Reprise du message précédent :
Une petite minorité, mais c'est vrai.
https://forum-images.hardware.fr/icones/smilies/jap.gif

Terminé Solito de Javier Zamora. L'auteur raconte son voyage de migrant entre le Salvador et les États-Unis lorsqu'il avait 9 ans.  
Je pensais vraiment que ça me plairait : c'est un enfant qui raconte, en général j'aime bien ça, et puis je pensais que ce serait un voyage "seul", comme le titre le laisse penser. Bon, en réalité pas du tout, il est accompagné tout le temps (et heureusement hein, à 9 ans... )  
Et puis l'enfant qui raconte, finalement, ça m'a un peu déçu. En fait il ne comprend pas très bien ce qu'il fait, il ne comprend pas vraiment la réalité de sa situation (plusieurs fois il répète certains mots liés à ça, genre "encore ce mot, migrant, tiens tiens..." ) Il n'a aucune notion du coût du voyage, de la difficulté que ce serait de repayer les coyotes (les passeurs) si ça échoue, etc.  
Et puis un autre truc important :

Au final, pas une lecture désagréable, mais je n'ai pas trouvé ce que je cherchais. J'ai beaucoup plus aimé la fin du livre, mais... il faut déjà y arriver.
 
Edit : je viens de lire tout l'Arabe du futur, là pour le coup j'ai trouvé ce que je cherchais. Ce n'est pas tout à fait le même genre bien sûr, mais il y a quelques trucs en commun.

Bonjour,
je reviens à la recherche d'un titre de livre que j'ai lu et dont j'ai oublié le nom !
 
C'est un roman policier/thriller, je crois d'un auteur(trice) français(e), plutôt récent (probablement après 2000) mais pas sûr.
 
L'histoire se déroule au début du XXe siècle et y'a une histoire de crimes filmés (rappel du contexte : début XXe siècle, donc tout début du cinématographe des Lumière). Une espèce de conspiration de riches détenant un cinématographe, qui en font des snuffs et se les échangent dans des valises pour s'amuser
Il me semble que l'action se passe en France, peut-être en partie en Italie (j'ai de vagues réminiscences de palais vénitiens), et qu'il y a deux ou trois personnages principaux qui enquêtent, de jeunes gens dont une jeune femme (peut-être des journalistes ?)
Une vibe Rouletabille + Dan Brown pour résumer

Ça me fait penser à une série netflix mais pas à un bouquin désolé

Dis toujours le titre, si ça se trouve c'est une adaptation !

Je découvre qu'il y a un nouveau David Grann !  
Puis je découvre que c'est une compilation de 2 nouvelles inédites courtes + La cité perdue de Z qui fait les 3/4 du livre.  
On se moque un peu du monde je dirais.

 
Archive 81, mais j'ai pas l'impression.

 
 
Peut-être le meilleur roman historique que j'ai lu, et j'en ai lu plusieurs.  
C'est vrai qu'on passe du très léger au très sanglant, mais les faits incroyables qui sont dépeint sont justes, j'ai vérifié certains épisodes que je trouvais exagéré. C'est OK!

Fini Les Vaincus d'Irina Golovnika, histoire de familles de la noblesse russe pendant les années 1920 et 1930, et de leur déclassement, leur ostracisme et enfin leur élimination pure et simple suite à la révolution bolchevique de 1917.

Roman absolument magnifique, véritable pépite cachée, oeuvre unique de son auteur et largement auto-biographique, écrite au début des années 60 et interdite de diffusion jusqu'à la chute de l'union soviétique, il semble avoir un statut de "roman culte" d'après ce que j'ai pu lire bien que personnellement je n'en avais pas du tout entendu parler et suis tombé dessus complètement par hasard à la FNAC (il faut dire, ses 1400 pages attirent l'oeil).

Dans la catégorie des romans réalistes sur la révolution russe, ça m'a beaucoup plus plu que le Don Paisible de Cholokhov dont j'avais parlé un peu plus tôt cette année.

Sinon, avant ça, j'ai enfin lu David Copperfield (je sais, je sais...). Toujours pas convaincu par Dickens pour ma part. Je trouve que Thackerey (La Foire aux Vanités) et Eliot (Middlemarch) sont assez largement au-dessus.

Hmmm tu m'intéresses avec tes vieux Russes là

+один!
A+,

Bonjour à tous, j'ai lu les grandes espérances de Dickens . 600 pages.  
L'histoire d'un jeune forgeron pauvre qui grâce à un donateur généreux va accéder aux hautes sphères de la société. Je n'ai pas pu le finir, au bout de 300 pages le livre m'est tombé des mains. les phrases sont alambiquées traduction hasardeuse et mal foutue  

On va faire une page de dickens-bashing à force

J'ai vraiment jamais pu accrocher à cet auteur, je pense que je vois ce qu'il essaie de faire mais y a rien qui va. Ses personnages sont souvent caricaturaux, et surtout il y a cette exagération de roman-feuilleton où il y a au plus trois personnes différentes dans le monde et donc si tu as quelqu'un qui cherche ses parents tu as de bonnes chances qu'il les ait déjà trouvés sans le savoir, ce genre de trucs.

C'est marrant parce que c'est mille fois pire chez Eugène Sue mais chez Sue on se marre un peu de l'exagération de tout ce qui se passe, alors que je sais pas, Dickens je m'emmerde toujours.

Côté traduction : tu avais une vieille traduction XIXe ampoulée ou un truc récent ?

Je suis très très d'accord pour La Foire aux Vanités, mais Eliot je ne sais pas, j'ai essayé (The Mill on the Floss je pense) et j'ai pas trop accroché, j'avais l'impression qu'elle appuyait sur les petitesses de ses personnages sans rien leur donner pour les racheter. Il faudrait sûrement que je réessaie, parce que c'est vraiment une autrice qui est au panthéon de plein de gens.

Dans le genre, tu as lu du Trollope ? J'ai un avis assez mitigé sur cet auteur, j'aimerais beaucoup l'aimer et j'ai du mal. Je trouve ses personnages un peu plats et ses intrigues cousues de fil blanc, mais d'un autre côté y a cet aspect « je vais peindre toute la société anglaise de bonne famille » que je trouve vraiment intéressant. J'aimerais bien savoir ce que d'autres HFRien(ne)s en pensent.

Pareil, les contes de Noël de Dickens me sont tombés des mains, j'ai réussi à suivre celui avec Scrooge mais les suivants, il y avait quelque chose dans les descriptions qui m'empêchait de tout comprendre  

La Foire aux vanités est bien plus agréable en dépit des longueurs.

Quelqu'un s'est déjà frotté aux contes de Canterbury de Chaucer ?

Le Moulin sur la Floss j'ai pas lu, mais j'ai été a deux doigts de le prendre un jour. George Eliot, son grand roman c'est quand même Middlemarch, il me semble. Je ne sais pas s'il y a une grosse différence de qualité avec ses autres oeuvres.

Trollope, j'ai vaguement eu ça sur ma liste à un moment donné (le Directeur), mais sans jamais en faire une priorité jusqu'à présent.

Thackeray, j'ai toujours voulu lire Barry Lyndon mais toujours été refroidi par les commentaires assez négatifs dans l'ensemble. Entre la Foire aux Vanités d'un coté et le film de Kubrick de l'autre, que j'ai tous les deux beaucoup aimés, j'ai du mal à croire que le roman Barry Lyndon puisse ne pas me plaire, mais j'ai pas encore franchi le pas.

Barry Lyndon il n'est tombé des mains, je pense que c'est dû à la combinaison d'un narrateur à la fois peu fiable et antipathique.

On a volé la Joconde de Jérôme Coignard
Trouvé en boîte à livre, un récit circonstancié de toute l'affaire du vol en 1911 du plus iconique des tableaux du Louvre. Coignard est un historien d'art et collabore entre autres à Beaux-Arts Magazine et Connaissance des Arts. C'est un docu qui se lit comme un polar (il y a d'ailleurs un logo "POL'ART" sur la couverture, paye ton jeu de mot Carambar Caramb'art), c'est très plaisant et même si le suspense est quelque peu éventé* de nos jours, il y a assez de rebondissements pour avaler rapidement ce court bouquin.
 
Plein de choses intéressantes sur le Louvre des années 10, sur l'implication présumée (à tort) d'Apollinaire qui fera un très court séjour en prison et sera défendu au prétexte qu'un homme de talent ne peut être un criminel (air connu). Picasso sera aussi inquiété (à raison) pour recel de deux statuettes d'art dit "phénicien", en fait plus exactement ibérique. Un style qu'il a découvert au Louvre en 1906 (lourdes paupières, formes anguleuses, coiffures stylisées), et qui lui inspirera une longue série de tableaux culminant en 1907 avec les Demoiselles d'Avignon, un hommage direct à ces tailleurs de pierre ibériques. Or il a acheté ces deux statuettes à Géry Pieret qui les a volées au Louvre, sans bien sûr le préciser à Picasso. Pieret est une personnalité chelou et fantasque, le secrétaire de son ami Apollinaire qui en fera le personnage central de la nouvelle L’Hérésiarque et Cie.  
 
Intéressant aussi de voir le retentissement à l'époque, les satiristes qui se régalent. les médias qui se déchaînent sur le gouvernement, le préfet Lépine, la direction du Louvre etc. le peuple qui s'indigne (où vont nos impôts ?). Un siècle avant la mondialisation et le tourisme de masse, Mona Lisa était déjà une icône. Apollinaire, avant d'être accusé, écrit dans l'Intransigeant :
 

 
Bref, c'était sympa et j'ai appris plein de trucs.
 

 
La liste de mes envies par Grégoire Delacourt
A l'époque de sa sortie j'en ai vendu quelques brouettes sans vraiment m'y intéresser parce que ça ne semblait pas être ma came. J'avais pas tort, ça ne l'est pas. J'ai lâché l'affaire au tiers, insupportable de niaiserie, pas crédible et presque une insulte à l'intelligence.
 
 
Et si c'était niais ? par Pascal Fioretto
Celui-là, en 2007, il m'avait tenté parce qu'il me semblait rigolo mais pas au point d'acheter le broché. Mais trouvé d'occase à 2,50 € le mois dernier, j'avais pas grand chose à perdre. Le pitch : un mystérieux kidnappeur, peut-être tueur, en a après le gotha littéraire et écrivains et écrivaines disparaissent l'un après l'autre. l'inspecteur Adam Seberg (= Adamsberg, le personnage de Vargas) mène l'enquête. Chaque chapitre plante un auteur ou une autrice et parodie son style. Tour à tour : Denis-Henri Levy, Christine Anxiot, Fred Wargas, Marc Lévis®, Mélanie Notlong, Pascal Servan, Bernard Werbeux, Jean d'Ormissemon, Jean-Christophe Rangé, Frédéric Beisbéger, Anna Galvauda.
 
La parodie d'Angot était si réussie qu'elle était aussi chiante que le modèle mais sinon je me suis bien marré. Fioretto vient du collectif Jalons, a écrit plusieurs pastiches et parodies et bosse à Fluide Glacial, donc c'est vraiment sa spécialité.
 
Morceaux choisis par d'autres chopés sur le net parce que j'ai la flemme de faire des photos de quelques pages :
 
DHL :
 

 
Beisbéger :
 

 
 
Marc Lévis®
 

 
Mélanie Notlong :
 

 
Bernard Werbeux :  
 

 
Recommandé, mais à pas cher quand même.

L'Ancre de marine est une maison d'édition de Saint-Malo spécialisée qui fait un super boulot, pour qui s'intéresse à la mer. Ils ont réédité un ouvrage enrichi et vraiment chic, "La voile et le canon" un poil cher (35e) mais pas vraiment, compte de tenu de sa richesse globale. C'est un très beau livre pour quiconque voudrait se renseigner sur l'ancienne marine. Je le conseille vivement.
 
https://www.ancre-de-marine.com/la- [...] 2x41357306

Et pour la nouvelle, il y a Marine Le Pen présidente - Dystopie politique 2026-2029    
A+,

Rien n'est politique !  

Je retombe sur un entretien avec Paul Veyne en 2012 à l'occasion de sa nouvelle traduction de l'Enéide. Veyne égal à lui-même, passionné, iconoclaste, d'une érudition qui semble illimitée :
 

Ah c'est pour ça que la moitié de son texte c'est des notes

 
Le troll intello, j'aime beaucoup la dernière réplique

Quand t'es l'un des plus grands historiens de l'antiquité romaine, tu peux te permettre.

Ça me rappelle tellement la bd faite sur hfr avec le mec super génie qui invente le laser pour dessiner une bite sur la lune

Ouais enfin sa formule est provocatrice mais son travail sur l'Enéide est absolument brillant et sa trado est devenue une référence.

Je m'en doute. C'est justement sur ce genre de profil que je trouve que c'est d'autant plus marrant ce genre de réplique.

Les Abeilles grises de Andreï Kourkov
 
C'est un auteur ukrainien qui nous raconte une histoire dans le Donbass avant la guerre actuelle mais pendant le conflit précédent entre les Ukrainiens et les séparatistes pro-russes.  
On suit un apiculteur qui vit seul dans un village abandonné sur le front, on vit un peu son quotidien puis il décide d'emmener ses ruches dans un endroit plus calme pendant l'été. Donc il va se balader un peu entre Ukraine et Russie et nous faire découvrir la vie sans ces régions.
Le gars est sage et tranquille, quelques petites péripéties, essentiellement à cause de la guerre, quelques rencontres. L'ambiance est un peu brumeuse, au rythme des abeilles, il ne se passe pas grand-chose, il n'y a pas d'analyse politique ou de grands discours, on se laisse juste bercer.  
J'ai bien aimé, c'est à l'image du héros, c'est un livre tranquille, correctement traduit, notamment intéressant par l'actualité.

Je suis tombé sur une boîte à livres avec du Mary Shelley, du Conrad, Hamsun... ça fait bizarre par rapport aux merdouilles habituelles

J'ai terminé le T1 de Perdido Street Station (China Miéville). Mon édition poche est étrange, il n'y a pas vraiment de fin ; l'histoire se termine à la fin d'une scène d'action d'un fil assez secondaire. À mon avis l'édition originale n'est pas en 2 tomes, là c'est vraiment découpé n'importe comment (et même pas vraiment au milieu puisque les 2 livres font 400p puis 500p). Pire, après l'histoire, il y a... une nouvelle (Le roi des rats) ?
Bref, ça me fait faire une pause, pourquoi pas.
 
C'est un livre de SF plutôt steam punk je crois (je ne suis pas familier du genre, je dis peut-être des âneries. ) On suit 2 personnages, 2 amants : le premier est un scientifique qui va aider un homme-oiseau à retrouver ses ailes, la seconde est une artiste Khépri (disons une femme-insecte pour faire simple) que l'on appelle pour réaliser un chef-d'œuvre. Tout se passe dans la ville de Nouvelle-Crobuzon, une très grande ville "tentaculaire et exubérante" dont on a le plan dans les premières pages (mais il est si petit que je n'arrive plus à le lire, tant pis. )
 
Le livre est vraiment très riche... sans doute un peu trop pour moi. Avec ce que contient un seul chapitre, un auteur moins inspiré peut créer un livre entier. Je dis que je trouve ça un peu trop riche parce que... Tout ça pour un seul livre, c'est presque du gâchis en fait. (Je ne vois pas de suite sur Wikipédia.) Je pense souvent au Disque Monde, là il y a plusieurs dizaines de livres, je comprends mieux. Perdido a un côté "Disque Monde sale" je trouve. J'ajoute que cette richesse me perd un peu : on a pas forcément besoin de passer plusieurs pages sur des points inutiles au récit – mais je comprends que ça puisse plaire. Le nombre d'idées par page me rappelle aussi Jasper Fforde.
 
J'ai bien aimé, moins que je l'espérais quand même : sa densité fait que j'ai du mal à lire de façon fluide. Et puis trop d'idées c'est parfois trop de récits, et il y a 2 3 trucs que je ne comprends pas pour l'instant (je comprends que ça sera utile plus tard, mais par exemple la grève des Vodyanoi, à la fin du T1, qu'est-ce que ça vient faire dans l'histoire ?) et qui m'ont un peu ennuyés. À l'inverse, il y a des passages très chouettes, et des idées dingues, bien sûr.
 
Je suis passé à des histoires de marins du XVIIIe siècle, je prendrai le T2 ensuite.
 

Bien content que ça t'aie plu! J'aime particulièrement PSS, mais en VO, car son style lyrique, je crains qu'il ne passe pas bien la traduction.
Et après tu pourras lire Les Scarifiés qui est vaguement une suite à PSS. Il y a Le Concile de fer, qui se situe ensuite, mais il est assez dispensable IMHO.
A+,

Enfin un peu de temps pour faire un retour. Michel Goya c'est un ancien officier des troupes de marines qui maintenant donne des cours et passe à la télé (et écrit, donc).
C'est une analyse du combat vécu au niveau de l'homme et de la section, qui parle essentiellement de l'armée de terre (mais pas que) et qui décrit les différents aspects de la guerre : craindre la mort, donner la mort, réfléchir et prendre des décisions en état de stress, récupérer d'un PTSD, etc...Beaucoup d'exemples réels, surtout provenant de la guerre en Yougoslavie.
J'ai beaucoup aimé mais le sujet m'intéresse énormément, je pense que si la chose militaire ne fait pas partie de vos intérêts ce sera surtout chiant

C'est parti pour Les misérables de Victor Hugo!  

Tiens, c'est nouveau, voici ce que j'ai vu figurer au préambule d'un bouquin au format epub (en anglais) aujourd'hui :

A+,

C'est Mr Bienvenu qui va t'accueillir

Lu La Guerre du Feu et ça m'a beaucoup plu. Ça aurait pu être plus développé mais en même temps c'est clair et direct. L'histoire est simple : il y a plus de feu, faut chercher du feu.
Bien aimé qu'on rentre dans la tête de certains animaux comme on est dans la tête des humains ainsi que l'animalisation du feu vu comme une bête à nourrir et dont il faut prendre soin (on est avant l'utilisation du silex), deux aspects qui ont disparu dans le film forcément. Les rencontres avec d'autres tribus humaines, certaines encore à demi sauvages étaient intéressantes aussi. J'aurais bien aimé mieux sentir l'ampleur du décor et les paysages par contre.

C'est un genre qui me branche bien ça, le roman préhistorique (il y en a pas beaucoup c'est pratique aussi ), j'ai Le clan de l'ours des cavernes dans ma PàL mais je lirais bien d'autres romans de Rosny Ainé à l'occas.

> Le clan de l'ours des cavernes
j'ai lu la série en vo. Les deux premiers volumes sont très bon, je les ai dévorés et relus. Le troisième bon, après, ça reste lisible, mais ça manque du souffle des deux premiers. Bref, tu peux lire les trois premiers comme un arc (c'est manifestement prévu pour par l'auteur) et ensuite, décider si tu veux lire la suite ou non.
 
Pour Rosny aîné, tu as Le félin géant qui est une vague suite de la guerre du feu, et d'autres romans préhistoriques, dont Helgvor du Fleuve Bleu, et Vamireh (et Eyrimah si tu ajoutes la proto-histoire).
Et sur le sujet, tu as cet excellent article : La Préhistoire dans la littérature de science-fiction par Christian Grenier (excellent, à l'orthographe de Vamireh près : on y trouve la fautive utilisation de Vamyreh).
 
Noter que je suis un poil scandalisé : la page française de Wikipédia pour Rosny aîné ne liste ni Vamireh ni Eyrimah dans le liste de ses œuvres (ces deux romans ont pourtant une page dédiée), alors que la page dédiée aux lecteurs de la perfide Albion si. Encore un coup de l'anti-France!    
 
A+,

Bah tu connais la solution hein

 
Merci des précisions    
 
Rosny Ainé il a aussi écrit de la SF, tu as lu ça ?