Reprise du message précédent :
 
 
L'exemple du CDO était plus pour illustrer le caractère parfois fantaisiste des valorisations données par la société elle-même. Mais en effet nous en sommes très loin.
Pour le besoin de vendre à tout prix, n'est ce pas le management lui même qui a annoncé vouloir se débarrasser d'actifs ? Après tout peut aller très vite, une rentabilité moindre en raison des loyers impayés, des banques de plus en plus nerveuses, et toujours le principe des marchés financiers, qui a eu une certaine tendance à aller dans les extrêmes (à la hausse comme à la baisse). En ce moment ce secteur est clairement dans la tourmente, je n'ai pas d'inquiétude sur les actifs en tant que tels, mais plus sur le type d'activité, et l'endettement.  
Le problème réside dans l'imaginaire de beaucoup d'investisseurs, qui pensent que l'immobilier c'est du "sûr". Or, transformer des locaux commerciaux en appartements de luxe (par exemple) peut coûter une fortune au repreneur. Pas certain du tout que celui-ci aura envie de payer plein pot. Et si tu divises la valo par 2, ce n'est plus la même histoire.

0

 
C'est l'avantage si il y a une ak, tu te retrouves automatiquement avec 50%  d'actions en moins. Pratique.

Pour le sondage de la rentrée est ce qu on peut en faire un sur le montant des PEA CTO des participants du topic pour voir comment cela se répartie  

La base pour un taulier
J'espère que les anciens liens des sondages ont été sauvegardés.

 
Ou alors juste mieux calibrer ses positions...
Même Scipion n'a pas encore mis 30K dans une position.

Osef quand t’es millionnaire, tu peux mettre 30k par ligne  

Il voulait monter à 50.
 
Mais 30/50k par ligne, pour combien en bourse ???

Perso j'attends de voir le newsflow du week-end avant de trop m'affoler.
 
Bon après j'ai un PRU à 47, ça permet de rester plus zen.
 
Et pour les frers qui ont le (sentiment d'avoir le) zizi coincé...
 
 

Tout le monde va vendre cette daube lundi matin à l’open j’imagine ?
Pendant ce temps là Frer Este ecrit sa légende  

Il y en a qui y croient encore dur comme fer hein

Posté le 05-08-2020 à 17:02:12  
 
LE Légende

Même l’analyse technique suggère que ça converge vers zéro pourtant    

Oui mais l'immo cay du solide

Bon je vous fait le scénario alternatif. Pas d AK prochainement, confiance retrouvée et Covid de moins en moins présent, le cours remonte vers les 90€. Le management en profite pour faire une AK limitée pour sécuriser les financements. La confiance des actionnaires reste intacte de même pour les créanciers. Le cours remonte post AK vers l ANR qui aura baissé vers 150€ du fait des difficultés des commerces.

Vous pouvez quoter  

Idem, ça permet de profiter encore plus de la plage je trouve    

Sauf en EAU la c’est vraiment le seul divertissement

Bah en fait, même à 50% de l'anr, on est pas trop mal... C'est plutôt chute de 80% où il faudrait s'inquiéter vraiment.

Qui vend/allège ?

C'est même pas exactement la question, c'est une question de valorisation. Après oui aujourd'hui, ça n'a plus d'importance. On prend l'évolution momentum des dernieres années et on trace une ligne linéaire qui suit la tendance...

Selon les statistiques de l'INSEE sur le patrimoine économique national à fin 2018, les administrations publiques ont des actifs totaux de 3488 milliards € (dont 2116 milliards € en actifs non financiers, essentiellement des bâtiments et terrains, et 1371 milliards en € en actifs financiers, par exemple les participations de l’État dans les entreprises publiques) et des passifs financiers de 3181 milliards €. Soit un patrimoine net de 303 milliards €. Donc à strictement parler, oui, il y aurait suffisamment d'actifs (financiers et non financiers) pour sécuriser la dette publique française. (A nuancer : cela dépend des décotes demandées sur les actifs par les prêteurs.)

Je ne suis pas sûr de la méthode de l'INSEE pour valoriser certains actifs publics particulièrement illiquides (Chambord, par exemple).

Un État peut fonctionner avec un patrimoine net négatif, car son principal actif est "hors bilan" : sa capacité de taxer de façon quasi illimitée (dans les limites juridiques de la Constitution et dans les limites économiques de la création de richesse) les entreprises et les ménages sur son territoire. Les ménages français ont un patrimoine net de 11 735 milliards €, les entreprises non financières  2722 milliards € et les entreprises financières 722 milliards € : tous ces patrimoines peuvent être taxés par l’État.

Si on agrège tous ces patrimoines, le patrimoine national net (15 482 milliards €) s'est accru significativement ces 20 dernières années, passant de 5 à 8 années de PIB - à comparer avec 1 année de PIB pour la dette publique. Donc malgré le poids très lourd des prélèvements obligatoires en % PIB en France (surtout si on compare à l'international), la France s'est globalement enrichie ces 20 dernières années, et la capacité de l’État de taxer ses contribuables s'est améliorée à mon sens.

C'est une situation très différente de la Grèce ou du Portugal, où les ménages et les entreprises sont/étaient eux-mêmes lourdement endettés. A l'image de la France et contrairement à ses 2 pays, l'Italie est aussi un pays riche par ses patrimoines privés.

L'idée de collatéraliser la dette publique a été explorée à l'occasion de certaines crises de dette souveraine : avec mes collègues de Francfort nous avions notamment travaillé à l'idée d'obligations souveraines grecques collatéralisées par un droit exclusif des détenteurs de ces obligations sécurisées sur les recettes futures de privatisation en Grèce - l'idée étant de permettre un retour graduel de la Grèce sur les marchés. Finalement c'est tombé à l'eau (je ne sais pas si d'autres pays ont mis en œuvre cette idée).

Il n'est pas certain que la collatéralisation de la dette publique soit suffisamment convaincante pour les investisseurs, car la clef d'une collatéralisation réussie est la capacité juridique et technique du prêteur de saisir les actifs mis en collatéral en cas de défaut de l'emprunteur. Or, un Etat est un emprunteur très particulier, qui exerce pleinement sa souveraineté sur les actifs sur son sol. Pour qu'un tel mécanisme soit crédible, il faudrait mettre juridiquement hors d'atteinte de l’État emprunteur les actifs mis en garantie (escrow account, par exemple) : si cela semble juridiquement réalisable, en pratique cela poserait sans doute des problèmes politiques insurmontables : nul n'a envie de susciter des conflits internationaux par des controverses sur la saisie d'actifs.

Du coup, la collatéralisation de la dette publique n'est pas utilisée (à ma connaissance) pour résoudre des crises de dette souveraine - on utilise plutôt les outils classiques que sont le FMI, les instruments de solidarité de l'UE (Mécanisme de stabilité européen, notamment), et un soutien de la banque centrale (qui requiert une collatéralisation au niveau des banques nationales, et non de l’État).

De quoi ?

LE pépite pardi

C'est quoi votre perf annuelle en % pre-covid?

Ça veut rien dire  

J’en ai pas et pas prévu d’en acheter . Shorter... non toujours en vacances.

 
Selon ma compréhension, le breach d'un convenant entraînerait la perte des lignes de crédit non sécurisées : 9 milliards € actuellement pas utilisées, mais qui peuvent être nécessaires à Unibail, comme le suggère leur utilisation (pour 3 milliards €) au premier semestre. Leur position de cash (3 milliards €) n'est pas si confortable, à mon avis.
 
Si Unibail perdait ses lignes de crédit et faisaient face à des tensions sur son cash (moins de rentrées pour cause de loyers impayés, alors qu'Unibail doit continuer à servir sa dette), ils devraient alors :
- essayer d'obtenir des lignes de crédit collatéralisées, et/ou
- vendre des actifs (pas facile en ce moment), et/ou
- émettre de nouvelles obligations (bien plus cher s'il apparaît qu'ils ont des tensions de liquidité)

Cet éclair de lucidité

Réponse précise et pointue, merci beaucoup

On a beau dire frr Scipion régale sur ce topic, cimer chef

 
Il a pas compris le hashtag  

 
 
En valeur avant COVID-19, les gains du CTO étaient de 15914€ brute avant impôt.
 
Après COVID-19, les gains CTO sont de  30268,81€ toujours avant impôt.
 
Le capital au premier janvier 2020 sur le CTO est de 56629,83€
 
Le capital CTO actuel est de 68 395,31€.
 
Apparemment je peux me permettre de perdre 2684,837€, car cet sommes est un gain précédant réalisé cet année et réinvesti régulièrement.

Ça permet de faire une pause entre deux jeux avec le neveu et la nièce. Les enfants c’est épuisant.
   
 
Et puis intellectuellement aussi c’est reposant de lire plymouth après une discussion avec des jumeaux de 2,5 ans.
 
 

 
   C'est bon là ou bien...

Ca va j'ai pas dis trop de conneries cette semaine.  
 
J'ai mis à jour mon grade aussi.  
 
Soldat : -20% de performance sur l'année ou plus
Soldat Première classe : -10% de performance sur l'année ou plus
Caporal : -5% de performance sur l'année ou plus
Caporal chef : flat sur l'année
 
Sergent : +2%
Sergent chef : +5%
Adjudant : +7%    
Adjudant chef : +10%
Major : +12%
 
Aspirant : +15%
Sous lieutenant : +20%
Lieutenant :  +25%
Capitaine : +30%
 
Commandant : +40%
Lieutenant colonel : +50%
Colonel : +60%
 
Général de brigade :+70%
Général division : +90%
Général de corps d'armée : +110%
Général d'armée : +130%

drapal

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Sergent chef ici...

Stand je pense que j'étais à 45% au pic post confinement. J'ai tout laissé descendre comme un gros noob... Je suis le seul a avoir loupé ça ?

Ferait pas deux fois la même erreur en tous cas...