oui, je connais cette théorie, oui  

 
Sanofi veut vendre Opella.
 
Et Opella est loin de se limiter au doliprane... https://www.opella.com/fr/decouvrez-nos-marques  
 
Pour moi accepter une telle vente (les produits vendus se situent en bas de la pyramide de maslow, un Etat devrait avoir sur son territoire les bases de tout ça) est scandaleuse, encore plus quand on a affirmé 2 ans plus tôt vouloir relocaliser les productions des médicaments de base, c'est une honte, et l' argument invoqué est ridicule (attractivité de la France, comme si ça allait nuire à la France de refuser la vente).  
Opella devrait à mon sens rester dans le périmètre de Sanofi, et le gouvernement devrait refuser la vente.  
PS : actionnaire Sanofi  
 

 
Sanofi veut vendre Opella.
 
Et Opella est loin de se limiter au doliprane... https://www.opella.com/fr/decouvrez-nos-marques  
 
Pour moi accepter une telle vente (les produits vendus se situent en bas de la pyramide de maslow, un Etat devrait avoir sur son territoire les bases de tout ça) est scandaleuse, encore plus quand on a affirmé 2 ans plus tôt vouloir relocaliser les productions des médicaments de base, c'est une honte, et l' argument invoqué est ridicule (attractivité de la France, comme si ça allait nuire à la France de refuser la vente).  
Opella devrait à mon sens rester dans le périmètre de Sanofi, et le gouvernement devrait refuser la vente.  
PS : actionnaire Sanofi  
 

moi j'ai foi en pullup, mais j'ai les foies quand je voit la cloture du jour juste avant la publication du CA S1 ce soir et la journée investisseur demain, la thèse c'était qaund même que space mrine 2 est une tuerie qui va faire exploser le CA et la renta du groupe pour les deux ans à venir ... je vois que certain pensent que c'est lié à dontnod qui est actuellement suspendu ( OPA de pull sur ce studio français qui fait de bon jeux mais qui se vendent pas)

Oui, c'est efficace et ça évite dans bien des cas d'avoir recours aux AINS. Mais ça n'explique pas le pataquès autour du Doliprane.  
 
On parle d'une molécule basique largement disponible. Quand on lit les titres, on dirait que le Doliprane est le seul médicament à base de paracetamol et qu'on va le perdre. C'est délirant.

Un avis sur Interactive Brokers, l'action, pour investir ?
Belle perf, fondamentaux intéressants ; à LT, les gens vont plus utiliser des courtiers en ligne ? Concurrence ?

Ouvre un compte chez eux via un parrainage, tu reçois pour 1000$ d'action IB durant la 1er années (avec interdiction de les vendre durant la 1er année)    

PS : actionnaire Sanofi  

 
Je dois avouer que je suis assez surpris de la sur-réaction du marché, sûrement à cause de cette rumeur d'OPA sur dontnod (alors qu'en fait c'est juste un plan social qui se dessine chez ces derniers).
 
En attendant, on a un CA S1 qui explose tout, 4.5 millions de SM2 vendus en 3 semaines là où les analystes étaient sur 2 millions sur tout l'exercice, réévalué à 3.2 millions suite aux 2 millions de vente en 24H (et compte tenu du rythme, des mises à jours et de Noël qui approche on sera sûrement au 7 millions pour le 3eme trimestre).
 
Ils annoncent tout de même battre tous les records pour les 2 prochains exercices.
 
Bref, bien content d'être sur cette valeur !  
 
Edit : on verra demain avec l'investor day s'ils annoncent un nouveau gros titre

Oui, c'est efficace et ça évite dans bien des cas d'avoir recours aux AINS. Mais ça n'explique pas le pataquès autour du Doliprane.  
 
On parle d'une molécule basique largement disponible. Quand on lit les titres, on dirait que le Doliprane est le seul médicament à base de paracetamol et qu'on va le perdre. C'est délirant.

La présidente de Sanofi France est ce soir au 20h de TF1 pour s’expliquer. Affaire d’état !

Lfi attaque le PEA    
 
Par cet amendement, les députés LFI-NFP entendent taxer à la source les plus-values mobilières, au même titre que le revenu !
 
Lorsqu’un contribuable réalise un gain sur un investissement financier, comme la vente d’actions avec profit, ce gain est théoriquement soumis à l’impôt sur les plus-values.
 
Mais cet impôt ne sera réglé en France que lorsque que le boursicoteur retirera son argent de son portefeuille boursier. Une telle structure d’imposition pose problème à plusieurs titres :
 
- Le budget de l’État n’est pas abondé à la mesure de ce qu’il devrait être : le retrait de son argent d’un portefeuille boursier est une action hypothétique, de nombreux acteurs financiers conservent leur épargne sous cette forme tout au long de leur vie, sans jamais y toucher.
 
- Ce mécanisme d’imposition désincite fortement à retirer son argent d’un PEA, pour le réinjecter dans l’économie réelle, puisque c’est à ce moment que la taxe actuelle sur les plus-values s’applique. En conséquence, les gains financiers ne sont pas réinjectés dans l’économie, et la sphère financière capte de plus en plus d’argent, ce qui alimente les bulles spéculatives.
 
- Enfin, une part importante des placements en bourses dans les portefeuilles des agents ne sont ni plus ni moins que la propriété de l’État, puisque ces sommes correspondent aux impôts sur les plus-values qui devront théoriquement être acquittés un jour ou l’autre. Or, l’État n’a en rien accès à cet argent qui devrait être mobilisé pour assurer la continuité et l’amélioration des services publics.
 
Nous proposons donc de mettre en œuvre l’une des propositions du rapport Mattei Sansu sur la fiscalité du patrimoine. Dans leur rapport, les rapporteurs Mattei et Sansu indiquaient que cette exclusion des plus-values mobilières du champ de la retenue à la source applicable au PFU se justifie par leur caractère irrégulier et les modalités complexes de calcul de la plus-value taxable. Le contribuable a par exemple la faculté d’imputer les moins-values mobilières au titre d’une année sur les plus-values de cette année, ou bien encore de les reporter sur une année suivante.
 
Pour que l’extension du prélèvement à la source soit réellement une source de simplification pour le contribuable et soit également avantageuse pour l’État (en trésorerie et en valeur absolue), il est proposé de combiner cette mise en place d’une retenue à la source sur les plus-values mobilières avec la fin de la possibilité d’imputation des moins-values sur les plus-values ainsi qu’avec la fin de l’abattement pour durée de détention. L’absence d’imputation des moins-values sur les plus-values existe déjà en matière de plus-values immobilières (en application de l’article 150 VD du CGI), et il s’agirait d’une transposition permettant de rapprocher les modalités d’imposition de ces deux types de plus-values.
 
Pour toutes ces raisons, nous proposons donc d’opérer un prélèvement à la source des plus-values mobilières, afin que l’État prenne sa juste part des plus-values financières, et soit en mesure de financer la transition écologique et la solidarité nationale.
 
https://www.assemblee-nationale.fr/ [...] _FIN/CF754
 
Message reçu les "boursicoteurs" ?  

Ils n'ont toujours pas appris les bases de l'économie

Pour eux économie réelle = impôt

moi j'ai foi en pullup, mais j'ai les foies quand je voit la cloture du jour juste avant la publication du CA S1 ce soir et la journée investisseur demain, la thèse c'était qaund même que space mrine 2 est une tuerie qui va faire exploser le CA et la renta du groupe pour les deux ans à venir ... je vois que certain pensent que c'est lié à dontnod qui est actuellement suspendu ( OPA de pull sur ce studio français qui fait de bon jeux mais qui se vendent pas)

Lfi attaque le PEA  
 

 
pour une fois je trouve que LFI amène un truc qui a un minimum de sens*    
(*dans la logique d'une taxe sur les PV hein, mais sinon viendez en belgique, on nous prend pas nos PV icite )

Lfi nfp    
Bientôt l'imposition sur les moins values

 
 
Le projet anti PEA du NFP dont LFI serait aussi que les Moins-values réalisé ne donne plus droit à report pour baisser des impôts futurs.
 
En gros si vous étiez en Moins-value les Années Précédentes, vous ne pourriez pas déduire des impôts les années suivantes, c'est une forme d'imposition des moins-values.

Le projet anti PEA du NFP dont LFI serait aussi que les Moins-values réalisé ne donne plus droit à report pour baisser des impôts futurs.

En gros si vous étiez en Moins-value les Années Précédentes, vous ne pourriez pas déduire des impôts les années suivantes, c'est une forme d'imposition des moins-values.

Lfi attaque le PEA

...

https://www.assemblee-nationale.fr/ [...] _FIN/CF754

Message reçu les "boursicoteurs" ?

De toute façon cette déduction n'est pas possible avec un PEA. Ça montre bien à quel point ils ne maîtrisent absolument pas le sujet.

leurs femmes des assistants

En Californie ils sont 80 : députés + sénateurs https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3% [...] %20Rendon. .

En France passer de 577 à un peu plus de 400 députés => vous comprenez c'est compliqué, y'a pas de majorité pour adopter un tel chamboulement, etc.

Ils seraient 100 députés et 100 sénateurs, ça irait très bien. Par contre du coup les gouvernements avec 40 membres feraient bizarre.

 
Ils n'ont toujours pas appris les bases de l'économie  
 
Pour eux économie réelle = impôt  

Suffit de faire appel à notre expert pour modifier les chiffres de l’excel

Lfi attaque le PEA  

- Maj du titre du topac
- Nouveau sondage
 
 
 
 
 

Je mets une pièce sur un bullrun du Bitcoin.

Ce qui fait mal, c'est de voir la tête de ces champions en cliquant sur leurs noms et de se dire qu'ils touchent 7500 euros brut / mois et disposent d'une enveloppe de 11 000 euros / mois pour embaucher des larbins assistants.  
 
Dire qu'ils sont 577    
 

Lfi attaque le PEA    
 
Par cet amendement, les députés LFI-NFP entendent taxer à la source les plus-values mobilières, au même titre que le revenu !
 
Lorsqu’un contribuable réalise un gain sur un investissement financier, comme la vente d’actions avec profit, ce gain est théoriquement soumis à l’impôt sur les plus-values.
 
Mais cet impôt ne sera réglé en France que lorsque que le boursicoteur retirera son argent de son portefeuille boursier. Une telle structure d’imposition pose problème à plusieurs titres :
 
- Le budget de l’État n’est pas abondé à la mesure de ce qu’il devrait être : le retrait de son argent d’un portefeuille boursier est une action hypothétique, de nombreux acteurs financiers conservent leur épargne sous cette forme tout au long de leur vie, sans jamais y toucher.
 
- Ce mécanisme d’imposition désincite fortement à retirer son argent d’un PEA, pour le réinjecter dans l’économie réelle, puisque c’est à ce moment que la taxe actuelle sur les plus-values s’applique. En conséquence, les gains financiers ne sont pas réinjectés dans l’économie, et la sphère financière capte de plus en plus d’argent, ce qui alimente les bulles spéculatives.
 
- Enfin, une part importante des placements en bourses dans les portefeuilles des agents ne sont ni plus ni moins que la propriété de l’État, puisque ces sommes correspondent aux impôts sur les plus-values qui devront théoriquement être acquittés un jour ou l’autre. Or, l’État n’a en rien accès à cet argent qui devrait être mobilisé pour assurer la continuité et l’amélioration des services publics.
 
Nous proposons donc de mettre en œuvre l’une des propositions du rapport Mattei Sansu sur la fiscalité du patrimoine. Dans leur rapport, les rapporteurs Mattei et Sansu indiquaient que cette exclusion des plus-values mobilières du champ de la retenue à la source applicable au PFU se justifie par leur caractère irrégulier et les modalités complexes de calcul de la plus-value taxable. Le contribuable a par exemple la faculté d’imputer les moins-values mobilières au titre d’une année sur les plus-values de cette année, ou bien encore de les reporter sur une année suivante.
 
Pour que l’extension du prélèvement à la source soit réellement une source de simplification pour le contribuable et soit également avantageuse pour l’État (en trésorerie et en valeur absolue), il est proposé de combiner cette mise en place d’une retenue à la source sur les plus-values mobilières avec la fin de la possibilité d’imputation des moins-values sur les plus-values ainsi qu’avec la fin de l’abattement pour durée de détention. L’absence d’imputation des moins-values sur les plus-values existe déjà en matière de plus-values immobilières (en application de l’article 150 VD du CGI), et il s’agirait d’une transposition permettant de rapprocher les modalités d’imposition de ces deux types de plus-values.
 
Pour toutes ces raisons, nous proposons donc d’opérer un prélèvement à la source des plus-values mobilières, afin que l’État prenne sa juste part des plus-values financières, et soit en mesure de financer la transition écologique et la solidarité nationale.
 
https://www.assemblee-nationale.fr/ [...] _FIN/CF754
 
Message reçu les "boursicoteurs" ?  

Je mets une pièce sur un bullrun du Bitcoin.

En attendant l'uranium aujourd'hui