Hamas. Le Hamas est une force politique qui a gagné les élections en 2005, qu'on le veuille ou non. Celles-ci ont été appelées les élections les plus démocratiques.

L'Elysée répond fermement à Benyamin Nétanyahou. La présidence française a dénoncé, mardi 19 août, l'accusation du Premier ministre israélien, qui a affirmé un peu plus tôt dans la journée que la volonté d'Emmanuel Macron de reconnaître l'Etat palestinien nourrissait la montée de l'antisémitisme en France. Une déclaration qualifiée d'"erronée" et "abjecte" par l'Elysée. Cette accusation d'Israël "ne demeurera pas sans réponse", peut-on également lire dans le communiqué publié mardi soir, qui réaffirme que "la République protège et protègera toujours ses compatriotes de confession juive. La période exige gravité et responsabilité, pas amalgames et manipulations."

"Votre appel à un Etat palestinien alimente le feu antisémite", a écrit Benyamin Nétanyahou dans un courrier officiel adressé au chef de l'Etat rendu public mardi. "Cela récompense la terreur du Hamas, renforce le refus du Hamas de libérer les otages, encourage ceux qui menacent les Juifs français et favorise la haine des Juifs qui rôde désormais dans vos rues", affirme le chef du gouvernement israélien, alors que le président de la République a déclaré fin juillet qu'il reconnaîtrait officiellement l'Etat de Palestine en septembre lors de l'Assemblée générale des Nations unies.

L'Elysée répond fermement à Benyamin Nétanyahou. La présidence française a dénoncé, mardi 19 août, l'accusation du Premier ministre israélien, qui a affirmé un peu plus tôt dans la journée que la volonté d'Emmanuel Macron de reconnaître l'Etat palestinien nourrissait la montée de l'antisémitisme en France. Une déclaration qualifiée d'"erronée" et "abjecte" par l'Elysée. Cette accusation d'Israël "ne demeurera pas sans réponse", peut-on également lire dans le communiqué publié mardi soir, qui réaffirme que "la République protège et protègera toujours ses compatriotes de confession juive. La période exige gravité et responsabilité, pas amalgames et manipulations."
 
"Votre appel à un Etat palestinien alimente le feu antisémite", a écrit Benyamin Nétanyahou dans un courrier officiel adressé au chef de l'Etat rendu public mardi. "Cela récompense la terreur du Hamas, renforce le refus du Hamas de libérer les otages, encourage ceux qui menacent les Juifs français et favorise la haine des Juifs qui rôde désormais dans vos rues", affirme le chef du gouvernement israélien, alors que le président de la République a déclaré fin juillet qu'il reconnaîtrait officiellement l'Etat de Palestine en septembre lors de l'Assemblée générale des Nations unies.
 
Dans sa lettre, Benyamin Nétanyahou réclame à Emmanuel Macron d'agir avant le 23 septembre. "Je vous appelle à remplacer la faiblesse par l'action, l'apaisement par la volonté, et à le faire avant une date claire : la nouvelle année juive, le 23 septembre 2025", poursuit ce courrier daté de dimanche et transmis mardi à l'AFP.
 
"Je suis préoccupé par la montée alarmante de l'antisémitisme en France et par le manque d'actions décisives de votre gouvernement pour y faire face. Ces dernières années, l'antisémitisme a ravagé les villes françaises (...) Depuis vos déclarations publiques attaquant Israël et signalant la reconnaissance d'un Etat palestinien, il a augmenté", écrit encore Benyamin Nétanyahou, qui mène depuis près de deux ans une guerre à Gaza. Il évoque "une campagne d'intimidation, de vandalisme et de violence contre les Juifs à travers l'Europe", jugeant qu'elle s'est "intensifiée" sous le mandat d'Emmanuel Macron.
 

L'Elysée répond fermement à Benyamin Nétanyahou. La présidence française a dénoncé, mardi 19 août, l'accusation du Premier ministre israélien, qui a affirmé un peu plus tôt dans la journée que la volonté d'Emmanuel Macron de reconnaître l'Etat palestinien nourrissait la montée de l'antisémitisme en France. Une déclaration qualifiée d'"erronée" et "abjecte" par l'Elysée. Cette accusation d'Israël "ne demeurera pas sans réponse", peut-on également lire dans le communiqué publié mardi soir, qui réaffirme que "la République protège et protègera toujours ses compatriotes de confession juive. La période exige gravité et responsabilité, pas amalgames et manipulations."
 
"Votre appel à un Etat palestinien alimente le feu antisémite", a écrit Benyamin Nétanyahou dans un courrier officiel adressé au chef de l'Etat rendu public mardi. "Cela récompense la terreur du Hamas, renforce le refus du Hamas de libérer les otages, encourage ceux qui menacent les Juifs français et favorise la haine des Juifs qui rôde désormais dans vos rues", affirme le chef du gouvernement israélien, alors que le président de la République a déclaré fin juillet qu'il reconnaîtrait officiellement l'Etat de Palestine en septembre lors de l'Assemblée générale des Nations unies.
 
Dans sa lettre, Benyamin Nétanyahou réclame à Emmanuel Macron d'agir avant le 23 septembre. "Je vous appelle à remplacer la faiblesse par l'action, l'apaisement par la volonté, et à le faire avant une date claire : la nouvelle année juive, le 23 septembre 2025", poursuit ce courrier daté de dimanche et transmis mardi à l'AFP.
 
"Je suis préoccupé par la montée alarmante de l'antisémitisme en France et par le manque d'actions décisives de votre gouvernement pour y faire face. Ces dernières années, l'antisémitisme a ravagé les villes françaises (...) Depuis vos déclarations publiques attaquant Israël et signalant la reconnaissance d'un Etat palestinien, il a augmenté", écrit encore Benyamin Nétanyahou, qui mène depuis près de deux ans une guerre à Gaza. Il évoque "une campagne d'intimidation, de vandalisme et de violence contre les Juifs à travers l'Europe", jugeant qu'elle s'est "intensifiée" sous le mandat d'Emmanuel Macron.
 

X Little Think Tank (@L_ThinkTank)
https://github.com/BZHDeveloper1986 [...] g?raw=true️[ https://github.com/BZHDeveloper1986 [...] g?raw=true ISRAËL | https://github.com/BZHDeveloper1986 [...] g?raw=true PALESTINE ]
 
https://github.com/BZHDeveloper1986 [...] g?raw=true Le ministre israélien de la Défense a approuvé le plan visant à prendre le contrôle de la ville de Gaza.

Smotrich's West Bank Plan Isn't Killing the Two-state Solution. Israel Buried It Long Ago
 
Perhaps Finance Minister Bezalel Smotrich's E1 settlement plan is actually doing us all a favor, as we can finally put the nail in the long-sitting Israeli-Palestinian two-state coffin and bury it
 
[…]
 
Finance Minister Bezalel Smotrich, who is also a second minister in the defense ministry, announced on Thursday that the construction plan for the E1 portion of the West Bank is going to be approved.
 
Many human rights groups and the diplomatic community were quick in their condemnation of the move, which would practically cut the West Bank into two separate parts, north and south. While they are right that this plan kills a two-state solution, they are missing one crucial fact: The West Bank is already annexed.
 
 
Last year, almost all governing power in the West Bank, except for those pertaining to security were transferred from the army to the government. They did so by anointing Smotrich second minister in the defense ministry, a job which until then was non-existent.
 
 
In the words of Adv. Michael Sfard at the time, "the move effectively anointed Smotrich de facto governor of the West Bank" and declared it de jure annexation. Those critical of this most recent E1 plan as the assassination of the two-state solution have been asleep at the wheel, not only for the last year, but for well over a decade.
 
[…]
 
The process of ethnically cleansing Area C of Palestinians has moved full swing ahead – with over 70 Israeli outposts established and 50 Palestinian communities expelled by settler violence since this government came into power. Israel approved 24,338 new settlement units in the West Bank thus far this year – more than double what it approved in 2024 .
 
 
The two state-solution has been politically dead for decades. This government just removed all pretense through its actions.
And still, many politicians and diplomats refer to the two-state solution as though it's still feasible, as though Oslo was cryogenically frozen for 30 years.
 
[…]
 
More than a solution, the Oslo era created a status quo, and we are now witnessing its end. Instead, we have fully entered into a new era defined by Smotrich's "decisive plan," which he outlined in 2017 as a young politician and is now seeing through using his vast, unrestrained authority as a minister.
 
[…]
 
In this sense, perhaps Smotrich's E1 recognition is actually doing us a favor, as we can finally put the nail in the long-sitting two-state coffin and bury it.
 
Instead, we need the world to join us in fighting apartheid and demand a just future for all between the river and the sea to live in genuine, legal equality and self determination.