Reprise du message précédent :

Non, tu as le droit à tous tes jours dès ton premier jour de chômage,
j’ai posé 3 semaines en août alors que j’étais au chômage depuis mi-juin

Tu as essayé depuis un autre navigateur comme je t'ai suggéré ?

Et bien: non

En pratique certains ont été ennuyés d'être parti en vacances sans l'avoir déclaré à PE ?
Je parle de vacances raisonnables hein, pas partie des mois à l'étranger.

Aucune idée,
Mais quel intérêt de ne pas le déclarer?
T'es sûr que personne ne t'appelle ou t'inscrive à je ne sais quelle formation sur leurs intranet/outil

 
Je viens d'assister à une scène :
 
Je suis en intérim pour une mission de quelques semaines, un accroissement d'activité pour un service publique.
 
On est une vingtaine d'intérimaires et ce matin une responsable est passée voir quelques personnes pour leur dire "Vous terminez aujourd'hui".
 
C'est assez violent  
 
Aucune agence d'intérim n'a parlé de ça, lors du recrutement, mais j'ai vérifié et c'est bien indiqué dans le contrat.
 

C'est la dure loi de l'intérim.
Sur les contrats il y a une période d'essai de 1 a 3 jours. Souvent c'est des contrats à la semaine avec des motifs un peu bidon. Donc en pratique tu peux virer les gens du jour au lendemain.

J'avais recours a l'intérim quand j'étais chef d'équipe. Je trouve que le système est limité scandaleux au niveau protection sociale.

Edit :

Experience quand j'étais jeune. J'avais fais quelque mois d'intérim dans une entreprise. Un jour là responsable viens me voir en millieu de semaine pour le dire que j'étais en fin de mission car plus de travail dans l'entreprise. J'ai dis au revoir à tout le monde. Tout le monde était choqué de mon départ car il n'y avait pas de baisse d'activité. 2 jours après j'ai été rappelé. Il y a du avoir une personne qui m'a mis un coup de couteau dans le dos. Mais ma bonne humeur avec le personnel m'a sauvé.  

Ca fonctionne aussi dans les 2 sens.
Les abandons de poste sans prévenir ou même les gens qui ne se pointent même pas le premier jour, c'est légion en ce moment.

Oui j'ai aussi eu le cas.

Une personne "je veux absolument ce travail"
je la prend en intérim. Au soir du premier jour je fais un rapide point. "Tout vas bien, c'est ok pour moi. C'est le type de poste que je veux faire." Le lendemain plus personne.  

Ou alors.

"On va organiser les pauses du service" (tout le monde part en pause a tour de rôle pour ne pas arrêter la production)
"Je peux partir dans les premiers, j'ai envie de faire pipi"
"Ok pas de soucis"
La personne n'est jamais revenue.

Déjà vu à une pause repas pendant un job étudiant "je vais m’acheter un sandwich, je reviens", on l’a jamais revu xD

Ah mais c'est classique ça hehe
 

pour le coup le minimum c’est effectivement que ce soit possible en retour si ca l’est pour les patrons...
 
souvenir d’une cogip où on me renouvelle ma période d’essai de 6 mois pour 6 mois de plus, au dernier jour où c’est possible (un peu jeune j’accepte de signer la notif remise en main propre par le RH en plus...)
le préavis en période d’essai était de 24h, j’ai posé mes congés, puis ma dem

Hello,
 
Je compte quitter mon job pour suivre ma conjointe qui va trouver un job à l’autre bout de la France, je compte donc démissionner. J’aimerais ensuite monter ma boîte.
 
Or la démission légitime est évaluée une fois cette démission effectuée, donc on pourrait me la refuser…si c’est le cas, je devrais trouver un CDD de 4 mois pour ouvrir mes premiers droits au chômage (3 ans d’xp).
 
Dans ce cas, j’aurais probablement quelques mois sans boulot ni chômage. Est-ce que mon chômage sera calculé sur mes 3 ans d’xp (avec un salaire assez élevé) ou bien comptera en partie le cdd de 4 mois qui je prévois sera pas si avantageux financièrement (ce qui baisserait mon allocation) ?
 
Merci de votre aide

chercher "démission pour rapprochement de conjoint" mais c’est pas un motif discutable si tu respectes les 2 ou 3 critères données (notamment distance km mini, la personne qui tu suis déménage pour un cdi, ... de mémoire)

Oui, à l'époque j'ai reçu une convoc à un rendez-vous par courrier, pas bien longtemps avant le rendez-vous, et je revenais le lendemain du rendez-vous. J'ai pas été radiée parce que mon conseiller m'a appelée ne me voyant pas arriver, et on a échangé par téléphone finalement, ça s'est bien passé donc il a "laissé couler".

Je sais plus trop comment c'est fait, à une époque c'était calculé sur les revenus lissés des 24 derniers mois (en gros la moyenne de tout). Je ne sais pas trop où ça en est avec la réforme, n'hésite pas à regarder sur le site de Pôle Emploi.
Mais je ne vois pas trop pourquoi l'ARE te serait refusée, vu ce que tu en dis en tout cas.

Pas bien compris l'histoire du cdd de 4 mois...

Surtout qu'avec la réforme de l'année dernière, il faut désormais 6 mois de cdd pour ouvrir des droits à l'are.

Oui, en plus.
Mais ça c'est seulement si on lui refuse l'ARE pour motif légitime, ce qui me semble peu probable dans sa situation (pour ce que l'on en sait, du moins)

Justement, en se basant sur ce passage :

On pourrait croire qu'en cas de refus, pas de droits ARE et donc cdd de 6 mois minimum avant de pouvoir y prétendre.  

Pas de raison qu'elle soit refusée si les critères sont remplis.

Ah oui évidemment, mais j'explique que je ne vois pas pourquoi ça serait refusé vu son cas

Ben pareil, après 3 ans de taf, devrait pas y avoir de problème.

C'est le reste de son histoire qui est un peu déroutante.

Je viens de commencer une formation PE sur plusieurs semaines et, je n'ai pas très envie de la continuer alors que dans le groupe, je pense que je dois être parmi les rares personnes à penser je pourrais en retirer du positif, enfin, je le pensais avant cette première journée mémorable (et pas dans le bon sens du terme).
 
J'anticipais plein de possibilités, mais entendre la formatrice expliquer :

• que la France était dirigée par Rothschild et le Quatar,  
• que l'élection présidentielle française avait été truquée (parce qu'on aurait connu le « résultat » avant le dépouillement… elle doit confondre sondages ou projections avec résultats officiels),  
• que les étrangers venaient passer leur retraite en France pour toucher 1000 € par mois, la CMU et avoir un logement social (ça, ça la travaille, elle s'est sentie forcée de le rappeler au moins deux fois),
• qu'en fait, Marine, elle n'a pas de problème avec les étrangers,  
• que les jeunes de quartier, c'est de la racaille qui ne veut pas travailler.

En bonus, histoire de, j'ai aussi appris que prof, c'est un métier facile et qu'en plus, toutes les 6 semaines, les profs ont des vacances.
 
J'ai hésité à me lever et à partir mais je ne l'ai pas fait.
 
Si j'en crois le courrier de PE, « l'organisme de formation [qui] s'est engagé à ne préciser que des informations d'ordre pratique, à l'exclusion de toute autre (particulièrement les mentions discriminantes ou celles posant des exigences sans lien avec la formation). » Je pense, mais je peux me tromper , que l'antisémitisme et la xénophobie ne sont pas vraiment en lien avec une formation PE  
 
Je ne sais pas trop quoi faire de tout ça.
 
Si j'en parle à PE, déjà, est-ce que je vais être cru (je n'ai pas d'enregistrements, je n'ai pas eu le réflexe), ensuite, j'ai du mal à voir comment la formation peut continuer dans de bonnes conditions (j'ai du mal à voir comment elle peut continuer dans de bonnes conditions tout court pour moi, mais une ou deux personnes ont approuvé les propos donc à la limite, ces personnes s'en moquent).  
 
Et puis, en parler, mais à qui ? À ma conseillère alors que je ne l'ai rencontré qu'une fois donc que nous n'avons pas eu le temps d'établir des relations de confiance ? À la personne de PE qui supervise la formation et qui est venue pour remplir des dossiers (pour des indemnités de restauration et de déplacements), mais que je l'ai vu discuter avec la formatrice (qui semble vouloir travailler pour PE) ? Au médiateur de PE ?
 
Je précise que la formation est rémunérée. Je ne suis pas à la rue et je n'ai pas besoin de cette rémunération (après, je ne crache pas dessus, mais si je voulais être payé à entendre des horreurs à longueur de journée, je postulerais dans les équipes de modération d'un réseau social : c'est payé au lance-pierre, mais c'est quand même mieux payé qu'une formation PE), mais d'autres personnes qui participent ne sont pas dans la même situation financière et même si je ne connais personne dans le groupe, c'est un élément, certes secondaire, dans ma réflexion.
 
S'il y a des personnes ici qui se sont retrouvées dans une situation similaire, déjà, désolé pour vous, mais je suis preneur de la façon dont vous avez réagi, histoire de voir ce que je décide.

La question est plutôt :
 
"les paroles de la formatrice durant une période de quelques minute pose elles un problème pour apprendre les choses que la formation doit t'apprendre ?".
 
Car bon, si une dégénéré dit de la merde politique durant 5 min mais qu'elle fait son cours correctement durant le reste de la formation, j'ai envie dire "tu peux t'en battre les couilles".
Les gens qui approuvent ce type de discours non pas besoin de cette dame pour avoir déjà ces convictions.
Ce qui est important, c'est que la formation t’apprennent une/des compétence vendable sur le marché du travail et cela même si tu dois supporter 5min de connerie politique.
Imagine les conneries que doit surement supporter les élèves de Nathalie Arthaud ...

Perso je la balance à pôle emploi. Elle doit avoir un devoir de neutralité a mon avis.

Carrément.
Courrier à Pôle Emploi, avec reproduction des propos tenus, si possible avec le contexte, l'heure (avant la pause, après manger, pas besoin d'être super précis non plus).
Et tu t'indignes fortement en insistant que tu n'es pas venu écouter un discours politique mais suivre une formation.
J'ai eu un cas similaire dans une formation HST que j'ai suivie au sein de mon ancienne boîte, discours pro FN et tout ce qui va avec.
J'en ai parlé au patron, le gars n'est jamais revenu.

+1

C'est une formation pro et son avis politique on s'en carre.

+1 tu commences par la balancer à ta conseillère et dire aux autres de faire de même.

Besoin de votre avis :
 
Fin de CDD début août, début d'indemnisation le 8 septembre.
Je trouve un nouveau boulot le 14 septembre, je déclare ce changement de situation mais oublie de décocher "je ne suis plus à la recherche d'un emploi" -> j'ai été désinscrit.
 
1) A votre avis je vais avoir possibilité de déclarer ma situation pour le mois de septembre (et toucher mes 6 jours d'ARE) alors que je ne suis plus inscrit ?
 
2) Si je mets fin à mon contrat actuel au cours de la période d'essai d'1 mois, est-ce que je me trouve toujours dans le cas suivant alors que j'ai été désinscrit ?
 

Déjà fallait pas déclarer que tu ne recherche plus d'emploi, quand t'es en période d'essai, simplement faire ton actualisation en indiquant que tu as travaillé.

Maintenant si tu met un terme à ta période d'essai, PE considère ça comme une démission et tu n'as pas la possibilité d'être indemnisé.

Normalement tu touchera tes six jours pour la période où tu était indemnisable.

 
1) Début d'indemnisation 8 septembre après délais de carence de 7 j + CP ? Si oui normalement tu touches les 6j même si tu t'es désinscrit par erreur je pense.
 
2) Non car plus en cours d'indemnisation du fait de ton erreur mais ça revient quasi au même. Exemple 62 p. 134   :
 
https://www.unedic.org/sites/defaul [...] e_2019.pdf
 

 
En revanche il semble que tu te tapes 7 j de délai de carence à cause de ton erreur.  
 

 
Nope  

En gros j'ai fait LA connerie à pas faire quoi

Je suis donc considéré comme "non indemnisé" depuis le 14 septembre… du coup une simple case cochée ou non modifie l'attribution du résultat d'un calcul d'indemnisation qui ne devrait pas dépendre de ça…

J'ai envoyé un mail à mon ex-conseillère en invoquant le "droit à l'erreur" , on va voir, normalement ça ne rentre pas dans les exceptions…

Au pire tu perds 7j d'indemnisation et encore.. uniquement si le délai de carence s'applique à une reprise.

Vérifie bien que tu respecte les conditions pour les 65 j en revanche (il faut que ton CDD ait ouvert de nouveaux droits ou duré + de 65 j à vérifier..)

Il me reste 335 jours d'indemnisation, et les droits ont été ouverts le 8 septembre sur fin de CDD, et je n'ai travaillé que 8 jours(pour l'instant) , il me reste donc de la marge avant les 65.

Ah je savais pas pour les 65 jours
 
Quand je me suis retrouvé dans ce cas, j'ai du faire pression sévère sur l'employeur pour qu'il indique que la période d'essai a été rompue à son initiative.
 
Merci les conseiller PE !

J'attends toujours…  

 
 
Je vérifie sur mon compte :

   
 
Je vais laisser passer la nuit pour une éventuelle mise-à-jour du statut, sinon, je la relance…
 
Je rompt ma période d'essai vendredi…

Mon intuition était la bonne : à 3h du mat j'ai été "ré-inscrit" en date de ma désinscription (logique   ) , et par la même occasion je change de conseillère…
 
Le "droit à l'erreur" a bien été respecté    
 
Je redeviens chômeur à partir de vendredi 12h.

Bonjour,
 
j'ai une amie qui garde des enfants depuis des années. Elle touchait l'ARE depuis 3 mois car pas de travail. Et elle a signé un contrat et travaillé 7 jours. Puis elle a informé la famille qu'elle ne pourra plus garder l'enfant (raison familiale et santé), la famille de l'enfant furieuse a informé pole emploi d'une démission, du coup elle ne touche plus rien. Elle a informé pole emploi mais eux ne veulent rien comprendre. Il faut que la famille de l'enfant modifie leurs déclarations, sauf qu'ils ne veulent pas par " vengeance "...
 
Il y aurait une loi qui autorise d'arrêter le travail au bout de7 jours en période d’essais et re recevoir l'ARE ?

Elle a effectivement démissionné donc non. Sa situation sera réévaluée dans quatre mois.

 
 
C'est bizarre que l'on ai 3 fois la possibilité de refuser un travail. Et par contre si on accepte un travail que l'on ai pas la possibilité de démissionner pendant la période d’essai

 
Oui. Cf mes échanges avec Tarpan et liens postés plus haut.
 
Et sinon la démission il y a des règles : le démissionnaire doit faire signer sa démission par l'employeur, respecter le préavis et/ou avoir une trace via recommandé.
 
Et l'employeur doit remplir honnêtement le certificat de travail et le document adressé à PE (qui donne cause de fin de travail et périodes rémunérées).
 
Nulle place pour la " vengeance " ici. Si l'employeur fait un faux, c'est sans doute punissable.