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Document : Saddam Hussein refuse de se rendre hors de l'Irak. Le magazine égyptien édite la transcription de la rencontre en prison entre Saddam Hussein et Donald Rumsfeld. Le magazine égyptien "Al-Usbu" du lundi 20 mai 2005, édite ce qu'il a indiqué être le texte d'une conversation entre le secrétaire américain de la défense, Donald Rumsfeld, et le président irakien : Saddam Hussein. Lors d'une rencontre durant le dernier voyage à Bagdad. Pendant lequel il a rendu visite au chef irakien emprisonné. Al-Usbu, signale que les sources politiques au courant de l'évenement avaient révélé les détails de la réunion. Al-Usbu, signale que la réunion a eu lieu après une escalade des attaques de la résistance irakienne contre des forces américaines et leurs alliés en Irak. Les sources ont indiquées que les américains avaient eu plus de 1.600 hommes tués ou bléssés durant les trois derniers mois. Seul un nombre minimum de morts ou bléssés a été dévoilé à la presse. L'information disponible indique que président George W. Bush des USA a tenu une réunion avec son personnel durant laquelle ils ont discuté des manières d'arrêter la violence de la résistance en Irak. Afin de sauver les vies de leurs soldats et arrêter la détérioration continue des relations entre les USA et ses alliés et des autres pays qui ont envoyé des forces en Irak occupé. Les politiques américaines en ont conclu de libérer le président et de l'exiler, en dehors de l'Irak, dans un pays de son choix. En échange de ça, le président Saddam Hussein devrait apparaitre à la télévision et exiger l'arrêt des opérations armées de la résistance irakienne et prendre part au processus politique mis en place par les forces d'occupation des USA en Irak. Bush a confié à son secrétaire d'état, Donald Rumsfeld, d'aller en Irak immédiatement et pousser la formation rapide du nouveau gouvernement irakien "marionnettes" et de rencontrer les "leaders" irakiens qui ont émergé des élections du 30 janvier tenue sous la menace des armes des USA en Irak occupé. En même temps, Rumsfeld devait rencontrer le président irakien Saddam Hussein dans sa prison américaine près de l'aéroport "International de Saddam" à l'ouest de Bagdad. La réunion entre Saddam Hussein-Rumsfeld a durée presque une heure et a eu lieu en présence du commandant des forces d'occupation des USA en Irak. Rumsfeld a discuté sur sa réunion en envoyant un rapport au Président Bush dans lequel il a joint le compte rendu de sa réunion avec le président irakien et a donné son avis sur la manière dont les USA devraient traiter le futur développement en Irak.Il souligne le besoin de poursuivre de n'importe quelles manières le dialogue politique avec la résistance et avec le président irakien Saddam Hussein. Dans son rapport, Al-Usbu a indiqué, que Rumsfeld a souligné que la situation en Irak était de plus en plus dangereuse. Il a dit que la résistance arabe est similaire à une armée organisée et elle est très bien entrainée, et elle a des appuis importants pour les armes et d'autres matériels. Rumsfeld a également indiqué que le nombre de combattants de la résistance en Irak avait maintenant atteint les 400.000 combattants actifs et que ces mêmes combattants avaient le soutien de plus de 5 millions de personnes. Rumsfeld a indiqué que ce qu'il-y-a eu à Al-Fallujah a eu un impact négatif sur la situation de sécurité et que la résistance avait réussi à récolter les fruits de la "guerre sur la terreur" faite par les Etats-Unis pour les employer à son avantage. Il a dit que les jeunes irakiens se disputent maintenant entre eux pour rejoindre combattre dans la résistance. Rumsfeld a confirmé que les noms de plusieurs organisations de résistance sont en fait des groupes affiliés au parti Baath sous la conduite actuel d'Izzat Ibrahim Ad-Duri, le vice-président de l'Irak. Rumsfeld a dit que la situation deviendrait beaucoup plus difficile prochainement puisque les opérations armées contre les forces us avaient considérablement augmentées, et s'élèvent maintenant à plus de 200 attaques chaque jour, faisant des dizaines de victimes dans les rangs de la "coalition" et les "marionnettes" de la garde nationale. Rumsfeld a indiqué qu'il avait passé en revue les nombreux rapports américains et irakiens qui indiquent une détérioration dans la situation de sécurité en Irak et une chute au niveau de moral des troupes à mesure que les incidents et les pertes matérielles augmentent. Rumsfeld a indiqué qu'il y a également eu des pertes matérielles sérieuses dans des rangs des USA, et que les Américains perdent maintenant en moyenne au moins 30 véhicules militaires chaque semaine, c'est quelque chose qui épuise continuellement la puissance américaine. Rumsfeld a également révélé que la résistance avait récemment saisi des réserves d' armement "avancés" américains comprennant des lanceurs d'artillerie et de fusée aussi bien que les lanceurs anti-aériens et que des commandants us ont exprimé la crainte que ces armes dérobées donneraient bientôt leurs effets dans l'escalade des opérations de la résistance. À la fin de son rapport, Al-Usbu rapporte les ', Rumsfeld dit l'importance de poursuivre le dialogue avec Saddam Hussein et ses défenseurs jusqu'à ce qu'ils puissent arriver à une solution pour provoquer une trêve provisoire pour faciliter une discussion à des solutions des deux côtés. Al-Usbu, a obtenu le compte rendu de la conversation entre Saddam Hussein et Donald Rumsfeld d'une source américaine fiable. Ce qui suit est le compte rendu de la réunion :
Compte rendu de la réunion entre le président Saddam Hussein et le secrétaire des USA de la défense Donald Rumsfeld.
Au début, de la réunion le Président Saddam a semblé extrêmement calme, peut-être, il a été étonné que son visiteur était Rumsfeld, mais il n'a montré aucune tension nerveuse. Rumsfeld a commencé la discussion :
Rumsfeld : Je suis venu pour vous rencontrer pour parler avec vous de la situation en Irak. Nous avons été en communication avec certains de vos défenseurs à l'intérieurs et en dehors de l'Irak. Ces derniers nous ont conseillés de venir vous écouter... Saddam Hussein : Et que ce que vous voulez ? Vos forces ont occupées le territoire de l'Irak noble, vous avez réduit le régime régnant sans n'importe quelle base juridique, vous avez attaqué la souveraineté d'un pays indépendant, libre, souverain. Vous avez commis les crimes que l'histoire enregistrera comme témoignage contre notre civilisation tachée de sang. Et vous voulez plus encore après tout cela ?
Rumsfeld (essayant de cacher sa colère) : Pas ici pour retourner dans le passé. Je suis venu particulièrement pour vous proposer une offre claire et spécifique. Je veux de vous une réponse claire et nette.
Saddam Hussein (de façon moqueuse) : Je suppose que vous êtes venu pour faire des excuses et pour redonner l'autorité aux Irakiens.
Rumsfeld : Nous n'avons pas à faire des excuses. Vous étiez un danger pour vos voisins. Vous avez essayés d'acquérir des armes de destruction massives, et vous avez pratiqué la dictature sur les autres. Ainsi il était normal d' aider le peuple de l'Irak à se débarrasser des périls qui ont été faits pendant plus de trente années.
Saddam Hussein : Je sais que vous êtes ignorant de l'histoire et je sais que votre président est encore plus ignorant. Mais, il semble que vous aviez dit des mensonges pour tellement longtemps que vous en êtes venu à les croire vous-même. Si vous voulez dire par "nos voisins" l'entité sioniste, là, oui, nous étions un danger pour eux, nous disposions à libérer notre terre pillée en Palestine. C'est la conscience de chaque personne arabe, Irakiens ou non. Parce que cette terre est arabe et ses personnes sont arabes et les Sionistes ne le sont pas mais occupent cette terre. Ils sont venus chez nous de chaque coin du monde avec votre aide et de celui des vieilles puissances coloniales. Mais si vous voulez dire le Kowéit, je voudrais vous demander : Vous êtes-vous retiré du Kowéit ?
Rumsfeld : Ce sont des accords. En outre, entre nous et le Kowéit et les autres états du Golfe il y a des accords de sécurité. Nous sommes dans des bases sur leurs demandes de les défendre de vos menaces.
Saddam Hussein : N'est-ce pas drôle de confier au loup de garder les moutons ? Les koweitiens sont un peuple d' arabes, et le Koweit est-un territoire irakien. Ainsi je vous demanderais d'aller vous renseigner sur l'histoire ancienne. Bien que je suis sûr que vous ne pourrez jamais saisir.
Rumsfeld : Assez de bavardages. Je vous offre...
Saddam Hussein (coupe court) : Avant que vous m'offriez vos marchandises putréfiées, je veux vous demander : avez-vous trouvé des armes de destruction massives ou pas ? Rumsfeld (confus) : nous n'avons pas trouvé jusqu'ici. Mais nous les trouverons certainement un jour. Niez-vous que vous avez eu l'intention de faire une bombe nucléaire ? Saddam Hussein : Nous n'avons eu aucune armes de destruction massives depuis 1991. Nous étions véridiques quand nous avons parlé à l'équipe internationale d'inspection et nous étions véridiques dans nos lettres à Kofi Annan. Et vous avez su ces faits, mais vous recherchiez n'importe quelle excuse fausse pour occuper l'Irak et pour renverser les autorités légales.
Rumsfeld : Les Irakiens nous ont salués et nous ont souhaités la bienvenue et la raison était les pratiques sanglantes de votre régime pendant toutes les années où vous avez régné sur l'Irak.
Saddam Hussein : Je vous demande, M. Rumsfeld. . . Assez de mensonges. Vous êtes celui qui a ouvert des cascades de sang sur la terre de l'Irak. Vous avez tracé contre nous et vous êtes venu avec quelques traîtres sur la grande terre de l'Irak.
Rumsfeld : Ceux que vous appelez des traîtres ont été choisis en tant que "leaders" par les irakiens par des moyens démocratique et des élections propres, telles que jamais ça n'a eu lieu eu quand vous régniez sur le pays.
Saddam Hussein : J'ai appris que vous êtiez venu avec une bande de traîtres comme [ Jalal ] at -Talibani dans vos rangs (rires de façon moqueuse). Le grand Irak présidés par at-Talibani et Al-Ja'fari, ce n'est pas ridicule ? Et de quelle élections vous parlez. Est-il possible de tenir des élections libres, comme vous les appelez, quand notre pays est occupé ? M. Rumsfeld, nous avons appris de l'histoire que les occupants viennent seulement avec leurs laquets et agents. Alors vous voulez après tout cela me convaincre que le peuple de l'Irak apprécie la liberté et la démocratie ? Vous êtes vraiment délirant.
Rumsfeld (essayant veinement de retenir sa colère) : Vous êtes en isolation et ne savez pas les choses qui se passent à l'extérieur. Les irakiens ont été libérés de votre oppression. S'ils (les irakiens)vous voyaient dans la rue, ils vous détruiraient ! !
Saddam Hussein : Et, je vous parie que si l'annonce était faite que vous êtes en Irak, et si la résistance irakienne apprenner où vous étes, vous ne pourriez pas sortir vivant. Je voudrais que vous transmettiez un conseil à votre stupide président : vous devriez lui dire de sauver ce qui restes de ses troupes. La mort les égrappe dans chaque endroit et l'histoire ne les oublieras pas.
Rumsfeld : Je suis venu pour parler avec vous au sujet des opérations terroriste que vos hommes incitent et effectuent. Vos hommes ont récemment effectué une attaque fétide contre la prison d'Abu Ghurayb où plus de 50 Américains ont été tués ou blessés et ils commettent d'autres meutres. Vos hommes obtiennent l'aide des terroristes aux quatres coin du monde et ils menacent l'expérience démocratique en Irak.
Saddam Hussein : Vous voulez quoi exactement ?
Rumsfeld : Je suis venus vous voir pour vous offrir d'être libéré et partir en exil dans un pays choisi par vous-même à condition que vous passiez à la télévision et publiez une condamnation du terrorisme et ordonnez à vos hommes d'arrêter ces actes.
Saddam Hussein : Avez-vous obtenu l'accord de votre président à cette offre ?
Rumsfeld : Oui, cette offre a été convenue lors d'une réunion à laquelle le président, le vice-président, le secrétaire d'état, et le chef de l'intelligence ont participé. Et j'ai été autorisé à vous informer de cette offre.
Saddam Hussein : C'est une offre futile.
Rumsfeld (avec un soupir) : Nous sommes également prêts à introduire des éléments près de vous dans le gouvernement.
Saddam Hussein : Et quoi encore ?
Rumsfeld : Vous aurez une généreuse aide financière et une sécurité pour vous et votre famille dans le pays de votre choix.
Saddam Hussein : Voulez-vous entendre mes conditions ?
Rumsfeld : Oui, je voudrais bien.
Saddam Hussein (avec de l'air du superciliousness et de la supériorité) : Je veux d'abord de vous que vous donniez un calendrier pour votre retrait d'Irak et que votre gouvernement s'en remette à lui avant le monde et que vous commenciez le retrait immédiatement.
Deuxièmement, je vous demande de libérer immédiatement tous les prisonniers irakiens et arabes des prisons que vous avez installées. Dans lesquelles vous avez pris la liberté des dizaines de milliers d'honorables personnes du peuple d'Irak.
Troisièmement, je demande de vous de mettre en gage à la pleine compensation de concession pour les pertes matérielles qui ont affligé les irakiens en raison de votre agression contre notre pays depuis la mère des batailles en 1991 et jusqu'à aujourd'hui. Et j'accepte l'aide d'un Comité arabe et international en estimant l'ampleur de ces pertes.
Quatrièmement, je demande que vous renvoyez l'argent que vous et vos hommes avez pillé des trésors de l'Irak, et son pétrole, en particulier [ L. Paul ] Bremer criminel et sa troupe des traîtres et des renegades.
Cinquièmement, le retour des objets façonnés que vous avez volés et avez donnés à la Mafia archéologique. Ce sont des trésors qui sont au delà de toute la valeur monétaire dans le monde, parce qu'ils portent l'histoire de l'Irak et de sa civilisation. Il est vrai que vous n'ayez aucune civilisation ou histoire et que la durée de vie de votre pays n'est pas plus que de quelques cent années, mais tout ça ne doit pas servir à justifier votre vol et votre haine pour la civilisation de l'Irak et la richesse de l'Irak.
Et sixième, vous devez remettre les armes de destruction massive si vous en avez trouvé et rendez nous les vies de tous les martyres dont les vies que vous avez prises et l'honneur des femmes nobles de l'Irak que vous avez déshonorées.
Rumsfeld : C'est-une plaisanterie ?
Saddam Hussein : Non ! C'est la réalité amère... ce que vous savez, M. Rumsfeld. Vous avez commis le plus grand crime dans l'histoire contre un pays arabe paisible. Nous nous sommes réunis ensemble dans les années 80. Vous rappelez-vous de vos offres ?
Rumsfeld : Assez du passé. Nous réévaluons nos positions vers vous et vers un certain nombre de puissances qui nous ont été hostiles dans le passé. Nous avons décidé de tenir le dialogue avec Islamicists modéré et nous n'avons aucune objection à leur existence par l'urne de vote. Plus important que cela que nous avons décidé d'ouvrir des canaux pour le dialogue avec des organisation de 'terroriste 'comme le Hamas, Jihad islamique, et Hizb Allah, qui est pro-Iranien, et également avec d'autres organismes fondamentalistes dans le monde entier. Nous avons même un plan pour entrer en contact avec le mouvement taliban en Afghanistan pour étudier la possibilité de leur participation politique, en échange de leur arrêt de la violence.
Saddam Hussein : Ainsi vous avez commencé à repenser votre cours incorrect ?
Rumsfeld : C'est un développement normal des événements. Nous tâchons de propager la démocratie dans tous les pays sujet à la tyrannie.
Saddam Hussein : Pouvez vous prospérer si vous êtes véridique.Cependant, Je connais votre vrai but. Si vous étiez vraiment véridique, vous et vos alliés devriez commencer immédiatement à vous retire d'Irak. Et vous devriez également vous écarter de votre position de soutien à l''I*srael '. Mais je sais que votre président est têtu et arrogant et ne dit pas la vérité.
Rumsfeld : Il est un président démocratiquement élu, pas un gouverneur sanglant comme vous.
Saddam Hussein : La terreur est votre produit et le mensonge est votre méthode.
Rumsfeld : Cette offre est une occasion historique pour vous. Vous serez libéré et nous vous consulterons dans tous sujet lié au fonctionnement de l'Irak. Si vous refusez cette offre, l'occasion ne sera pas accomplie.
Saddam Hussein : Je ne recherche pas des occasions. Je ne recherche pas une manière de sauver mon cou de la potence que vous avez installé pour tout l'Irak. Si j'avais voulu, j'aurai accepté l'offre russe et j'aurai sauvé mes fils et petit-fils du martyr. Je ne sais pas ce qui est advenu de ma famille et mes filles et petits-enfants. Mais croyez que je suis concerné par chaque citoyen irakien et le futur du grand Irak autant que pour moi ou ma famille.
Par vos hommes, vous avez précédemment fait une proposition qui si je déclarais que des armes de destruction massives auraient été passées en contrebande en Syrie, vous me libéreriez. J'ai rejeté cela et je le rejette encore maintenant.
Rumsfeld : Je ne veux pas un rejet de vous. Je veux que vous pensiez à cela. Nous continuons notre réévaluation de nos positions à l'heure actuelle. Nous voulons arrêter le carnage des deux côtés. Et donc nous avons fait cette proposition hors de la logique de la puissance et pas de la logique de la faiblesse.
Nous avons demandé Jalal ad -Talibani de faire un rapport niant n'importe quelle intention de vous exécuter comme signe de bonnes intentions sur notre partie. Nous sommes prêts à réévaluer notre position entière sur l'arrangement politique en Irak dans l'ensemble et à discuter de ce point avec vous et avec vos hommes.
Saddam Hussein : Êtes-vous prêt à vous retirer ou pas ?
Rumsfeld : Nous pouvons probablement discuter le redéploiement. Nos forces ont préparées des bases pour un long séjour. Nous pouvons probablement nous retirer des rues et des villes, mais nous resterons dans les bases pendant un certain temps.
Saddam Hussein : alors vous voulez que un nouveau faire-valoir s'ajoute à la listes des autres, faire-valoir. Non, M. Rumsfeld. N'oubliez pas que vous parlez avec Saddam Hussein le président de la République de l'Irak.
Rumsfeld : Mais vous avez perdu le pouvoir.
Saddam Hussein : Je n'ai plus rien mais j'ai toujours l'honneur. Et l'honneur ne peut pas être acheté ou vendu.
Rumsfeld : Mais la vie est inestimable.
Saddam Hussein : Il n'y a aucune valeur à la vie sans honneur. Vous avez volé l'Irak, son honneur quand vous avez piétiné sa terre et nous regagnerons notre honneur que Saddam Hussein reste ou meurt en martyr.
Rumsfeld : Vos défenseurs avec qui nous avons été en discussion nous ont dit que vous étiez le premier et dernier décideur. Attendaient-ils cette réaction de vous ?
Saddam Hussein : Certainement, ils savent que Saddam Hussein ne peut pas soutenir avec honneur sa patrie en étant loin.
Rumsfeld : L'histoire vous jugera responsable du sang qui coule en Irak.
Saddam Hussein : Plutôt l'histoire vous jugera pour vos crimes. Je vous ai averti avant que vous commettriez le suicide sur les murs de Bagdad. Et ici vous payez le prix. Je veux que vous alliez à Londres et lisiez les archives du Foreign Office britannique et apprenniez quelque chose au sujet de la lutte des irakiens contre vos amis britanniques qui maintenant répètent leurs erreurs et combattent avec vous. Les irakiens sont un peuple têtus qui ne craignent pas la mort. La résistance est plus forte que vous imaginez. Ainsi je vous promets que vous aurez encore plus.
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