Reprise du message précédent :
j'ai un nouveau collègue dans mon bureau depuis 3 semaines.
Il doit faire 15 pauses de 10 min par jour (entre la clope et les cafés) c'est impressionnant. Je pense que l’arrêt maladie approche étant donné qu'il crache ses poumons depuis le début de son contrat.

Un moyen comme un autre d'avoir des congés en plus

J'ai un collègue, quand il arrive au boulot, c'est pour aller prendre une pause clope d'office. Puis après 10-20 minutes, pause clope avec une autre personne, histoire de dire bonjour et de prendre un café. Puis dans la matinée, c'est 4 ou 5 pauses encore. Pareil dans l'après-midi.  
Et personne ne dit rien.

Lui, il ne part pas de la boîte à 17h comme tout ces glandeurs

Dépendant de la présence ou non du n+1, ça peut être largement plus tôt

 
Pourquoi se géner alors si personnne ne lui dit rien? Il se fait la belle vie.

Grave.

Je rêve de plus devoir travailler  

Quand je pense que dans ma boîte même le passage aux toilettes est chronométré et on a le droit à 20 minutes, en dehors de la pause repas de 45, loin des ordis dans la journée, pas plus

Tu bosses comme operateur dans un call center

 
Pas obligé. En back-office ça devient de + en + comme ça, même sans téléphone.

 
Merci de remuer le couteau dans la plaie Oui sinon, je suis "conseiller client" officiellement, officieusement juste un larbin comme un autre au service de gens imbuvables qui appellent pour exiger et non demander. Pour les "pause", on a 45 minutes à notre pause repas, qui est imposée, et 20 minutes de pause à choisir dans la journée, pas une seconde de plus. Tout est chronométré tout le temps et ça pèse énormément.
 
J'ai prévu de partir mais pour le moment j'attends car j'ai plusieurs choses qui me retiennent (Pas au travail c'est ça le pire)  
 
D'ailleurs, on a perdu toute notre direction, qui est partie en même temps. Ils étaient trois à tenir tout le centre et ils se sont barrés, y'a aucun remplaçant pour le moment. Ce sont des managers qui font la jonction avec la future direction qui est parachutée de Paris directement. Ca a donné un bordel monstre, plusieurs départs au sein des conseillers, des demandes pour que l'on change de service sans changer de statut etc.  
 
Moralement j'étais bien mieux en arrêt, mais je vais essayer de profiter du service "Mon compte formation" pour faire une formation intéressante et m'apportant quelque chose (je vais encore devoir voir tout ce qui est dispo) et partir vers août.

Totale
Le pire qu'il m'ait fait : Arrivé à 8h30 (au lieu de 8h00) et départ à 10h30. Au lieu de 17h00 16h30.
Aucune gène, aucun remord.

Pareil.
 
Sur ma précédente mission j’avais un collègue qui n’en foutait pas une. Il arrivait à 9h30 et repartait à 17h30 sans rogner sur sa pause déjeuner. J’ai appris qu’il a été dégagé peu après mon départ. Il était indépendant.

Je ne sais pas si ce job va me convenir. Réponse demain matin. En tout cas, la retraite est un voeu pieu pour ma part. Je travaillerai jusqu'à mes 80 ans.

Fait pareil au lieu de le jalouser.

Et déprimer au bout de 3 mois sans rien foutre.

Legende urbaine pronée par le Grand Capital pour faciliter l'exploitation des masses laborieuses, ca

Si tu veux, on peut dire "je rêve de ne plus devoir travailler".

 
Si tu me finances de quoi payer des cours de musique, mon matos de hockey sur glace et mes voyages, t'inquiètes pas que je vais trouver largement de quoi faire plutôt que d'aller au taff. Et j'aime mon taff actuel pourtant.

non

Si.

Ping

Je ne jalouse absolument pas, parce que je ne bosse pas comme ça, moi.

Et ? Du moment qu'il fait le taf.

L'enfer.

Alala, quelle déprime ça serait de ne plus avoir à travailler, oui Sauf si on a des passions et qu'on sait remplir sa vie, bien sûr.

 
Ben il dit qu'il n'en foutait pas une aussi, donc...    

Certes mais je ne vois pas bien le rapport avec les horaires

Perso j'ai déjà été dans une mission où je faisais ce genre d'horaire, sachant que je bossais beaucoup plus vite que la moyenne des autres devs, on ne m'a jamais rien dit. Ça m'est arrivé de me barrer à 16h pour convenances perso en ayant prévenu et sans aucune difficulté de la hiérarchie qui me faisait confiance.
Au bout d'un moment faut sortir du carcan psychologique de la pointeuse, le temps de présence au taf n'est absolument pas à lui seul un indicateur fiable de la qualité et de la quantité de travail fournies.

Demain, RDV pour moi à la médecine du travail, en arrêt depuis le 13 janvier. Je vais essayer de faire comprendre à la médecine du travail que je suis inapte pour retourner bosser dans ma boite

je suis 100% d'accord, le présentéisme ne sert à rien sauf que là il vient au boulot pour ne rien foutre du tout. Il faut un juste milieu quand même (ou le faire avec plus de discrétion).
 
 
Il est embauché comme consultant pour une mission d'un mois et il a dit que le travail demandé nécessitait que 10 jours.
Le problème c'est qu'il pense que l'employeur va le garder une fois la mission terminée alors que la politique de la maison est de dégager le plus de gens possible.

Perso je fais ça en ce moment. J'arrive entre 10h30 et 11h30, et je repars avant 17h30. Je vois pas pourquoi je ferais autrement d'ailleurs :
 
- J'ai demandé à partir il y a longtemps, on m'a fait tout un sketch "mais non tu verras il y aura plein de trucs intéressants à faire", le client a refusé toute proposition de remplacement
- il n'y a rien à faire sauf du boulot qui n'est pas le mien et qui n'est pas prévu dans mon périmètre
- le boulot est inintéressant au possible, pas ce dont on a discuté au départ
- les outils sont insupportables à manipuler, plantages en permanence, comportements impossibles
- j'ai des collègues qui parlent / me parlent à voix haute toute la journée, des gens qui viennent prendre leur pause dans le bureau en succession
 
Et le peu que je dois vraiment faire, ça me prend à tout casser 2x15min par jour ; c'est trivial et ils prennent ça pour du génie, bon tant mieux, mais c'est des tocards finis qui pensent avoir tout droit sur moi parce que je ne suis qu'un presta, bon bah je prends ce qu'il y a à prendre hein.
 
Donc je bous toute la journée avec qu'une hâte c'est de fuir, et j'y retourne le lendemain à reculons. Ca finit à la fin du mois et tant mieux. Mais je vais pas faire semblant je vois vraiment pas l'intérêt.

Bah pourquoi ? Le mec n'a rien à faire et ne s'en cache pas, à la limite si ça a des conséquences pour lui c'est son problème, mais toi, en quoi ça te déranges ?

Perso j'ai pas d'horaires fixes sur mon contrat de travail, l'important c'est que le taff soit fait.
Mais cette flexibilité a aussi son revers, il m'arrive de rogner sur mon temps perso lors de déplacements, coups de bourre etc.
 
Aujourd'hui, c'est pas tant le temps à bosser que la mode de l'open space et le bruit qui me rendent fous.
 
Ca va faire 12 ans que je bosse, dont 9 sans isolation phonique digne de ce nom, là je viens d'arriver dans une boîte où c'est la fiesta: parfois à 8 dans un bureau fait pour 4 (on est en coworking pour l'instant, boîte toute jeune qui n'a pas encore investi dans ses locaux) , ça mélange discu pro et perso, on peut avoir 2 ou 3 types au téléphone en même temps qui causent bien fort, on a la fenêtre principale qui donne sur un chantier de résidence, et pour couronner le tout, la halle qui sert de coworking aime foutre de la musique lounge avec suffisamment de basse pour que ça traverse les vitres nous séparant de l'espace commun.
 
J'ai un casque avec ANC mais ça suffit même pas, les voix passent surtout Et j'ai pas envie de passer une journée au casque ...
 
J'ai l'impression que les autres en souffrent moins, mais la plupart ont pas 30 ans, moi j'arrive sur 35, et j'en peux plus J'ai besoin de putain de calme. J'ai envie de monter des cabanes de coworking au milieu d'une forêt, si y a des gens qui veulent s'associer
 
1 seul jour de télétravail pour l'instant, ça suffit pas à compenser tout ce bordel
 
 
 

 
C'est insupportable. Cf post au dessus. Le pire c'est que j'étais dans un autre bureau avant où c'était la même chose et on m'a promis que ça serait différent là.
 
Ces 3 dernières missions j'avais vraiment du mal. 33 ans. Je pense que l'âge joue aussi.

Bon, je reviens de la médecine du travail, elle m'a entendu. Si tout va bien, on attaque un licenciement pour inaptitude.

Ça a dû te soulager

 
si ton souhait c'est vraiment d'arriver au licenciement pour inaptitude, il faut demander une inaptitude avec impossibilité de reclassement, sinon la boite doit en théorie, après avis d'inaptitude, d'abord te proposer un reclassement.

J'ai du bol, ca fait 6 ans que j'ai des gens intelligents en face qui comprennent que tant que le boulot était fait, le temps de présence n'est pas un indicateur pertinent. Genre la semaine dernière, j'ai fini une fois à 2h du mat, par contre vendredi à 15h, j'avais plié les gaules et je matais le dernier e-penser tranquillou dans le canap. Avant j'étais chez un type qui faisait le pied de grue devant l'ascenseur à 9h pour avoiner tous ceux qui arrivaient à partir de 9h01. Ca m'a jamais rendu plus efficace

Si pour lui.  

Techniquement, il était (est toujours) avocat associé du cab facturant entre six et sept cents euros de l'heure. Son quart d'heure à nous coller au train coutait donc à la boite 160 balles par plaisanterie, à multiplier par le nombre de jours dans le mois. In fine, la question est "le boost de productivité auprès des collaborateurs rapportait-il plus à la boite que ce que ca lui coutait", je doute de la rentabilité de la chose

D'ailleurs, on savait qu'il était là un gros quart d'heure, mais il ne savait pas qui était en vacances ou pas, du coup quand quelqu'un était pas là à 9h, la réponse type était "il est en congé" suivi d'un sms pour que la dite-personne arrive à 9h20 après l'orage.

Ce flicage. J'aurais claqué la porte d'un truc pareil dés que possible