Reprise du message précédent :

 
Ouaip... malheureusement hautement moins probable...
1 - le nombre de turlutes dans les gogues du lycée est bien moins important que la pignole à l'interclasse (oui, je tiens des stats )
2 - aucun intérêt à observer la salive au microscope. Le seul TP qu'on fait (qu'on faisait, c'est aujourd'hui interdit) avec la salive est la mise en évidence de l'amylase salivaire.
 
Ceci dit, j'aurai largement préféré que ça arrive à une fille, ça m'aurait permis d'en rire encore pendant de longues années, et pas de me faire envoyer chier par la brigade du fake sur un topic HFR.
 
Ceci étant, je vous laisse, je vais coucher mes gosses.

Dans le contexte    

quelqu'un a mis alerte qualitay sur la légende urbaine

Ou qu'il venait de se faire sucer goulument par une fille de la classe et qu'en remettant son canon dans son pantalon il a un peu touché la semence sacrée

 
Ya vraiment des mecs qui se pignolent a l'interclasse  

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En pensant à la secrétaire du boss qui se fait troncher par ce dernier alors que ce sont des losers qui n'osent même pas lui parler.

La teneur de ton message était pour le moins surprenante venant de toi
Le ban t'a changé

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On fait ce TP en quelle classe ?
 
 

Y'en a même qui se sont pignolés en cours dans ma classe une fois
 
Beaucoup beaucoup beaucoup de collégiens le font  

 
Tu plaisantes la...  

t'as jamais été au collège ?

 
J'ai jamais vu ça

 
De mon temps ce n'était pas comme ça   ...
 
 

J'ai aussi entendu parler de certains qui faisaient des trous dans leurs poches pour se la caresser en cours.
 
A l'internat, on était en lit superposés, mon collègue de chambrée dormait en dessous, et une fois 1 heure après le coucher, j'entend "pssst, tu dors ? " J'ai rien dit (m'saoulais lui). 2 minutes après, en dessous, c'était festival de fap fap fap !  
 
Quelque jours après, il retente :  
"Psst, tu dors ?"
et moi :
"-Ta gueule, tu te branleras chez toi !"    
 
Aujourd'hui, ce mec là, c'est un de mes plus gros clients.  

client de quoi ?

Trader à la banque du sperme sans doute

Il bosse à la banque de sperme  

Non c'est très fréquent les mecs au fond qui se branlent
Et généralement ils le font en groupe, le mec devant moi se faisait même caresser par la fille à côté  ( bon là y'avait le jean malgré deux boutons qu'avaient sautés )  

M'enfin tout ça c'est passé

Enfulé  

 
OMG mais où va le monde  

classe  
si un jour il te quitte tu lui fais du chantage...

haha a une minute d'intervalle  

 
Dingue, hein? Je me demande comment ils peuvent avoir le temps  

Je suis vendeur en pièces automobiles et lui est garagiste.

ah, c'est normal alors

tu t'en es mieux sorti que lui

ben ouais c'était pas un branleur lui  

Et il te paye en liquide...?  

maÿrde [répondre] au lieu de [editer]

c'est
 
   
 
 
 
Oui... et quand il est pas en forme je lui dit  
"Bah qu'est-ce que t'as, t'es tout mou aujourd'hui..."  

 
Des tâches comme ça, il y en avaient également dans mon collège...
 
En cours, fantasmant sur une prof repéré par toute la classe, en salle info (sur le site de skyrock )

 
Il s'appelait pas Stiffler, cet élève ?

Ha ! Ces histoires de branlettes scolaires me rappellent une honte arrivée (mais bien cherchée) à un gars qu'était dans ma classe au lycée, appelons le Eric
Notre Eric en question n'était pas déjà très populaire dans sa classe, un peu la cible des vannes mais sans être un souffre douleur non plus.
 
C'était en seconde, lors d'un voyage scolaire en Italie. On dormait dans un hotel dans des chambres doubles ou triples. Sauf un groupe qui c'était retrouvé dans la "suite" à 5 ou 6 dont Eric.
Les chambres étaient équipées de TV et sur certaines chaines il y avait souvent des pubs pour des trucs de cul genre numéro surtaxé avec en général des meufs presque à poil pour illustrer le spot.
 
La scène se déroule donc ainsi : un mec du groupe pionce dans son lit, Eric regarde la TV et les autres vont se griller une clope sur le balcon de la suite.
Lorsque ces derniers rentrèrent à nouveau dans la chambre ils purent assister à une scène irréaliste    
Eric se pignolait joyeusement la moutrelle devant les pubs de charme, et c'est avec tout l'aplomb du bienheureux qu'il demanda "quelqu'un peut me passer un kleenex ?"
 
Peut-être que lui pensait que la branlette était une activité de joyeuse camaraderie, mais ce ne fut pas l'avis de ses camarades de chambre, ni de la classe entière le lendemain, ni du reste de l'école au retour du voyage.
Le reste de l'histoire a de quoi réjouir M. Sadique, les filles qui le traitaient de "haaan gros dégueulasse " les autres mecs qui se foutaient de lui, il est devenu la risée du lycée, a fait une dépression et a changé d'établissement l'année suivante
 
Ça m'a d'ailleurs valu une mini honte. Il faut savoir que ce mec habitait dans la même rue que moi à l'époque, mais je ne trainai jamais avec lui.
 
Vu que la situation avait bien dégénéré avec sa dépression le conseillé d'éducation était venu faire la morale à notre classe.
Notre CPE nous tint à peu près ce langage :
"Pourquoi vous vous êtes moqué de lui comme ça ? Ce qu'il a fait vous le faites tous, même les filles !" puis d'ajouter "vous étiez bien ses amis pourtant, surtout TOI" et là il me montre du doigt accusateur
Vu que Eric était devenu le mec a ne surtout pas fréquenté j'étais quelque peu gêné, j'ai du me retrouver à bafouiller un truc genre "meunon héhé je reste pas avec lui heu "
 
Hmm je trouve que je raconte mal les hontes, j'ai ajouté des smiley pour que ça soit plus vivant mais bon.

Au contraire  

 
Il est arrivé plus ou moins la même chose à un gars que je connaissais... Sauf que lui ses camarades de chambre l'ont pris en flag, mais pas devant la télé

tres bon la replique
j aurais bien aime voir la gueule des filles

en colonie de vacances au ski, un mec qui dormais au dessus de moi ma donné de la monnaie pour que je lui achete un magazine de cul, et il ma demander de rester devant l'entrée de la chambre pour surveiller hahaha

j'en ai une qui me reviens vu que vous parlez des années collèges:

j'ai eu la chance de partir en colonie de vacances pendant 3 semaines au USA, surtout grace au CE de la boite de mon père.

nous visitons les états du grand ouest américain (UTAH, Nevada, colorado, Californie) et notre road trip en bus s'arrete au abord du grand canyon.

il faut savoir qu'à cette période de mon adolescence, je suis à l'apogée du gros geek boutonneux et GSNALF en puissance. je traverse donc une période difficile en matière de relations humaines et les amis sont rares (imaginez tobey mac guire au tout début de spider man, vu que ca vient de passer )

bref, notre bivouac est installé dans un camping en bordure du colorado, petit court d'eau dynamique mais encore jeune car très en amont et donc pas très large. nos tentes sont disposées en cercle sur notre emplacement.

ce jour une visite est prévue à 11h du mat mais matinal comme à mon habitude, je suis debout et fin pret vers 9h alors ayant un peu de temps devant moi, je décide d'aller à l'accueil du camping pour acheter quelques cartes postales et timbres afin de respecter la promesse que j'ai faite à ma mère.

je m'installe sur les tables de pic-nique au abords de l'accueil pour rédiger mes cartes et prenant le temps de trouver l'inspiration je finis par poster mon courrier vers 10h et me mets tranquille en route vers notre campement.

arrivé sur place, le bus est déjà présent tout le monde à bord n'attend plus que moi, ils ont avancé l'horaire d'une heure pour dieu sait quelle raison, je comprendrai plus tard que nous avions évolué d'un fuseau en traversant les états et que je n'avais pas répercuté ce qui semblait un infime détail sur ma montre (l'effet papillon).

dehors au pied du bus m'attend furax un moniteur qui ne manque pas de me sermonner, je le supplie de me laisser retourner à la tente déposer mon bordel de rédaction et prendre ce qu'il faut pour la visite en coup de vent. j'évite de perdre trop de temps vu que tous le bus me regarde avec des yeux noirs à travers la vitre.

c'est bon, je suis déjà la risée du groupe pour la journée.  la visite se fait sans encombre au milieu des remarques sympathiques de mes "camarades" de colo.

cependant, aux USA, en plein mois d'aout, la chaleur est telle que des fois ca craque et on a le droit à un orage comme on en a qu'un ou deux en france par an. nous revenons donc au campement sous des trombes d'eau hallucinante et dès l'entrée du camping, on voit clairement le colorado devenu un torrent violent qui a littéralement triplé de volume et débit (meme le rafting est interdit par une telle météo).

tout le monde se demande alors comment sont nos tentes. certaines "spécialistes" du scoutisme relevant de la paris hilton ont planté leurs sardines en prenant soin de ne pas abimer la french manucure et sont particulièrement inquiètes, alors que la notre était digne du modèle d'expo de chez décathlon.

oui mais voilà, dans la précipitation de mon retard, j'ai omis en partant le matin de refermer la fermeture éclair de notre tente et pas encore descendu du bus je comprends dejà la nature du désastre.

alors que toutes les autres tentes du campement ont parfaitement tenu, la notre a totalement pris l'eau à cause du vent qui s'est engouffré par l'ouverture que j'ai laissé. la face visible de l'iceberg.

mes colocs de camping sont déjà en train de maudire sur 12 générations et sont les premiers à courir hors du bus pour constater l'étendu des dégats. un mélange d'eau et de boue à envahi la tente, tous les duvets sont détrempés et dégueulasses, les sacs de fringues mal rangés et entrouverts ont pris la flotte, sauf mes affaires qui par un hasard vicieux ne sont pas sous le bon angle du vent et sont quasi intactes.

dans l'assemblée, des moniteurs au chaffeur du bus en passant par tous les mecs et meufs de la colo, je ressens un mélange malsain de compassion pour mes colocs et de haine à mon égards couplés aux rires et vannes des joyeux drilles qui squattent le fond du bus.

je peux clairement dire que j'ai su ce qu'était un BAN avant d'avoir connu un forum.
et le plus ironique dans tout ça, c'est que les seuls qui m'auront pardonné, ce sont les colocs qui en ont chié par ma faute, les autres auront fait preuve d'une fausse pitié misérable. une épreuve venue d'une force supérieure pour un enseignement sur la nature humaine.