Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
3100 connectés 

 


 Mot :   Pseudo :  
  Aller à la page :
 
 Page :   1  2  3  4  5  ..  1004  1005  1006  ..  1369  1370  1371  1372  1373  1374
Auteur Sujet :

[LIVRES] Vos lectures du moment

n°58252168
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 04-12-2019 à 22:45:00  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Je relis Notre-Dame de Paris, c'est pas la même ambiance [:cathedrale] [:biezdomny]

Message cité 3 fois
Message édité par biezdomny le 04-12-2019 à 22:45:16

---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
mood
Publicité
Posté le 04-12-2019 à 22:45:00  profilanswer
 

n°58252228
RandallBog​gs
Posté le 04-12-2019 à 22:54:57  profilanswer
 

biezdomny a écrit :

Je relis Notre-Dame de Paris, c'est pas la même ambiance [:cathedrale] [:biezdomny]


C'est la quantième fois que tu le relis ?

n°58252239
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 04-12-2019 à 22:55:59  profilanswer
 

Pas tant que ça, c'est un de ceux que j'ai le moins lus, j'ai dû le lire trois fois quand j'étais ado, quelque chose comme ça. Ça fait très longtemps !

Message cité 1 fois
Message édité par biezdomny le 04-12-2019 à 22:56:06

---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°58252278
archerosmo​nd
Posté le 04-12-2019 à 23:01:02  profilanswer
 

RandallBoggs a écrit :


 :D  :D  :D  Moi je sais que je ne tiens jamais mon programme  [:tinostar]
 
Suis en train de relire Confessions d'un masque de Mishima. J'avais adoré à l'époque (genre il y a bien 15-20 ans), bah là, c'est pareil ! Il y a des passages qui m'ont ressauté à la figure !  :D [:prosterne2]


C’est en discutant ici avec toi que j’avais improvisé un programme de relecture pour cette année...et je m’y suis tenue finalement, il ne me reste « que »  Vanity Fair à relire...je vais m’y mettre, tiens, j’ai fini mon bouquin ce soir.
 
Mishima, je n’ai lu que Les Amours interdites, que j’avais adoré. Je sais, il faut que je lise La Mer de la fertilité, mais il est tellement cinglé...je ne suis pas toujours d’humeur à supporter un écrivain fou, tout génial soit-il :D

n°58252303
RandallBog​gs
Posté le 04-12-2019 à 23:04:13  profilanswer
 

biezdomny a écrit :

Pas tant que ça, c'est un de ceux que j'ai le moins lus, j'ai dû le lire trois fois quand j'étais ado, quelque chose comme ça. Ça fait très longtemps !


En ce moment, j'aime bien relire des choses lues il y a une voire plusieurs décennies. Quand il s'agit des classiques, bah comme ce sont justement des classiques, ça tient carrément bien le choc, c'est clair.

n°58252341
RandallBog​gs
Posté le 04-12-2019 à 23:10:07  profilanswer
 

archerosmond a écrit :


C’est en discutant ici avec toi que j’avais improvisé un programme de relecture pour cette année...et je m’y suis tenue finalement,


 [:aqualung]

 

Bientôt le bilan 2019 pour moi, je verrai ce que je m'étais donné à lire et ce que j'aurai lu en définitive. M'en souviens plus a priori, c'est ça qui va être marrant à comparer. Et je sais déjà quelles seront certaines de mes lectures en 2020. De très gros pavés en perspective.

 
archerosmond a écrit :


il ne me reste « que »  Vanity Fair à relire...je vais m’y mettre, tiens, j’ai fini mon bouquin ce soir.


 Vanity Fair !  [:sir_knumskull]

 

Ces barres de rire  [:zirk]

 
archerosmond a écrit :


Mishima, je n’ai lu que Les Amours interdites, que j’avais adoré. Je sais, il faut que je lise La Mer de la fertilité, mais il est tellement cinglé...je ne suis pas toujours d’humeur à supporter un écrivain fou, tout génial soit-il :D


Cinglé, cinglé... Juste un petit peu beaucoup très névrosé ?  [:ocolor]


Message édité par RandallBoggs le 04-12-2019 à 23:11:25
n°58252416
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 04-12-2019 à 23:22:17  profilanswer
 

Vanity Fair, ç'a été un de mes gros plaisirs de lecture de ces dernières années, c'est un roman très savoureux !


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°58252881
Profil sup​primé
Posté le 05-12-2019 à 07:21:45  answer
 

biezdomny a écrit :

Je relis Notre-Dame de Paris, c'est pas la même ambiance [:cathedrale] [:biezdomny]


C'est le roman qui m'a fait détesté Hugo. Si t'es pas parisien c'est incompréhensible et d'aucun intérêt. :/

n°58252887
diamond2
///Made in Tchernobyl
Posté le 05-12-2019 à 07:24:06  profilanswer
 

RandallBoggs a écrit :


 :D  :D  :D  Moi je sais que je ne tiens jamais mon programme  [:tinostar]
 
Suis en train de relire Confessions d'un masque de Mishima. J'avais adoré à l'époque (genre il y a bien 15-20 ans), bah là, c'est pareil ! Il y a des passages qui m'ont ressauté à la figure !  :D [:prosterne2]


La nouvelle traduction ?
J’ai adoré :D


---------------
HFR - We are accidents waiting to happen
n°58253284
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 05-12-2019 à 08:40:57  profilanswer
 


 
Je ne saurais dire (j'ai grandi dans le XVIIe :o) mais je dois reconnaître que Hugo tient une place très importante dans ma relation à Paris et la façon dont je perçois ma ville, son histoire, sa topographie et sa mythologie.


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
mood
Publicité
Posté le 05-12-2019 à 08:40:57  profilanswer
 

n°58253299
Profil sup​primé
Posté le 05-12-2019 à 08:43:13  answer
 

biezdomny a écrit :


 
Je ne saurais dire (j'ai grandi dans le XVIIe :o) mais je dois reconnaître que Hugo tient une place très importante dans ma relation à Paris et la façon dont je perçois ma ville, son histoire, sa topographie et sa mythologie.


Ben je te le dis. :D  
Y a du très très bon dans Hugo, mais il est extrêmement parisiano-centré. :D

n°58253593
Bruere
Posté le 05-12-2019 à 09:19:16  profilanswer
 


Je ne suis pas parisien et j'ai adoré. Je ne vois pas ce qu'il y a d'incomprehensible.

n°58253602
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 05-12-2019 à 09:20:33  profilanswer
 


Oui, ça, c'est facile de s'en rendre compte :D Mais c'est marrant, je pense très souvent à lui en me baladant dans Paris, il est vraiment dans plein de coins, soit parce qu'il y a vécu, qu'il y est passé, qu'il a écrit un poème dessus, qu'un épisode de tel roman s'y déroule, etc.


Message édité par biezdomny le 05-12-2019 à 09:20:45

---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°58253608
Profil sup​primé
Posté le 05-12-2019 à 09:20:59  answer
 

J'aurais du rajouter AMHA/IMHO/Je pense que/Moi/Personnellement/Ce post n'engage que moi/Ce message est subjectif.  
 

n°58253953
RandallBog​gs
Posté le 05-12-2019 à 09:52:07  profilanswer
 

diamond2 a écrit :


La nouvelle traduction ?
J’ai adoré :D


 [:popol]  la vieille ; j'ai ressorti mon Folio de l'époque.  [:pazou:3]

n°58254175
Kalymereau
This is not a method
Posté le 05-12-2019 à 10:11:08  profilanswer
 

biezdomny a écrit :

Je relis Notre-Dame de Paris, c'est pas la même ambiance [:cathedrale] [:biezdomny]


 
il faut corriger le premier smiley :o


---------------
rm -rf internet/
n°58254185
Kalymereau
This is not a method
Posté le 05-12-2019 à 10:12:07  profilanswer
 


 
[:aloy]


---------------
rm -rf internet/
n°58254379
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 05-12-2019 à 10:26:24  profilanswer
 

Kalymereau a écrit :

il faut corriger le premier smiley :o

 

Trop tôt [:paul de saint-balby:4]

 

Pas très longtemps après l'incendie, la BNF a fait une mini-exposition exceptionnelle du manuscrit. La page à laquelle ils avaient choisi de l'ouvrir n'était pas le fruit du hasard à mon avis :o

 
Citation :

de s’affaisser sous le métal bouillant qui avait fait, aux deux points où il tombait, deux trous noirs et fumants dans la foule, comme ferait de l’eau chaude dans la neige. On y voyait remuer des mourants à demi calcinés et mugissant de douleur. Autour de ces deux jets principaux, il y avait des gouttes de cette pluie horrible qui s’éparpillaient sur les assaillants et entraient dans les crânes comme des vrilles de flamme. C’était un feu pesant qui criblait ces misérables de mille grêlons.

 

La clameur fut déchirante. Ils s’enfuirent pêle-mêle, jetant le madrier sur les cadavres, les plus hardis comme les plus timides, et le Parvis fut vide une seconde fois.

 

Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée. Au-dessous de cette flamme, au-dessous de la sombre balustrade à trèfles de braise, deux gouttières en gueules de monstres vomissaient sans relâche cette pluie ardente qui détachait son ruissellement argenté sur les ténèbres de la façade inférieure. À mesure qu’ils approchaient du sol, les deux jets de plomb liquide s’élargissaient en gerbes, comme l’eau qui jaillit des mille trous de l’arrosoir. Au-dessus de la flamme, les énormes tours, de chacune desquelles on voyait deux faces crues et tranchées, l’une toute noire, l’autre toute rouge, semblaient plus grandes encore de toute l’immensité de l’ombre qu’elles projetaient jusque dans le ciel. Leurs innombrables sculptures de diables et de dragons prenaient un aspect lugubre. La clarté inquiète de la flamme les faisait remuer à l’œil. Il y avait des guivres qui avaient l’air de rire, des gargouilles qu’on croyait entendre japper, des salamandres qui soufflaient dans le feu, des tarasques qui éternuaient dans la fumée. Et parmi ces monstres ainsi réveillés de leur sommeil de pierre par cette flamme, par ce bruit, il y en avait un qui marchait et qu’on voyait de temps en temps passer sur le front ardent du bûcher comme une chauve-souris devant une chandelle.

 

Sans doute ce phare étrange allait éveiller au loin le bûcheron des collines de Bicêtre, épouvanté de voir chanceler sur ses bruyères l’ombre gigantesque des tours de Notre-Dame.

 

Il se fit un silence de terreur parmi les truands, pendant lequel on n’entendit que les cris d’alarme des chanoines enfermés dans leur cloître et plus inquiets que des chevaux dans une écurie qui brûle, le bruit furtif des fenêtres vite ouvertes et plus vite fermées, le remue-ménage intérieur des maisons et de l’Hôtel-Dieu, le vent dans la flamme, le dernier râle des mourants, et le pétillement continu de la pluie de plomb sur le pavé.

Message cité 1 fois
Message édité par biezdomny le 05-12-2019 à 10:26:34

---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°58254886
Kalymereau
This is not a method
Posté le 05-12-2019 à 11:02:48  profilanswer
 

biezdomny a écrit :


 
Trop tôt [:paul de saint-balby:4]
 
Pas très longtemps après l'incendie, la BNF a fait une mini-exposition exceptionnelle du manuscrit. La page à laquelle ils avaient choisi de l'ouvrir n'était pas le fruit du hasard à mon avis :o  
 

Citation :

de s’affaisser sous le métal bouillant qui avait fait, aux deux points où il tombait, deux trous noirs et fumants dans la foule, comme ferait de l’eau chaude dans la neige. On y voyait remuer des mourants à demi calcinés et mugissant de douleur. Autour de ces deux jets principaux, il y avait des gouttes de cette pluie horrible qui s’éparpillaient sur les assaillants et entraient dans les crânes comme des vrilles de flamme. C’était un feu pesant qui criblait ces misérables de mille grêlons.
 
La clameur fut déchirante. Ils s’enfuirent pêle-mêle, jetant le madrier sur les cadavres, les plus hardis comme les plus timides, et le Parvis fut vide une seconde fois.
 
Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée. Au-dessous de cette flamme, au-dessous de la sombre balustrade à trèfles de braise, deux gouttières en gueules de monstres vomissaient sans relâche cette pluie ardente qui détachait son ruissellement argenté sur les ténèbres de la façade inférieure. À mesure qu’ils approchaient du sol, les deux jets de plomb liquide s’élargissaient en gerbes, comme l’eau qui jaillit des mille trous de l’arrosoir. Au-dessus de la flamme, les énormes tours, de chacune desquelles on voyait deux faces crues et tranchées, l’une toute noire, l’autre toute rouge, semblaient plus grandes encore de toute l’immensité de l’ombre qu’elles projetaient jusque dans le ciel. Leurs innombrables sculptures de diables et de dragons prenaient un aspect lugubre. La clarté inquiète de la flamme les faisait remuer à l’œil. Il y avait des guivres qui avaient l’air de rire, des gargouilles qu’on croyait entendre japper, des salamandres qui soufflaient dans le feu, des tarasques qui éternuaient dans la fumée. Et parmi ces monstres ainsi réveillés de leur sommeil de pierre par cette flamme, par ce bruit, il y en avait un qui marchait et qu’on voyait de temps en temps passer sur le front ardent du bûcher comme une chauve-souris devant une chandelle.
 
Sans doute ce phare étrange allait éveiller au loin le bûcheron des collines de Bicêtre, épouvanté de voir chanceler sur ses bruyères l’ombre gigantesque des tours de Notre-Dame.
 
Il se fit un silence de terreur parmi les truands, pendant lequel on n’entendit que les cris d’alarme des chanoines enfermés dans leur cloître et plus inquiets que des chevaux dans une écurie qui brûle, le bruit furtif des fenêtres vite ouvertes et plus vite fermées, le remue-ménage intérieur des maisons et de l’Hôtel-Dieu, le vent dans la flamme, le dernier râle des mourants, et le pétillement continu de la pluie de plomb sur le pavé.



 
il dit ça il dit ça Victor, mais il oublie de parler de plombémie et de saturnisme #onnouscachetout


---------------
rm -rf internet/
n°58255326
Tillow
J'aime les tierces picardes.
Posté le 05-12-2019 à 11:32:44  profilanswer
 

biezdomny a écrit :

 

Je ne saurais dire (j'ai grandi dans le XVIIe :o) mais je dois reconnaître que Hugo tient une place très importante dans ma relation à Paris et la façon dont je perçois ma ville, son histoire, sa topographie et sa mythologie.


Ah marrant moi c'est plus Balzac et Zola, même si Hugo a contribué aussi :D


---------------
Stabatmaterophile - Witches, Bitches and Britches.
n°58255508
RandallBog​gs
Posté le 05-12-2019 à 11:45:29  profilanswer
 

Balzac, Zola aussi. Parce que bon, Hugo, je ne m'y suis mis que très très très tard...  [:cerveau eric]

n°58255738
demars
Posté le 05-12-2019 à 12:00:18  profilanswer
 

Moi, c'est Lorant Deustch  [:pioupiou]

n°58255762
Tillow
J'aime les tierces picardes.
Posté le 05-12-2019 à 12:02:27  profilanswer
 

[:cerveau vomi]


---------------
Stabatmaterophile - Witches, Bitches and Britches.
n°58257888
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 05-12-2019 à 15:25:22  profilanswer
 

Ah tiens c'est marrant ça, je vis Zola et Balzac comme très déconnectés de l'environnement réel. Je ne saurais absolument pas dire où se déroulent leurs romans, alors que je tique dès que je vois un lieu hugolien (et y en a, foulala).


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°58258097
Tillow
J'aime les tierces picardes.
Posté le 05-12-2019 à 15:39:47  profilanswer
 

biezdomny a écrit :

Ah tiens c'est marrant ça, je vis Zola et Balzac comme très déconnectés de l'environnement réel. Je ne saurais absolument pas dire où se déroulent leurs romans, alors que je tique dès que je vois un lieu hugolien (et y en a, foulala).


Pourtant t'as tous les quartiers de Paris dans les Rougon-Macquart, les Halles dans le Ventre de Paris, Saint Lazare dans le Bête Humaine, les boulevards Haussmaniens et la Bourse dans l'Argent, idem dans le Bonheur des Dames avec des descriptions précises du côté des Tuileries, le quartier des théâtres (vers les Variétés) dans Nana etc. Etc. Parfois j'ai carrément la vision des rues quand je lis certains passages :D


Message édité par Tillow le 05-12-2019 à 15:53:06

---------------
Stabatmaterophile - Witches, Bitches and Britches.
n°58258236
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 05-12-2019 à 15:48:42  profilanswer
 

Ça fait très longtemps que j'en ai pas lu et j'étais sûrement en exil hors du périphérique à l'époque, c'est peut-être pour ça [:transparency]


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°58259174
demars
Posté le 05-12-2019 à 17:07:44  profilanswer
 

Dans Vargas aussi, il y a des lieux sympas, mais il y en a plein que jene connais pas (mais sa vision de certains de ces endroits est assez entraînante je trouve).

n°58259828
ChatonMyst​ere
Meeeeeow
Posté le 05-12-2019 à 18:17:35  profilanswer
 

biezdomny a écrit :

Ah tiens c'est marrant ça, je vis Zola et Balzac comme très déconnectés de l'environnement réel. Je ne saurais absolument pas dire où se déroulent leurs romans, alors que je tique dès que je vois un lieu hugolien (et y en a, foulala).

 

Balzac est de Touraine il me semble. Dans le lys dans la vallée, il y a de belles descriptions de la campagne tourangelle.
Il n'est pas parisiano-centré contrairement à d'autres :O

Message cité 2 fois
Message édité par ChatonMystere le 05-12-2019 à 18:17:54
n°58260700
Dora Doral​ina
Posté le 05-12-2019 à 20:23:24  profilanswer
 

Des retours sur "le pape, le kid et l'iroquois" ?

n°58260736
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 05-12-2019 à 20:28:22  profilanswer
 

ChatonMystere a écrit :

Balzac est de Touraine il me semble. Dans le lys dans la vallée, il y a de belles descriptions de la campagne tourangelle.
Il n'est pas parisiano-centré contrairement à d'autres :O


 
Y a de ça aussi. Mais je réfléchissais à ça tout-à-l'heure (parce que je pensais à Victor Hugo en faisant la cuisine) et je me disais que c'est peut-être tout simplement que Zazac et Zola n'ont pas la même place que lui dans ma vie :o


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°58260814
RandallBog​gs
Posté le 05-12-2019 à 20:38:32  profilanswer
 

biezdomny a écrit :

Y a de ça aussi. Mais je réfléchissais à ça tout-à-l'heure (parce que je pensais à Victor Hugo en faisant la cuisine) et je me disais que c'est peut-être tout simplement que Zazac et Zola n'ont pas la même place que lui dans ma vie :o


Ce doit être ça, ouais ! Vile hugolâtre !  [:ocube]

 

Si tu me demandes un titre de roman de Balzac qui m'évoque Paris, il y a directement la Maison du chat qui pelote qui me vient à l'esprit. Zola, Pot-Bouille, le Ventre de Paris

 

En revanche, tu me poses la question sur Victor Hugo, je ne saurais quoi te répondre, rien, nada...  [:ocolor]  Quoi ?  [:clooney10] Ouais, bon... OK, N.-D. de Paris, les Misérables ('tain Picpus ! [:prosterne2])...  [:wo0chy]

Message cité 1 fois
Message édité par RandallBoggs le 05-12-2019 à 20:39:11
n°58261022
Tillow
J'aime les tierces picardes.
Posté le 05-12-2019 à 21:00:58  profilanswer
 

Le père Goriot aussi c'est très parisien.


---------------
Stabatmaterophile - Witches, Bitches and Britches.
n°58261057
RandallBog​gs
Posté le 05-12-2019 à 21:05:55  profilanswer
 

Tillow a écrit :

Le père Goriot aussi c'est très parisien.


Ah ça, la pension Vauquer !  [:cosmoschtroumpf]

n°58261209
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 05-12-2019 à 21:26:06  profilanswer
 

RandallBoggs a écrit :


Ce doit être ça, ouais ! Vile hugolâtre !  [:ocube]

 

Si tu me demandes un titre de roman de Balzac qui m'évoque Paris, il y a directement la Maison du chat qui pelote qui me vient à l'esprit. Zola, Pot-Bouille, le Ventre de Paris

 

En revanche, tu me poses la question sur Victor Hugo, je ne saurais quoi te répondre, rien, nada...  [:ocolor]  Quoi ?  [:clooney10] Ouais, bon... OK, N.-D. de Paris, les Misérables ('tain Picpus ! [:prosterne2])...  [:wo0chy]

 

Et les poèmes alors, l'ode à la colonne, la statue de Henri IV sur le Pont-Neuf, les Feuillantines, le bal à l'Hôtel de ville, tout ça :D Et puis il a écrit une sorte de guide de Paris, OK, pas très connu, mais qui est un condensé de parisianoparisianisme. Le premier chapitre est assez fantastique.

 
Citation :

Au vingtième siècle, il y aura une nation extraordinaire. Cette nation sera grande, ce qui ne l’empêchera pas d’être libre. Elle sera illustre, riche, pensante, pacifique, cordiale au reste de l’humanité. Elle aura la gravité douce d’une aînée. Elle s’étonnera de la gloire des projectiles coniques, et elle aura quelque peine à faire la différence entre un général d’armée et un boucher ; la pourpre de l’un ne lui semblera pas très distincte du rouge de l’autre. Une bataille entre italiens et allemands, entre anglais et russes, entre prussiens et français, lui apparaîtra comme nous apparaît une bataille entre picards et bourguignons. Elle considérera le gaspillage du sang humain comme inutile. Elle n’éprouvera que médiocrement l’admiration d’un gros chiffre d’hommes tués. Le haussement d’épaules que nous avons devant l’inquisition, elle l’aura devant la guerre. Elle regardera le champ de bataille de Sadowa de l’air dont nous regarderions le quemadero de Séville. Elle trouvera bête cette oscillation de la victoire aboutissant invariablement à de funèbres remises en équilibre, et Austerlitz toujours soldé par Waterloo. Elle aura pour « l’autorité » à peu près le respect que nous avons pour l’orthodoxie ; un procès de presse lui semblera ce que nous semblerait un procès d’hérésie ; elle admettra la vindicte contre les écrivains juste comme nous admettons la vindicte contre les astronomes, et, sans rapprocher autrement Béranger de Galilée, elle ne comprendra pas plus Béranger en cellule que Galilée en prison. Epur si muove, loin d’être sa peur, sera sa joie. Elle aura la suprême justice de la bonté. Elle sera pudique et indignée devant les barbaries. La vision d’un échafaud dressé lui fera affront. Chez cette nation, la pénalité fondra et décroîtra dans l’instruction grandissante comme la glace au soleil levant. La circulation sera préférée à la stagnation. On ne s’empêchera plus de passer. Aux fleuves frontières succéderont les fleuves artères. Couper un pont sera aussi impossible que couper une tête. La poudre à canon sera poudre à forage ; le salpêtre, qui a pour utilité actuelle de percer les poitrines, aura pour fonction de percer les montagnes. Les avantages de la balle cylindrique sur la balle ronde, du silex sur la mèche, de la capsule sur le silex, et de la bascule sur la capsule, seront méconnus. On sera froid pour les merveilleuses coulevrines de treize pieds de long, en fonte frettée, pouvant tirer, au choix des personnes, le boulet creux et le boulet plein. On sera ingrat pour Chassepot dépassant Dreyse et pour Bonnin dépassant Chassepot. Qu’au dix-neuvième siècle, le continent, pour l’avantage de détruire une bourgade, Sébastopol, ait sacrifié la population d’une capitale, sept cent quatrevingt-cinq mille hommes, cela semblera glorieux, mais singulier. Cette nation estimera un tunnel sous les Alpes plus que la gargousse Armstrong. Elle poussera l’ignorance au point de ne pas savoir qu’on fabriquait en 1866 un canon pesant vingt-trois tonnes appelé Big Will. D’autres beautés et magnificences du temps présent seront perdues ; par exemple, chez ces gens-là, on ne verra plus de ces budgets, tels que celui de la France actuelle, lequel fait tous les ans une pyramide d’or de dix pieds carrés de base et de trente pieds de haut. Une pauvre petite île comme Jersey y regardera à deux fois avant de se passer, comme elle l’a fait le 6 août 1866, la fantaisie d’un pendu dont le gibet coûte deux mille huit cents francs. On n’aura pas de ces dépenses de luxe. Cette nation aura pour législation un fac-simile, le plus ressemblant possible, du droit naturel. Sous l’influence de cette nation motrice, les incommensurables friches d’Amérique, d’Asie, d’Afrique et d’Australie seront offertes aux émigrations civilisantes ; les huit cent mille bœufs, annuellement brûlés pour les peaux dans l’Amérique du Sud, seront mangés ; elle fera ce raisonnement que, s’il y a des bœufs d’un côté de l’Atlantique, il y a des bouches qui ont faim de l’autre côté. Sous son impulsion, la longue traînée des misérables envahira magnifiquement les grasses et riches solitudes inconnues ; on ira aux Californies ou aux Tasmanies, non pour l’or, trompe-l’œil et grossier appât d’aujourd’hui, mais pour la terre ; les meurt-de-faim et les va-nu-pieds, ces frères douloureux et vénérables de nos splendeurs myopes et de nos prospérités égoïstes, auront, en dépit de Malthus, leur table servie sous le même soleil ; l’humanité essaimera hors de la cité-mère, devenue étroite, et couvrira de ses ruches les continents ; les solutions probables des problèmes qui mûrissent, la locomotion aérienne pondérée et dirigée, le ciel peuplé d’air-navires, aideront à ces dispersions fécondes et verseront de toutes parts la vie sur ce vaste fourmillement des travailleurs ; le globe sera la maison de l’homme, et rien n’en sera perdu ; le Corrientes, par exemple, ce gigantesque appareil hydraulique naturel, ce réseau veineux de rivières et de fleuves, cette prodigieuse canalisation toute faite, traversée aujourd’hui par la nage des bisons et charriant des arbres morts, portera et nourrira cent villes ; quiconque voudra aura sur un sol vierge un toit, un champ, un bien-être, une richesse, à la seule condition d’élargir à toute la terre l’idée patrie, et de se considérer comme citoyen et laboureur du monde ; de sorte que la propriété, ce grand droit humain, cette suprême liberté, cette maîtrise de l’esprit sur la matière, cette souveraineté de l’homme interdite à la bête, loin d’être supprimée, sera démocratisée et universalisée. Il n’y aura plus de ligatures ; ni péages aux ponts, ni octrois aux villes, ni douanes aux états, ni isthmes aux océans, ni préjugés aux âmes. Les initiatives en éveil et en quête feront le même bruit d’ailes que les abeilles. La nation centrale d’où ce mouvement rayonnera sur tous les continents sera parmi les autres sociétés ce qu’est la ferme modèle parmi les métairies. Elle sera plus que nation, elle sera civilisation ; elle sera mieux que civilisation, elle sera famille. Unité de langue, unité de monnaie, unité de mètre, unité de méridien, unité de code; la circulation fiduciaire à son plus haut degré ; le papier-monnaie à coupon faisant un rentier de quiconque a vingt francs dans son gousset ; une incalculable plus-value résultant de l’abolition des parasitismes ; plus d’oisiveté l’arme au bras ; la gigantesque dépense des guérites supprimée ; les quatre milliards que coûtent annuellement les armées permanentes laissés dans la poche des citoyens ; les quatre millions de jeunes travailleurs qu’annule honorablement l’uniforme restitués au commerce, à l’agriculture et à l’industrie ; partout le fer disparu sous la forme glaive et chaîne et reforgé sous la forme charrue ; la paix, déesse à huit mamelles, majestueusement assise au milieu des hommes ; aucune exploitation, ni des petits par les gros, ni des gros par les petits ; et partout la dignité de l’utilité de chacun sentie par tous ; l’idée de domesticité purgée de l’idée de servitude ; l’égalité sortant toute construite de l’instruction gratuite et obligatoire ; l’égout remplacé par le drainage ; le châtiment remplacé par l’enseignement ; la prison transfigurée en école ; l’ignorance, qui est la suprême indigence, abolie ; l’homme qui ne sait pas lire aussi rare que l’aveugle-né ; le jus contra legem compris ; la politique résorbée par la science ; la simplification des antagonismes produisant la simplification des événements eux-mêmes ; le côté factice des faits s’éliminant ; pour loi, l’incontestable, pour unique sénat, l’institut. Le gouvernement restreint à cette vigilance considérable, la voirie, laquelle a deux nécessités, circulation et sécurité ; l’état n’intervenant jamais que pour offrir gratuitement le patron et l’épure. Concurrence absolue des à peu près en présence du type, marquant l’étiage du progrès. Nulle part l’entrave, partout la norme. Le collège normal, l’atelier normal, l’entrepôt normal, la boutique normale, la ferme normale, le théâtre normal, la publicité normale, et à côté la liberté. La liberté du cœur humain respectée au même titre que la liberté de l’esprit humain, aimer étant aussi sacré que penser. Une vaste marche en avant de la foule Idée conduite par l’esprit Légion. La circulation décuplée ayant pour résultat la production et la consommation centuplées ; la multiplication des pains, de miracle, devenue réalité ; les cours d’eau endigués, ce qui empêchera les inondations, et empoissonnés, ce qui produira la vie à bas prix ; l’industrie engendrant l’industrie ; les bras appelant les bras, l’œuvre faite se ramifiant en innombrables œuvres à faire, un perpétuel recommencement sorti d’un perpétuel achèvement, et, en tout lieu, à toute heure, sous la hache féconde du progrès, l’admirable renaissance des têtes de l’hydre sainte du travail. Pour guerre l’émulation. L’émeute des intelligences vers l’aurore. L’impatience du bien gourmandant les lenteurs et les timidités. Toute autre colère disparue. Un peuple fouillant les flancs de la nuit et opérant, au profit du genre humain, une immense extraction de clarté. Voilà quelle sera cette nation.

 

Cette nation aura pour capitale Paris, et ne s’appellera point la France ; elle s’appellera l’Europe.

 

Elle s’appellera l’Europe au vingtième siècle, et, aux siècles suivants, plus transfigurée encore, elle s’appellera l’Humanité.

 

L’Humanité, nation définitive, est dès à présent entrevue par les penseurs, ces contemplateurs des pénombres ; mais ce à quoi assiste le dix-neuvième siècle, c’est à la formation de l’Europe.

 

Vision majestueuse. Il y a dans l’embryogénie des peuples, comme dans celle des êtres, une heure sublime de transparence. Le mystère consent à se laisser regarder. Au moment où nous sommes, une gestation auguste est visible dans les flancs de la civilisation. L’Europe, une, y germe. Un peuple, qui sera la France sublimée, est en train d’éclore. L’ovaire profond du progrès fécondé porte, sous cette forme dès à présent distincte, l’avenir. Cette nation qui sera palpite dans l’Europe actuelle comme l’être ailé dans la larve reptile. Au prochain siècle, elle déploiera ses deux ailes, faites, l’une de liberté, l’autre de volonté.

 

Le continent fraternel, tel est l’avenir. Qu’on en prenne son parti, cet immense bonheur est inévitable.

 

Avant d’avoir son peuple, l’Europe a sa ville. De ce peuple qui n’existe pas encore, la capitale existe déjà. Cela semble un prodige, c’est une loi. Le fœtus des nations se comporte comme le fœtus de l’homme, et la mystérieuse construction de l’embryon, à la fois végétation et vie, commence toujours par la tête.

 

[:gaga hurle] ÇA VA LES CHEVILLES §§

 

Edit : je trouve assez déroutant l'optimisme de la fin du XIXe siècle à propos du XXe, on trouve ça chez Louise Michel aussi, cette idée que les guerres seront obsolètes. Bravo la prédiction :o

Message cité 1 fois
Message édité par biezdomny le 05-12-2019 à 21:27:46

---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°58261772
demars
Posté le 05-12-2019 à 22:57:52  profilanswer
 

biezdomny a écrit :


 
Edit : je trouve assez déroutant l'optimisme de la fin du XIXe siècle à propos du XXe, on trouve ça chez Louise Michel aussi, cette idée que les guerres seront obsolètes. Bravo la prédiction :o


Depuis la création de l'UE, c'est pas faux, finalement ! (oui, ok, en europe de l'ouest, mais bon, on a saisi le principe !)

n°58265172
Lompoc
Posté le 06-12-2019 à 12:23:33  profilanswer
 

Je lis Brutal Youth, d'Anthony Breznican. Un livre sur le milieu scolaire américain, et les brutalités que se font endurer les élèves de "high school" (donc de la 3e à la terminale chez nous).
 
Il y a dans le ton un fort côté Stephen King (bien que ça ne soit pas un roman fantastique) que j'aime beaucoup. C'est d'ailleurs un livre que j'ai trouvé dans une liste des meilleurs livres selon Stephen King :o

n°58265415
niku
viaggiando controvento
Posté le 06-12-2019 à 12:54:19  profilanswer
 

Salut all, j’ai 3 crédit audio sur audible  
Si il y a des amateurs de livres audio ici c’est quoi les œuvres qu’il faut écouter ? J’imagine que tout ne se prête pas à l écoute
 
Merci

n°58265716
true-wiwi
Posté le 06-12-2019 à 13:30:09  profilanswer
 

Le petit prince :o


---------------
It's a simple mistake to make, to create love and to fall.
n°58265819
Lompoc
Posté le 06-12-2019 à 13:41:12  profilanswer
 

niku a écrit :

Si il y a des amateurs de livres audio ici c’est quoi les œuvres qu’il faut écouter ? J’imagine que tout ne se prête pas à l écoute


La naissance des puristes de l'audiobook  [:love_yvele]  
 
Quoté pour la postérité :o

n°58265941
gilou
Modérateur
Modosaurus Rex
Posté le 06-12-2019 à 13:52:08  profilanswer
 

Lompoc a écrit :


La naissance des puristes de l'audiobook  [:love_yvele]  
 
Quoté pour la postérité :o

Les BD en audiobook, ça doit pas trop le faire ( sauf peut être celles de Francis Masse, lequel met un avertissement au début des siennes comme quoi elles contiennent plus de 10% de texte, et sont dangereuses pour un public non habitué... :whistle: )
 
A+,


---------------
There's more than what can be linked! --  Le capitaine qui ne veut pas obéir à la carte finira par obéir aux récifs. -- Il ne faut plus dire Sarkozy, mais Sarkozon -- (╯°□°)╯︵ ┻━┻
n°58266183
ZeWalrus
Posté le 06-12-2019 à 14:14:09  profilanswer
 

ChatonMystere a écrit :

 
 
Balzac est de Touraine il me semble. Dans le lys dans la vallée, il y a de belles descriptions de la campagne tourangelle.
Il n'est pas parisiano-centré contrairement à d'autres :O


 
Clairement Balzac est le moins parisiano centré. Surtout que Balzac avait une relation tendue avec la capitale.  
De ce que j'ai lu de Hugo (Quatrevingt-treize, Les Misérables, N-D de Paris) , le parisianisme m'a sauté aux yeux.  
 
Tiens, en revenant sur Balzac et les villes, les deux fois où je suis passé à Angoulême en TGV (dont le WE dernier), au moment où le train sort de la gare et que l'on a une vue dégagée et proche sur le rocher d'Angoulême, à chaque fois je suis ébahi de voir comment la description de Balzac était juste dans "Illusions perdues". C'est l'image exacte que j'avais dans ma tête de la ville avant de la voir.
 

mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3  4  5  ..  1004  1005  1006  ..  1369  1370  1371  1372  1373  1374

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
Quel mag informatique "papier" lisez vous ?spam => lisez ça, vous serez pas déçu !
Le Jeu du Dico : en attente de renaissance[topic magazine] Quels sont les magazines que vous lisez ?
Quel genre de roman lisez-vous le plus ?Les forumeurs : campagnards ou citadins ? Lisez le 1er post !
Vous lisez quel quotidien ?Combien de livres lisez vous en moyenne par an ?
Quel magazine spécialisé dans le cinéma lisez-vous en priorité ??[ internet ] - Lisez vous les blogs ??
Plus de sujets relatifs à : [LIVRES] Vos lectures du moment


Copyright © 1997-2025 Groupe LDLC (Signaler un contenu illicite / Données personnelles)