Reprise du message précédent :
Bordel

Excellent.  

#Rallye #CR #ANDES
 
SPRM - SPHO
 
 
Bon cette étape est plutôt longue, plus d'une heure apparemment.
 
 
PAS LE TEMPS
 

   
 

à peine décollé, AFTERBURNER    
 
HIGHWAY TO DANGERZONE    



 
 
un peu d'air frais

 
 
ET ON REPLONGE    

 
 
Désolé pour les fenêtres    

 
Après 20min de youpi, on rate la piste, demi tour et on la prend à l'envers    

 
Parké  dans le pré  

 

Le super hornet a vraiment la capacité de rester aussi longtemps en afterburner ?

Sans bidons, je ne crois pas.

J'ai coupé l'afterburner à hauteur d'Isto.

Je suis parti avec 50% et à Quimto panne sèche  

#CR #ANDES
 
SECU-SPPY
 
 
Impatients de retrouver votre série « Les ailerons de l’Amour » ? Voici la suite !

 
A peine franchie la porte de l’aérogare, Diego remarque instantanément Chiquita. Et comment ne pas la remarquer !  
Très semblable à Elena, sa sœur, mais… avec quelque chose en plus. Plus solaire, plus séduisante (est-ce seulement possible ?!), plus… plus tout.  
 
Lorsqu’il vivait avec Elena, Diego était secrètement amoureux de Chiquita. Que de nuits à rêver d’elle, que d’étreintes avec Elena où il avait pourtant envie d’hurler son nom à elle.  
Pourtant, impassible, il la salue froidement.  
 
Inutile de faire le plein, les deux réservoirs principaux sont pleins. Un sérieux tour de l’avion effectué, le trio embarque. Aimable, Elena laisse à sa sœur la place de devant, avec la meilleure vue.  
 
 
Méthodique et concentré, Diego met en route et roule vers la piste. Hélas, l'appareil photo est en panne.  
 
« Si tu n’es pas pressée Chiquita, nous ferons du vol à vue le long de la route, c’est très beau. Mais peut-être as-tu un rendez-vous médical ?
- Non, rien ne presse, merci.  
- J’espère que tu n’es pas trop malade ?
- Tu es gentil, ne t’inquiète pas. Je fais faire une retraite à la Laguna Macun à l’ouest de Pampacancha, à côté de Castillo Punta.
- Une retraite ?
- Oui, c’est pour l’instant un traitement qui pourrait faire effet.  
- Diable !
- Et oui, il n’y a personne dans ce désert s’exclame Elena. Sûrement le meilleur endroit pour calmer une nymphomane !
- Hein ?! bredouille Diego
- Et oui, j’ai été frappé de nymphomanie frénétique ces derniers mois. Une frénésie terrible.
- Mais pourquoi ne m’as-tu rien dit ? demande Diego. Enfin, je veux dire, que tu étais souffrante, essaye-t-il de se rattrapabrancher.  
- On décolle, peut-être, s’impatience Elena »
 

 
Le temps est radieux et la vue superbe. Elena et Chiquita profitent de leur vue vers l’ouest du pays, tandis que Diego profite aussi de la vue vers l’ouest, vers deux monts fascinants.  
 

 
Les virages s’enchaînent, l’ambiance est bonne à bord. Les filles discutent, les yeux rivés vers les montagnes.  
Aussi, Elena n’a pas remarqué que la main de Diego caresse depuis quelques nautiques la cuisse gauche de Chiquita, qui ne laisse rien paraître.  
Il s’engaillardit alors et monte un peu plus haut. A l’extérieur, une dense forêt humide s’étend sous les yeux du trio. Et sous les doigts de Diego, je ne vous raconte pas.
 

 
Chiquita sursaute, Elena continue de parler. Diego persévère, comme si de rien était.  
Chiquita tremble doucement, puis se met à gémir. Craignant qu’Elena ne se rende compte de ce qu’il se passe, il se tourne alors vers les filles.  
Le visage de Chiquita est violet. Diego se dit qu’il lui fait vraiment beaucoup d’effet, avant de remarquer le lacet autour de son cou, lacet fermement tenue par Elena qui lui jette un regard plein de haine et de mépris.  
Chiquita commence à convulser et son entrejambe se resserre brutalement. Diego essaie tant bien que mal de récupérer sa main, mais sans succès. Il hurle à Elena de lâcher ce lacet mais elle demeure silencieuse, continuant d’étrangler sa sœur d’une main d’acier.  
Chiquita gigote tellement que l’avion bouge, Diego hurle toujours, et Elena reste muette.  
Puis le corps de Chiquita retombe et s’amollit d’un coup.  
 
Un grand silence meuble l’habitacle. Diego n’y croit pas, d’autant que sa main est toujours coincée.  
 

 
Elena brise le silence d’une voix blanche :  
« Pendant des années j’ai eu des doutes. Tu es un porc Diego. Je t'aurai bien étranglé toi, mais je n'ai pas envie de m'écraser dans ces montagnes."
 
Et le silence retombe.  
 
Diego décide de se poser au plus près, à Chachapoyas. Il prévient la tour en anglais, langue qu'Elena ignore, qu'il faudra la police à l'arrivée, et une ambulance.  
Sa main droite, toujours coincée, l'informe que Chiquita commence à refroidir.

 
Le Comanche n'est pas facile à maitriser avec une seule main, surtout la gauche. L'appareil rebondit une fois, deux fois, trois fois et le seuil de piste approche dangereusement. A grands regrets, Diego remet les gaz et l'avion monte péniblement en crachant tout ce qu'il peut.  
Un tour de piste plus tard, Diego se pose en douceur,  puis roule jusqu'au parking, où attendent l'ambulance et la voiture de police.  
Elena lui jette un regard noir et le silence devient total une fois le moteur coupé.  
 
 
 
Diego récupèrera-t-il sa main ?  
Elena arrivera-t-elle à refaire ses lacets ?  
Qui est donc ce mystérieux inspecteur qui s'approche du Comanche de Diego ?  
 
Réponse dans le prochain épisode !
 
https://fshub.io/flight/2952515/report

MAIS QUOI§§§§§!!!      
 

Le mec est fou

Je serais curieux de voir les bouquins de sa bibliothèque

vivement la suite !  

SAS a trouvé sa relève    

Mais trop de questions en suspens !

(on voit bien les multiples touchés. Le pilote romancier aurait-il mit du sien et piloté... de la main gauche ?  
Uniquement dans un souci de réalisme   )

#CR #ANDES
 
SECU-SPPY  
 
Un comanche a besoin d'un coup de main  , enfin, il parait.
 

 
La météo est dégueu, mais un ami a la corde au cou. C'est parti !
 

 
   

 
Euro Truck Simulator TM    

 
Le mont Diego. Enfin, il parait    

 
La gorge Chicita, enfin, il parait  

 
Après toute cette pub, il est temps d'aller donner un coup de main (mais pas que).
On regarde les charts pour voir comment réussir notre touché sur cet AD (très bien placé, l'AD).

 
Merci !      
 
Donc, on suit la doc, et on se pose à vue.

 
On reste ouvert, enfin, plus qu'Elena, pour l'instant, il parait

 
On se décharge, enfin, plus que Diego il parait  

Chouette CR, il paraît  

Excellent.
 
Qu'est ce que tu penses de l'update du BAE 146, je n'ai pas encore testé.

Il passe vraiment partout ce petit gros  

C'est une V1 avec l'UNS.
Quelques ajouts sur l'EFB, mais pas indispensable.
Par contre, bien buggué (démarrage des moteurs, et l'UNS).

 
En tout cas, plus vite qu'un Comanche dans les Andes.
 

Meuh non.
 

Tu serais surpris    
 

La maison ne recule devant aucun sacrifice    
 

 
   
Il a une bonne bouille ce BAE.  

Ok, je vais voir ça.
 
Merci du retour.  

#CR #ANDES #3
SPPY-SPGL
 
 

 
 
Alors que les ambulanciers ont sorti Chiquita et Diego de l’avion et la police a embarqué Elena, un joli quadriréacteur se pose délicatement sur la piste.  
Aucun marquage sur sa livrée d’un blanc presque immaculé. Sûrement un avion officiel !
 
Dans un subtil bruit de ventouse, Diego récupère enfin sa main droite.  
 
Un élégant inspecteur gominé descend du BAE et se dirige vers Diego, souriant et la main tendue. Son sourire s’estompe lorsqu’il saisit la main de Diego pour la serrer.  
 
Il se présente : Inspecteur Derriko Hi, de la Paz.  
De la Paz ! C’est le mari de Maria, Maria Hi, l’amante de Diego. Mari qui ignore tout de leur liaison, évidemment.
 
Il propose à Diego de discuter de ce qu’il s’est passé dans son avion, pendant que celui-ci l’amène à Huaraz où il continuera son enquête chez Chiquita.  
 
 
Le plein est fait, mise en route, roulage, décollage.  

 
« Tu permets que j’ouvre la fenêtre ? Ça sent un sacré mélange dans ton avion. »
 
 

 
L’inspecteur Derriko observe attentivement l’intérieur de l’appareil depuis leur départ de Chachapoyas.  
« Tu as transporté un barbu ?
- Pardon ?
- Là, ce poil frisé, c’est bien d’un barbu non ?  
- Attendez, montrez ? Désolé, je ne vois pubien. »
 
 

 
« Bon, alors, il faut que tu me racontes ce qu’il s’est passé, Diego ; annonce Derriko. Je te le dis direct, ça ne sent pas bon pour toi. »
 
Tel le pastis sous l’eau, Diego se trouble.  
 
« Tu pourrais être de mèche avec Elena, pour te débarrasser de sa sœur. Tu savais qu’elle hériterait d’un gros pactole, hein ?  
- Non, j’ignorais.
- Et vous êtes amants, non ?  
- Non, pas du tout.  
- Ah bon ? Et que faisiez-vous à Latacunga ? Une halte qui ne manquait pas de SELT non ?
 Diego reste muet.  
- Tu vois, tu n’es pas digne de confiance. Cette histoire de main coincée, je n’y crois pas.  
- Mais inspecteur, vous demanderez aux infirmiers.  
- Non, je ne crois que ce que je vois. Tu vas te poser, là, au plus vite, et je te tiens la main droite. »
 
D’un geste brusque, l’inspecteur Derriko saisit la main droite de Diego, geste qu’il regrette assez rapidement.  
 
 
Diego se met alors à chercher l’aéroport le plus proche. Bon, ce sera Chagual, au fond de la vallée.  
 
« Chagal ? Va, va, répond Derriko. »
 
Diego amorce alors la descente vers cet aéroport où il n’est jamais allé. Enfoncé au creux d’une vallée, l’approche n’a pas l’air si facile.  

 
Diable ! Au détour d’un virage, alors qu’il pensait avoir tout bien calculé, voici le bout de la piste qui apparaît !  

 
Trop haut, mierda.  
 
« Vous connaissez le condor inspecteur ? J’aurai quand même bien besoin de mes deux mains, là
- Non
- Bon. Ça vous va alors comme épitaphe « Il lui tenait la main » ?
- J’ai dit non.»
 
Diego sort les trains et tous les volets pour ralentir au maximum l’avion dans sa descente. Encore trop haut, il survole la piste, et fait un demi-tour dans un mouchoir de poche. En face, ce n’est guère mieux et le voyant « Stall » s’allume dangereusement.  
Derriko est verdâtre mais se cramponne à la main de Diego.  
 
Enfin, l’avion pique vers la piste, un peu trop vite au goût de Diego. Au raz du sol, l’avion file à toute vitesse. Heureusement, la piste est longue.  
 
Dès que l’avion touche le sol, Diego rentre les volets et appuie vigoureusement sur les freins. Puis, tirant le yoke vers lui, le freinage se fait plus ferme.  
 
Grinçant et branlant, le Comanche s’immobilise tout au bout de la piste, près des broussailles.  
 
« Bon, on est bon pour changer les plaquettes je crois ! Et de slip. Tu me lâches la main maintenant inspecteur, j’ai envie de pisser. Ou bien tu comptes venir avec moi ? »
 

 
Derriko laisse sortir Diego et le regarde se diriger vers le bâtiment. Il s’empresse alors de jeter un œil au sac de Diego posé sur la banquette arrière. Plusieurs revues, divers papiers, une lettre. Il lit tout, tout.
 
Quelques décilitres d’urine plus tard, Diego retrouve l’inspecteur Derriko à la cafeteria. Ce dernier a le regard noir, fermé, presque haineux.  
 
« Je crois que j’en sais assez, aboie Derriko, puisqu'il a tout tout lu. Je vais rester ici, repartez sans moi, je trouverai bien un taxi. »
 
Alors que Diego s’apprête à acquiescer, la porte s’ouvre.  
 
 
Mais qui entre donc ?  
Le café est-il encore chaud à la caféteria ?  
De quelle couleur est le chien de l'inspecteur ?  
Qu'a fait Derriko après avoir lu la lettre de sa femme Maria Hi ?
 
Vous le saurez en regardant le quatrième épisode de :  

 
https://fshub.io/flight/2954576/report

Dans un subtil bruit de ventouse    
 

#Rallye #CR #ANDES
 
SPHO - SPZO

On quitte la jolie ville d'Ayacucho

Pour rejoindre les belles montagnes

Mauvais temps au sol

Sahuasiray - 5818m

La rase campagne au milieu des montagnes

En fait on était parfaitement aligné depuis le décollage

ça passe

Parké avec les grands  

Ce tableau n'est pas du tout fiable.
Depuis quelques temps chez moi il ne compte que l'atterrissage, et pas le décollage...
Parfois rien.

@tinc : c'est mieux que Netflix (je suis sérieux)
 
@Kewyn : j'ai rarement vu des screens de si grande qualité les uns à la suite des autres. Tu rejoins Tiibo sur l'aspect qualité ! J'adore.
Pour l'écran de vol, ca ne fonctionne tellement pas que je l'ai désactivé.

Désolé, je ne vois pubien.
 

 
Tu exagères !
 

#CR #ANDES
SPGL-SPHZ-SPNC
 
 
Aujourd'hui un nouvel épisode, Trouble dans les andains. Un TL;DR est disponible en bas de page.  

 
Dans l'épisode précédent :
A Chagual, Diego sirote un café bien mérité, et l'inspecteur Derricko le rejoint à la caféteria.  
Obscur, renfrogné, il annonce à Diego qu'il ne poursuivra pas sa route comme prévu, mais qu'il restera ici pour rebrousser chemin.  
Un peu surpris mais aussi un peu sonné par la suite d'événements, Diego n'insiste pas.  
La porte de la cafeteria s'ouvre alors.  
 
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
 
"Maria ! s'exclame l'inspecteur.  
- Maria ? demande Diego
- Derriko ! s'exclame Maria
- Chouchou ? demande le barman
- Hein ?! s'exclament les trois autres
- Boisson fraîche ? demande le barman
- Pffff, soupirent les trois autres
- Maria ! s'exclame Derriko
- Maria ? redemande Diego
- On ne va peut-être pas recommencer ! s'exclame Maria
- Tu as raison, reconnaît Derriko
- C'est pas faux, surenchérit Diego
- Diego, je te présente Maria Hu, la sœur de mon épouse
- Enchanté Madame, poli Diego. Il avait bien entendu reconnu la sœur de son amante, dont Maria Hi lui avait montré de nombreuses photos.  
- Mademoiselle.  
- Enchanté Mademoiselle, repoli Diego.
- Dites, vous êtes pilote non, Diego ? Vous ne pourriez pas m'arracher de ce trou à rat ?!
- Et oh !! s'exclame le barman
- Mais avec grand plaisir, répond Diego, dont la fine taille, les hanches généreuses et les  
- Une tisane Monsieur ? propose le barman
- Non non, attends Maria, tu devrais plutôt repartir par la route avec moi, s'exclame Derriko.  
- La route ?! Mais c'est interminable !  
- Oui, mais... C'est.. c'est mieux !  
- Derriko, j'adorerai passer quelques heures avec toi, répond Maria Hu avec un sourire qui ferait fondre le cérumen d'un célibataire, mais j'aimerai prendre un peu de hauteur, tu n'as qu'à venir toi aussi, on s'installera sur la banquette arrière, clin-d'oeille-t-elle"
 
Malgré l'intense vague de chaleur qui assaille Derriko, celui-ci décline raidement. Il insiste encore, malgré tout, pour que Maria, sa belle-sœur avec qui il entretient depuis quelques mois une relation adultérine, ne prenne pas ce maudit avion, mais rien à faire, elle part avec Diego, qui se frotte les mains qu'il a enfin propres.  
 
 
 
Du comptoir, au milieu d’un nuage de fumée, s’élève une voix éraillée :  
« Alors, tu l’as dans l’os Chef ! La limaille dans le réservoir d’huile et les trous dans l’circuit de carburant, c’est mieux quand ta poule monte pas dans l’avion après, non ?!
- Qsfghmhlp ! s’exclame Derriko
- Eh oui. T’inquiète pas Chef, je n’ai rien vu.  
- Mais il faut les suivre, les rattraper.  
- Faut voir.  
- 15 000 !
- Dollars j’espère, sinon, je reste au Sol.  
- Va, vite.
- Au fait, enchanté, Lavallo. »
 
Quelques instants plus tard, Derriko est sanglé, casqué, dans l’étroite carlingue de l’appareil de Lavallo.  
« Et surtout, tu touches à rien hein ! »

 
Aussi fuselé que soit le fuselage, s’échapper de ce trou à rat n’est pas si évident. Une boucle dans la vallée du Río Marañón permet de prendre rapidement de l’altitude. Une petite tache blanche se dessine dans le ciel bleu, laissant une trainée de fumée noire.  

 
 
A bord du Comanche, c’est une légère nervosité qui règne. Le moteur racle, renâcle, proute et rouspète. Jamais vraiment à l’aise à la montagne, le petit Piper est là vraiment à la peine pour prendre de l’altitude. Le granit impassible, lui, guette.  
 
« Tu m’as pressé Maria, mais j’aurai dû faire un tour d’avion un peu plus sérieux. Là, ça sent pas bon.  
- L’huile non ?
- Oui, ça sent l’huile, mais aussi
- Le cul.  
- Hein ?
- Ben, ton avion, Diego, il sent le cul. C’est un vrai baisodrome ou je me trompe ?
- Là, c’est surtout en train de devenir un cercueil. Pourquoi le réservoir droit est vide ??? »
 
 
Là ! Approche toi ! hurle Derriko dans la radio de Lavallo.  

 
Le Pilatus vient se caler à côté du Comanche faiblissant. Derriko enlève son masque et fait signe à Diego de faire demi-tour. Diego hausse les épaules.  

 
 
Dans un vrombissement, le PC21 de Lavallo passe devant le Comanche.  

 
Comanche dont le moteur s’arrête dans un ultime crachotement.  
« L’avantage quand tu es pas très loin du sol, c’est que tu tombes de moins haut », philosophe Diego dont ce furent les dernières paroles. Tentant de regagner de la vitesse par une déclivité, il cherche l’endroit le moins pire pour vacher son PA-24.  

 
Dans le Pilatus, le silence s’est fait aussi. Le Comanche disparaît dans un creux du terrain et à la vue de Derriko. Puis c’est un boum, et un panache de fumée qui s’élève de la montagne aride.  
 

 
« Ça, c’est fait ! fatalise Lavallo. Accroche-toi, on va faire un petit tour pour te changer les idées. »
 

 

 

 
Un petit coucou aux copains de Huaraz

 
Le coin est très beau, et la pulpe a bien été secouée !

 
 
   

 
Descente finale dans lavallée

 
Et une arrivée qui fait penser à un célèbre aéroport autrichien !

 
 

 
 
Derriko est abattu. Même s'il l'est moins que le Comanche, une lourde cupabilité pèse sur ses épaules musuculeuses. Il va, d'un pas lourd, au bar de l'aéroport, tenter de noyer sa peine.
 
Alertera-t-il les secours, au risque de devoir tout expliquer ?  
Diego a-t-il survécu au crash ?
Les imposants airbags de Maria Hu ont-ils été utiles ?
 
 
https://fshub.io/flight/2956936/report
 
 
TL ;DR
Diego s’envole avec Maria Hu, sœur de son amante et belle-sœur de Derriko. Celui-ci trompe sa femme avec elle. Il a saboté l’avion de Diego et n’arrive pas à empêcher Maria Hu de partir avec Diego.  
Derriko s’envole avec Lavallo, vieux briscard qui traînait dans le coin, pour poursuivre Diego. Il assiste impuissant au crash du Comanche. Lavallo l’amène à Huánuco après un petit détour pour essayer de lui changer les idées.  

On va de rebondissement en rebondissement

'- Mais avec grand plaisir, répond Diego, dont la fine taille, les hanches généreuses et les  ' ?
Notre imaginaire en suspens !

#CR #ANDES

SPPY-SPGL

Elena apparait sur le tarmac, à la recherche d'un avion.
Elle tombe sur un vieux Bae 146 parké, son pilote, Gustavo del Lapiyou,  assoupi à l'ombre de l'aile.

"- DEA, il me faut un vol pour Chagual."
Stuppeur !!! Elena est en fait une agent DEA infiltrée !

En vol, Elena indique à son pilote de prendre un cap à droite, afin de suivre la trace de Diego
"- Prenez un cap à droite, vers ce fleuve. M. Morales est réputé pour aimer arpenter son lit.
- Oui Madame."

A mesure que notre avion s'enfonce dans cette enclave, la tension monte dans le cockpit.
"- Vous savez c'est dangereux de voler si bas avec un si gros appareil.
- Gustavo, cela va bien se passer."

Alors qu'ils passent verticale Chagal :
"- Là ! S'exclame Elena, notre chacal est là ! Posez vous !
- Mais ce n'est pas possible, la piste est bien trop petite !
- Ce n'est pas la taille qui compte, allez y, faites cela pour votre pays ! Enfin pour les Etat-Unis !"

Ayant bien compris les enjeux, Gustavo tente une approche par le sud.
"- Nous allons tenter une approche rapide et directe."

Mais il arrive trop rapidement :
"- Je suis trop rapide.
- Oui, je ne suis pas habituée, répond Elena mal à l'aise.
- Nous pouvons essayer par le nord, mais cela risque de taper fort.
- Cela ne me dérange pas."

Et ils tapèrent fort.

Alors que Gustavo constatait une chaleur étouffante dans le cockpit

Elena lui ordonna :
"Ne bougez pas, je vais chercher Diego !".

#CR #ANDES
 
SPGL-SPHZ
 
Elena revient :
"- Il n'est pas là. Il semble accompagné par un inspecteur aux origines françaises.
- L'aérodrome le plus proche est l'aérodrome Comandante FAP Germán Arias Graziani.
- C'est long.
- La piste ?
- Non le nom.
- Non ?
- Non, le nom est long.
- Non de non ?
- Non, le nom de l'aérodrome, Comandante FAP Germán Arias Graziani, c'est long.
- Oui je sais."
 
 
Démarrage à fond, volets à 30°.
 

 
Elena était inquiète, ils étaient bien bas.
 

 
Elle n'était pas non plus sûre de trouver Diego à l'arrivée. Toutes ces années en infiltration pour rien !
Les alarmes du cockpit brisèrent ses pensées.
 

 
Le moteur #1 venait de s'éteindre.
 
Gustavo appliqua la procédure qu'il avait répété de nombreuses fois, et qu'il répétait à quasi chaque vol.
 

 
Le moteur démarra !
 

 
"- C'était ch... " s'exclama Elena, avant de s'évanouir.
 
Gustavo ne traina pas, et se posa rapidement à l'aérodrome Comandante FAP Germán Arias Graziani.
 
 

Une véritable écriture en 4 mains    
 
Quand tu dis que ça a tapé fort... ça a tapé... fort ?

Sont tous dingues dans ce rally

Il nous fais un SAS dans les airs.    
 
Vous croyez qu'il va arriver à faire fermer un topic FS pour pornographie.    
 

#CR #ANDES
 
SPNC-SPGM-SPNE-SPAI-SPRM-SPHO
 
Cinquième épisode, ContrebAndine.

 
Le lendemain matin, Lavallo trouve Derriko au même endroit, le bar.  
Il est verdâtre (Derriko, pas le bar), avec des cernes jusqu’au menton. Le laissant à ses régurgitations à venir, Lavallo monte dans son petit bolide rouge pour ses livraisons du jour. Ce qui est important dans la contrebande, c’est la ponctualité.
Et puis Derriko a de la compagnie, un petit chien blanc.
 
Direction donc Tingo Maria (ahh Maria !) pour un premier largage.  

 
Puis Santa Lucia pour se délester du second bidon. Pratique ces bidons, discret et solide à la fois.  

 
Un petit signal de fumée, comme convenu, pour indiquer que le paquet est au bon endroit et en route vers Urplay pour récupérer de la marchandise.  

 
SPAI en vue !

 
 
 
Posé en douceur, (-49   ) on stoppe juste le temps de récupérer le chargement.  

 
 
Et tout droit vers San Ramon pour faire un petit coucou aux copains avant la destination finale, Ayacucho.

 

 
 
Changement de décor.

 

 
https://fshub.io/flight/2959070/report
https://fshub.io/flight/2959163/report

 
Je vais pas non plus faire tout le boulot    
 

 
Bordel    
 

#Rallye #CR #ANDES
 
SPZO - SPQU
 
J'ai décidé de faire cette étape dans un petit coucou    
 

Le DARKSTAR    
 

Eclipse    
 
Vous connaissez la procédure accélérer avec le darkstar j'imagine, donc:
 

On grimpe
 
 
J'AI DIT ON GRIMPE

 
 


 
 
et on redescend    

 

Merde à monter descendre on rate la piste, faut dire 5 minutes c'est vite passé
 
Demi tour !
 
 
Freinage à la Cobra

 
 
et.....

 
Parké    
 
 
Les plus assidus d'entre vous auront peut être remarqué que l'avion n'est pas le même sur cette dernière image
 
Il se pourrait bien que le freinage cobra ne soit pas adapté à Mach 2 et que j'ai un peu géné le voisinage en emportant le dit voisinage dans un *petit* crash  
 
 
Du coup j'ai refait le trajet en A320 Neo  

#CR #ANDES #V2
SEQM -> SPPY
 
Bon, parait que c'est un grand n'importe quoi en milieu de parcours, y a un Darkstar, un gominé en Comanche, des agents étrangers en PC21 et un autre cinglé en BAe146... On dépeche une patrouille sur place, jusqu'à SPPY pour aller faire des patrouilles dans les vallées

 

 
Bon, la piste SPPY n'ayant pas de cable pour l'appontage, on a fait un peu de posé viril, on répare le train et on repart