Mouais. Je trouve ça très souvent très surfait. La dernière fois que j'ai demande conseil pour un livre de SF on m'a conseille la horde de contrevent. Quelle horreur. Un groupe d'adolescents qui marche. Le club des 5 fait une randonnée dans le vent.

 
C’est très bien le club des 5…

 
On t'a (très) mal conseillé.
 
La vraie bonne SF date de plusieurs décennies mais n'a pas pris une ride : Arthur C. Clarke, Isaac Asimov, Michel Demuth, Robert Silverberg, A. E. Van Vogh ...
 
Du caviar. Tous trouvables en livres de poche

quand tu as 8 ans oui, mais autant lire jojo lapin, c'est bien mieux
ou fantomette

 
 
A 8 ans, les jojo lapin  c'est déja dépassé : l'écriture et le style sont bcp plus simples que dans le club de 5

Moi mes préférés c’était les inspecteurs gadget bibliothèque rose (tou toudou toudoum inspecteur gadget)

 
Du Contrevent    
Superbe livre, superbe écriture de Damasio et cette fougue superbe dans la plume. C'est pas vraiment de la SF, c'est un livre de voyage qui ne mène nulle part mais cherche à la réflexion sur le chemin parcouru et les partenaires des pérégrinations. Moi j'avais kiffé sa race!    
 

 
 
Vu comme tu apprécies fortement les films ultra chiants que tu décris sur le topic cinéma, ça donne pas envie, ou alors pour s'endormir le soir en 2min chrono

 
La horde du contrevent, je m'y était collé sur les judicieux conseils HFRiens, c'est une horreur
Je n'ai pas pu le finir, j'ai du faire 3/4 du bouquin, en me demandant a chaque page si un intéret allait subitement émerger
 
Bon après les gouts et les couleurs , c'est variable, mais que ce bouquin fasse une telle unanimité ou presque en sa faveur au point qu'il revienne systématiquement dans les recommandations du genre me laisse circonspect.

Moi mes préférés c’était les inspecteurs gadget bibliothèque rose (tou toudou toudoum inspecteur gadget)

 
Toi aussi tu rêvais d'avoir le livre-ordinateur de Sophie ?  

Ah ben c'est sûr que c'est un peu plus percutant que du Asimov
Pas étonnant que ce soit plus clivant. Perso je ne le mets pas trop dans le genre SF non plus, mais ça reste très personnel. Plutôt dans le fantastique (une définition perso que j'avais improvisée une fois : la SF c'est quand on met une petite pichenette dans la société et qu'on regarde ce qu'il se passe, le fantastique c'est la même chose mais au niveau de l'individu. Donc les épopées, les quêtes initiatiques, je range ça côté fantastique, pour ce que ça vaut ).

De toute facon, sauf à bien connaître une personne, c'est pas évident de recommander un bouquin et de taper juste. Y'a tellement de raisons d'aimer en livre que tu sais pas forcément ce que les autres y trouveront. Perso, j'apprécie énormément Damasio aussi bien l'écrivain que l'homme engagé. J'adore son utilisation de la langue écrite et ses expérimentations sur le texte. La fin de Les Furtifs pour le rendre sonore reste un truc super classe pour moi.

On peut vraiment trouver ça bien écrit ?

Perso, j'apprécie énormément Damasio aussi bien l'écrivain que l'homme engagé.

 
Y'a même des gens qui trouvent tes interventions dignes de réponse, tout est possible!

De toute facon, sauf à bien connaître une personne, c'est pas évident de recommander un bouquin et de taper juste. Y'a tellement de raisons d'aimer en livre que tu sais pas forcément ce que les autres y trouveront. Perso, j'apprécie énormément Damasio aussi bien l'écrivain que l'homme engagé. J'adore son utilisation de la langue écrite et ses expérimentations sur le texte. La fin de Les Furtifs pour le rendre sonore reste un truc super classe pour moi.

 
On t'a (très) mal conseillé.

La vraie bonne SF date de plusieurs décennies mais n'a pas pris une ride : Arthur C. Clarke, Isaac Asimov, Michel Demuth, Robert Silverberg, A. E. Van Vogh ...
 
Du caviar. Tous trouvables en livres de poche

Mouais. Je trouve ça très souvent très surfait. La dernière fois que j'ai demande conseil pour un livre de SF on m'a conseille la horde de contrevent. Quelle horreur. Un groupe d'adolescents qui marche. Le club des 5 fait une randonnée dans le vent.

Je ne connaissais pas cet aspect du personnage.
 

 
Hmmmmmmm.

J'aime pas trop, voire pas du tout, la SF Mon copain adore donc il a vraiment essayé avec moi en vain. Il adore aussi les BDs. Au moins c'est facile de lui offrir des bouquins.

 
Moi j'avais adoré la Horde du contrevent et trouvé la Zone du dehors assez bof (pas dénué de qualités mais très jeune/naïf/mal dégrossi). La ligne est vraiment fine entre un écrivain virtuose et un écrivain qui se regarde écrire
Parfois je me demande si ça ne dépend pas aussi de l'humeur du lecteur.
 
Lors d'un petit speech/débat public j'avais aussi trouvé que l'auteur, que je ne connais pas plus que ça, s'exprimait très bien et avait des choses intéressantes à raconter.
 
Faut que j'essaye les fameux Furtifs.

 
il a pas créé une secte ou un truc du genre ?

 
Idem, jamais accroché. Je préfère Alix de Saint André et ses histoires du 7ème

Le retour a la terre est un thème de plus en plus a droite voir a l’extrême droite.

parler de passivité dans le JV, faire une généralité sur les AAA et comparer le nombre de JV (média très très récent) vs. le nombre de livre, pas de doute ça tient la route...

à nouveau tu démontres que tu ne connais pas bien les JV

les studios indep sont très nombreux, les styles/modes de jeu très variés et tu as de nombreux jeux type bac à sable (c'est UN exemple) qui laissent libre cours à la créativité du pratiquant

et on achève par la ridicule caricature de la manette, qu'on pourrait tout à fait rapprocher du tournage de pages d'un livre si on voulait troller à ton niveau

 
Ca l'a toujours été (à la base c'est très catho), le fait que ça soit repris par certains à gauche est très récent et ne va vraiment porter AMHA.

 
Les hippies de 60's étaient des catho d'extrême droite

Nan mais sérieux, l'enfance c'est hyper important, non ? J'ai l'impression que la représentation du monde que les humains acquièrent a cette période laisse des traces pour le reste du temps imparti. Tu as vraiment envie qu'ils se créent cette représentation avec des choses aussi cataclysmiquement niaiseuses ?

 
Les hippies de 60's étaient des catho d'extrême droite

 
Mais est-ce qu'on ne pourrait pas avoir envie que la société moderne "déconstruise" ce besoin de normalisation ?
 
Est-ce qu'on n'en a pas les moyens de nos jours, de la même manière qu'on se donne le moyen de diminuer l'exploitation de certaines parties de la population par d'autres (avec un succès très relatif mais au moins la volonté est là), alors que la domination d'autrui est aussi un élément clef qui "définit l'espèce"?
 
Je trouve ça dommage que des personnes aient besoin de chirurgie pour se sentir mieux, à vrai dire j'ai un peu honte de faire partie d'une société qui, si ce n'est pousse, au moins autorise ce genre de complexe.

Ca reste des exceptions qui n'ont pas duré longtemps...

 
Pour moi la déconstruction est entre autre un piége. Les qualités restent des qualités quoi qu'il arrive. Accepter les gens comme ils sont est à double tranchant. Y'a effectivement une nécessité et un humanisme indispensable. Mais il y a aussi un encouragement à se laisser aller, ne rien faire et préférer cela à progresser sur soit même, encourager les gens à ne pas exploiter leur plein potentiel.
 
Pour moi si c'est aussi populaire, c'est aussi que c'est un moyen de manipulation des masses leur visant à accepter le systéme tel qu'il est et pas à la remettre en cause. Il faut que les plus désavantagés ne se sentent pas trop laisés, autant pour leur propre bien que par que c'est un moyen de les exploiter.
 
Et si les gens refusent ce qui pourrait les élever, c'est tout bénef pour ceux qui ont déjà ces qualités naturellement ou pour ceux qui n'ont pas ces scrupules.

Franchement, allongée sur le dos, ça ne trompe personne. Enfin pas moi, mais je pense toi non plus.
Et même debout, passée 40 ans, y a un truc qui cloche.
 
Après, une nana que tu vois habillée, oui on remarque pas. J'ai d'ailleurs moi même en général constaté une fois le sein dénudé, pas avant, malgré décolletés ou autres..

Moi j'avais adoré la Horde du contrevent et trouvé la Zone du dehors assez bof (pas dénué de qualités mais très jeune/naïf/mal dégrossi). La ligne est vraiment fine entre un écrivain virtuose et un écrivain qui se regarde écrire
Parfois je me demande si ça ne dépend pas aussi de l'humeur du lecteur.

Lors d'un petit speech/débat public j'avais aussi trouvé que l'auteur, que je ne connais pas plus que ça, s'exprimait très bien et avait des choses intéressantes à raconter.

Faut que j'essaye les fameux Furtifs.

 
Déjà il y'a l'aspect écran tu as raison (mais pas que). Le jeu vidéo est un loisirs que je classifie dans les activités passives dans le sens ou la personne qui exerce l'activité en question est devant un écran, reçoit l'information qui lui vient d'un flux quasi-continu (sans la choisir) et s'en prend plein la gueule, sans avoir nécessairement le temps d'analyser consciemment tout ce qu'il se prend dans la gueule.
 
Moins riche, déjà sur l'aspect quantitatif (même si on est d'accord, le quantitatif ne remplace pas le qualitatif). Sur le quantitatif, pour les livres par exemple, c'est très certainement plus de 130 millions de livres écrits (source fiable ? https://www.abondance.com/20100809- [...] gle.html). contre 44 000 jeux vidéos (source fiable ? https://www.journaldugeek.com/2014/ [...] -savoir/). Toujours dans mon exemple de livres, les sujets traités via les livres sont plus vastes que les sujets traités par les jeux vidéos (il n'est pas rare de voir des jeux vidéos s'inspirer d'histoires et d'univers trouvés dans les livres ou encore issus de scénarios de films).
 
Sur l'aspect qualitatif, il y'a de tout aussi bien dans le domaine des livres, que des films, des jeux vidéos...
Sauf que, l'univers du jeu vidéo, dans son aspect économique, se calque plus selon moi sur l'univers du film que sur l'univers du livre. Dans le sens ou on se dirige a terme (avec certains virages temporaires sur le jeu indépendant pas exemple, mais qui n'est pas à même de remettre en cause la direction dans laquelle le jeu vidéo se dirige) vers une uniformisation des univers et des mécaniques de jeu, tendance tirée par les jeux AAA des grands studios (qui vont privilégier la non prise de risque financier, via l'exploitation sans fin des licences - et donc le non renouvellement des univers et mécaniques de jeux).
Pour les studios de taille moyenne, c'est en ce moment un rachat de ces derniers par les plus gros : autant dire que la pluralité des univers et mécaniques va s'en trouvée réduite...
 
Mais sur le fond même, le livre a cette particularité que le jeu vidéo, le théâtre, le film n'ont pas : le pouvoir de l'imaginaire. Avec des mots, on laisse une place importante à l'imaginaire du lecteur. Avec un jeu vidéo, une pièce de théâtre, un film, du fait que l'on dresse un scénario, que l'on contextualise explicitement les univers et les personnages (en permettant via l'image de visualiser l'univers et les personnages crées à la place du spectateur) cela enlève une partie significative de la créativité succitée chez la personne.
Le jeu vidéo, on limite l'expérience à l'action sur la manette (je caricature guère)...
Ainsi, pour le livre, je dirais que le lecteur est aussi quelque part le créateur de l'histoire qu'il lit (au travers son imaginaire bien plus sollicité). Contrairement aux loisirs dits passifs, ou le spectateur en est réduit à un consommateur (il consomme le spectacle qu'on lui offre).
 

 
Mais enfin, avoir recours à la chirurgie esthétique, tu appelles ça "progresser sur soi-même", "exploiter son plein potentiel" et "s'élever" ?