Cela ne me choque pas tant que ça, pour une université : on n'y va pas seulement pour apprendre une langue, mais pour aller dans les détails, dans une démarche davantage académique, sachant que les enseignants sont généralement des chercheurs. Et aussi pour aller dans tout ce qu'il y a autour d'une langue, comme sa culture, son histoire à travers l'histoire du pays et des peuples...
Si on va à l'université juste dans le seul but d'apprendre à communiquer dans une langue, on se trompe d'endroit, à mon avis : il y a d'autres cadres plus propices à faire la même chose, donc des écoles et formations spéciales, mais sans tous les "à côtés" qui n'intéressent pas forcément tout le monde. En tout cas, il y a un public pour ça : des personnes qui veulent justement aller au-delà du simple apprentissage pratique. Il faut juste y être sensible et être conscient de ce qu'est réellement une université.
Sinon, j'ai passé quelques heures à parcourir les pages du livre (à la Fnac uniquement), prendre des notes sur mon téléphone, et revoir pas mal de vidéos de sa saison 1 pour vérifier.
Du point de vue de la forme, le livre a un bon design, une bonne maquette, agréable à parcourir. C'est également bien écrit, et c'est très bon marché pour le contenu (25 € environ).
Par contre, je n'aime pas du tout qu'on me tutoie dans un livre d'enseignement (l'impression qu'on me prend pour un adolescent ou un enfant), mais surtout, mon plus gros grief est le suivant : pas d'index, et ça, quand même, ça la fout un peu mal, dans un livre d'enseignement. Je veux dire, les index, c'est quand même une chose dont je me sers beaucoup dans ce type de livre afin de retrouver plus facilement certaines informations à travers certains mots-clés.
Cela dit, dans son livre, il y a des nouveautés par rapport à sa saison 1, et ça, c'est appréciable. Voici ce que j'ai noté :
- quelques enregistrements audios par des locuteurs natifs, notamment pour son petit texte sur "les vacances de Ganondorf" (dans Zelda) écrits en kana (ça aurait mérité d'avoir nettement plus d'enregistrements de ce genre) ;
- Il évoque le 3ème sens de lecture qui peut (pouvait) exister en japonais : la lecture horizontale de droite à gauche ;
- il a corrigé la date de suppression des kana "wi" et "we" (il avait dit 1900 dans ses vidéos, alors que c'est bien vers 1946 comme indiqué dans son livre - à l'époque il avait peut-être confondu avec la standardisation des kana en 1900) ;
- ses explications sur l'origine pictogramme du kanji du cheval est un peu plus claire ;
- il aborde enfin (pas longtemps, mais quand même) cette notion importante de "clé phonétique" dans beaucoup de kanji ;
- pour les jours de la semaine, il explique mieux l'origine des mots "tsuitachi" et "hatsuka" (en parlant d'ailleurs du nombre japonais natif "hata" pour dire "20" ) ;
-quand il parle des ères japonaises, il parle de la nouvelle ère actuelle (qui n'avait pas encore commencé à l'époque de son cours vidéo) ;
- il explique un peu mieux le pot-aux-roses derrière le changement de nom de Chihiro en Sen dans le dessin animé de Miyazaki ;
- il aborde quelques différences qui existent entre le chinois et le japonais pour les nombres ;
- il parle des "carrés invisibles" qui font que les kana occupent la même place que les kanji, et il parle même du fait que les chiffres arabes occupent eux-mêmes ces carrés en étant, par conséquent, plus espacés que dans nos langues occidentales.
Par contre, il y a quelques éléments disparus par rapport à son cours vidéo :
- tout ce qui concerne l'accent de hauteur (dans sa vidéo "La bonne intonation des mots japonais" ) est passée à la trappe (même si, il est vrai, cette vidéo était un peu "hors-série" et ne faisait pas vraiment partie de sa saison 1, mais c'est dommage car elle y aurait trouvé sa place) ;
- sa partie sur l'écriture du japonais sur ordinateur avec un clavier passe également à la trappe (et bien sûr, comme dans sa vidéo, il ne parle pas de l'écriture sur smartphone) ;
- dans sa liste de vocabulaire sur les couleurs, je n'ai pas vu de mention de l'autre mot natif japonais sur la couleur orange, à savoir 橙色 ;
- quelques explications (déjà maigres dans ses vidéos) sur les mots de vocabulaire disparaissent (comme par exemple ses explications sur l'origine de "Yuki Onna" ).
Sinon, il y a des choses communes à son livre et à son cours pour lesquelles j'aurais quelques remarques à faire :
- C'est un peu vague et simplifié, quand même, ce qu'il dit sur l'origine des kana : à le lire, on croirait que les Japonais ont juste pris des kanji pour ensuite y coller une prononciation, mais avant ça, il aurait peut-être fallu parler quand même du système d'écriture originelle et hybride qui mélangeait kanji pris pour leur valeur sémantique (leur signification) et kanji pris pour leur valeur phonétique (leur prononciation), ces derniers étant appelés "Man'yôgana".
Et par conséquent, en lisant son livre, on a l'impression que seuls les katakana ont repris des kanji uniquement pour leur prononciation... alors que c'était AUSSi le cas des hiragana ! Ainsi, quand il donne l'exemple du hiragana ほ qui vient du kanji 保, et bien, justement, la lecture "sino-japonaise" de ce kanji est "ho" (quand bien même des dictionnaires utilisent plutôt le katakana ホ pour retranscrire cette lecture "sino-japonaise" ) !
Donc c'est quand même plus compliqué que de simplement dire "Ah, bah on écrit la lecture sino-japonaise des kanji en katakana, car c'est l'usage historique de ces kana", alors qu'on peut dire exactement la même chose des hiragana qui, historiquement, ne faisaient que reprendre la lecture d'inspiration chinoise qui se cachait derrière ces sinogrammes afin de retranscrire leur propre langue japonaise.
Et plus généralement, c'est compliqué, l'histoire des kana et de leur utilisation, parce que ça a évolué avec le temps. Pour ça, il aurait fallu également parler du fait que les hiragana étaient, au départ, une "écriture de femme" durant l'ère Heian (avec pas mal de romans et histoires célèbres écrites par des femmes), alors que les katakana et les kanji étaient surtout une "écriture d'homme" (et en particulier les katakana qu'on utilisait dans des textes "scientifiques", "spécialistes", et aussi religieux vu que ça vient des moines bouddhistes).
Enfin, jusqu'au XXème siècle, les textes "officiels" étaient écrits en kanji et en katakana : les katakana étaient utilisés pour les particules, verbes et autres marques grammaticales, donc jouaient le même rôle que les hiragana aujourd'hui, avant qu'ils ne soient ensuite relayés au second plan. D'ailleurs, dans son livre, quand il dit "les katakana sont aussi importants que les hiragana", bon, c'est quand même exagéré : dans le japonais actuel, c'est quand même moins présent que les kanji et les hiragana, même si, oui, il faut quand même les apprendre le plus tôt possible, mais à mon avis, leur apprentissage doit passer après les hiragana (pas en même temps, quoi, ou du moins, pas en y accordant la même importance et la même priorité).
Et comme dans son cours vidéo, il pédale un peu dans la semoule quand il dit d'abord, grosso modo, "il FAUT écrire la lecture sino-japonais en katakana", pour ensuite dire "Ah, mais attention, quand on écrit un mot initialement en kanji mais transcrit en kana dans une phrase, on utilise les hiragana, pas les katakana, car oui, ce sont des mots intégrés dans la langue depuis longtemps" (ce n'est pas faux, ce qu'il dit, mais c'est quand même assez tordu et compliqué pour des débutants, je pense qu'il aurait mieux fallu dire simplement que l'usage des katakana pour indiquer la lecture "sino-japonaise" des kanji est réservée avant tout aux dictionnaires et puis c'est tout).
- Il explique un peu ce que signifient, étymologiquement, les mots "hiragana" et "katakana", mais c'est dommage qu'il n'ait pas mieux fait le parallèle avec leur écriture en kanji qu'il ne fait qu'aborder que dans plusieurs chapitres plus loin sans faire le lien.
- L'origine de 出来る : là encore, comme dans sa vidéo (c'était son "10ème cas particulier de kanji" ), il pédale dans la semoule, et en plus dans son livre, il se contredit, car il réitère d'abord la même erreur en disant que c'est un 当て字 / ateji (sans citer ce nom japonais officiel, mais il parlait de ce type de mots composés de plusieurs kanji qui ne sont utilisés que pour leur prononciation), alors que non, il y a bien un rapport avec la signification de ces deux kanji... ce qu'il finit quand même par dire à demi-mot en disant "Bon, on peut aussi interpréter ce mot comme...", mais voilà, c'est contradictoire, et surtout, ce n'est carrément pas un bon exemple du tout pour illustrer les ateji, ce verbe 出来る / できる.
Le truc, c'est qu'un lecteur va croire que les Japonais se sont amusés à retranscrire en kanji le mot en kana できる, alors que c'est chronologiquement le contraire qui s'est passé. Bref, 出来る, ce n'est pas du tout un bon exemple des ateji : il aurait mieux fait de parler d'autres mots comme 寿司 (sushi) ou 倶楽部 (club). Et encore une fois, s'il avait été moins vague sur l'origine des kana, donc s'il avait parlé des man'yôgana, ce type de "cas particulier" n'est pas si étrange que ça, car à l'origine, avant l'apparition des kana, le japonais utilisait justement des kanji utilisés uniquement pour leur phonétique !
- Quand il parle de son "2nd cas particulier de kanji" pour justifier l'utilisation de la lecture "purement japonaise" d'un mot comme 小山 sous prétexte que le premier est un "préfixe", il se plante sur sa justification : ce qu'il explique avec sa notion de "préfixe", c'est simplement l'un des principes de base de la formation d'un mot composé de deux kanji, à savoir le fait que le kanji de gauche "détermine", "qualifie", le kanji de droite. Donc ce qu'il dit, ça s'applique aussi à son autre exemple qu'il donne, à savoir 火山, sauf que là, non : on n'utilise pas de lecture "purement japonaise", mais "sino-japonaise". Bref, ça ne va pas, son explication de "préfixe" pour justifier l'emploi de la lecture purement japonaise.
- Il dit grosso modo que l'allongement "n'existait pas à l'origine en japonais". Bon, je ne suis pas complètement sûr de la chose, et dans son livre il écrit d'ailleurs lui-même "il y a toujours des exceptions". Mais à mon avis, tout ce qui est transcrit avec deux kana "o" comme おおきい (大きい), c'est du "japonais natif", car à l'origine, ça s'écrivait et se prononçait おほき, avant que le "h" de ほ ne "tombe" pour que ça devienne "oo" (et ça, c'est un mot "purement japonais", ce n'est pas un mot "sino-japonais".
Et on peut faire la même remarque pour l'origine de la "forme volitive en ô" : ça vient de la fusion de, en gros, "a + u = ô", ce qui ne me semble pas spécialement résulter d'une origine "sino-japonaise".
Après, dans l'ensemble, il semblerait quand même que, dans la majorité des cas, oui, l'allongement proviendrait d'une étymologie "chinoise".
- Quand il parle des jours de la semaine et du système solaire, il aurait peut-être pu juste expliquer que le français a perdu l'origine "planétaire" pour le samedi et le dimanche (donc qu'il faut se tourner vers d'autres langues comme l'allemand ou l'anglais pour s'en rendre compte).
- Pour la "katakanisation" des mots étrangers, il pouvait éventuellement dire que, dans pas mal de cas, il est dur de deviner la transcription phonétique car elle pouvait se baser soit sur des prononciations archaïques, soit sur un accent particulier.
- Quand il écrit "on voit bien que les deux traits ont été/n'ont pas été tracés dans le bon ordre", avec image à l'appui, je n'ai quand même pas trouvé que c'était super flagrant à voir, surtout si on est débutant.
- Il pouvait peut-être donner quelques explications phonétiques un petit peu plus détaillées, notamment sur la forme de la bouche et la position de la langue à adopter, avec éventuellement quelques petits schémas et/ou enregistrements audios de natifs.
- Quand il parle du côté "intuitif" du rômaji Hepburn pour un Français, c'est quand même à relativiser : c'est un système fait avant tout par et pour des anglophones, donc un Français ne peut pas deviner, par exemple, que le "r" ne se prononce pas comme le "r" français ; le "u" non plus ; que "chi" ne se prononce pas comme "chien" ; que "Nagasaki", "Kawase" ou "Yamauchi" ne se prononcent pas "Nagazaki", "Kawaz" ou "Yamochi" ; que "fu" ne se prononce pas comme un "f" français.
- Dans sa liste de vocabulaire sur les animaux, quand il laisse entendre que le kanji 兔 du lapin serait "très difficile" pour les Japonais, je suis quand même super sceptique : j'ai plutôt l'impression que c'est quand même un kanji super connu des Japonais (en plus du fait qu'il sert de radical à bon nombre de kanji hyper connus et employés, comme 免 ou 勉) !
- Quand il parle de la "pause" avec le petit kana っ/ッ, je n'aime pas trop ce terme qui me semble trompeur : un truc comme "redoublement de consonne" me semblerait un peu plus clair.
- Quand il parle de la couleur indigo en citant uniquement le mot インディゴ, je ne sais pas, mais j'ai quand même l'impression que le mot natif 藍 est quand même plus connu et employé.
- Quand il parle de la "version légale" du kanji de 10 000, à savoir 萬, il aurait peut-être pu dire qu'il s'agit avant tout de la forme historique, traditionnelle, du kanji 万 qui en est la forme simplifiée.
- Son explication étymologique sur le mot origine 本 est sympathique avec le trait horizontal inférieur qui représente les racines (donc l'origine, le début), mais il aurait pu en profiter pour dire ce qui se passe quand on met le trait horizontal en haut pour représenter la cime des arbres, autrement dit le "bout", la "fin", à savoir le kanji 末.
- Il fait une petite remarque en disant qu'il n'y a pas "d'écriture attachée" en japonais : c'est vrai en général, mais pas tout le temps si on considère l'écriture cursive ou "sôsho" (草書) des kanji où, justement, on peut avoir des kanji attachés.
Enfin, pour rester dans son optique d'exhaustivité sur l'écriture et sa volonté de "ne laisser aucune zone d'ombre" (d'après sa préface), il y a certaines choses dont il aurait pu parler, comme :
- Les man'yôgana, justement ;
- Le fait qu'il n'y avait pas, comme aujourd'hui, un seul kana pour un même son, mais qu'il y en avait plusieurs venant de plusieurs man'yôgana pour un même son, mais que les kana obsolètes depuis 1900 sont maintenant appelés "hentaigana" et qu'on peut parfois les croiser de manière folklorique par exemple sur certaines enseignes de restaurant.
- Il n'a pas parlé des différents style d'écriture des kanji, se concentrant uniquement sur le style kaisho (楷書) qu'on a sur ordinateur, mais il aurait pu parler notamment du style cursif 草書 (et c'est d'ailleurs de kanji écrits dans ce style cursif que proviennent les hiragana, là où les katakana proviennent plutôt de fragments de kanji écrits en "style d'imprimerie" 楷書). C'est même un truc effrayant pour un apprenant occidental, le style 草書, car ça rend méconnaissables bon nombre de kanji qu'ils connaissent pourtant très bien, quand ils voient ce style d'écriture dans des décors de jeux vidéo, anime, films ou mangas.
- L'origine "écriture féminine" des hiragana et "écriture masculine/scientifique" des katakana, comme expliqué plus haut.
- La simplification d'au moins 300 kanji traditionnels (kyûjitai) devenus des "shinjitai", et du fait que dans les kanji "non jôyô", il existe des simplifications non officielles qui sont parfois devenues bien plus connues et employées que leurs versions traditionnelles officielles.
- Il pouvait parler, en plus des Jôyô Kanji, de la liste des "Jimmeiyô Kanji" pour les noms propres. Et aussi dire que, en vérité, les Japonais connaissent en général beaucoup plus que simplement les quelques 2 139 Jôyô Kanji, et que si l'école est loin derrière eux, ils ne savent plus forcément si tels kanji qu'ils utilisent régulièrement sont "Jôyô" ou non (ceux qui sont "hors liste" et innombrables - pas de vraie liste officielle - sont parfois appelés "Hyôgai" ).
- Il pouvait parler des différents types de mots composés de plusieurs kanji. Hormis le cas cité plus haut du kanji de gauche qui "qualifie" le kanji de droite, on pouvait parler de ceux composés de "kanji opposés" qui donnent parfois un sens particulier (comme 左右 qui ne signifie pas seulement "gauche et droite", mais aussi "contrôle", "influence" ). Ou bien de ceux composés de "plusieurs parties d'un tout pour désigner le tout", comme le mot 喜怒哀楽 (qui ne signifie pas seulement "joie, colère, tristesse, plaisir", mais désigne plus généralement la notion "d'émotion" ).
- Il pouvait donner quelques explications plus approfondies sur le vocabulaire et en particulier sur la structure des kanji parfois bien complexes (comme ceux de sa liste "Halloween" notamment), pour aider le débutant à mieux se les approprier et les mémoriser.
- Il pouvait parler d'autres phénomènes phonétiques importants, comme l'assourdissement du "u" et du "i dans bon nombre de mots (le "i" dans 明日 par exemple, et bien entendu le "u" final des auxiliaires ます et です), ou bien de la "nasalisation" pouvant subvenir (notamment quand le kana ん est devant un son voyellique, comme le mot 単位). Ou bien certains phénomènes de contraction, comme ている et ておく qui deviennent facilement てる et とく à l'oral.
Encore une fois, je reste quand même très réservé sur le fait qu'une telle exhaustivité puisse vraiment convenir à un débutant qui n'a même pas encore vraiment fait d'écoute, lecture et conversation, ni même n'a aucune base grammaticale. Mais tout ce que je dis, c'est vraiment si j'adopte son point de vue d'exhaustivité et de l'idée de ne laisser "aucune zone d'ombre", car de ce point de vue-là, d'accord, c'est un bon livre, apportant une réelle plus-value par rapport à son cours vidéo, mais pour cet objectif, il y a des petites choses à améliorer (si, un jour, il veut faire une édition révisée avec quelques corrections et ajouts).
Quand j'ai parlé de tout ça, c'est en mettant de côté le fait que je n'approuve pas vraiment sa progression pédagogique, que je ne pense pas qu'il soit nécessaire de se focaliser AUTANT sur l'écriture d'une langue avant d'entrer dans le vif du sujet, que je pense que l'écriture japonaise est une chose trop complexe à aborder d'une traite, mais que c'est plutôt quelque chose qui va se comprendre petit à petit au fil des années. Par contre, éventuellement, sachant qu'en plus c'est plutôt bon marché pour le contenu, je pense que ça peut être un investissement rentable pour un débutant en particulier si celui-ci ne se base pas que sur ce livre, qu'il utilise d'autres ressources à côté (y compris les saisons qu'il a faites sur la grammaire jusqu'à présent, pourquoi pas, même si j'ai aussi des réserves), et qu'il revient régulièrement sur ce livre comme une sorte de "fil rouge" pour mieux comprendre certaines choses liées à l'écriture.
Tout ce que j'ai dit là, je l'ai écrit dans son fil Facebook (bon, j'ai un peu arrondi les angles par rapport à mon message sur certaines choses, mais à voir si mes commentaires vont rester publiés longtemps sur son actu liée à la publication de son livre).
Message édité par Rudolf-der-Zweite le 27-01-2024 à 22:45:39