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Auteur Sujet :

(not) another heroic fantazy novel

n°12206688
Skyheroes
Pilote Fou
Posté le 24-07-2007 à 16:55:35  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Roh mais excellent quoi!
 :lol:  
Ca m'a bien rappeler Donjon de Naheulbeuk et autres parodies dans le genre! Evidemment il manque les effets audio mais l'humour reste intacte! Ca fait du bien de lire des choses..différentes! De quoi se divertir lorsqu'on ne sait pas quoi faire continue on veut la suite :bounce:

mood
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Posté le 24-07-2007 à 16:55:35  profilanswer
 

n°12215555
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 25-07-2007 à 11:40:42  profilanswer
 

[:cerveau lent]


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
n°12216041
Damrod
Posté le 25-07-2007 à 12:16:31  profilanswer
 

enfin un nouveau chapitre :bounce:
la suite, la suite...

n°12228889
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 26-07-2007 à 16:31:35  profilanswer
 

résumé Liébert est capturé sur Terre car il se pourrait qu'il soit le Sauveur qu'attend le royaume de Trifouilli. Mais il refuse de prendre part au combat. Erzeline, fille du roi décide de partir seule tandis que lui se saoule dans une auberge. Celle-ci est incendiée par des gardes passés à l'ennemi. Liebert est soigné par Carlberine, soeur d'Erzeline. Elle lui explique que son père le roi est mourant, que sa soeur Erzeline sans doute au main du mage Razemonche et qu'elle seule peut le ramener sur Terre.
sans doute bourré de fautes d'accords ou d'autre. là c'est plus un chapitre de transition avant le début de la quête :o
 

Citation :

chapitre 7
Saving private Liebert
 
 J’étais donc coincé et la seule façon de sortir de ce trou à rat était d’aller quérir Erzeline sans doute aux mains baladeuses de Bazeloches et récupérer la fameuse « cloupiotte ». Le soir même, on me fit venir auprès de l’armurier royal, qui prit mes mesures et m’équipa. Il dénicha une vieille cotte de maille, jadis destinée à un soldat Haut-Nain. Ainsi vêtu j’avais la démarche et la grâce d’un manchot royal. A ma vue Carlberine refréna un fou rire nerveux.  On me remit aussi une Caltel, une épée courte.  
  - Je vais avoir un entraînement pour cela ? Demandai-je.
  - Nous n’avons pas le temps, nous partons demain à l’aube, répondit-elle sèchement tandis qu’elle aiguisait sa lame de Broundecol, épée à deux mains directement taillée dans la pierre par les nains de Aichefer.
  - Gé-nial.
  - Un souci ?
  - Non rien.  
 
 Je passai ma dernière nuit au « Bazeloche Bizarre », une auberge au sud du Palais de Trifouilli, un rade dans la spécialité locale était une bière réalisée à partir de la fermentation de transpiration de Bazeloche. J’hésitai à me saouler une dernière fois. Je commandai un pichet de Junebelle – autre bière locale et m’installai en terrasse pour contempler les quatre Lunes de Trifouilli. Vers minuit je fus rejoint par Carlberine, avec toujours sa Broudecol à portée de main. Très freudien comme démarche. Je me serais bien tenté à le lui signaler mais je pense qu’elle n’était pas à même de saisir toutes les subtilités de la psychanalyse moderne.
  - Vous prenez un verre ? Demandai-je innocemment.
  - Non je tiens juste à m’assurer que vous n'allez pas boire tel un Mandragoule comme la dernière fois et tenter de vous défiler.
  - Une vraie mère pour moi.
Sa Broudecol se positionna sous mon nez.  
  - C’est de l’humour Carlb’. Bon parlez-moi de vous, vous faites quoi à longueur de journée dans ce palais ?  
La Brodecol alla se ranger gentiment dans son fourreau.
  - Je suis prêtresse de la caste des Azesuer auprès des serviteurs de la flamme de Halöe dans le temple de Brousefalde, nous invoquons les mânes de nos ancêtres qui sont dans l’Outre-Monde, en Valpousuy.
- Génial.
- Et vous ? Demanda-t-elle.
- En intérim. Je suis me fait virer avant hier.  
 
- a suivre -


Message édité par meriadeck le 26-07-2007 à 16:32:22

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Acceuil /Que se passe-t-il quand un gouvernement décide que le travail est un devoir ?
n°12230031
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 26-07-2007 à 18:05:25  profilanswer
 

mdr la derniere ligne :D


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
n°13270540
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 15-11-2007 à 13:38:01  profilanswer
 

Citation :

Chapitre 8
Sur la route
 
On quitta Trifouilli à l’aube comme prévu, sur des Pourselouzes de l’écurie royale. Pour faire simple c’est une race de grands cerfs de la taille d’un petit éléphant. Nous n’étions plus seuls, Carlberine avait recruté une escorte parmi ses connaissances.  Mazoujïo et Bagaère, écuyères Roulze ( si vous le demande vous répondrez qu’on les reconnaît à leurs yeux verrons), Hume, grand officier de la maison du roi et Malacvère, son acolyte qui le suivait depuis les batailles de Marchoule qui vit l’anéantissement des armées des premiers rois Bazeloches. Hume me considéra du regard avec dédain. Selon lui je n’étais pas digne de défendre les couleurs de Trifouilli.  
  - Jetons le dans les marais hantés de Wascansé pour juger de ses capacités. Autrefois on y abandonnait les apprentis et seuls ceux qui survivaient étaient admis dans l’armée du Royaume, proposa-t-il.  
- Tout ça c’est la faute du gouvernement, soupira Malacvère. Si les réformes de Bournefousse avaient été menées à terme et non constemment rejetées par l’opposition, les Bazeloches n’auraient pas repris pied en Trifouilli. Sans parler de l’immigration subie des Gerudel qui a plombé le déficit.  
-  De toute façon si la Ligue de Cloquevert avait présenté une candidate digne de ce nom nous n’en serions pas là, soupira Hume.
Sur ces entrefaites géopolitiques on arriva  au sommet d’une crête qui dominait la vallée. Derrière nous, on apercevait sur la ligne de l’horizon les murailles de Trifouilli, les fumerolles de villages de bûcherons s’effilochaient dans la lumière matinale. Plus loin, l’imposant massif de Xarandoc et ses sommets enneigés.  
 La troupe s’arrêta et examina une carte. Je relâchai la bride de mon destrier. Mais mon Pourselouze qui broutait l’herbe s’agita. Il sembla renifler quelque chose et poussa un grognement. Soudain sous son museau détala un carpoyte, sorte de lièvre avec des plumes.  Aussitôt le Pourselouze s’ébroua  et se lança à sa poursuite. Je me cramponnai du mieux que je pouvais tout en hurlant à intervalles réguliers. Ma chevauchée continuait de plus belle, le Pourselouze suivant le Carpoyte qui s’aventura dans une trouée de la forêt, je pus à loisir goûter du talent du saut d’obstacle des Pourselouze sur les troncs d’arbre qu’une tempête récente avait jeté à bas. Sa course folle nous mena dans un sous bois, le carpoyte trouva refuge entre les rondins de bois d’un petit campement. Ma monture renifla quelque peu avant de s’aventurer à l’intérieur du camp pensant y retrouver sa proie. Et là, la journée qui déjà n’était pas terrible devint carrément merdique, voir à tout bonnement à chier.


fuck l'orthograph et les participes passés [:prodigy]


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Acceuil /Que se passe-t-il quand un gouvernement décide que le travail est un devoir ?
n°13270772
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 15-11-2007 à 13:57:56  profilanswer
 

avec des si petits chapitres, il y en a combien de prévus ? 500, 1000 ? :D


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
n°13283046
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 16-11-2007 à 18:39:13  profilanswer
 

Citation :

Chapitre 9 « on va vous mettre le feu »
 
 Il fallut quelques minutes aux soldats Bazeloches pour saisir vraiment l’identité du cavalier en  Pourselouze qui pénétra dans leur camp, en cette matinée finissante, ce jeudi matin de septembre de la 8ème Ere de Bregouzle (calendrier Bazeloche modifié).. Ils étaient arrivés deux jours auparavant, tout un groupe de reconnaissance chargé de faire l’évaluation des dangers dans les forêts environnants de Trifoulli en prévision du siège de la ville. Les ouvriers avaient investi un camp de paysans, paysans qu’ils avaient au préalable méticuleusement éventré. Le capitaine de la garnison, Groupchel Bougueuzard terminait l’interrogatoire d’un émissaire Trifouillois capturé par une patrouille dans la nuit quand une sentinelle lui signala l’arrivée de l’étrange visiteur. Il reposa les fers rougis et fit signe aux soldats d’achever le malheureux.  
 Puis il sortit sur la plate-forme qui dominait la cour, face à l’intrus. Visiblement, celui-ci venait tout juste de prendre conscience dans quelle pétrin il s’était fourré, éructant de façon désordonnée « Et merde » « Flûte » « Bordel » « C’est pas mon jour ». Un des soldats bazeloche qui revenait des écuries l’aperçut à son tour, voulut se saisir de son épée. Mais celle-ci lui échappa des mains et alla se ficher dans le mur des écuries, heurtant au passage une des lanternes qui enflamma aussitôt le stock de paille. Un autre soldat épaula son arbalète mais la flèche rata sa cible mais pas la tête du sous commandant Gougnard Brizut. Un soldat s’apprêtait à lancer son fléau mais ne remarqua pas un de ses camarades qui arrivait derrière lui, oblitérant sa tête par inadvertance. Un Bazeloche se précipita sur le cavalier, mais le Pourselouze se cabra, le faisant tomber à la renverse sur l’étal du maître d’arme. Ce qui eut pour effet de projeter en l’air la dizaine d’épées et de sabres disposées qui allèrent se loger dans tout autant de torses et de crânes.
 Le feu gagnait maintenant le plancher des étages de l’écurie, plusieurs soldats qui tentaient d’éteindre les flammes en sortirent paniqués. L’un d’eux trébucha sur la tête décapitée précédemment, et s’empala sur son épée, bloquant de son corps la porte des écuries. Un autre groupe de soldat s’élança dans l’escalier de la tourelle bordant la cour. Sous leur poids, il s’effondra, jetant les hommes en travers du toit en chaume et ils allèrent s’empaler collectivement sur les outils des moissonneurs. Les chevaux tentant de fuir l’incendie piétinèrent les hommes qui étaient restés  bloqués dans la cour.
 Il y eut un grandement sourd – le plancher du laboratoire de chimie situé au-dessus des écuries venait de lâcher. Les Bazeloches échangèrent un regard d’horreur. L’instant suivant, une vague de feu dévora les bâtiments du camp, pulvérisant la capitaine Groupchel Bougueuzard qui n’en revenait toujours pas. Les rares survivants prirent la fuite à travers bois en poussant des cris d’effrois.
 
 « D’après mes informations Erzeline à pris la direction de Aichefer, là bas nous en saurons plus. Vous en pensez quoi Liébert ? » fit Carlberine.
Au bout de quelques secondes Carlberine leva son nez de sa carte.
  - Où est Liébert ?
Comme pour lui répondre, une boule de feu s’éleva au-dessus de la crête des sapins.  
Ils s’élancèrent à bride abattue à travers les bois en direction de la fumée. Quand ils arrivèrent sur place, ils m'apercurent assis au milieu de la cour de ce qui semblait avoir été un village retranché et dont il ne restait maintenant que des cendres, et tout autour de moi, des dizaines de cadavres de soldats bazeloches, brûlés, découpés, arborant toute une palette de mutilations brutales.
Carlberine descendit de monture et fit quelques pas dans le camp, interloquée
  - Je peux tout expliquer. C’est un accident, fis-je.


 


Message édité par meriadeck le 17-11-2007 à 01:57:42

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Acceuil /Que se passe-t-il quand un gouvernement décide que le travail est un devoir ?
n°13283311
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 16-11-2007 à 19:17:30  profilanswer
 

1ere personne ou 3eme personne la narration ? :??:


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n°13283845
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 16-11-2007 à 20:11:26  profilanswer
 

HumanRAGE a écrit :

1ere personne ou 3eme personne la narration ? :??:


effet de style comme si c'était la chose était racontée du point de vue bazeloche :o


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Acceuil /Que se passe-t-il quand un gouvernement décide que le travail est un devoir ?
mood
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Posté le 16-11-2007 à 20:11:26  profilanswer
 

n°13284035
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 16-11-2007 à 20:30:56  profilanswer
 

okidoki :o


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
n°13286915
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 17-11-2007 à 01:58:02  profilanswer
 


bon j'ai remis la fin a la 1er pers', ça sonnait faux comme conclusion :o


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Acceuil /Que se passe-t-il quand un gouvernement décide que le travail est un devoir ?
n°14051814
docwario
Alea jacta est
Posté le 13-02-2008 à 18:06:17  profilanswer
 

très bon taff messire meriadeck.
 
je me sens comme un enfant à qui on vient d'offrir un gros paquet cadeau, qu'on commence à déballer, mais qu'on renvoi se coucher car il est tard.
 
y aura-t-il une suite ?

n°14082033
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 17-02-2008 à 02:27:12  profilanswer
 
n°21125720
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 07-01-2010 à 15:38:39  profilanswer
 

Citation :

Chap 10 dans le camp
 
Le camp était dévasté. Les écuries brulaient encore, un panache de fumée s’échappait de ce qui avait été le laboratoire, les pierres de ce qui fut un donjon se mêlaient aux corps de soldats bazeloches désarticulés. Les chevaux en prenant la fuite avaient mis à bas la palissade.  
- Par les tétons de Maz-Wuoulaise, c’est quoi ce bordel, lanca Malacvère en arrivant.  
- C’est vous qui avez fait ça, me demanda Carlberine. La prophétie disait donc vraie.
Je m’étouffai.
  - Wowowow, c’était un accident, un simple enchaînement de circonstances, je n’y suis pour rien.
  - Ouai responsable mais pas coupable, c’est que disait Poulzeu dans le scandale des bottes de foins contaminés au strakol, interjecta Hume en donnant un coup de coude à Malacvère.
Carlberine fit un tour rapide des ruines du camp. Elle souleva quelques casques, et observa les armoiries des soldats ;
  - Sans doute un avant poste Bazeloche. Rien de très gr…
Elle fit un pas en avant et se baissa et ramassa quelque chose – une tête.
  - Ca c’est Brizut, sous-commandant. Enfin c’était.
Hume enjamba un parapet et remua un tas de décombre.  
  - Et là j’ai un corps avec des épaulettes de sous commandant, observa Hume. Groupchel sans doute.
Ils revinrent tous les deux vers nous.
  - Ce qui veut dire ? demandai-je.
  - Oh trois fois rien, répondit Hume. Vous avez juste occis deux prétendants au trône, détruit tout un poste d’avant-garde ainsi que sa garnison, et provoquer un incident diplomatique entre six races et trois clans.
Je déglutis.  
  - Ca va probablement rendre fou furieux Razemonche. Voilà un prétexte de plus pour lancer ses armées sur Trifouillis. Mais il doit être  loin de se douter de la perte de Brizut  et Groupchel.
 
 Une des deux écuyères (je sais plus si c’était Mazoujïo ou Bagaère mais j’avais un faible pour Bagaère et ses boucles rousses, elle me faisait penser à Zoé) émergea des reste d’une cahute a moitié effondrée.
  - Ils avaient un prisonnier, un émissaire officiel a priori. Ils l’ont torturé. Je ne crois pas que Erzeline ait pu les croiser, elle est passée beaucoup plus au sud. Mais ça veut dire qu’ils surveillent les routes. On devrait se dépêcher, ça va être l’heure du Broum.
Tout le monde acquiesça et se remit en selle. J’attendis un instant avant de lever le doigt.
  - C’est quoi le… Broum ?
Mazoujïo (ou Bagaère) ricana.  
  - Je pense qu’il vaut mieux que tu ne le saches pas.


la suite l'an prochain.


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Acceuil /Que se passe-t-il quand un gouvernement décide que le travail est un devoir ?
n°21126346
Nirwan
perdu? double la mise!
Posté le 07-01-2010 à 16:44:13  profilanswer
 

le chapitre de 30 lignes 2 ans après [:implosion du tibia]
 
Joli :D

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