Je trouve surtout que ce sui transpire de son message c'est la suffisance et le mytho...  et le "je suis un cador, servez moi un apprentissage chez Bain et un MBA à l'Insead sur un plateau" ça va deux minutes

Mec, si un boatpeople vietnamien ne peut plus lever 2.2bn pour un fonds cleantech tranquillement sans se faire traiter de mytho, où va-t-on ?    

 
Ma micro expérience de ce forum me met la puce à l'oreille sur le gugusse qui se cache derrière l'écran maintenant à la lecture d'un message ... surtout dans le style la ... puis franchement le mec qui part tout de suite sur ses grands chevaux à vouloir se justifier, le seul truc qu'il me donne envie de faire c'est de le victimer victimiser  

 
   
 
Victimer <> Victimiser
 

Autant pour moi.
Euh pardon, au temps pour moi

 
Et bim!  
 
  >>>>  
 
Au fait, je vais bien   Explosions meurtrières dans le métro de Moscou

 
   
tu ne prends pas le métro

   
Va te déplacer autrement à Moscou

Autant pour moi.
Euh pardon, au temps pour moi

 
Je pensais que l'unique mode de déplacement à Moscou c'était le Porsche Cayenne    
 

Ce n'est pas un mode de déplacement, c'est un signe extérieur de classe moyenne Le concept de déplacement en voiture est dépassé
 
Moscou le jour : http://eho.snoi.ru/probka.jpg
 
Moscou la nuit : http://cardriver.ru/files/u1883/probki10_1.jpg
 

 
Quand tu sors à 3h du matin de chez GS, tu fais comment ? Tu rentres en hélico ?  
 

Bien sûr :  
http://www.pernod.fr/pub/fonds_ecran/zubrowka_1024.jpg
 

 
Et bim!  
 
  >>>>  
 
Au fait, je vais bien   Explosions meurtrières dans le métro de Moscou

Il y a des hélicos navettes toutes les demi-heures environ, ils desservent les quartiers dortoirs et les boîtes de nuits

Maintenant tout le monde te tombe dessus et se fout de ta gueule parceque a la base t'es pauvre... Vive HFR....

3. Il est capable de laisser son égo au vestiaire: que ceux du forum qui en sont capables ici lèvent la main...

Autant te préparer au monde du conseil, les profils dans ton genre sont extrèmement rare, et pour honnête, ils ne s'intègrent pas vraiment chez les 'biens nés'
Tu seras rapidement dégouté des gens dans ce métier

Tu insinues que c'est un métier de petits merdeux fils à papa?

 
Oui j ai vu ca...
 
c etait d ailleurs ma ligne quand j etais a moscow... c est chaud    
 
Par contre, c etait pas trop sur ton chemin je pense?

 
+1
 
3. Il est capable de laisser son égo au vestiaire: que ceux du forum qui en sont capables ici lèvent la main...
 

 
Tu insinues que c'est un métier de petits merdeux fils à papa?

 
Après avoir fait les trucs les plus grotesques dans l'industrie, je passe mes journées à faire des slides absurdes sur des sujets improbables, alors que potentiellement je pourrais avoir un vrai job dans une vraie boite avec des vraies responsabilités  

 
J'ai aussi eu ce feeling dans le conseil .... sentiment de vacuité inoui et intense .... malgré l'intitulé des cas.
Je n'ai jamais compris mes rares collègues qui y prenaient du plaisir.
 
Pour moi c'était plus chercher à se motiver par tous les moyens: "2 ans", "l'ambiance est sympa et stimulante (ce qui est vrai)", "la plupart des gens sont brillants", "cette compagnie recrute des gens sympas et humbles, du moins ici aux US (ce qui est vrai)", "intéressant d'être au coeur des secrets de ces grandes compagnies (j'ai eu des cas en or massif)", "tu apprends des choses", "bien en terme de crédibilité pour une 1ère expérience corporate", "le réseau et le brand name valent quelques sacrifices".
 
Mais je n'ai jamais percu cet excitement, cet emballement, que j'ai sentis en faisant d'autres jobs. Au final c'est un exercice indirect, low risk-low rewards, ou tu ne vois pas les fruits de ton travail, dans une culture ou la critique est de mise, qu'elle soit constructive - ou pas. Sans compter le burnout (96% de staffing client - no beach time for me - 4 j à l'hôtel par semaine - 15j de vacances/an quand pas annulées en derniere minute cuz "we really need you on this biomed strategy case" ).
 
Etant donné le stress permanent et le nb d'heure que tu y passes, je crois que c'est le plus frustrant !
Cette décorrélation entre énormes efforts fournis et résultats virtuels, imperceptibles.
 
J2
 
 
NB: mais bon, I am not complaining too much, si c'était à refaire, je le referai, same place, same people, in a heartbeat, mais pour les bénéfices associés. Pas pour le plaisir.
 
C'est juste qu'il faut savoir à quoi s'attendre. Beaucoup des gens qui n'avaient pas fait le summer internship sont un peu tombé des nues. Ces marques se marketent excellemment bien, et mettent tout en avant ... hormis le day-to-day job.

 
J'ai aussi eu ce feeling dans le conseil .... sentiment de vacuité inoui et intense .... malgré l'intitulé des cas.
Je n'ai jamais compris mes rares collègues qui y prenaient du plaisir.
 
Pour moi c'était plus chercher à se motiver par tous les moyens: "2 ans", "l'ambiance est sympa et stimulante (ce qui est vrai)", "la plupart des gens sont brillants", "cette compagnie recrute des gens sympas et humbles, du moins ici aux US (ce qui est vrai)", "intéressant d'être au coeur des secrets de ces grandes compagnies (j'ai eu des cas en or massif)", "tu apprends des choses", "bien en terme de crédibilité pour une 1ère expérience corporate", "le réseau et le brand name valent quelques sacrifices".
 
Mais je n'ai jamais percu cet excitement, cet emballement, que j'ai sentis en faisant d'autres jobs. Au final c'est un exercice indirect, low risk-low rewards, ou tu ne vois pas les fruits de ton travail, dans une culture ou la critique est de mise, qu'elle soit constructive - ou pas. Sans compter le burnout (96% de staffing client - no beach time for me - 4 j à l'hôtel par semaine - 15j de vacances/an quand pas annulées en derniere minute cuz "we really need you on this biomed strategy case" ).
 
Etant donné le stress permanent et le nb d'heure que tu y passes, je crois que c'est le plus frustrant !
Cette décorrélation entre énormes efforts fournis et résultats virtuels, imperceptibles.
 
J2
 
 
NB: mais bon, I am not complaining too much, si c'était à refaire, je le referai, same place, same people, in a heartbeat, mais pour les bénéfices associés. Pas pour le plaisir.
 
C'est juste qu'il faut savoir à quoi s'attendre. Beaucoup des gens qui n'avaient pas fait le summer internship sont un peu tombé des nues. Ces marques se marketent excellemment bien, et mettent tout en avant ... hormis le day-to-day job.

Et tu est toujours dans le conseil ?

 
J'ai aussi eu ce feeling dans le conseil .... sentiment de vacuité inoui et intense .... malgré l'intitulé des cas.
Je n'ai jamais compris mes rares collègues qui y prenaient du plaisir.
 
Pour moi c'était plus chercher à se motiver par tous les moyens: "2 ans", "l'ambiance est sympa et stimulante (ce qui est vrai)", "la plupart des gens sont brillants", "cette compagnie recrute des gens sympas et humbles, du moins ici aux US (ce qui est vrai)", "intéressant d'être au coeur des secrets de ces grandes compagnies (j'ai eu des cas en or massif)", "tu apprends des choses", "bien en terme de crédibilité pour une 1ère expérience corporate", "le réseau et le brand name valent quelques sacrifices".

Mais je n'ai jamais percu cet excitement, cet emballement, que j'ai sentis en faisant d'autres jobs. Au final c'est un exercice indirect, low risk-low rewards, ou tu ne vois pas les fruits de ton travail, dans une culture ou la critique est de mise, qu'elle soit constructive - ou pas. Sans compter le burnout (96% de staffing client - no beach time for me - 4 j à l'hôtel par semaine - 15j de vacances/an quand pas annulées en derniere minute cuz "we really need you on this biomed strategy case" ).
 
Etant donné le stress permanent et le nb d'heure que tu y passes, je crois que c'est le plus frustrant !
Cette décorrélation entre énormes efforts fournis et résultats virtuels, imperceptibles.
 
J2
 
 
NB: mais bon, I am not complaining too much, si c'était à refaire, je le referai, same place, same people, in a heartbeat, mais pour les bénéfices associés. Pas pour le plaisir.
 
C'est juste qu'il faut savoir à quoi s'attendre. Beaucoup des gens qui n'avaient pas fait le summer internship sont un peu tombé des nues. Ces marques se marketent excellemment bien, et mettent tout en avant ... hormis le day-to-day job.

 
Non, non ...
 
C'est juste que quand tu fais un job quel qu'il soit, tu aimes normalement en voir le résultat, percevoir les fruits de ton travail (la recherche du sens).
 
Pas toi, DsT ?

PS: lire ce que les RH / Org managers appellent motivation intrinseque vs. motivation extrinseque

 
Honnetement, bcp de consultants ont des experiences tres differentes...
En 4 ans, j ai bosse sur 3 deals qui ont eu lieu, des principal investments, des restructuring de tres grande echelle, etc... bon il y a aussi eu quelques studies qui ont termine sur le bureau du CEO et d un BOD... mais de la a en tirer des conclusions universelles sur le metier de consultant...