Reprise du message précédent :
Mais comment ca se fait que tu te sois chié dessus    
C'est pas possible.Un pet d'accord, une grosse trace dans le callecon OK, mais une crotte....

20/20

J’avais 16-17 ans, et à défaut de vivre pleinement ma sexualité avec une partenaire, je m’adonnais à de multiples expériences. Suivant scrupuleusement les conseils de Tabatha Cash et de son ami «le doc», je m’employais à tester en secret des pratiques peu communes. Souvent déçu par ces procédés peu catholiques comme la technique dite de «l’aspirateur» ou celle du «gant de toilettes aux coquillettes al dente» il y en avait pourtant une qui me séduisait particulièrement.
Pour tout dire, j’étais carrément devenu addict à la «masturbation polochon». Le nom étant sans équivoques, je vous passe les détails de cette pratique ô-combien réaliste
(oui, c’est un peu la poupée gonflable du pauvre).
Je me gardais bien de divulguer ma recette magique et seul mon nounours savait pourquoi je ne posais jamais la tête sur mon pauvre traversin. Le malheureux en avait tellement absorbé qu’il s’était raidi au point de pouvoir tenir debout… (J’exagère à peine )
 
La scène se passe un samedi matin au réveil. L’œil à peine ouvert, le braquemart matinal fait déjà son apparition et réclame sa vidange journalière. Ni une, ni deux j’allume la lumière, chope mon polochon, l’enfourche et au galop !
Il faut savoir que le samedi matin, c’est le moment ou j’me lâche complètement pour plusieurs raisons : je suis tout seul (maman travail, papa est au marché) et c’est le jour ou je lave mes draps (je peux beurrer a foison ma housse de traversin…)
 
Bien callé entre les paluches de nounours, la rubrique sous-vêtements printemps/été de la Redoute dévoile ses charmes . C’est parti mon kiki, à califourchon sûr ma «copine» les coups de reins se succèdent à un rythme endiablé.
Et là, c’est le drame, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la porte de la chambre s’ouvre et mon père entre en s’écriant :  
«Qu’est ce que… (Interminables secondes de silence) … tu fais encore au lit, ta prise de sang est dans dix minutes !!!»
Et il ajoute
«Traînes pas trop, on va être en retard»
Le bougre trouve encore ses mots alors que devant lui, c’est la désolation… je suis en plein assaut final en appui sur mes coudes et mes genoux, le regard perdus entre les yeux ébahis du père et le bikini de la demoiselle. Je ne bouge plus et je me sens vraiment trop con : «J’arrive»
 
 
Le plus dur dans cette histoire, c’est qu’à peine mon daron reparti, je dois me dépêcher pour le rejoindre dans la voiture. Pas un mot d’échangé sur la route qui nous mène à l’hôpital . Grand moment de solitude a deux. J’imagine qu’il était aussi gêné que moi du spectacle qu'il venait d’assister.
On n’a plus jamais reparlé de ça et j’avoue que j’avais moi-même presque oublié l’événement.

bien racontée

celle la elle est enorme.

OH putain !!!  

Elle est vraiment pas mal celle la!!

Punaise 20/20 les 2 dernières ! J'adore !

Total respect X-BAR  

Edit : Superbe les 2 dernières

X-BAR FTW !11!!

Oh putain la derniere!
Monstrueuse et tellement bonne!

Franchement les gars: la classe

Sinon, je me rappel d'une honte à 2 balles (c'est pas du meme standing désolé )

Je parlais à une copine sur msn, et dans le meme temps je faisais une recherche sur emule pour un film coquin

Donc je chope le titre sur un site de référencement qui va bien, copier/coller dans emule pour le choper nickel, c'est parti

Et puis je retourne chatter...
Et un truc que je fais souvent sur msn quand j'me gourre, c'est de selectionner toute ma dernière ligne avec "shift+fleche" et de faire "suppr"

Et la c'est le drame, je fais shift+inser et entrée...

J'ai sorti un truc du genre, tiens c'est quoi ca ???, j'ai un virus je crois  

ben ouais  
 

meme pas au restau, la classe toujours, la classe tout court

comprends pas ...

deux sec

 
Cela mérite de rester graver dans les anals de HFR !!!

trop bonnes les hontes des dernières pages
(une bonne séance de rire avant de me coucher )
 
Pour le frere et l'email à sa soeur, ca sent le mec pas très sûr de lui, vexé que sa soeur soit sexuellement plus épanouie que lui

Magnifique X-BAR
@ Inconnu : joli lapsus ^^

Lagliche, de 11 à 13 ans j'avais le même trip que toi. Puis comme je voyais que tout le monde ne faisait pas pareil je suis revenu à la méthode classique.

Puisqu'on est dans le khakha
 
A 10-12 ans, je trainais pas mal avec 2 potes, du même âge. Nos familles se connaissaient très bien.
On se baladait en ville, mais....j'avais une envie de démouler assez importante. Tant pis, je continue.
 
Je continue tant et si bien qu'on arrive au parc, un immonde bois pas entretenu, que nous appelions "notre" parc.
Là, je commence franchement à n'en plus pouvoir, j'en discute même avec mes 2 potes:
"Faut vraiment que je  rentrer là, j'en peux plus !"
"Mais non, files derrière un arbre et tu lâches tout !"
"Heu nan, 'a pas de papier là..."
"Allez ! Fais pas chier (BWAHAHAHA), tu prends des feuilles et basta."
"Non je vais me retenir"
 
Faut dire que mon paquet, j'aime bien le lâcher au calme, tranquille avec un comics.
 
On continue, on batifole joyeusement dans le parc, on s'amuse à grimper une petite colline un poil raide, qui réclame, cômble de malheur, un peu d'effort.
 
Evidemment, c'est le mini-drame, ça fait froutch.....je me laisse glissé en bas de la colline, et je dis à mes copains que je dois rentrer en vitesse. J'évalue en me totillant la gravité de la situation....plus de peur que de mal, à peine une trace de pneu probablement mais l'alerte a été suffisamment chaude pour me remettre les idées en place (croyais-je) : il est l'heure de rentrer chier bordel !
 
Et donc je prends mes cliques et mes claques, et je me dirige vers chez moi. En marchant.
 
Oui, mais quand on a le cigare au bord des lèvres, depuis plusieurs heures, et qu'on est à 2 kilomètres de chez soi, marcher suffit pas. Je m'en rends compte, je vais pas tenir très longtemps.
 
Et donc je me mets à courir. Plus vite. Carrément vite même.
 
Je suis en nage, mais je tien bon, je continue.
 
J'en peux plus, je sue à grosses gouttes mais je cours encore.
 
Je vois mon immeuble, je me rue à l'intérieur, je grimpe les marche heu...1 à 1, j'ai 12 ans, et je veux pas m'étaler.
 
J'arrive à ma porte, soulagement, j'arrete de courir, je sonne, et là, horreur absolue, aucun bruit rien, mais un truc immonde tombe au fond de mon slip, faitu n bosse pas possible et l'odeur est insoutenable ! Première honte.
 
La porte s'ouvre, je vois ma mère dans l'encadrement, qui poussez un gros "HO !" en sentant l'odeur et me regarde avec des yeux de merlan fris. Deuxième honte.
 
Là, c'est la cata, j'entends des "POUAH ! Mais c'est pas possible, quelqu'un a chié dans l'escalier !"
 
Ma mère avait invité les parents d'un des 2 copains à boire le café 3ème honte.
 
La mère du copain regarde, me voit et explose de rire...
Ma mère m'empoigne, me balance dans la baignoire, tout habillé et m'ordonne de me dessaper, ce que je m'empresse de faire....mais tout est liquide, une catastrophe, je patauge dans la merde.
 
Elle revient voir ce qu'il se passe, avec la mère du pote dans son sillage, qui repart en éclats de rire en voyant le carnage : 4eme honte.
 
J'ai morflé pendant des mois avec ces 2 copains après ce coup là
 

 
merci

 
 
J'adore cette expression

Toi, t'en veux , je vais faire de toi une reine  

 
 
comme quoi, le khäkhä c'est surpuissant
enorme cette honte

Rien, rien  

 
 
tu comprends pas les jokes?

voilà, tu retapes ça dans google image mais en deux mots.

Fallait faire dans la nature, ca fait pas de mal de revenir à l'age de pierre :>

Il aurait fallu au moins que les mères (surtout celle du copain) aient un peu plus de psychologie et n'en rajoutent pas une couche (si j'ose dire   )

J'ai toujours un rouleau de pq dans le coffre  

 
Et surtout ne pas étaler ce genre d'histoire sur la voie publique

la khäkhä c'est fantastique