Reprise du message précédent :

Le probleme c'est que l'homme est loin d'etre parfait aussi.
 
En fait en assemblant un tas de pieces imparfaites on devrait tomber sur un truc parfait. C'est donc pas demain qu'on y arrivera

C'est pas demain non, mais si on continue dans ce sens, c'est pas après-demain non plus. C'est pas en reculant qu'on avance.
 
C'est puissant ce que je dis

Ben je propose au moins d'éviter les indicateurs de neuneu, qui sont nuisibles au possible. On pollue la flotte et l'environnement au nom d'une hypothétique "rentabilité" et à la sacro-sainte "croissance". Pour moi c'est un problème, et non des moindres.
 
Mon idée est la vie en communauté, avec tout le bagage que cela comporte : on vit ensemble pour atteindre un idéal commun. Entre autres, que tout le monde vive en sécurité, puisse exercer ses droits fondamentaux, faire progresser la Connaissance scientifique, artistique, exigences que l'on a fini par reconnaître comme étant la condition sine qua non à l'accession au bonheur - terme galvaudé.
Atteindre cet idéal nécessite un point de vue rationnel (au sens large, contenant le respect des émotions), ça commence par mettre la frénésie de consommation à la place qui est la sienne. Actuellement c'est loin d'être le cas, et des gens qui se prétendent pragmatiques et rationnels se permettent de me conseiller de scier la branche sur laquelle je suis assis. Comme j'ai la prétention de pas être complètement débile non plus, je me dis qu'on se fout de ma gueule grave.
 
Aucun système économique ne sera jamais parfait, c'est vrai. Mais c'est pas trop grave parce qu'on a les moyens de soumettre l'économie au politique (c'est à dire à la volonté des gens), et que l'économie à terme est destinée à prendre la place de second plan qui est la sienne.

Moi je dis... Stephen c'est un dangeurux idéaliste, que je soupçonne un peu rouge de surcroit.
 
Au bucher!

et voila, chomeur depuis ce matin
 
enfin j'ai un preavis de 3 mois a faire, j'arriverai peut etre a me caser ailleurs ,enfin j'espere parce que la j'ai pas le moral
 
dites faut dire quoi aux entretiens kan on a été licencié ? il me semble que cai ka moi que ca arrive et je me sens paumé la

Je suis partagé sur ce jugement.
On ne me fera pas croire que du travail il n'y en a pas. Par contre c'est sûr, il faut s'adapter et faire des concessions Je connais un juriste de 45 ans qui s'est fait virer, il a passé un CAP d'électricien et aujourd'hui il gagne mieux sa vie qu'avant.
Il y a quand même beaucoup de chômeurs qui ne se bougent pas du tout, a quoi bon remarquez, s'ils touchent autant en restant à la maison

Ben tu le dit et tu explique pourquoi : y a pas de honte

un docteur en maths n'a pas envie de se taper un boulot de vendeur au MacDo tu peux le comprendre ca ??????????.

Je me suis fait sucrer 1mois de chomage pour avoir fait de l'interim a coté : ca donne pas envie de bosser c'est clair

 
Je connais un docteur en anthropologie qui est caissier chez Carrefour...
 
Edit : anthropologie, pas ethnologie

et ben ctun con.

Je savais bien que ça finirait par ne plus passer  
 
Pas le bûcher, je suis sensible à la chaleur
 
Et commencez pas à me foutre les jetons avec les Docteurs en Maths qui trouvent pas de taf

Le travail c'est une necessité, pas une envie

 
Mais c'est super.

ben t con de penser ca

désolé mais on se tape pas 8 ans d'etude pour passer ses journees a faire un taf de merde. Sinon autant tout de suite supprimer les universités et autres.

 
Faut réfléchir avant... On sait très bien qu'en allant jusqu'au doctorat on se destine -j'imagine- soit à l'enseignement supérieur, soit à la recherche... et que les places y sont -très- limitées

 
praisente !  
 
Licenciée deux fois en six mois, dont une fois à 6.5 mois de grossesse    
 
C'est quoi la raison de ton licenciement ?

plantages sur un soft que j'ai livré au client => manque de resultats pour la boite
 
je suis debutant

Disons qu'une occupation est une envie, un travail une nécessité - plus ou moins. Si un jour des machines prennent en charge nos besoins à 95%, on aura des occupations (qui sont un travail pour une minorité privilégiée, les chercheurs par exemple) qui seront profitable à nous-même et à la société.

dans mon optique il faut essayer au maximum de concilier travail et plaisir parce que  
1)c'est bien pour l'epanouissement personnel
2)on est tout simplement beaucoup plus efficace et productif

 
ben voilà licenciement pour raison économique, s'tout.
 
Le fait d'avoir été licenciée deux fois ne m'a pas gênée pour retrouver très vite (les deux fois).

Dans la mienne aussi : depuis le début du fil je milite pour que l'on reconnaisse que le but c'est d'avoir un travail qui soit une occupation (au sens que je viens de définir )

   
Faut etre concient que les etudes sont un choix mais aucunement une garantie, sinon on pourrai fermer pas mal de sections qui forment de futur chomeur

je rejoins ton combat  

C'est vrai que bon, l'interet des lettres classiques

vive les Mathématiques Appliquées

y'a plein de filles
 
pas comme a bellevue

Vivent les maths pures

je sens venir les conflits entre ecoles de matheux

Non, j'ai aussi fait du numérique (je suis une erreur du système d'école d'ingé, à qui un rapprochement inopiné avec une Fac a permis de faire essentiellement des maths pures pour au final pouvoir décrocher un titre d'ingé )

 
j'entame bientot une these la dedans
 
alors cpiur ca que je defend cherement la peau des bac + 8

   
 
 
Botty ?

Moi j'entame dans quelques mois une thèse en Géom' Riem
 
On combat ensemble ?

d'ac mais laisse moi le temps de faire mon DEA

Je comprend mieux tes post plus haut  

Les sciences humaines et sociales et les sciences techniques sont aussi importantes l'une que l'autre. Le raisonnement que la fac forme de futurs chômeurs est nul.
 
Après c'est sur que si on cherche la rentabilité immédiate ...

Alors la tu vois franchement, je vois mal un philosophe construire un pont ou deposer un brevet qui rapportera de l'argent a la nation, meme a echeance pas immediate  

Oui hein. John Nash, qui a planché les quatre années de sa thèse sur des questions de plongements isométriques de variétés riemanniennes et néanmoins prix Nobel 1994 d'Economie doit lui aussi comprendre mes posts plus haut