...
Et la ma copine qui sauve le truc :
" ben c'est surement ce midi quand on a mangé les soles, j'ai du renverser un peu de sauces ?"
 
La mère : " A lalalala! J'ai déja dit de pas manger dans le salon!"  
 

 
Ben son père était un peu éméché par la soirée, et j'ai juste entendu le bruit comme quoi il "péchait" les capotes.
 
Jamais entendu parlé, sauf que ses parents sont montés que 2 heures après l'incident. La nuit de merde je me suis barré en douce à 7 heures du mat, je voulais surtout pas croiser les parents le lendemain. Bilan, elle venait uniquement à la maison après    
 
 
Une autre vraiment grave, avec une autre copine, parents absents idem, faisage d'amour sur la moquette du salon (c'était mon trip car ses parents étaient hyper coincés et strictes)
Bref, chose faite, les parents qui rentrent, "les enfants vous descendez, patati, patata...)
 
Tout le monde dans le salon, le père qui offre l'apéro est moi le regard con du mec qui a fait une connerie et fier de l'être, je regarde l'endroit du champ de tir sur la moquette, et la horreur .... une tache de spe..e      
 
Il a fallu que quelques minutes por que sa pointilleuse de mère s'en apercoivent. Et la voila qui commence :
 
La mère : "vous avez renversés quelque chose les enfants? Ya une tache là ?"
Nous : "Non, non...."
 
Et là ..... elle se met à quatre pattes et frotte un peu la tache avec le doigt avant de se pencher un peu plus et renifler la tache pour deviner le produit ...    
 
La mère : " c'est drole, y'a comme une odeur de poissons, ou un truc comme ça?"
 
Et la ma copine qui sauve le truc :
" ben c'est surement ce midi quand on a mangé les soles, j'ai du renverser un peu de sauces ?"
 
La mère : " A lalalala! J'ai déja dit de pas manger dans le salon!"  
 

Aller, ma petite contibution
 
J'etait assez jeune , genre 6-7 ans, je bouffait chez ma grand mère avec mes ramp et y'avait des invités bref plein de monde. Arrive le moment tant espéré du gateau et connaissant ma grand mère et ses talents de cuisinère   je commance a bouffer super rapidement, et là un vieux gout et moi bien fort : TAIN MAMIE IL EST DEGUELASSE TON GATEAU!!!
 
Le truc c que ct un gateau qu'avait apporté les invités que je connaissait pas.
 
Ma maman m'a tout expliqué plus tard parce que moi ezn voyant les tronches type   de tout le monde j'avias pas compris. mais putain la honte

Ca me fait penser à l'époque où je prenais un max de RDV pour négocier un prêt immobilier, avec prises de notes des tél, adresse des banques et conseiller sur un coin de table dès que j'avais 5 minutes de pause au boulot. Je collectionnais les posts-its qui s'entassaient en un parfait foutoir.
 
J'arrive dans l'agence du jour. Je fais la queue à l'accueil, c'était bondé. Je demande au type à m'entretenir avec M.Semard pour mon prêt. Il me regarde avec curiosité avant de me dire "Il est mort". Je suis un peu décontenancé, je lui réponds "J'ignorais".
 
Tout le monde se marre derrière moi. A tel point qu'une des dames qui faisait la queue a dû sortir pour se rafraîchir. Un peu confus et ne comprenant pas ce qu'il se passe, je sors de la banque, mais pas avant de m'être ridiculisé au cours d'un dialogue surréaliste d'où il ressort qu'aucun conseiller n'avait de RDV pour ce jour, que le n° que j'avais était un n° de fax d'une autre agence, etc....
 
Après quelques pas, je vois une plaque 'Rue P. Semard, mort pour la France 194x. Les clients qui attendaient dans la banque me regardaient en se tordant de rire. Gros moment de sollitude  

Le nomb de fois ou je me suis fait gauler dans ce genre de plans, toujours plus ou moins en rapport avec le saikçe    

Celui ci n'est pas un vrai moment de honte, mais la cause d'une rupture :
 
Moi et ma copine dans le salon, la maman pas là et ma copine en jupe très courte et bas, bilan grosse excitations et reglage du problème sur la moquette dans le salon qui donne sur la porte d'entrée, même porte par laquelle sa mère devait passer au retour des courses.
 
Nous étions parfaitement conscient du risque mais c'était existant, donc hop !  
 
Donc moi sur ma copine, en position "classique" donc ma tête au niveau de son épaule, nous étions dans l'axe de la porte que je pouvais voir entre les jambes de ma copine et mon ventre (je sais pas si vous voyez le truc).
 
Moi presque à l'extase je ferme les yeux puis les re-ouvres une dizaine de secondes plus tard et la je voie la porte entreouverte avec une vue sur les jambes de la maman qui se tenait dans l'entrée, pétrifié de peur je bougeais même plus un cil et la je voie la maman qui referme la porte discrètement attend quelques secondes et qui fait mine d'avoir oublié ses clefs, donc sonne à la porte.  
 
La pauvre maman de ma copine était toute pale, bref pas réellement gros moment de honte, mais c'était juste pour illustrer mon "Pierre RICHARD staïle" sur ce genre de plan ....  

Les deux en fait car une fois la chose faite nous sommes allé dehors et avons discutés de ce qui c'est passé, comme j'avais bien provoqué le risque ben engueulade dans un bar et rupture à peine une heure après.
 
J'avais rappelé la moman quelques jours après pour m'excuser et elle était triste de la rupture, elle s'en voulait de nous avoir surpris      

Les deux en fait car une fois la chose faite nous sommes allé dehors et avons discutés de ce qui c'est passé, comme j'avais bien provoqué le risque ben engueulade dans un bar et rupture à peine une heure après.
 
J'avais rappelé la moman quelques jours après pour m'excuser et elle était triste de la rupture, elle s'en voulait de nous avoir surpris      

 
elle avait quel age pour rompre pour ça ton ex    

 
21....  

 
Encore au collège (on doit vraiment être très con à cette période !!), on dicutait (fille et garçon) avant de rentrer en cours de soutien-gorge

Ca me fait penser à l'époque où je prenais un max de RDV pour négocier un prêt immobilier, avec prises de notes des tél, adresse des banques et conseiller sur un coin de table dès que j'avais 5 minutes de pause au boulot. Je collectionnais les posts-its qui s'entassaient en un parfait foutoir.
 
J'arrive dans l'agence du jour. Je fais la queue à l'accueil, c'était bondé. Je demande au type à m'entretenir avec M.Semard pour mon prêt. Il me regarde avec curiosité avant de me dire "Il est mort". Je suis un peu décontenancé, je lui réponds "J'ignorais".
 
Tout le monde se marre derrière moi. A tel point qu'une des dames qui faisait la queue a dû sortir pour se rafraîchir. Un peu confus et ne comprenant pas ce qu'il se passe, je sors de la banque, mais pas avant de m'être ridiculisé au cours d'un dialogue surréaliste d'où il ressort qu'aucun conseiller n'avait de RDV pour ce jour, que le n° que j'avais était un n° de fax d'une autre agence, etc....
 
Après quelques pas, je vois une plaque 'Rue P. Semard, mort pour la France 194x. Les clients qui attendaient dans la banque me regardaient en se tordant de rire. Gros moment de sollitude  

pardon?

pardon?

 
j'suis naz en français mais je crois qu'il a oublié une virgule aprés "cours"  

 
virgule devant "avant" et derriere "cours"    

 
j'suis naz en français mais je crois qu'il a oublié une virgule aprés "cours"  

 
en voilà une belle honte de la mort  

Ca me fait penser à l'époque où je prenais un max de RDV pour négocier un prêt immobilier, avec prises de notes des tél, adresse des banques et conseiller sur un coin de table dès que j'avais 5 minutes de pause au boulot. Je collectionnais les posts-its qui s'entassaient en un parfait foutoir.
 
J'arrive dans l'agence du jour. Je fais la queue à l'accueil, c'était bondé. Je demande au type à m'entretenir avec M.Semard pour mon prêt. Il me regarde avec curiosité avant de me dire "Il est mort". Je suis un peu décontenancé, je lui réponds "J'ignorais".
 
Tout le monde se marre derrière moi. A tel point qu'une des dames qui faisait la queue a dû sortir pour se rafraîchir. Un peu confus et ne comprenant pas ce qu'il se passe, je sors de la banque, mais pas avant de m'être ridiculisé au cours d'un dialogue surréaliste d'où il ressort qu'aucun conseiller n'avait de RDV pour ce jour, que le n° que j'avais était un n° de fax d'une autre agence, etc....
 
Après quelques pas, je vois une plaque 'Rue P. Semard, mort pour la France 194x. Les clients qui attendaient dans la banque me regardaient en se tordant de rire. Gros moment de sollitude  

ben moi dans le genre fin de soiree bien miteuse, apres une cremaillere j'etais bien defait, on pieute a plusieurs chez un pote et en pleine nuit jvais pisser.  
Deja je lutte grave pour retrouver les chiotes dans son appart de 40m² mais une fois dedans, a peine jai commencer a pisser que je perds l'equilibre et mecrase en merde la teub entre les mains, je defonce la porte -> reveillage de tout le monde et je finit dme pisser dessus couché par terre.  
ils se foutent encore de ma gueule  

La mère : " c'est drole, y'a comme une odeur de poissons, ou un truc comme ça?"

     
 
   
boooking
   

(la honte sonia !)
 
Comme je vois que ca parle pas mal de chaussons, terreur adolescente top nivö...
 
Donc vers les 11 ans, classe de neige. Ma mere voulait pas trop me charger en valoche je pense, donc elle met niveau shoes: les apres ski et les...chaussons.
 
Bon, très bien tout ça, la journée soit au ski soit en apres ski, ensuite dans les locaux, en chaussons.
 
Manque de bol, ils organisent une 'boum' (ma 1e   ), là evidemment, affreux dilemne:
 
http://www.la-botte.com/Photos/DRA [...] TTE_HD.jpg
 
ou
 
http://cache.bizrate.com/product/0 [...] 09E7-1.jpg
 
   
 
 
Tete à tete avec les smarties, le coca et jus d'orange evidemment. Le plus dur a été de reussir à cacher au maximum mes sexy-pantoufles à la boum.
 

-  Toujours en classe, au cours de religion, la prof me demande qu'est-ce qu'on peut retenir de la parole de Jésus.  Je l'ai regardé et je lui ai dit "Je vous aime"...mais ça a prêté à confusion, surtout de la manière avec laquelle je l'ai dit, et j'ai été envoyé illico chez le préfet de discipline.  A la fin du cours, la prof est sortie en pleurant et on ne l'a plus jamais revue...  

     
 
   
boooking
   

moi une petite honte sympa.
 
Je  faisait mes etudes à nancy, et mes parent habitaient  en banlieue parisienne. on etait en janvier, donc s'etait l'anniverssaire de ma mere. je prend donc le téléphone et compose le numéro de mes parents, tout fier paske je vais souhaiter son anniv à ma maman  
 
sa sonne, ca décroche:
 
- Allo maman ?
- Oui
- Ca vas ?
- Bien et toi ?
- Oui. Bon anniverssaire !
- ...
- Allo ?
- Euh c'est Gilles ?
- Bah oui c'est moi !
- Bonjour Gilles, c'est gentil de ta part, mais je ne suit pas ta maman et mon anniverssaire c'est en octobre !
 
j'avais pas composé le numéro de mes parents, mais le numéro de téléphone de mon meilleur pote, qui habite dans le meme bled (les deux numeros sont quasi identiques   ) Et j'etait tombé sur la mère de mon pote
 
- houla jsuis désolé je sui surmené en ce moment c'est a cause de mes études    
- C'est pas grave
-  

Trop bÔ ce topic    
 
Bon aller je vais apporter ma modeste contribution:
 
Au CP, la maitresse sort de la classe quelques instants, et moi avec mon âme de saltimbanque je saisi le tampon qui sert a effacer le tableau noir, et je me la joue femme precieuse en train de se poudrer les joues. Evidemment tous les copains mort de rire  . Je comprend mieux pourquoi au retour de la maitresse: je m'étais repeins la gueule en Schtroumpf...
 
Donc, l'institutrice me prend par le poignet et me fait faire le tour des classes des "grands" (CE1,CE2,CM1,CM2 ).
 
Sentiment de solitude assez poussée.

Une petite honte mignonnette.
 
Gosse, je me réveillais et me préparais seule pour aller à l'école dès l'âge de 9 ans car ma mère travaillait et partait avt mon lever. Donc, bouteille thermos, clef autour du cou et habits préparés la veille disposés sur la chaise, élaboraient mon petit quotidien. (Cosette On )
Un matin, alors que je m'habillais (le nbre de fois d'ailleurs où je suis partie à l'école en pantoufles...), je craque l'attache de ma jupe kilt rouge... Complètement paniquée et effondrée, je téléphone à ma mère au travail. Je tombe sur sa collègue qui commence à paniquer m'entendant en larmes et ne comprenant rien à ce qui m'arrivait, puis me passe une autre collègue etc, etc. Moi ne disant rien, me contentant de  chialer au bout du fil, répétant que je voulais parler à maman qui arrive enfin au bout de longues minutes...  
Ma mère affolée : mais kes ki se passe ?!
Moi chialant à gros sanglots comme une madeleine : J'ai cassé ma jupe.  
 
Ma mère stupéfaite de chez stupéfaite dans un calme olympien eut cette idée sublime et merveilleuse..."Sonia, prends un autre vêtement dans l'armoire..."
 
dingue, je n'avais même pas pensé ça ... Gt qd même pas très fut-fut comme gamine... A chaque fois, que je rencontre des collègues de ma mère même des années après, il me rappelle cette histoire...

Une petite honte mignonnette.
 
Gosse, je me réveillais et me préparais seule pour aller à l'école dès l'âge de 9 ans car ma mère travaillait et partait avt mon lever. Donc, bouteille thermos, clef autour du cou et habits préparés la veille disposés sur la chaise, élaboraient mon petit quotidien. (Cosette On )
Un matin, alors que je m'habillais (le nbre de fois d'ailleurs où je suis partie à l'école en pantoufles...), je craque l'attache de ma jupe kilt rouge... Complètement paniquée et effondrée, je téléphone à ma mère au travail. Je tombe sur sa collègue qui commence à paniquer m'entendant en larmes et ne comprenant rien à ce qui m'arrivait, puis me passe une autre collègue etc, etc. Moi ne disant rien, me contentant de  chialer au bout du fil, répétant que je voulais parler à maman qui arrive enfin au bout de longues minutes...  
Ma mère affolée : mais kes ki se passe ?!
Moi chialant à gros sanglots comme une madeleine : J'ai cassé ma jupe.  
 
Ma mère stupéfaite de chez stupéfaite dans un calme olympien eut cette idée sublime et merveilleuse..."Sonia, prends un autre vêtement dans l'armoire..."
 
dingue, je n'avais même pas pensé ça ... Gt qd même pas très fut-fut comme gamine... A chaque fois, que je rencontre des collègues de ma mère même des années après, il me rappelle cette histoire...

Une petite honte mignonnette.
 
Gosse, je me réveillais et me préparais seule pour aller à l'école dès l'âge de 9 ans car ma mère travaillait et partait avt mon lever. Donc, bouteille thermos, clef autour du cou et habits préparés la veille disposés sur la chaise, élaboraient mon petit quotidien. (Cosette On )
Un matin, alors que je m'habillais (le nbre de fois d'ailleurs où je suis partie à l'école en pantoufles...), je craque l'attache de ma jupe kilt rouge... Complètement paniquée et effondrée, je téléphone à ma mère au travail. Je tombe sur sa collègue qui commence à paniquer m'entendant en larmes et ne comprenant rien à ce qui m'arrivait, puis me passe une autre collègue etc, etc. Moi ne disant rien, me contentant de  chialer au bout du fil, répétant que je voulais parler à maman qui arrive enfin au bout de longues minutes...  
Ma mère affolée : mais kes ki se passe ?!
Moi chialant à gros sanglots comme une madeleine : J'ai cassé ma jupe.  
 
Ma mère stupéfaite de chez stupéfaite dans un calme olympien eut cette idée sublime et merveilleuse..."Sonia, prends un autre vêtement dans l'armoire..."
 
dingue, je n'avais même pas pensé ça ... Gt qd même pas très fut-fut comme gamine... A chaque fois, que je rencontre des collègues de ma mère même des années après, il me rappelle cette histoire...