Reprise du message précédent :
Petite honte d'il y a longtemps qui est arrivée à un copain à moi (copain que j'appellerai Maitrank).
 
J'espère d'ailleurs qu'il lira ceci.
 
Lieu: "La Casa", Louvain-La-Neuve.
 
Quand: 1998.
 
La Casa, lieu de perdition de Louvain-La-Neuve, était un endroit assez insalubre. C'était une grande salle de fête, avec une scène, le tout bien dégueu, vieux et sâle. Un orchestre de DJ y jouaient ce qu'il y avait de musique à l'époque, la Dance.  
 
Ce qu'il y avait de dégueu aussi, c'étaient les toilettes: 20 pissoirs alignés dans une pièce, ceux-ci toujours bouchés par le vomi des étudiants de l'université de la ville   . Et comme pour rentrer dans cette pièce, il y avait une marche, on pouvait facilement arriver à une couche de 5 centimètres de pipi mêlé de vomi dans les chiottes     . En gros, les gens normaux pissaient sur le sol depuis le couloir ou allaient dehors   .
 
Mais pas Maitrank, non non non. Chaussé des bottes de l'armée, étanches, et pourvu d'un sens civique à toute épreuve, il décide en être humain normal d'aller pisser dans les urinoirs   . Il entre donc dans les chiottes, qui flairent bon, et arrivant au milieu de la pièce remplie du diabolique mélange, marche sur un truc glissant. Maitrank, horrifié, voit donc son pied s'élancer de manière incontrôlée, entraînant le reste du corps avec lui   .
 
Arrivé là, on pourrait penser qu'il se cabrerait, posant une main dans l'infâme flaque, pour ne pas trop se mouiller. Mais non, Maitrank va jusqu'au bout des choses, il s'étale de tout son long dans la pisse froide...        
 
Il se releva, infâmement mouillé, trempé de partout et y compris de la tête     .
 
Je puis vous dire qu'il l'a entendu très longtemps cette histoire   . Je puis vous dire aussi qu'il était dégoûté (si tu me lis, sâche que je garderai ce souvenir au fond de mon coeur pour le reste de ma vie   ).

AAAArgh!!!! tu nous raconte ça à midi en plus!
ça mérite bien un crado-award

 
 
C'était au début ou à la fin de la soirée?

oh purée ca a du etre horrible    

 
Début, il avait même rendez-vous avec une fille mais il a préféré aller prendre une douche.
 
Quand à mes potes et moi, on a bien expliqué pourquoi Maitrank n'était pas au RDV à la fille. Celle-ci n'a pas eu l'air de trouver cela sexy.
 

Un peu avant midi j'accompagne ma femme dans les magasins de grolles,elle doit d'acheter des nouvelles pompes
 
Pendant qu'elle sautille partout dans les rayons,comme toute femmelle lachée dans ce genre de batiments,je zone en regardant les frusques et les bottines
 
A part un modele ou deux c'est super laid et vieux,j'offrirais meme pas ca a ma grand mere
 
 
En regardant des bottines hideuses,entre la botte de moto et le moon boot a pompon,je m'approche d'elle pour lui souffler derriere l'oreille,toujours en fixant les bouses a talons :
 
"Putain,c'est vraiment hideux et vieux ici,meme si je haissais mes panards je leur ferais pas ce coup la"
 
   
 
Grossiere erreur,ma femme etait 2 metres plus loin,j'etais en train de susurrer ca dans l'oreille de la vendeuse/patronne
 
Court,efficace,sourire debile,barrage a toute bourre.
Objectif de l'apresm' : trouver un autre magasin de pompes,plus loin et fermer ma gueule  

 
 
Que dire ? Rien à ajouter, c'est les hontes AOC ChrisV...    

quand j'ai vu la phrase qu'il avait prononcé, j'étais sur qu'il s'était trompé de personne... comme si ca lui arrivait jamais d'arriver à parler à la personne qu'il souhaite!        
 
  Chris V

CHRISV-, tu es spécialiste des hontes type "je dis un truc mais pas à la bonne personne"
 

c'est surtout sa femme qui doit être contente qu'il la confonde avec des vieilles (voire des vieux, peut-être une future honte ?)
 

 
J'ai l'impression qu'il a pris un abonnement là
Ça fait plusieurs hontes qu'il se rate en beauté, dans le genre  
Entre la cousine, la vendeuse, et les autres  

Une sympa pour la route.    
 
C’était il y a une année, plein mois de juillet, départ à 19h°° pour l’Italie pour une semaine de vacances dans un petit coin de paradis.    
 
Six copains, deux voitures, 9heures de route, et à l’arrivée, un petit village typique de la région et une petite maison très sympathique. Nous descendions dans l’appartement familial d’une amie qui nous avait préciser, avant notre départ, que sa sœur ainsi que sa petit famille (un mari et deux jeunes enfants) venaient d’y passer trois semaines et y séjourneraient encore pour le week-end. Pas de souci, plus on est de fous plus on rit !    
 
Seule recommandation : lors de notre arrivée nocturne, éviter d’être trop bruyant pour ne pas réveiller les enfants. Normal.    
 
Arrivée sur place, un peu d’excitation et forcément pas dans le silence total désiré. Au pied des escaliers, partage des tâches. Je me vois attribuer la place du dernier et éteindre toutes les lumières du corridor en montant les trois étages nous permettant d’atteindre l’appartement. Eh oui, vieille maison… C’est comme ça. Durant la montée, je n’arrête pas de faire des recommandations pour ne pas faire de bruit. Ce n’est pas pour autant que le silence se fait, du coup, les ‘chut’ pleuvent. Au beau milieu des escaliers, un ami (très grand, faut-il préciser) se cogne la tête au plafond….    
Tout le monde part dans un fous rire sauf moi qui continue à leur dire de se taire, de penser aux enfants etc… (Faut pas oublier qu’il est quand même 4h du matin…) Cela étant, nous voilà devant la porte. L’amie prend les clés et tout le petit monde, toujours en train de ricaner, entre petit à petit dans l’appartement.  
 
Quand soudain un DING DONG empli le silence du logement et résonne de plus belle. Plus un seul bruit et d’un seul coup tout le monde se retourne sur moi avec un regard étonné et dépité !!! Eh oui, voulant éteindre la lumière tout en répétant qu’il ne faut pas faire de bruit, je me suis laissée emporter et me suis trompée de bouton. J’ai appuyé sur la sonnette d’entrée….    
 
Grand éclat de rire général accompagné des pleurs des bébés qui, grâce à moi, c’étaient forcément réveillés…  
On en parle encore !

Honte courte, nette, sans bavure d'une copine.  
 
Elle croise une amie :
 
- Oh ! Salut, tu es enceinte ? Chavais pas ! Quel mois ?
 
- Je ne suis pas enceinte.
 
...
 
 
 

c'est une honte très répandue ça. Surtout dans le RER ou metro, combien de fois j'ai demandé à une femme de s'assoir parce qu'elle était enceinte, et non, en fait c'est des grosses.

 
le même genre d'histoire est arrivée à un collegue qd je bossais pour un FAI.
le client avait mis la même chanson de Claude François en boucle. Au bout de 15 mn mon collegue se met en muet (enfin croit se mettre en muet) et me lache "il commence à me gaver avec ses lundis aux soleils le Claude François. le client lui demande "pardon, vous dites?" mon collegue    "oui alors votre pc est redemarré monsieur?"
la suite de la manip se fait et le client lache à mon collègue "vous voulez bien attendre 2 mn svp, moi aussi ça commence à m'enerver les lundis aux soleils"

c'était toi la fille ?  

 
t'es de louv? caupaing

 
Voila pourquoi je reste assis maintenant

  non parcontre je suis partie ya peu de temps en angleterre et c'étais la première fois que je prenais l'avions. J'étais sûre que c putains de trucs allaient sonner et ça a pa louper en fait je suis d'agen et j'avais amené un bocal avec des prunneaux aparemment ça fait comme le nutella

Mais    
 
Honnêtement, t'as jamais pensé à vérifier avant de dire ce genre de truc ? A la longue ça doit presque devenir lassant ?

Ca me fait penser que j'ai failli avoir la même à cause d'un gros c*****d la semaine dernière    
 
J'étais dans le métro, tranquille. Enfin parfois y avait du monde à certaines stations, donc je me levais de mon strapontin qui était près de la porte, et quand ça se vidait quelques stations plus loin je m'asseyais, normal
 
Et un gars arrive avec sa copine (le type nerdz, presque 30 ans, sérieux, lunettes et belle tête de lèche-boules). Il a été gêné pour entrer dans le wagon, bien qu'il n'y ai quasiment personne debout, mais il y avait juste un gars debout devant moi qui l'a gêné.
 
J'ai cru l'entendre dire bien fort à sa copine avant de monter:
_ j'ai jamais compris le nombre de gens qui ne se lèvent pas quand c'est blindé  
 
Moi, perplexe, j'étais pas sûr qu'il parlait de moi, surtout que je me lève quand il y a du monde, mais là il n'y en avait pas...
Donc, une fois qu'il est entré, je le vois debout un peu plus loin avec sa copine, et il lui redit bien fort avec un cynisme affligeant :
_ c'est quand même dingue ça HHEEEIIINN ????    
 
Je dirige mes yeux vers sa direction, comme ça ->  pour voir s'il parlait de moi -> il me regardait de la même façon      
J'ai failli me lever pour m'énerver contre lui, car le métro n'était pas du tout blindé même si lui n'avait pas de place assise, mais bon, y avait ma copine, j'ai rien dit    
 
Et en sortant j'en parle avec ma copine, qui me dit que j'ai mal compris, il a dit "j'ai jamais compris le nombre de gens qui ne se lèvent pas pour une femme enceinte"
(en fait il parlait d'une autre fille dans le wagon, que ni lui mi nous ne connaissions)
Heureusement que ma copine était là, ça m'a évité 2 hontes:
_ je me serai énervé sur le gars pour une fausse raison
_ le gars m'aurait dit pour la femme enceinte, j'aurai été voir la femme pour lui proposer ma place, et elle m'aurait dit qu'elle n'était pas enceinte  
(ma copine m'a dit avoir aussi remarqué la fille, elle a voulu lui laisser sa place, quand elle a finalement vu qu'elle n'était pas enceinte mais un peu grosse au niveau du ventre)
 
Et on n'est pas sensé regarder tous les gens dans le métro hein  

J'ai mi 5mins à comprendre qui pensait quoi sur la femme enceinte, et si elle l'était vraiment ou non
Bah oui on sait pas si cette femme enceinte (ou non apperement) est la copine du gars, si ta copine pensait sa ou non etc

édité
a demain

Ouaaaais un peu dur à comprendre pour ma petite cervelle    
 
 
Petite honte private qui date d'il y a quelques mois    
 
Je rentre dans mon appartement après une rude journée à la fac (7h30 => 22 h powaaa), tout est allumé, mais y'a personne dans l'appart    
 
J'entend du bruit venant de la salle de bain, c'est ma copine qui est en train de se passer un coup de sèche cheveux sur les douilles.
J'ouvre la porte de la salle de bain, elle a la tête baissée et ne me voit donc pas.
 
Je me dis : "Je vais me mettre juste à côté d'elle, comme ça quand elle me verra elle sera surprise   "
 
Et là elle lève la tête :
 

 
Faut dire que j'étais habillé hiver, blouson noir, foulard sur le visage, du coup, elle a vu une grande ombre noire derrière elle et elle a hurlé, ça m'a glacé le sang    
 
Le pire, c'est qu'elle s'est mise à chialer tellement qu'elle a eu peur, je me suis senti grave con sur le moment  

c l'image qui 'ma fait flipper

j'espère que sa copine ne ressemble pas vraiment à ca

ça me fait rappeler une fois aussi ou j'ai foutu une trouille d'enfer à ma femme un soir. Alors que je matais seul la télé (ma femme est un peu du genre couche tot en général), une idée poilante me vint (du moins, je trouvais ça poilant au départ). Je me suis infiltré discrétement près de la chambre sans faire de bruit . Et j'ai bondi sur le lit comme un furieux. Ma femme, tétanisée, a hurlé à la mort car elle croyait que c'etait un cambrioleur. Un cri strident, aigu, digne des films de hitchcock. Vraiment le cri ou tu sens la peur d'une personne derrière quoi.
 
Je me se senti bien con et bien honteux aprés ça de lui avoir fait une telle peur...

et le jour ou c'est un cambrioleur: "arrête tes conneries chéri, je sais que c'est toi   "  

 
tu m'avais jamais fait l'amour comme ça  

Comme ma honte de l'arroseur arrosé a eu un léger succès, je me vois dans l'obligation de vous faire part d'une petite autre, plutôt sympatique.
 
L'action se situe encore au lycée. Mais pas n'importe quel lycée, ces bons lycées techniques ou les classes sont composées à 99% de gens à couilles, car, il faut bien dire, l'électronique intéresse peu la demoiselle. Mais malgré tout, deux bipèdes du sexe faible avaient eu le courage de venir s'intégrer dans ma classe de nerdz en ruth. Et si l'une était discrète et se faisait peu malmener, l'autre, plus grande gueule, plus nunuche, et au physique encore plus ingrat si possible, passait parfois de très longues journées en notre compagnie.
 
Et c'est lors de l'une de ces fameuses journées que moi et ma bande de binocleux allons au gymnase, au centre ville, pour le cours de sport. Moment tant redouté par les demoiselles qui devaient se défendre bec et ongles contre les voyeurs, les voleurs de soutiens-gorges rembourrés et autres petits comiques.
D'autant plus redouté en l'occurence, car il s'agissait du dernier cours de sport de l'année. Je vous laisse donc imaginer dans quel état d'euphorie la plupart était. Plus rien ne pouvait les arrêter. Incontrolables.
 
L'un d'entre eux décide donc de marquer le coup. Avec cette grâce que peut avoir un nerdz quand il s'exerce au ninjutsu, il s'infiltre, en plein cours, dans le vestiaire de ces dames pour commetre son forfait. Après avoir saisi l'une des magnifiques bottes en cuir de la malheureuse enfant (vraiment, une belle pièce, digne des meilleurs films SM), il entreprend de se vider lâchement la vessie au fond de la godasse. Et pas un petit pissou de bambin hein, le déluge façon Raymond après sirotage d'un pack de Kro.
 
Tout fier de sa prouesse, il revient le sourire au lèvre dans les rangs, attendant, comme nous tous, la fin du cours avec impatience. Et quelques temps plus tard donc, on dit adieu à notre tant regretté prof de sport (je déconne, bien sur) et tout le monde regagne les vestiaires. Notre drôle s'empresse de se rhabiller pour attendre devant les vestiaires son heure de gloire.  
 
Et c'est alors qu'un cri de rage effroyable retentit, tout le monde tressaille, et surtout un mec qui se trouve déjà devant la porte. C'est une demoiselle, qui n'a plus rien d'une demoiselle, qui surgit du vestiaire, un collant trempé et une botte à la main et qui gueule d'une voix de stentor "putain, qui a fait ça ??!". Bien evidemment, la moitié du vestiaire pour mec se roule par terre, et le coupable ne peut se retenir longtemps de se bidonner aussi. Le malheureux n'ayant pas compris qu'il s'était précèdemment rendu coupable d'autres forfaits tout aussi ignobles, et qu'il était seul en face de son vestiaire, et donc le plus proche de la furie.
 
Commence alors une longue course poursuite entre notre drôle, qui n'a plus vraiment le sourire au lèvre, que je trouve même un peu palôt, et notre tigresse, qui, mine de rien, a une sacrée foulée. Nous, on prend les paris: qui se fatiguera le plus vite ? Cinq minutes plus tard, après avoir fait 10 fois le tour du batîment, nos deux zozios se retrouvent en pleine rue passante, devant le gymnase, lui rouge d'effort et elle de rage, pieds nus et toujours sa botte à la main. Et c'est le drame.
 
Devant les badaus surpris par la scène, le malheureux se fait rattraper par notre sprinteuse, qui lui choppe le bras, et lui verse sans scrupule le contenu entier de la botte sur la gueule. Pas une goutte restante vous dis-je, un vrai massacre. Notre ex-fanfaron reste coi, un bonne douche chaude de sa propre conception le rincant de la racine des cheveux jusqu'aux orteils.
 
Note importante: notre rat musqué n'avait pas d'habits de rechange et notre prof, las, était parti peu avant, fermant le gymnase derrière lui. Il a donc du prendre les transports en commun pour rentrer chez lui, à 15 km de là.
 
Inutile de préciser qu'il ne s'attaque plus qu'aux hamsters et qu'on en rit encore.