Reprise du message précédent :

 
 
les russes ne sont pas les ennemis des tchétchènes on est d'accord
par contre l'armée russe l'est
 
or les collabos ne collaborent pas avec le "peuple russe" mais avec l'armée d'occupation russe , qui est bel et bien l'ennemi.
 
 
 

 
 
spéculation

L'armée Russe peut être considérée comme Libératrice aussi...

Comité tchétchène de salut national
Communiqués no 862-863, Nazran (Ingouchie)
23-24 décembre 2005
 
- Le 17 décembre, Selon l'agence Interfax, plusieurs élèves et quatre institutrices d'une école du village de Starogladovskaïa du district de Chelkovski ont été hospitalisés pour empoisonnement par une substance qui pourrait être neurotoxique ou psychotrope. Tous les enfants présentaient des symptômes d'étouffement et de convulsions et d'autres symptômes liés à l'effet de gaz de cette nature. Quinze élèves, renvoyés chez eux, font toujours l'objet d'un  suivi médical.
D'autres cas d'empoisonnement se sont produit près de là dans les villages de Chelkozavoskaïa, Kobi et Chelkovskaïa, si bien que plus de 70 personnes auraient été touchées.
 
Comme il n'y a pas de laboratoire d'analyses biologiques en Tchétchénie, celles-ci doivent être effectuées à Vladikavkaz.
De tels cas d'empoisonnement s'était déjà produit auparavant à deux reprises dans le village de Staroschedrinskaïa sans que la cause ait pu en être établie.
 
Une commission gouvernementale a été créée pour mener l'enquête.  
 
 
 
- Le 18 décembre, des inconnus armés ont enlevé cinq personnes dans le village de Valerik (district d'Atchkhoï-Martan). Trois d'entre elles ont été libérées le lendemain non sans avoir été torturées. Peu de temps après, un certain Doubaïev (25 ans) a été retrouvé dans les environs, il avait été roué de coups si bien qu'il ne pouvait plus bouger et était dans un état critique.
 
On ne sait où se trouve le cinquième, Chamil Melkaïev (35 ans).
 
 
 
- Le 22 décembre, la décision du 11 novembre 2005 de fermer les centres d'Ingouchie où vivent des réfugiés tchétchènes est suspendue. Le Comité tchétchène de salut national avait demandé son ajournement ne serait-ce que jusqu'au printemps.
 
 
 
* * *  
 
 

Finalement, les deux jeunes ont été libérés, jeudi soir... Fin de la garde à vue ! (sans plus d'explication). Nous les avons donc récupérés à Roissy et vendredi matin, ils se sont présentés devant le T.A. de Cergy qui les a autorisé à déposer une demande d'asile... L'audience prévue l'après-midi même à Bobigny devant le T.G.I. a été ajournée...

Déclaration du Comité tchétchène de salut national au sujet de Saïd-Emin Ibraguimov  
 
http://www.savechechnya.narod.ru/zajav/zajav125.htm

ce qui se passe en tchétchénie est tout simplement une insulte au genre humain. c'est tout autant une honte pour l'armée russe que pour les dirigeants du monde dit libre. non seulement ils ferment les yeux (sauf peut être angela merkel, tien tien... une femme...) sur une situation inacceptable du point de vue de leurs principes, mais en plus négocient cette lâcheté ("je te dis rien pour la tchétchénie, tu me soutiens dans ma croisade" ), ce qui en fait des complices.

EUROPE: DE BONNES RESOLUTIONS POUR 2006?
Petit agenda des initiatives européennes ... Les institutions parlementaires européennes se mobilisent en ce début d’année 2006.
 
Mercredi 18 janvier au matin le Parlement européen organise un débat sur les élections en Tchétchénie et la société civile en Russie. Une résolution à ce sujet pourrait être votée le lendemain.
 
Mercredi 25 janvier, Rudolf Bindig, rapporteur de la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme à l’Assemblée du Conseil de l’Europe, présentera un rapport intitulé « Les violations des droits de
l’homme en république tchétchène : la responsabilité du Comité des Ministres à l’égard des préoccupations de l’Assemblée Parlementaire ». Un projet de résolution y est inclus.
 
Afin de présenter leurs préoccupations et leurs propositions, le Comité Tchétchénie, la FIDH, Amnesty International section française et Mémorial ont proposé et obtenu leur participation à des travaux préparatoires du Parlement européen le 17 janvier.  
 
Le 18 janvier, à 14h30, Lida Yousoupova, membre de l’association Mémorial et célèbre défenseure des droits humains, participera à une conférence de presse dans l’enceinte du Parlement.

Petit sujet sur les demandeurs d'asile tchétchènes en Pologne aux actualités de Yahoo

516 Tchétchènes entament une guerre de la faim contre leur déportation en Russie
Selon le site séparatiste "Kavkaz Tsentr" citant le 14 janvier le "Wiener Zeitung" du 13 janvier,  516 Tchétchènes ont entamé le 11 janvier une grève de la faim  dans le camp de demandeurs d'asile de Traiskirchen près de Vienne en Autriche pour protester contre les décisions de les expulser vers la Pologne et de là en Russie.
 
Ainsi, un certain Adam (40 ans) a été contraint de déposer une demande d'asile en Pologne, premier pays de l'Union européenne où il est arrivé. Les Autrichiens s'apprêtent à le déporter en Pologne, d'où il sera renvoyé en Russie, où il aurait été torturé avant de chercher à émigrer.
 
Vakha Banaïev, son ami, souligne que cela reviendrait à le condamner à mort car il était membre de la Résistance tchétchène. Vakha lui-même a perdu la moitié d'une oreille en raison des tortures qu'il a subies quand il était aux mains de Russes.
 
Les Tchétchènes critiquent aussi les traitements brutaux des agents de police autrichiens, qui leur passent des menottes.  
 
Invoquant l'accord de Dublin, le porte-parole  du ministère autrichien de l'Intérieur Johannes Rauch a déclaré que "son ministère ne céderait pas au chantage des Tchétchènes et que toutes les décisions de déportation seraient exécutées. Les demandeurs d'asile est déporté dans le pays par lequel il est entré dans l'Union européenne". Il a aussi souligné qu'il est donné droit à 93% des demandes d'asile de Tchétchènes"

Ramzan Kadyrov pour la polygamie  
 
Dans une interview en direct sur la radio moscovite "Radio Moskva, le ff. président du gouvernement de tchétchénie Ramzan Kadyrov a demandé que la polygamie soit autorisée en Tchétchénie, invoquant l'excédent statistique de femmes par rapport aux nombre d'hommes en raison de la guerre.
 
Il y aurait actuellement 9 à 18% de plus de femmes que d'hommes.
 
Selon lui, il n'est pas nécessaire de modifier la législation pour ce faire. Il suffirait de laisser à chacun le soin de décider sans que les autorités interviennent
 
(Memorial/Ekho Moskvy, 13.01.06).

A lire !

Communiqué no 867 6 janvier 2006
 
Le 27 décembre 2005, des agents des forces de sécurité d'Ingouchie (ministère de l'Intérieur et FSB) ont procédé à une perquisition irrégulière au domicile des Taziev, ul. Ioujnaïa , 35 (a) dans le district municipal de Nasyr-Kort à Nazran, ou plutôt ils l'ont dévasté.
 
Les occupants, y compris deux enfants en bas âge, ont été chassés dans la rue sans même avoir pu mettre des vêtements chauds; où ils sont restés plusieurs heures dans le froid. Les lieux étaient encerclés par un cordon d'agents.
 
Cette descente de police serait liée aux soupçons qui pèsent sur Ali Taziev, un membre de la famille, qui est suspecté d'être l'un des chefs de l'agression commise en juin 2004 en Ingouchie. Selon la rumeur, il était censé occuper la maison familiale avec ses hommes.
 
Lors de la perquisition, les agents ont emporté toutes les économies de la famille en roubles ou en devises, soit 1200 dollars et 18 000 roubles, des objets en or, un passport, plusieurs livret de travail, un livret de caisse d'épargne et même le certifcat de mariage de Piatimat Malsagova. Les occupants ont découvert le lendemain qu'une somme de 4 300 roubles et une vieille montre en or avaient aussi disparu.
 
La famille a dû se tourner vers les ONG et les associations de défense des droits de l'homme, car aucune instance des forces de l'ordre n'acceptait de recevoir le dépôt d'une plainte contre les auteurs de ces méfaits
 
 
Communiqué no 866 - 31 décembre 2005
 
Le comité tchétchène de salut national, qui a achevé le 24 décembre son 4e séminaire consacré à la défense devant les tribunaux (thème du communiqué no 865), a diffusé le communiqué suivant le 31 décembre :
 
Le 28 décembre, a été créé un comité des mères de victimes d'empoisonnement dû à un substance inconnue dans le district de Chelkovskoie.
 
Il est présidé par la directrice de l'école Starogladovskaïa Khava Zakrieva.
 
Le Comité suivra le déroulement de l'enquête sur cette affaire et les questions liées à l'organisation des soins dans des hôpitaux spécialisés de Russie.
 
Auparavant, des victimes ont pu avoir un entretien d'une heure et demie avec des représentants d'ONG, d'où il ressort que les victimes souffrent 10 à 18 fois par jour d'accès d'étouffement. Elles ont demandé aux membres des ONG de faire appel aux autorités pour que celles-ci envoient les victimes en avion à Moscou.
 
Le 29 décembre à 3 heures du matin, une centaine de membres de l'armée russe et d'agents des forces de sécurité locales ont procédé à une "zatchistka", une opératiuon de ratissage, dans le centre provisoire pour personnes déplacées situées dans le mikrorayon no 4, 47 rue Kirova, à Grozny.
 
Outre un contrôle de papier et une perquisition, ils ont forcé on ne sait pourquoi les portes des toilettes qui étaient verouillées.
 
Le président de la Société des personnes déplacées de Tchétchénie, Chirvani Gounaiev a été blessé d'une balle à la jambe, tirée par accident.
 
Le 30 décembre 2005, le chauffeur ivre du transporteur de troupes blindés (BTR) qui, le 7 octobre 2005, avait renversé un feu et écrasé une femme médecin, Elisa Ismaïlova avant de chercher à prendre la fuite, a été condamné à un an (!?) de privation de liberté dans un bataillon disciplinaire.
 
Le père de la victime, qui n'a pas été informé officiellement de la décision de justice, l'a appris par d'autres voies.
 
 
 
 
 
Communiqué no 867 - 9  janvier 2006
 
le 4 janvier 2006 à l'aube, cinq agents de forces de sécurité inconnues ont enlevé trois personnes les frères Mamed et Akhmed Khaïtaïev, deux jeunes d'Atchkoï-Martan nés en 1978 et 1972), qui habitaient au 33, ul. Polejaïeva et leur voisin Alvi Takhaïev (né en 1979). Les hommes armés, venus dans quatre véhicules, trois VAZ-99 et un VAZ-2107, les ont contraints à la suivre avant de les emmener dans une direction inconnue. Ils faisaient partie d'un groupe d'une vingtaine d'hommes.
 
L'aîné des victimes, Akhmed, travaillaient depuis cinq ans pour un poste de commandement militaire, le second, qui était tailleur de pierres, construisait des maisons privées sous contrat.
 
Alvi, qui travaillait avec Mamed sur les chantiers, habitait au 16 de la même rue.
 
Au poste de la police routière, on a déclaré aux proches des vcitimes qui suivaient les auteurs de l'enlèvement que ceux-ci avaient présenté des badges d'agents d'un Centre antiterroriste. Le sort des victimes est inconnu.  
 
Le 6 janvier, le corps de Soultan Oustarkhanov criblé de coups de couteau a été retrouvé non loin du village de Kotar-Iourt. La victime menait des activités de transport privé dans sa "Volga" pour gagner sa vie. Soultan Oustarkhanov avait disparu le 2 janvier et personne ne savait ce qu'il était devenu. Comme sa voiture ne se trouvait pas à proximité, ses proches craignent qu'il ait été tué par des malfaiteurs qui voulaient s'emparer de son véhicule.
 
 
Il y a deux ans, le 11 janvier 2003, deux jeunes, Timour Kh. Bourkaïev (né en 1982) et Soultan Ch. Gazakbiev (né en 1980), qui habitaient 7, ul. Zaretchnaïa, dans la localité d'Avtoury ont disparu en allant chercher du bois mort dans un champ.
 
Inquiets devant leur absence prolongée, leurs mères sont parties à leur recherche. Apercevant les traces toutes fraîches de BTR (transporteurs de troupe blindés) dans le champ, elles les ont suivies jusqu'à un poste de contrôle tenu par les Russes, mais on ne leur a pas rendu leurs fils, affirmant que ceux-ci avaient été envoyés ailleurs pour des contrôles. Les militaires ont refusé de donné plus de détails, y compris le lendemain et les jours suivants. Le sort des deux jeunes est resté inconnu.
 
Depuis, les mères, Maret et Zargane, demandent de l'aide pour les retrouver à tous ceux qui ne restent pas indifférents devant leur chagrin, le chagrin de mères.
 
 
 
* * *

Nijni Novgorod, 21.12.05 - La journaliste du journal "Novaïa Gazeta" Anna Politkovskaïa et l'architecte Elena Karmazina ont déposé en faveur de la défense lors de l'audience du 21 décembre dans l'affaire Dmitrievski, accusé au titre de l'article 282 CP FR pour des "actes d'incitation à la haine ou à l'animosité et d'atteinte à la dignité d'une personne ou d'un groupe pour des motifs liés au sexe, à la race, à la nationalité, à la langue, à l'origine, au rapport avec la religion de même qu'à l'appartenance à une catégorie sociale". L'accusé risque cinq ans de privation de liberté.
 
Anna Politkovskaïa, qui a reçu plusieurs prix nationaux et internationaux pour sa couverture des événements en Tchétchénie, a parlé de l'hécatombe de civils au cours du conflit, des crimes de guerre commis des représentants des forces fédérales, des châtiments extra-judiciaires, des bombardements et des pilonnagesd'artillerie aveugles commis par les forces fédérales, confirmant par là-même les faits reprochés à Stanislav Dmitrievski.
 
Selon elle, ces actes sont des actes de terrorisme d'Etat, si bien que l'expression "terrorisme russe" employée par Maskhadov, le fait de qualifier les criminels militaires d'"occupants" et leurs actes d'"exactions" sont justifiés.
 
Par ailleurs, les appels de Maskhadov et de Zakaïev publiés par l'accusé n'étaient dirigés ni contre le peuple russe, ni contre la machine étatique de Russie, car ils appelaient à entamer des négociations.  
 
Elena Karmazina, architecte connue de Nijni Novgorod a parlé de l'activité de Dmitrievski en matière de restauration de monuments russes et des piquets de grève qu'il avait organisés pour empêcher la démolition de monuments historiques de la ville.
 
Après la déposition des témoins, les pièces du dossier ont été lus. Puis l'accusé et la défense ont demandé qu'une série d'autres pièces soient jointes au dossier, notamment la condamnation par le tribunal du Qatar d'agents russes bénéficiant de l'immunité diplomatique qui étaient les auteurs de l'assassinat de Zelimkhan Iandarbiev etc.  
 
L'audience suivante aura lieu le 18 janvier 2006.  
 

 
 
 
excellente nouvelle, je suis sceptique quand aux résultats mais c'est quand même positif

Interview de Rudolf Bilding, auteur de ce rapport :

Le rapport en question  (pour les courageux) :

He ben, ça s'arrange pas là-bas... (petit up déguisé pour le topic.)

Y a plus de combats ?

http://fr.news.yahoo.com/18012006/ [...] henie.html
 
Ah si, 2 Terroristes (?) ont été tués dernièrement

 
REBELLE, adj. et subst.
A.  [En parlant d'une pers.]
1. a) (Celui, celle) qui se révolte contre l'autorité du gouvernement légitime, d'un pouvoir établi. Synon. contestataire, dissident, factieux, insoumis, insubordonné, insurgé, mutin, révolté.
 
TERRORISTE, subst. et adj.
I.  Substantif
B.  Membre d'une organisation politique qui exécute des actes de terrorisme pour imposer ses conceptions idéologiques.
 
 

Ah OK.
 
On dirait que ça s'est vachement calmé la bas quand même
 
Peut on encore parler de Guerre en Tchetchenie ?

"On dirait", parce qu'on en entend peu parler et parce que Poutine a décrété que le pays était en phase de normalisation. Pourtant, les enlèvements, les pillonnages, et les exactions continuent.

Oui on peut    

On peut parler de terrorisme, en Tchétchénie, mais de terrorisme d'état ..

19.01: entre 2 et 5 000 personnes portées disparues depuis 1999 en Tchétchénie
 
Dans son rapport mondial annuel pour 2005 qu'elle vient de publier, l'ONG Human Rights Watch dénonce la dérive de la Russie vers l'autoritarisme depuis les événements de Beslan et les disparitions à grande échelle en Tchétchénie (extraits)
 
http://kavkaz.memo.ru/newstext/news/id/921881.html  
 
19/1/2006  
 
Dans l'introduction de la section consacrée à la Russie, l'organisation constate que le pays continue de dériver vers l'autoritarisme au fur et à mesure que les initiatives politiques lancées par le président Poutine après les événements de Beslan prennent une forme législative.
 
En Tchétchénie, "le conflit se poursuit avec la même intensité qu'auparavant."
En mars 205, HRW a estimé que les disparitions dans cette région revêtait un caractère si massif et systématique qu'on peut les qualifier de crimes contre l'humanité.
 
Les événements de 2005 montrent que les autorités fédérales ne sont toujours pas capables d'assurer la paix en Tchétchénie et dans les républiques voisines. Des civils y sont tués preqque quotidiennement."
 
Les disparitions continuent de caractériser le conflit.
Les groupes locaux de défenseurs des droits de l'homme estiment que le nombre de "personnes portées disparues" depuis 1999 atteint entre 2 et 5 000 selon les données officielles, alors que plus de 140 hommes, âgés de 18 à 40 ans et toujours arrêtés sans armes, ont disparu au cours des neuf premiers mois de 2005.
 
"Les auteurs des disparitions se présentent toujors comme des agents des forces fédérales ou des forces de sécurité de la République tchétchène.  
 
La plupart des disparitions se produisent dans deux cas de situations : soit au cours de "zatchistki" (raffles) à grande échelle, réalisées par les forces fédérales, soit lors d'opérations ciblées qui se déroulent d'ordinaire la nuit."
 
"Dans le cadre de la politique de "tchétchénisation" meéne par la Russie, un rôle notable est dévolue aux forces de sécurité de la République tchétchène dirigées par Ramzan Kadyrov. EN 2004-2005, elles ont peu à peu remplacé les forces fédérales en tant qu'acteurs principaux des disparitions.
 
Les "Kadyrovtsy" disposent de leurs propres prisons, qui se trouvent hors du contrôle de structures d'Etat définies quelles qu'elles soient et où des centaines de gens sont maintenus en détention, subissant souvent des traitements inadmissibles".
 
Les unités armées des séparatistes de Tchétchénie ont elles aussi commis de graves violations des droits de l'homme l'année dernière.
 
Après la mort d'Aslan Maskhadov en mars, elles ont intensifié leurs attentats contre des fonctionnaires et des agents des forces de l'intérieur en Tchétchénie et dans les régions voisines d'Ingouchie et du Daghestan.
 
Les auteurs du rapport soulignent que peu d'affaires où des militaires et des agents de la milice sont accusés du meurtre de vicils arrivent jusqu'au stade du procès. (...) Hormis des affaires comme celle de Serguéï Lapine, condamné à 11 ans de privation de liberté pour avoir torturé et fait disparaître Zelimkhan Mourdalov, ni la prokuratura militaire, ni la prokuratura civile n'ont enquêté sur des allégations de graves infractions. Elles n'ont pas même pas interrogé les témoins. Comme elles n'arrivent pas obtenir justice, les victimes se tournent par centaines vers la Cour européenne des droits de l'homme.
 
Les pressions sur les ONG se sont aggravées en 2005, comme en témoigne l'affaire Dmitrievski et la loi sur les ONG.  
 
Cependant, la communauté internationale continue de tempérer ses critiques de la politique menée par la Russie en Tchétchénie.
 
Dans le même temps, la Russie continue d'interdire aux rapporteurs spéciaux de l'ONU sur les tortures et les exécutions sommaires l'accès à la Tchétchénie.
 
Oleg Orlov, président du Conseil du Centre de défense des droits de l'homme de Mémorial a estimé que bien qu'il soit précis et juste, le rapport de Human Rights Watch n'éclaire pas suffisamment une série de problèmes qui existent en Russie, notamment les persécutions politiques de différentes organisations, groupes et personnes. Dans le même temps, selon lui, le rapport dénonce aussi les graves violations des droits de l'homme commises dans des pays dits démocratiques comme les Etats-Unis.

La France toujours conciliante avec la Russie malgré les critiques allemandes envers Moscou
 
Les dirigeants français n'entendent pas infléchir leur approche très conciliante à l'égard de la Russie de Vladimir Poutine, en dépit du ton plus critique que la chancelière allemande, Angela Merkel, a choisi d'adopter face aux méthodes autoritaires du pouvoir russe. La première visite à Moscou du ministre français des affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, mercredi 18 et jeudi 19 janvier, s'inscrit dans la continuité. [...]
 
 
Les journalistes accompagnant la délégation française étaient ainsi conviés, jeudi, à rencontrer non pas des représentants de la petite mouvance démocratique russe, mais deux chantres de la propagande du Kremlin : les parlementaires Mikhaïl Margelov (jadis chargé du verrouillage médiatique sur la Tchétchénie) et Konstantin Kossatchev (qui dénonce les "révolutions de couleurs" dans l'ancien espace soviétique).Mme Merkel, fait-on valoir dans les milieux officiels français, doit encore prendre le temps de jauger le président russe, et il n'est pas exclu qu'elle se mette un jour à le tutoyer, comme le faisait son prédécesseur, Gerhard Schröder. Les Allemands tiennent beaucoup à leur coopération gazière avec la Russie.
 
Il fut un temps (1999-2000) où les dirigeants français osaient des commentaires sur les violences commises en Tchétchénie. Cela avait valu à M. Chirac une période de bouderie de M. Poutine, qui refusait de le rencontrer. Le chef de l'Etat a cessé de qualifier la Russie de "modèle de démocratie", comme il l'avait fait en mai 2003, peu après la formation de l'axe Paris-Berlin-Moscou contre la guerre en Irak. Mais il continue de voir en Vladimir Poutine un bienfait pour la Russie : un homme qui restaure l'autorité de l'Etat.Cette vision fait peu de cas de la corruption massive qui ronge l'appareil bureaucratique russe, elle passe sous silence le chaos dans le nord du Caucase, et elle occulte l'enrichissement de clans économiques proches du Kremlin, comme c'était le cas sous Boris Eltsine. [...]

Samuelp, pourquoi tu me traite pas de wahabite sur le topic tchtchénie ?

Parce que sur ce sujet tu défends la souveraineté de la Russie

Toutafé   , tu as tout compris

http://www.amnestyinternational.be [...] e6958.html

SEMAINE DE SOLIDARITE A LA TCHETCHENIE : NANTES DU 1er au 9 MARS 2006
 
Le 23 février 1944, Staline déportait le peuple Tchétchène…  
                                           
En 1999, Vladimir Poutine déclarait qu’il fallait  « butter les Tchétchènes jusque dans les chiottes » …  
 
Du « déporté » au « terroriste », images déformées d’un peuple en résistance
   
 A quelques heures d’avion de Paris, la Tchétchénie semble pourtant bien lointaine pour une grande partie de l’opinion française. Seul lui parvient l’écho médiatique des affrontements de l’armée russe et de la résistance tchétchène et ceux des tragiques prises d’otages. Aussi notre perception du conflit qui oppose depuis une décennie, la Russie et la République tchétchène confine-t-elle bien souvent à la caricature.  
 
Vernissage  
Mercredi 1er mars 2006 – 18h30 - Cosmopolis
 
Conférence – débat : « Tchétchénie, une affaire intérieure ? »
Vendredi 3 mars 2006 – 20h30 - Cosmopolis
Comment comprendre le long conflit qui oppose la Russie au petit territoire tchétchène ? Pourquoi aucune solution politique n’a-t-elle encore pu être trouvée ? Quel est le poids des particularités régionales (le « chaudron caucasien ») par rapport aux enjeux géostratégiques ? Autant de questions auxquelles répondra Amandine REGAMEY, spécialiste de la Russie  et co auteur d’un ouvrage de référence paru aux éditions Autrement, en 2005, « Tchétchénie, une affaire intérieure ? »  
 
Rassemblement : « Tchétchénie, brisons le silence complice ! »
Samedi 4 mars 2006 – 13h à 18h30 – Place du Commerce
Amnesty International, La Ligue des Droits de L’Homme, Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture et la communauté Tchétchènes réfugiée à Nantes,  appellent à un rassemblement pour briser le silence complice de la Communauté Internationale face au massacre du peuple Tchétchène.  
Au programme : stands associatifs, concert, lectures de textes, cafés-citoyens, dégustation de pâtisseries Tchétchènes.
 
Soirée culturelle et festive
Samedi 4 mars 2006 – à partir de 20h30 – Cosmopolis
Soirée organisée par la communauté Tchétchène réfugiée de Nantes.
Au programme : Repas, concert, danses.  
(Entrée payante : participation libre)
 
Théâtre : « chaos Debout »
Dimanche 5 mars 2006 – 14h – Cosmopolis
Le théâtre de l’Arrière Cour  présente : « Chaos debout », une pièce de Véronique OLMI
Dans un vieil appartement communautaire de Moscou, pendant la guerre de Tchétchénie, une Kommunalka porte une histoire tissée de secrets, de trahisons, de résistances individuelles et d’amour absolu. Les personnages de la pièce confrontent sous nos yeux leurs parcours : Babouchka, ancienne déportée, Iouri qui revient de Tchétchénie, Katia, sa femme, Gricha, jeune voyou qui sera envoyé sur le front Tchétchène lors de son service militaire. En énumérant les personnages, le contenu de la pièce semble se dévoiler : une histoire d’amour sur fond de guerre. Une guerre que nous ne verrons pas, qu’aucun témoin direct ne nous racontera vraiment, une guerre cachée, fantasmée, mais omniprésente.
 
 
Goûter-concert
Dimanche 5 mars 2006 – 16h15 - Cosmopolis
Dégustation de pâtisseries Tchétchènes.  
Chants et musiques de Tchétchénie avec Hussein Betelguerriev.
Contes tchétchènes, par Elodie Retière, comédienne et Philippe Sizaire,  conteur.
 
 
Projection – débat : « Tchétchénie, la vidéo qui accuse »
Dimanche 5 mars 2006 – 20h30 – Cosmopolis
Komsomolskoe : Documentaire de Mylène Sauloy, à partir de films amateurs tournés par des soldats russes. Enquête sur la destruction de Komsomolskoe, village tchétchène entièrement rasé en mars 2000. Des images d’une rare violence, des preuves accablantes sur les méthodes de l’armée russe en Tchétchénie.
Le film sera suivi d’une rencontre avec Mylène Sauloy.
 
 
Projection – débat : « La prise du pouvoir de Vladimir Poutine »
Lundi 6  mars 2006 - 18h – Cosmopolis
« La prise du pouvoir de Vladimir Poutine », un documentaire réalisé par Tania Rakhmanova.  
Comment, au tournant du millénaire, un obscur fonctionnaire de l’ex-KGB devint le président autocratique de l’ancienne superpuissance soviétique. Avec des témoignages de premier plan, le condensé terrifiant de dix-huit mois décisifs.  
Le documentaire sera suivi d’un débat avec Gaëlle Lastenet, possédant une maîtrise d’histoire sur la Tchétchénie. Nous tenterons ainsi de répondre aux questions suivantes : Comment le conflit armé qui se déroule actuellement dans la République de Tchétchénie est-il couvert par les médias et les hommes politiques Occidentaux et par les médias russes ? Comment Vladimir Poutine est-il perçue par la Communauté Internationale ? De quelle manière cette guerre peut-elle évoluer aux vues de la nouvelle donne mondiale ? Quelles sont les conséquences sur les sociétés tchétchènes et russes ? Quelles furent les réactions de la Communauté Internationale face à la politique de Vladimir Poutine et aux différentes actions de séparatistes tchétchènes ?  
 
 
Conférence-débat : « Tchétchénie : quelles solidarités ? »
Mardi 7 mars 2006 - 20h30 – Cosmopolis
En France et partout en Europe, militants d’ONG et de comités Tchétchénie se mobilisent afin que cesse les exactions et que les droits humains soient enfin respectés. Quel est  l’état de la mobilisation ? Quelles actions ont été menées, pour quels succès ? Comment mobiliser encore plus l’opinion publique et les médias ? Que faire pour que des décisions politiques soient enfin prises ? Enfin, quelles sont les perspectives de solutions envisageables dans l’état actuel du conflit ? Avec la présence de Danielle Arthur, membre de la commission Russie -Tchétchénie de la section française d’Amnesy International, Yvan Tellier, responsable du comité Tchétchénie de Rennes, Eric Aragon, du Convoi Syndical pour la Tchétchénie et Martin Rosselot, membre du comité Tchétchénie de Paris et actuellement en première année de thèse sur « les plans  de règlements du conflit russo -tchétchène et le droit international. »
 
Projection – débat : « Il était une fois la Tchétchénie »
Mercredi 8 mars 2006 – 18H - Cosmopolis  
« Il était une fois la Tchétchénie » est un documentaire de Nino Kirtadze.
Les récits de cinq occidentaux qui ont couvert les deux guerres en Tchétchénie entre 1994 et 2000 : des témoignages importants qui permettent de saisir toute l’absurdité et la cruauté d’un conflit dont les premières victimes sont des civils.  
Le documentaire sera suivi d’une discussion avec Florent Marcie, photographe et réalisateur du film «  Les fils d’Ichtkérie », tourné en 1996 lors du premier conflit en Tchétchénie,  et Sylvie Françoise, photographe, présente à Grozny en 2002. Ils nous parleront de leur travail sur le terrain, des difficultés d’accès au territoire tchétchène, de leurs motivations et engagements.  
 
Projection – débat : «  Coca, la Colombe Tchétchène »
Mercredi 8 mars 2006 – 20h30 – Cosmopolis
Projection du film « Coca, la colombe Tchétchène » réalisé par Eric Berkraut.
Son prénom est « Coca », qui signifie « colombe » en tchétchène. Elle a fondé l’association « Echo de la Guerre », groupe de femmes activistes tchétchènes qui travaille en collaboration avec des femmes russes. Elle rassemble des photos, des vidéos, des témoignages mais aussi des listes avec les noms des victimes et des disparus pour les expédier, sous le manteau, vers l’Europe occidentale : peut-être qu’un jour, si un tribunal se constituait, ces documents pourraient servir de preuves ? Le film donne aussi la parole au représentant spécial du Conseil de l’Europe, au ministre de la justice de la fédération de Russie, au représentant du secrétaire général des Nations – Unies, à des Russes et à des Tchétchènes engagés pour la démocratie.  
Le film sera suivi d’une rencontre – débat avec Aurélia Chaudagne, membre de l’association Etudes sans Frontières et du témoignage d’un(e) étudiant(e) Tchétchène.
 
 
 
 
 
Conférence - débat : « Urgence humanitaire et Droit d’asile »
Jeudi 9 mars 2006 – 20h30 – Cosmopolis
On estime à plusieurs dizaine de milliers, le nombre des victimes civiles des deux guerres de  Tchétchénie. Un chiffre qu’il va falloir revoir à la hausse car malgré la « normalisation » annoncée haut et fort par le gouvernement de Vladimir Poutine, les exactions de l’armée russe à l’encontre de la population – essentiellement des hommes sous couvert de chasse aux « terroristes » - continuent. Aussi, de nombreuses personnes sont obliger de fuir leur territoire pour se réfugier. On estime aujourd’hui à 80 000 le nombre de réfugiés Tchétchènes dans toute l’Europe. Dés lors, comment expliquer le peu d’empressement des instances internationales à condamner la Russie et à agir pour que cessent les violations avérées aux droits de l’Homme ?  
Avec la présence d’Anne Le Tallec, avocate et chargée de mission pour la fédération internationale de l’Action Chrétienne pour l’Abolition de la Torture ( FIACAT) et Joseph Dato*, délégué aux missions internationales de Médecins du Monde.  
 
 
Education aux droits Humains
Du lundi 6 au jeudi 9 mars 2006 - Cosmopolis
Les membres d’Amnesty International accueilleront des classes de collège et de lycées afin de les sensibiliser aux questions des Droits de l’Homme ainsi qu’au conflit qui ravage la Tchétchénie depuis 1994.  
 
 
Expositions
Du mercredi 1er mars au vendredi 10 mars – Cosmopolis
 
 Tchétchénie. Sur [exposé]. Une vie dans l’ombre. Photographies de Maryvonne Arnaud En 2004 et en 2005 avec l’aide logistique de Médecins du Monde, Maryvonne Arnaud se rend en Tchétchénie pour juger de la situation par elle-même. Elle trouve un pays ravagé. De Grozny, la capitale, bombardée par l’armée russe durant des mois, de 1999 à 2000, il ne reste que des ruines. Là, pourtant, au milieu des gravats et des bâtiments éventrés, vivent, dans une précarité absolue, des hommes, des femmes, des enfants. Dans les photographies que prend alors Maryvonne Arnaud, le contraste entre ce paysage de fin du monde et l’énergie et la dignité qui émanent de la population qui survit, est saisissant.  
Photographies de groupes, cernés par les ruines, et portraits plus intimistes pris à l’intérieur des abris de fortune que les habitants se sont aménagés composent l’exposition. Elles témoignent de l’enfermement et de la vie en suspend de tout un peuple. Une vie dans l’ombre, une résistance…
 
Tchétchénie. Des yeux pour voir. Photographies de Sylvie Françoise
Sylvie Françoise, photographe indépendante, pige à « Libération », au « Nouvel Obs’ », entre autre, et accompagne des missions humanitaires afin de se rendre à l’étranger. En 2002, elle était à Grozny avec le Secours Populaire. A Grozny, les soldats russes ne vous autorisent pas à témoigner de la réalité. Mais Sylvie Françoise a du culot et du courage. Sans jouer les héroïnes, mais par un réel souci du témoignage, elle montre une vision toujours humaniste d’un monde désolé. Venez écouter le terrible mais digne silence de Grozny…
 
Ingouchie: le drame Tchétchène.  
Une exposition du Haut commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés.  
Lorsque le conflit a éclaté entre troupes gouvernementales et forces rebelles en Tchétchénie, en 1999, plus de 200 000 personnes ont fui, la plupart vers l'Ingouchie voisine. En décembre 2003, quelque 62 000 déplacés internes de Tchétchénie s'entassaient encore dans des installations temporaires ou des logements privés. Une exposition du Haut Commissariat des Nations Unies aux réfugiés nous montre les conséquences dramatiques d’un conflit dont les principales victimes sont les civils.

Au moins 19 morts dans une attaque de la police russe contre des "rebelles" tchétchènes
 
LEMONDE.FR | 10.02.06 | 18h16  •  Mis à jour le 10.02.06 | 18h30
 
 
 
 
eudi 9 février, la police russe a lancé une opération de "liquidation" contre une base de présumés "rebelles" à Toukouï-Mekteb, un village de la province de Stavropol, proche des républiques caucasiennes du Daghestan et de Tchétchénie. Au terme de près de 24 heures de bataille rangée entre les 300 membres des forces de l'ordre déployés et les rebelles réfugiés dans une des maisons du village, on décompte déjà dix-neuf morts, sept policiers et douze rebelles. Les autorités ne font pas état de victimes parmi la population locale, les 300 habitants de Toukouï-Mekteb ayant été évacués.  
 
 
 
Le chef local des services spéciaux russes, le général Oleg Doukanov, a justifié cette opération en accusant ces "rebelles" de préparer des attentats dans la région. Un haut responsable de la police régionale a notamment évoqué parmi ces projets une "prise d'otages dans une école".
 
Les autorités ont mis en cause des rebelles appartenant au "bataillon de Nogaïs", inconnu jusque-là. Descendants des Mongols, les Nogaïs sont une ethnie turcophone présente au Daghestan. Ils n'avaient pas été impliqués dans des affrontements avec les forces russes depuis le début de la seconde guerre russo-tchétchène. De source policière, on indique que cette attaque fait suite à l'arrestation de trois "rebelles" en possession d'armes dans une autre ville de la région, Piatigorsk.
 
Les télévisions russes ont largement montré, vendredi 10 février, les images de ces policiers et militaires lourdement armés extray ant des cadavres d'une maison effondrée. Un porte-parole du ministère de l'intérieur indique que plusieurs "activistes" ont pu se cacher et doivent encore être "nettoyés".
 

Explosion dans une base russe en Tchétchénie : au moins douze morts
LEMONDE.FR | 08.02.06 | 11h37
 
 
u moins douze personnes ont été tuées et plus de vingt blessées à la suite d'une explosion survenue, mardi soir 7 février, dans une base militaire russe en Tchétchénie, ont annoncé mercredi des responsables locaux. L'explosion a provoqué l'effondrement de la caserne de deux étages de Kourtchaloï (est de la Tchétchénie), abritant le bataillon Vostok, une unité d'élite russe où servent uniquement des militaires de nationalité tchétchène.
 
 
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moi j'ai tapé sur google "petrole tchetchenie"et j'ai tous compris sur le pourquoi de cette tuerie!  
suis bien content d'etre en france ou on na pas de petrole mais des idées lumiéres!!

il y a actuellement un reportage -tres rare de nos jours- sur la tchetchenie sur arte.
 
edit: ca vient de se finir.

Le Conseil de l'Europe dénonce la torture en Tchétchénie
LE MONDE | 26.01.06 | 14h00  •  Mis à jour le 26.01.06 | 14h00
 

ARMEE RUSSE
 
Lettre ouverte au ministre de la Défense : Reporters sans frontières dénonce des propos scandaleux contre les médias
 
 
A l'attention M. Sergueï Ivanov,
ministre de la Défense de la Fédération de Russie
 

Villepin appelle au respect des droits de l'homme en Tchétchénie  
AFP 14.02.06 | 14h50

Interview d'Arbi, chanteur tchétchène, à la page "monde' de Métro aujourd'hui

 
 
le pauvre, je suis de plus en plus péssimiste pour le futur de la tchétchénie.
 
la russie reprend ses vieilles attitudes dictatoriales, il n'y a qu'à voir comment les ong sont maintenant mises sous le controle permanent du gouvernement.
ajouté à cela qu'il n'est pas dans l'intérêt des gouvernements occidentaux de trop critiquer la russie, car elle peut avoir un rôle important dans le cadre du nucléaire iranien.
même le hamas s'est converti à la real politik en acceptant l'invitation à moscou.
 
pauvres tchétchènes, le seul soutient véritable qui leur reste est celui des salafis. ils méritent mieux que ça  

http://www.liberation.fr/page.php?Article=363112