Reprise du message précédent :
C'est pas aussi génial que ça la Horde du Contrevent mais vain et prétentieux là je comprends moyennement    (enfin, vain pourquoi pas mais comme la plupart des histoires qu'on nous raconte dans les romans)

Je ne sais pas non plus, c'est l'effet que fait Damasio visiblement.
 
C'est comme Pennac, je pige même pas comment les gens peuvent penser que c'est simple d'écrire comme ça.

Moi j'adore mais bon, les goûts et les couleurs

 
fyp.
 
L'histoire ne mène nulle part. C'est un truc que je peux supporter si il y a autre chose pour compenser mais si on n'accroche pas aux tarabistouilles inutiles qui constituent à peu près l'intégralité du bouquin, on tombe de haut.

C'est le voyage qui est sympa pas la destination  

 
J'ai trouvé ça vexant aussi, genre « tout ça pour ça, mmoké ».

La horde du Contrevent n'a pas vraiment pour objectif la chute.
L'intéressant, ce sont les divers "épisodes" menant au bout. Le bout étant souvent (de ce que j'ai pu entendre) compris à l'avance.
Perso, j'ai beaucoup aimé, mais il est vrai que le départ est quand même ardu et "sec". Mais il y a des scènes particulièrement jouissives j'ai trouvé, comme la joute verbale dont j'ai un souvenir enchanteur !

Putain l'Ombre du vent, je pense qu'il se situe number one sur ma liste des livres honnis. Et pourtant des merdes j'en ai lues

J'avais bien aimé (à la relecture, j'ai moins apprécié tout de même). Par contre, je n'ai aucune envie de lire la suite.

l'ombre du vent j'ai bien aimé aussi, et il a globalement de bonnes critiques, même si ça ne veut pas toujours dire grand chose
si c'est la merde infame decrite alors je dois etre scatophile

 
J'ai lu 2 ou 3 autres du même auteur c'est beaucoup moins bien. Mais L'Ombre du vent est très bon, même si c'est de la littérature un peu "facile".

C'était un des livres préférés de ma prof d'espagnol en prépa pour les versions. Ça m'a vacciné contre toute envie de le lire, j'ai l'estomac qui se noue à chaque fois que je vois la couverture

 
Je ne me focalisait pas sur la chute lorsque je disais que cela ne menait nulle part. Cela ne mène à aucune métaphore ou métonymie intéressante ou qui fasse sens.

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Mais pourquoi se fixer de tel objectif ? La lecture doit rester un plaisir !

https://forum.hardware.fr/hfr/gsmgp [...] 1496_1.htm

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Je lis des livres d'histoire avec grand plaisir   Pas des trucs universitaires pointus mais bon ça sort un peu du cadre de ce topic.

Se fixer quelques objectifs, ça peut être sympa. Parfois je me fixe tel nombre de pages à lire pour le WE, par exemple et ça permet de tout faire pour me libérer du temps pour me consacrer entièrement à la lecture (breaking news : ça ne marche pas toujours )
 
Il y a des challenges WE à 1000/Readathon dans l'univers booktube, c'est idiot mais j'aime bien  
 

Le kindle te donne justement un nombre d'heures restantes estimé (je pense) sur ton rythme de lecture.
 
Mais on te force à en lire? Pour ton boulot ou tes études? Parce que si tu n'as pas de plaisir, ne le fais pas.

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Je te jure on peut lire de la non-fiction avec autant de plaisir qu'un roman. Jamais j'écoute Europe 1 par contre.

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Je ne lis que si ça m'intéresse (et l'intérêt fait partie du plaisir). Et si je pensais que ça allait m'intéresser mais que ça devient une corvée, j'arrête. Tellement de livres à lire, si peu de temps à vivre... Pour ça que je n'écoute ni ne regarde les infos, d'ailleurs : bien trop de choses qui ne m'intéressent pas et bien trop de temps perdu à écouter quelqu'un réciter un texte que l'on peut lire soi-même 5 fois plus vite sur le site d'un quotidien.

J'arrête très rarement une lecture en cours (sauf pour les livres dont le style me pique les yeux et que je lâche au bout de 3 pages bien sûr), au pire je finis en diagonale.. mais c'est très dur pour moi de reposer un livre entamé sans l'avoir achevé, même superficiellement.

Très rare ici aussi mais j'abandonne - Les Lisières, d'Olivier Adam est l'exemple le plus notable

 
Bon, j'abandonne a 200 pages.
 
Je m'accrochais pour la fin, mais je crois comprendre qu'elle sera décevante, donc j’arrête les frais.

Moi j'avais abandonné Cent ans de solitude. Illisible.

Pareil.
Pas illisible mais trop fatiguant, surtout à l'époque de nuits hachées où j'ai tenté de le lire.

idem

J'ai aussi du mal à lâcher un livre une fois commencé. Si je l'ai bien entamé je ne vais pas pouvoir le laisser tomber, par contre j'ai progressé. J'arrive maintenant à lire en diagonale et sauter de bons passages dans ceux que je trouve ennuyeux ou ininteressants (ce qui est rare car je suis bon public et je sais choisir mes livres).
Le "Jérusalem" de Moore a eu le droit à une lecture accéléré cette année par exemple."Raison et Sentiments" de Austen était sur la limite.
 
J'ai commencé La recherche depuis cette nouvelle année. Dernier grand auteur français dont je n'avais pas lu une ligne. J'arrive à la fin de "A l'ombre des jeunes filles en fleurs".
Il est clair que j'ai été pris par un rythme bien particulier (après un temps d'adaptation) venant sûrement du style d'écriture. Je me sens totalement glissé de façon totalement moelleuse dans l'ambiance. Et pourtant je trouve que l'on est souvent à la limite du gnagnan (il est un peu énervant le Marcel de temps en temps) mais sans jamais y être, toujours à la limite de l'ennui mais sans jamais y tomber. Quand le soupir pointe, il arrive toujours un passage assez extraordinaire, d'une justesse incroyable souvent. Et puis c'est beau. Vraiment très beau.

Dans mon cas. Je le fais toujours, car j’aime pas arrêter de lire en plein milieu d’un chapitre...  
du coup, quand il commence à se faire tard, je regarde combien de pages fait le chapitre pour savoir si je le lis ou si je m’arrête là.  
 
Pour les loooongs chapitres, je fais pareil mais avec le prochain saut de lignes.

Moi j’avais bien aimé ce livre
 
 
Par contre, je viens de finir De Bons Présages, j’ai un peu lutter pour le finir...  
c’est comme si je n’avais pas réussi à rentrer dans l’histoire, que je lisais mais que le livre était posé à coté...
 
En fait, jusque là scène des cavaliers de l’apocalypse ça allait, plutôt drôle et bien écrit, tout les passages avec Aziéraphale et Rampa sont marrants et et tout, j’ai bien aimé aussi le passage avec R.P. Tyler, mais alors le reste... j’ai trouvé ça d’une lourdeur... les Eux, les chevaliers, la fin dans la caserne, beurk. Trop de métaphore tue la métaphore.  
Des fois ça passe d’un truc à un autre sans prévenir, sans lien.  
 
Peut-être aussi que le sujet ne m’a pas passionné... et que je préfère les choses plus terre à terre.  
 
Alors j’ai peut-être raté un gros truc, peut-être que je le relirai dans 10 ans, mais là il me laisse un goût un peu amère.

  ah tiens je faisais exactement comme toi. Ça m'a passé depuis.

Je préfère pas que ça me passe, c'est mieux de pas reprendre le lendemain en plein milieu d'une "action".

Terminé La morte dans le labyrinthe d'Ariana Franklin, une histoire médiévale de femme médecin qui "enquête" sur la mort d'une des maîtresses du roi d'Angleterre. J'ai détesté, je me demande pourquoi je l'ai terminé, probablement parce que ça faisait longtemps qu'il était dans ma liste et que j'en espérais beaucoup.  
Il y a tellement de choses qui ne vont pas... Déjà première erreur de ma part, c'est un tome 2 et je l'ignorais. Ça ne pose aucun problème de compréhension, en revanche l'autrice passe son temps à rappeler les histoires du T1 et ça c'est carrément pénible. Ensuite, l'enquête (notez les guillemets du premier §) : il faut attendre la moitié du livre pour que l'héroïne arrive jusqu'au corps de la morte, ça donne une idée de son importance dans le récit – je pense que pour être honnête il faudrait plutôt vendre ça comme les aventures d'une femme légiste (le livre fait partie de la collection 10/18 grands détectives, lol). Chose amusante : on parle de labyrinthe dans le titre, et la 4e de couv en remet une couche : "[l'héroïne] devra percer le mystère du labyrinthe enserrant la tour où repose [la morte]". Ben le mystère, y en a pas, en fait. Ils vont dans le labyrinthe, c'est compliqué d'en sortir, et puis c'est tout. (J'aime bien l'idée de *labyrinthe* dans une histoire ; là franchement c'était la déception.) Et puis le style, pfff qu'est-ce que c'est lourd. Les petites phrases en italique qui dévoilent les pensées de l'héroïne c'est le pompon, "oh mon Dieu pourvu qu'il ne lui arrive rien !" on dirait un livre pour adolescents. D'ailleurs elle se fait aussi des conversations avec ses ennemis dans sa tête, parce que pourquoi pas on est plus à ça près. Quant à l'aspect "féministe" du livre (eh, les femmes étaient mal considérées au moyen-âge, no kidding) il est traité lui aussi avec une épouvantable lourdeur.  
Je pourrais continuer longtemps (tiens j'ajoute quand même, une partie de l'enquête est résolue comme ceci : "— comment avez-vous su que c'était moi ?! — Je l'ai deviné" TIN TIN TIN) mais ça n'est pas très intéressant alors vite on passe à autre chose.

 
Félicitations, elle va se ruiner maintenant !  

j'essaie aussi de me fixer des objectifs, pourquoi ? car la lecture est tellement concurrencée par toutes ces autres activités plus immédiates.
 
Parfois j'ai pas le courage de lire, mais si je me dis : "maintenant pendant 1h je ne fais que lire" , je me force au début, mais je regrette jamais    
Par contre la lecture c'est l'activité qui fait vraiment passer le temps le plus vite

rafioul2 > Je crois pas qu'ils livrent là où je suis, c'est safe

Perso c'est le JV, y' pas photo