Bon ben moi g pas de honte en memoire mais g une histoire qui m’est arrivé samedi soir, ou dimanche matin. Mais je pense qu’elle va faire rire les pitis sadiques que vs etes(parce que ya quelques toute pitites hontes et une grosse). Voici, mon histoire, l’histoire d’un jour ou ta la poisse et tu c pa pourquoi…
Hier, le digicode marchait pas, et les lumières de l’escalier ne s’allumaient pas. Une panne qui n’epargnait que l’ascenceur. la porte en bas de chez moi a son loquet bloqué à l’exterieur et il faut vraiment le vouloir pour la fermer lorsqu’il y a une panne. Vous saurez pour la suite qu’un con a voulu la fermer….ET IL LA FAIT , le con !
Sunday, June 8th –2 :40 am- quelque part à paris.
Je suis ds un reve sublime , j’embrasse une sublime créature qui existe vrament ds la vraie vie (A.F si tu ns lis). Bon jusqu’ici tt va bien. Et la, tout ta coup, un truc m’enerve. C un bruit ou quoi, tu c pa c ds un reve. Bon ca s’arrette et je me replonge ds mon reve et la, le même bruit. Putain cam’enerve ! Je me leve tres vite en faisant « Putain c quoi cette merde ? » Et la, j’evite le drame, en me levant j’evite de trois centimètre le plafond. J’aperceois alors la cause de mon reveil, mon telephone fixe : « Putain mais quel est le con qui m’appelle à cette heure ci ? ? » je descend, j’arrive en face de mon telephone et la, dilemme : Dois-je lancer mon telephone au loin, l’explosant par terre ou repondre ? Lorsque le phone sonne à 2h40 di matin, je suis moitié animal feroce, moitié standardiste de radio France bleu limousin (sui est bocoup plus gentil avec le telephone) ? Mon coté France bleu reprend le dessus et je repond(mais en geulant un peu des gros mots « sa race de telephone »…je comprend pas grand chose. G reconnu mon pere, g extrait que quelques mot de notre conversation igicode cassé toi descendre. Je raccroche, g pa tout compris mais quand g capté ce que je devais faire (descendre ouvrir la porte à mes parents qui sont bloqués derriere) la je me dis plein d’insultes ds ma tête. Ms pourquoi ils sont pas à la maison o fait, Ils sont sortis ? Et pui tu te souviens plus et tu conviens qu’a 2h40, savoir si tes renpss sont sortis ou pas, TU T’EN TAPE !
« MERDE, je peut pas descendre en calbut ? et si je croise une voisine qui a le même age ? ouais elle sera impressioné par le contenu mais elle va croire que je suis un mec qui se soule ? »reflechissais-je ds ma tete.« Bon, mon ***** de jean ? » dis-je, lui il est facile à trouver parce qu’il est o pied de l’echelle. Je l’enfile apres moult efforts et je cherche mon t-shirt….IL EST LA ! juste à coté de la guitare, en dessous de la mezzanine, je me baisse pour le ramasser et je me releve….. « BAAAM !
-aie Putain, C toi putain de mezzanine ?
-…
-C ca repond pas vieille merde » Apres quelque secondes de Where Am I Time (l’heure du Où sui-je) je reprend mes recherches. Mes clés, mes putains de clés….. « nan, elles sont pas la, merde …bon, la lumière
–Clic ! (bruit d’interrupteur)
–CA NIQUE LES YEUX PUTAIN ! ! ! ! !
-…
-Bon, elles sont la, je descend
–clic ! » (vous aurez noté que si mes parents m'attendent en bas j'ai aucune raison de prendre mes clés mais bon, à 3h du mat en plein someil, ta pas trop de pensees naturels et puis surtout, t bien mort !)
Je sors, je ferme la porte, je v descendre et la
« DRRRRRRIIIIIIIIIIING ! ! !
- ?
-Driiiinnnnnnng ! ! ! ! ! !
-Putain de telephone ! ! Merde, mes clés ! »
Le telephone etait à l’interieur de la maison, mais IL SONNAIT et moi javé fermé la porte ! ! (elle est blindée, dc pas de pôignée dehors ! la je sors les clés, je cherche la serrrure que je n’arrive pas à atteindre, j’arrive à introduire la clé, j'ouvre je v repondre et la, une lueur ds mon esprit: " putain, ca c mon pere!" je decroche en geulant « OUAIS, je descend PUTAIN ! » (un peu la honte, car en prononcant cette phrase, je me suis retourné (telephone ss fil powaa ) et ja me suis rendu compte que la porte etai ouverte et mon « putain ! ! » resonnait dans l'escalier comme l'odeur de vomi d'un chien peut rester ds une voiture jusqu’à plusieurs mois apres l’acte meme)
Je sors, En claquant la porte (rehonte). La j’avais envie de geuler mais je me suis retenu car je pense que mes voisins auraient causé ma mort de facon violente . la j'entame ma descente ds l'escalier ( à pied, reflexe sportif) et merde !je manque de me casser la geule, et la, le drame…La chute qu’on voit arriver mais qu’on peut rien y fer. J’arrive à l’etage du dessous et je me mange ds le tapis et mecrase violement contre la porte. Je geule « PUTAIN ! ! » Je reste par terre…j’avé une soudaine envie de doirmir mais jeme releve quand même Je v remonter, histoire que si jamé y a quelqu’un qui sort g pas tro la honte. Je remonte dc en faisant « elle fait chier cette vieille conne avec son tapis de merde… » et la j’entends « Ca va jeune homme ? »Oh putain, elle avait ouvert la porte et elle devait me regader depuis que j’avais commencer à monter en boitant. Bon, je fais quoi ? « euh, excusez moi , il fait noir alors….. (J’avais oublié un truc avt de descendre: jaV oublié d’allumer la lumière).
- C’est pâs grave je ne dormais pas
- ah bon, euh, bah ji v…desolé pour le bruit et tou…bonne nuit madame…
- oui c cela, bonne nuit (elle me regardait avec des yux de sadique g cru qu’elle allait me violer
- Euh, ouais c ca, bonne nuit. »
Je suis monté tro vite putain jusqu’au sixieme pour qu’elle sache pas que j’habite o quatrieme. Putain, g decidé, apres o moins 5minutes d’attente d’allumer la lumiere et de descendre discret en me baissant bien o troisième.
« Clic !
-….
-clic clic
-Putain allume toi ! »
Et oui, pour une fois, je me souviens d'un truc et ben le truc, c que entre temps ces connards de mondial assistance, qui mavé fai chié en pleine lethargie pour me demander si je savé ou se trouvait le placard electrqiue (ils m'ont appelé à 20h), ne sont pas venu reparer. La tu as relu cette phrase et tu n’as peut etre pas tout compris : En clair ya toujours panne. Bon, je reflchis intensément et la « mais je suis con ou quoi ? ? !» J’étend le bras et « clic ! » Un bouton se cercla de rouge « ca nique les eux cette merde » ! cette lumière n’etait pas seulement la pour me niquer les yeux, elle était la pour m’informer du’une chose : L’ASCENCEUR avait recu mon appel ! Cdingue, nan ? Javé niqué ma cheville et je suis à jamais grillé avec la voisine du dessous et sa probable fille alors que j’etais à coté d’un ascenceur qui fonctionnait. Une lueur s’eleva vers moi, Jouvrais la porte et la « Ah, ca nqiue 10x plus les yeux ! ! »(massardier, prete moi tes lunettes matrix qui font moches sur toi ) en effet, un halogène servait à eclairer cette ascenceur mais il clignotait, ce qui augmentait considerablement le niquage ! J’appuie sur le bouton « RC » qui lui aussi se cercle de rouge. Bon ca va parce que ca fait rien, vu que g déjà un hallogène ds la geule. 20 secondes de decente,un peu tendu en passnt au troisième(mon ascenceur est tout en verr, pas moyen de se cacher), ou g le temps d’admirer ma geule de con ds le panneau des boutons d’etage. J’arrive en bas, les portes s’ouvrent, je sors. Au bout du hall, derriere la porte, ils sont la, mes parents, transi de froid, je veux m’elancer et puis je me dis « Fais chier ces cons, il est 3h10 putain ! » et en tant qu’ado rebelle, g du les insulter. Bon j’arrive à la porte, je tire le loquet et tout, par un effort surhumain, j’ouvre la porte. Et la, ma mère me dit : « Bah qu’est ce que tu foutais ten as mis du temps ? TU t habillé. ? ? » La, je c pas quoi, mais un truc ma retenu de lui coller un enorme pain ds la geule….peut etre le fait que je respecte mes parents, ou bien qu’elle mavé offert la moitié de ma hguitare, en tout cas C'est ds des moment comme ca qu'on se prend à envier les pensionnaires de l'Orphelinat clearview, perdus au fond du Tenesee, dans l'amerqiue profonde. Je reviens à moi et je me dirige vers l’ascenceur, je monte avec mes deux parents, encore du clignotage intense et arrivé en haut, je laisse ma mère se faire chier ds le noir avec la serrure . Je v ds ma chambre et je ferme la porte, enfin tranquille. Je retire mon t-shirt (plutot fazcilement) puis mon jean (avec bocou moins de facilité) et, enfin en calbut, je me dirige vers l’echelle. Il fait noir parce que moi, je me suis finalement un peu habitué à la lumière de l’halogène de l’ascenceur et la
« Rrrak
- ? ? ..ah putain putain aaaah »
je monte en haut de ma mezzanine, je plonge ma tête ds l’oreiller et la, je crie « SA RACE DE PUTAN DE CHAISE DE MERDE ! ! ! » cri qui fut etouffé par l’oreiller dans lequel gt enfoui. En effet, pres de ma mezanine se situait une chaise à roulette qui est fortement lestée au niveau de ses roulette et contre qui, comme une apothéose de cette nuit terrible, je me suis fracassé le petit doigt de pied. Apres quelques (longues) minutes de douleurs lourdes et lancinantes, je me rendormais enfin, mais putain g jamaisre trouvé ce superbe reve. Le lendemain, il y avait une affichette en bas : « Priere de ne pas faire de bruit la nuit », signé la locataire du 3e droite.