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Auteur | Sujet : [Topouic Unique] SQFP - Le meilleur du Pouic. |
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Tammuz | Reprise du message précédent :
--------------- "Je tape sur un clavier avec les 10 doigts sans regarder et je ne me relis pas" |
Publicité | Posté le 24-06-2020 à 18:48:07 |
Floom | Bon, un peu de développement sur le fond et la forme maintenant que je suis rentré du boulot (elle mérite pas d'être payée intégralement cette après-midi).
Ca c'est parce que tu as la réponse à la question. Moi je me la pose, et donc la démarche c'est une méthode. Dès lors que le résultat est considéré comme invalide, c'est que l'énoncé est invalide. Je prends donc les différentes entrées (ou variables, ou le terme qui convient le mieux) de l'énoncé et je les interroge chacune par confrontation aux autres. Je peux donc commencer à poser le fait que mon témoignage peut être sujet à caution, parce que c'est vrai et pas pour éviter "qu'on vienne me casser les noix avec ça", puis ensuite le réintroduire dans l'énoncé en tant qu'élément de confrontation pour interroger la valeur relative de toutes les autres parties de l'énoncé. Cette manière de procéder me paraît tout à fait logique et constituer un préalable nécessaire à l'établissement du coût de chacune des assertions par rapport aux autres. Je ne vois pas ce qui te gène là dedans, si ce n'est un agacement éventuel provenant du fait que je ne me suis pas immédiatement tenu pour dit que la réponse à la question était forcément "mon témoignage est erroné". Ou peut-être me fais-tu un procès d'intention, je ne sais pas. Comme je l'ai indiqué in fine, je n'étais pas convaincu que le contre-argumentaire présenté aux sourciers soit applicable tel quel au cas de figure qui m'intéressait. Après acquisition de données sur la question, j'ai donc pu estimer de manière plus correcte le poids relatif de chaque assertion et pu conclure que c'était logiquement mon témoignage qui faisait défaut. Ca, c'est selon moi assez proche de ce qu'on pourrait appeler un raisonnement scientifique. Du coup, ça n'a rien à voir avec ça, me semble-t-il:
C'est donc bien ce que j'ai fait. Pardonnez-moi d'avoir mis quelques jours à m'assurer de la plausibilité du fait quand ici tout le monde avait déjà la réponse. Vous avez l'air de m'en vouloir, mais c'est aussi une conséquence de ma pratique scientifique. Je ne crois pas sur parole une déclaration sur un forum, même si je tiens certains auteurs de ces déclarations en bonne estime. Surtout quand j'ai un élément de suspicion, ici en l'occurrence le transfert de l'ensemble du raisonnement appliqué à des sourciers vers le cas qui m’interrogeais. A fortiori, il m'apparaît que ce transfert est légitime et c'est en ce sens que je suis revenu donner ma conclusion, qui rejoint donc la vôtre.
A la page précédente, vous avez débattu d'une expérience scientifique sur les sourciers, établie selon un protocole correct (ils peuvent tous être débattus), qui a conduit ses auteurs à une conclusion erronée. C'est monnaie courante et bien des études, y compris en sciences dites "dures", ne sont jamais remises en cause alors que personne n'a pourtant réussi à reproduire leur résultat selon le même protocole. C'est un état de la science d'aujourd'hui, induit par son fonctionnement collectif. Tant que les résultats n'ont pas été reproduits, faute d'y arriver ou faute d'intérêt d'autres chercheurs sur la question, bon nombre de résultats publiés peuvent donc être considérés comme de simples témoignages, en tant qu'ils sont "la déclaration qui confirme la véracité de ce que l'on a vu, entendu, perçu, vécu" (évidemment, ça dépend du contenu de la publication, mais imaginer que toute publication scientifique expose des résultats statistiquement vérifiés par des milliers d'occurrences, c'est se faire une fausse idée du fonctionnement global de la recherche). L'approche du témoignage en tant que source par le prisme de la zététique conduit à lui conférer une valeur minime, voire suspecte. C'est bien normal, c'est le sujet (et le fondement historique) de la zététique qui veut ça. Le témoignage y est toujours la source d'erreur. Et ça conduit également à concevoir une définition du témoignage que je qualifierai de "minimaliste" pour ne heurter personne. C'est par exemple ce que tu présentes comme la définition du témoin: "Un témoin au sens strict du terme, c'est un individu passif qui se contente de simplement ressentir les événements autour de lui sans pouvoir les mesurer avec exactitudes car il n'a bien souvent pas le bon outil sous la main pour ça". Je suis chercheur. C'est mon métier. Je passe mon temps à témoigner de résultats. Tant que le protocole est valide et qu'aucune autre donnée acquise par un autre protocole valide ne vient en contredire la plausibilité, mes résultats sont plausibles et ne restent qu'à l'état de témoignage considéré comme fiable par mes pairs. Message cité 2 fois Message édité par Floom le 24-06-2020 à 19:16:26 |
falaenthor Long Long Man |
--------------- Col Do Ma Ma Daqua |
fingaelas apprenti zététicien |
--------------- jusqu'à preuve du contraire |
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Kiveu Carlos Irwin Estevez |
Oui, j'arrivais un peu pour dire la même chose. Voir une étude scientifique comme un "témoignage", même si je comprends bien l'esprit de cette affirmation, c'est du relativisme. Après, ok avec Floom, on connait les problèmes et nombreux biais liés aux études scientifiques, la crise de la reproductibilité...toussa. Il n'en demeure pas moins que la méthode scientifique reste de loin la moins foireuse des méthodes pour appréhender le réel et s'en faire une image la plus proche possible de la vérité...parce que même si sur une étude, on a des chances de se foirer et de passer au travers dans les conclusions (cf l'étude de Munich), il se forme quand même, à la longue et sur l'ensemble des études plus ou moins en rapport, un consensus et une certaine conviction que les choses fonctionnent en gros comme ceci plutôt que comme cela, même si la loi des grands nombres est susceptible de nous jouer des tours en produisant des résultats certes marginaux mais qu'on est incapable d'expliquer autrement donc que par le hasard, des biais ou tout simplement l'ignorance d'un phénomène jusqu'ici inconnu et qui reste à démontrer. C'est ainsi que même des études sérieuses et bien menées peuvent être amenées à conclure que la prévalence d'autisme semble corrélée fortement à l'injection vaccinale. Mais quand ces quelques études sont noyées dans des centaines d'autres qui ne constatent rien de particulier, on peut en faire une synthèse qui permet de rester relativement serein sur le fait que la vaccination ne constitue pas un risque particulier de générer de l'autisme. Pour conclure, je dirais donc qu'un chercheur qui remet un article à la communauté pour review ou publication, ne témoigne pas. Il rend compte le plus objectivement possible des observations qu'il fait et de la méthode qu'il a utilisé pour garantir la robustesse de sa démarche et le crédit qu'on peut apporter à ses observations. Là où le témoin ne peut qu'attester sur l'honneur, le chercheur peut fournir des éléments méthodologiques et des jeux de données en partie vérifiables, ou reproductible le cas échéant. Bien souvent la review n'est d'ailleurs là que pour juger de la méthodologie et de vérifier qu'il n'y a pas d'erreur d'interprétation (autant qu'il est possible de le faire), elle ne peut à aucun moment affirmer que l'expérimentateur A a bien vu les led 23 et 58 s'allumer pour s'autoriser à cocher la case 42. Il n'y a aucun moyen de le savoir. Message cité 2 fois Message édité par Kiveu le 25-06-2020 à 11:57:09 --------------- I'm going to Disneyland ! |
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Floom |
Je ne penses pas le détourner. La définition que j'en ai donnée est celle de l'académie; elle présente une acception large qui selon moi peut inclure les différentes méthodes aussi bien que l'absence de méthode pour "confirmer la véracité de ce que l'on a vu, entendu, perçu, vécu". Cette définition fixe cette confirmation dans un cadre déclaratif. Je pense que c'est sur ce point précis que la question peut se poser, parce qu'on entend la "déclaration" comme quelque chose qui ne nécessite pas de preuves. C'est juste, on peut déclarer sans preuve. Mais on peut déclarer avec. "Déclarer", comme "témoigner", n'intègrent ni la validité du propos ni la méthode pour y parvenir dans leur définition. Ceci dit, je comprends très bien que je puisse donner l'impression de jouer sur les mots vis-à-vis des acceptions admises dans le langage courant, et en particulier par rapport au prisme de la zététique qui utilise majoritairement les notions déclaratives dans le sens d'infondées. C'est précisément l'objet de mon propos. Toute discipline s'approprie des notions pour en développer un aspect et en tirer de nouvelles notions qui lui sont utiles. Autrement dit, une discipline crée son champ épistémique (ce qui ne dispense nullement de devoir re-préciser la nature de son épistémologie dans chaque production scientifique de fond - ie. les travaux de synthèse). Le principal objectif de la zététique est - s'il est possible de le résumer en une courte phrase - de montrer que la méthode scientifique doit se substituer aux croyances si l'on souhaite établir des faits. L'opposition fondatrice entre croyance et science conduit à un cadre épistémique qui définit - à juste titre dans ce cadre - toute forme déclarative comme étant infondée et irrecevable par rapport aux résultats obtenus scientifiquement. Quand on souhaite interroger un autre champ disciplinaire, il faut en premier lieu s'approprier son épistémologie, ce qui conduit notamment à redéfinir des termes qui peuvent être communs mais pas utilisés de la même manière. Et j'invite tout un chacun à faire ce type d'exercice, parce qu'il est terriblement enrichissant et qu'il aide notamment à mieux cerner l'effet prismatique de sa propre discipline. "Concevoir l’idée qu’il existe une pluralité de cadres de pensée, c’est déjà accepter de sortir de chez soi". D'ailleurs, je ne crois pas qu'on puisse prétendre être passé par le creux de la vague de dunning-kruger tant qu'on s'est pas confronté à ce type de problématique. Replacer son champ disciplinaire au sein du grand monde des disciplines scientifiques aide fort à se rendre compte à quel point il reste du chemin à faire. Et ça évite par ailleurs de clamer des inepties sur ce qu'est "la science". Lorsque l'on aborde le champ disciplinaire de l'histoire, on est rapidement confronté à une épistémologie du témoignage, au sens de testimonia. C'est toute la problématique des sources sur lesquelles s'appuie l'historien pour établir des véracités sur le passé. Sa méthode est également scientifique. L'historien sait très bien qu'un témoignage est par essence incomplet et inexact, en tant qu'il est limité par les biais de celui qui témoigne, certes, mais également parce qu'il dépend d'une intention, du cadre dans lequel il est réalisé, de conditionnements philosophiques sociaux et politiques, d'un niveau de connaissance, etc. Et la même prudence doit être appliquée à celui qui rapporte le témoignage, ainsi qu'à celui qui l'analyse. En confrontant les sources, il détermine la valeur de chaque témoignage selon ce qu'il cherche à connaître. Il n'y en a jamais des bons ou des mauvais. Ils sont tous riches d'enseignements, ne serait-ce que sur la personne qui témoigne. Il n'y a pas de témoignage qui serait fiable et d'autres qui ne le seraient pas. Cette binarité n'a aucun sens en histoire. Un témoignage est un témoignage. Et bien évidemment, "testis unus, testis nullus". Revenir à une acception large d'un terme commun à deux champs disciplinaires, c'est tenter d'en identifier les passerelles. En ce sens, il ne peut s'agir d'en détourner le sens, mais de l'interroger de manière commune afin d'outrepasser le cadre strict du champ épistémique de sa propre formation disciplinaire. Cette démarche permet notamment de mieux comprendre la nature et la genèse du cadre épistémique dans lequel on évolue. C'est bien elle qui permet de se rendre compte qu'il existe un effet de prisme. La zététique, comme tout autre discipline scientifique, conduit aux mêmes conclusions, si tant est que l'on tente d'appliquer des méthodes de pensée critique à autre chose qu'à l'opposition "science croyance". Il n'y a rien à remettre en cause dans la zététique elle-même. Mais il y a parfois quelques formes de confusion dans ceux qui s'en revendiquent, au même titre que pour tout champ disciplinaire. Il y a toutefois, selon moi, deux caractères particuliers à la zététique: d'abord, sa seule source, son unique méthodologie, c'est la pensée critique. Cela lui confère une aura d'universalité, en partie à juste titre, mais qui pousse certains des pratiquants les moins armés en notions scientifiques à imaginer qu'elle se suffit à elle-même. Bon nombre d'apprentis zététiciens fonctionnent dès lors en vase clôt et pensent, par l'application méthodique d'une pensée critique qu'ils tentent avec bonne foi de sans cesse améliorer, pouvoir tout comprendre sans avoir besoin d'acquérir des connaissances. Si la pensée critique est bien, à mon sens, une sorte de colonne vertébrale de la science, il peut être utile de se rendre compte qu'elle ne suffira pas à expliquer le fonctionnement d'un poumon, d'un coeur, et même celui du monde extérieur. Le deuxième caractère particulier de la zététique est contextuel et découle du premier. La seule source étant la pensée critique, elle est très facile d'accès, aussi bien dans son fondement que dans sa forme, puisqu'elle est donc aisément diffusible. Elle génère donc un engouement particulier qui provoque un effet grossissant. Des centaines, des milliers de gens acquièrent des connaissances et des méthodes via la zététique, ce qui est une très bonne chose, et ça a aussi pour conséquence d'alimenter la crête de la vague de dunning-kruger. Et comme tout apprenti zététicien a très rapidement connaissance de l'effet dunning-kruger, beaucoup acquièrent le sentiment qu'il ont heureusement basculé dans le creux ou au-delà. Ce qui est un paradoxe assez soyeux, faut-il le reconnaître.
Bien joué, c'était la bonne réponse à ce piège grossier
Absolument d'accord avec toi.
Message cité 3 fois Message édité par Floom le 25-06-2020 à 12:05:05 |
Publicité | Posté le 25-06-2020 à 11:44:57 |
Kiveu Carlos Irwin Estevez | Mouais, c'est un débat sémantique là. Message cité 1 fois Message édité par Kiveu le 25-06-2020 à 12:20:59 --------------- I'm going to Disneyland ! |
rdlmphotos omnia vanitas ! |
Message cité 1 fois Message édité par rdlmphotos le 25-06-2020 à 13:06:13 --------------- Well Fed (Miam Miam des OGM) - Sauvez le Climat, sauvez les centrales nucléaires! |
Floom |
Message cité 1 fois Message édité par Floom le 25-06-2020 à 13:43:58 |
TZDZ |
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Kiveu Carlos Irwin Estevez | Je ne vois pas ce qu'apporte le fait de dire au fond que "tout n'est que témoignage". C'est un débat sémantique sur le sens du mot. Et au fond c'est très secondaire. Message cité 2 fois Message édité par Kiveu le 25-06-2020 à 13:36:14 --------------- I'm going to Disneyland ! |
Floom |
Ah ben je pensais avoir expliqué ce que ça peut apporter. Notamment de quelle manière ça permet d'éviter d'en venir à dire que "un témoignage n'a aucune valeur en science", ainsi que de remettre en perspective le point de vue unique de la zététique qui conduit à une approche très limitée et binaire de ce qu'est un témoignage. Mais encore une fois ça peut tout à fait ne pas t'intéresser. Moi je dis ça juste parce que ressasser les mêmes choses pages après pages en vase clôt, je n'y trouve personnellement aucun intérêt. Pas plus qu'une distribution de liens youtube sans commentaires. Et parce que je pense que l'approche comparative des sciences et de leurs méthodes est enrichissante. Message cité 1 fois Message édité par Floom le 25-06-2020 à 13:46:28 |
TZDZ |
Message édité par TZDZ le 25-06-2020 à 13:54:11 |
TZDZ | Bah écoute, c'est toi qui affirmes des choses telles que "la zététique a une vision unique et binaire de ce qu'est un témoignage". J'observe le contraire, tu dis n'être pas intéressé par le visionnage de sources qui te feraient revoir ta position, qu'est ce qu'on en conclut ? Message cité 1 fois Message édité par TZDZ le 25-06-2020 à 13:59:48 |
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Message cité 1 fois Message édité par TZDZ le 25-06-2020 à 14:35:41 |
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Oui mais j'ai dit "peut" j'ai pas dit que ça marchait forcément. Bien sûr on connaît mieux maintenant le problème des souvenirs reconstruit, l'implantation de faux souvenirs...etc. De manière intuitive, je dirais que les témoignages ont permis de faire condamner bien plus de coupables que d'innocents. Ça reste a mon avis assez efficace. Message cité 1 fois Message édité par Kiveu le 25-06-2020 à 14:47:54 --------------- I'm going to Disneyland ! |
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Floom |
Nope, désolé, c'est encore un procès d'intention. Je ne reproche rien à la zététique, je me méfie simplement de ses "usagers". Chose que je t'ai par ailleurs explicité mp en plus. Je vais donc réitérer ici: "Sinon, j'ai rien contre le fait de s'inscrire dans le courant de pensée de la zététique. Je trouve que c'est une excellente manière d'aborder les sciences en tant qu'elle fournit une méthode juste et efficace. Ce qui m'agace c'est une des conséquences de ce que je viens de dire: c'est devenu très à la mode, d'autant plus que c'est très accessible, et je croise de plus en plus de gens un peu trop persuadé d'avoir tout compris à tout à partir du visionnage de quelques vidéos, si bonnes soient-elles." Après, et vraiment sauf ton respect, si tu ne comprends pas où je veux en venir alors que je l'explique me semble-t-il d'une manière suffisamment claire, c'est soit que tu lis en diagonale, soit que tu me prêtes des intentions que tu cherches à reconnaître dans mes propos au détriment de ce qui est réellement dit. Et forcément, quand tu ne les retrouves pas, ça te donne l'impression que c'est parce que j'ai fait de la rhétorique pour cacher mes intentions. Après, peut-être que l'impression de citadelle dépend surtout de ton intention à toi. Je sais pas, t'as peut-être envie de tout péter à l'intérieur façon Mordor. Message cité 4 fois Message édité par Floom le 25-06-2020 à 15:06:21 |
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