ?


Même chose pour les redondances : puisque tu écris ce qu'il articule, et que le lecteur peut constater que c'est intelligible, il est inutile de préciser "quelque chose d'intelligible". Contrairement à ce que tu as compris plus haut, tu n'es pas trop direct, tu tournes justement trop autour du pot, pour reprendre ton expression.
 
Tu ne postes pas au fur et à mesure que tu écris, au moins ?  :heink:


---------------
Qui peut le moins peut le moins.
n°47474681
yustone
Posté le 22-10-2016 à 10:16:52  profilanswer
 

BoraBora a écrit :


Une bonne solution pour ne pas être désolé : les corriger avant de poster. Il y en a au moins une par phrase, quand ce n'est pas deux ou trois. C'est un roman, tu pars pour un an de travail quotidien à raison d'au moins une à deux heures par jour si tu veux arriver à quelque chose d'à peu près lisible. Tu n'es pas à 3 minutes près. [:spamafoote]  
 
Si tu veux faire "direct", évite les redondances, les répétitions, les descriptions inutiles. Ce passage, par exemple :

Citation :

-Un prisonnier, tout comme vous. Mais, au moins, les gardes n'ont pas passé leur colère sur moi... L'homme termina sa phrase, avec un soupçon d'ironie dans la voix.  
Le silence se fit. Enyzo sentit quelques volutes d'une fraîche brume matinale lui lécher doucement la peau.


Si tu as terminé la phrase, inutile de préciser que le personnage a terminé sa phrase. Et l'ironie doit ressortir du dialogue. "Le silence se fit" suivi du matin indique j'imagine qu'Enyzo est tombé dans les pommes ou s'est endormi. En ce cas, "le silence se fit" n'a pas de sens (outre que l'expression est pompeuse). Quand tu t'endors, tu n'as pas conscience que le "silence se fait". Quant à la phrase sur la fraîche brume matinale dont les volutes viennent lui lécher doucement la peau, c'est cucu au possible.

Citation :

Malgré cela, il réussit à articuler quelque chose d'intelligible ;  
-Je... Où suis-je ?


Même chose pour les redondances : puisque tu écris ce qu'il articule, et que le lecteur peut constater que c'est intelligible, il est inutile de préciser "quelque chose d'intelligible". Contrairement à ce que tu as compris plus haut, tu n'es pas trop direct, tu tournes justement trop autour du pot, pour reprendre ton expression.
 
Tu ne postes pas au fur et à mesure que tu écris, au moins ?  :heink:


Déjà de un, je ne cherche pas à faire direct, si je tourne autour du pot, c'est normal. Ça permet de contraster avec les moments "rapides".
Ensuite, je ne sais pas si tu a lu mon texte jusqu'au bout, mais... il ne s'est pas endormi, juste après il cherche quelque chose dans une de ses poches ! Tu ne va pas me dire qu'il est somnambule !  
Et aussi, "le silence se fit", et bien... c'est le silence, tout simplement ! Après, j'aurais pu, par exemple, rajouter deux ou trois indications comme :

Citation :

Le silence se fit, seulement troublé par les halètements d'Enyzo, il sentit blablablabla... lui effleurer* blablablabla...


Et non, je ne poste pas au fur et a mesure que j'écris.
Mais toi, si tu te trouve sur ce forum, c'est que tu écris, non ? Tu devrais savoir que chacun a sont style d'écriture différent.
Merci pour cette aide.

Message cité 1 fois
Message édité par yustone le 22-10-2016 à 12:24:16
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