Pistouillette | tweanpeaks a écrit :
mois bypass Ya un ans
perte 25 kg je descend doucement pour pas reprendre plus tard
ma balance ma fait une frayeur + 7 kg pendant 3 mois mais en fait elle était en panne
je sus passer de 125 a 100
j'encourage les gens au bypass c'est radical mais efficace
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Sauf énorme difficulté médicale, j'ai du mal à cautionner ce type de conseil. C'est quand même de la chirurgie, ce qui n'est jamais anodin. Et il y a des conséquences à vie de ce type d'intervention.
Après, je ne suis pas contre non plus. Je pense juste que cela doit être un dernier recours.
vinko a écrit :
en surpoids, je voudrais perdre environ 10 kg. Actuellement, 41 ans, 90kg pour 1m82, j'ai tenté un réquilibrage avec une dieteticienne y a 2 ans. J'avais perdu 1kg le premier mois car j'etais tres motivé (novembre), et tout repris en Decembre.
J'ai rapidement baissé les bras, et arreté le suivi. 50€ tout les mois pour des conseils de bon sens mais que je n'arrivais pas à respecter... Pourtant je dois perdre du poids car j'ai déclenché une stéatose hépatique, résultant d'une hypocholestérolémie d'origine génétique. Ce taux faible en cholesterol a toujours ete vu comme une bonne chose par les medecins généraliste alors que ca cachait un problème de métabolisme, avec des effets sur ma santé qu'on avait du mal à identifier .
Pour en revenir à mon surpoid, mon gros problème c'est le soir. Autant en journée j'arrive a ne pas grignoter manger modérément, le soir c'est très compliqué, je peux me goinfrer j'ai toujours très faim, je cherche une solution de type coupe faim efficace pour justement éviter de taper dans le placard...ma volonté n'est pas fiable
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Les diététiciens, ça m'a toujours fait marrer. Comme les groupes type Weight Watcher que j'ai ponctuellement fréquenté avec une de mes ex. Souvent, ils ne font que répéter des poncifs que nous connaissons tous, en écartant l'aspect psychologique de la difficulté à les appliquer.
Pour le soir, j'ai une problématique proche de la tienne (voir ci-dessous). A mon sens, le truc c'est de se garder occupé. Si tu n'as pas le temps de penser bouffe, d'aller taper dans le placard et de consommer mécaniquement, le problème devrait être moins présent. Pour beaucoup de personnes, la bouffe sert à compenser ça et deviens un réflexe quand on a rien d'autre à faire.
Pour beaucoup de personnes, dont les diététiciens, je pense que le mal-être, l'ennui et l'angoisse sont trop minimisés dans le rapport à la nourriture.
Pour ma part, 41 ans également, 1m87 et actuellement 115kg.
J'ai eu plusieurs phases :
- Jusqu'à 19 ans, pas de difficultés, je tournais entre 83 et 87kg ce qui correspondais bien à ma morphologie.
- Période 19-20 ans : j'étais pas bien psychologiquement, je suis passé à un régime clopes + 1 repas par jour. Je suis descendu à 79kg, mais en ne m'alimentant pas assez, c'était pas sain.
- De 20 à 26 ans, grosse prise de poids avec montée jusqu'à 123kg. C'était dû à un accident m'ayant immobilisé plusieurs mois : j'ai compensé la frustration et al douleur dans la bouffe. Et j'ai acquis des mauvaises habitudes avec ma copine de l'époque, à base de pâtes en sauce et fast food.
- De 26 à 30 ans, première perte de poids jusqu'à 90kg, j'étais bien physiquement et mentalement.
- De 30 ans à 40 ans, nouvelle prise de poids progressive jusqu'à 128kg. Je me suis laissé aller, ai accompagné mon ex dans ses deux grossesses.
- De 40 ans à maintenant (41), je suis empêtré dans un divorce extrêmement difficile et complexe. J'ai commencé à perdre du poids involontairement passant de 128kg jusqu'à 123kg. Perte de poids liée à un stress important m'accaparant tellement l'esprit que ça me coupait l'appétit et me laissait peu de temps pour penser "chocolat et sucre" le soir (mon problème majeur le reste du temps). Constatant cela, je me suis efforcé de transformer l'essai et en ai profité pour rééquilibrer mon alimentation : baisse des portions, beaucoup moins de sucré, etc... Et j'en suis à 115kg, sur une pente descendante.
Mon objectif premier : 100kg et arrêter ces yoyos nocifs. Mon objectif "annexe" pas obligatoire : descendre jusqu'à 90kg.
Mes moyens : contrôle de l'alimentation, activité physique douce (marche).
Mes difficultés de fond : j'adore la bouffe. C'est un refuge quand je me sens stressé, angoissé, seul, que je m'ennuie... Ca m'accompagne quand je m'amuse (un bon repas).
Ma difficulté ponctuelle : je suis actuellement dans une nouvelle phase de mon divorce en cours qui est angoissante (attente de documents de la partie adverse) et pour ne rien arranger mon taf est aussi dans une phase difficile. J'ai donc repris la mauvaise habitude de descendre une tablette de chocolat chaque soir quand je suis seul, ce qui est un mauvais réflexe que j'ai souvent affronté. Heureusement, j'ai réussi à conserver la limitation des portions. Je vais donc devoir me reprendre sur le chocolat/le sucré. Message édité par Pistouillette le 15-10-2024 à 11:31:23
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