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Auteur Sujet :

[p2p] hypocrisie des majors et/ou boulimie consumeriste ?

n°7951572
Mine anti-​personnel
Posté le 21-03-2006 à 19:16:29  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

Ciler a écrit :

Un article de la BBC d'aujourd'hui indique qu'apple a plusieurs options :

  • Se retirer du marche francais.
  • Creer un OS "special france" qui reconnaitra le mp3, la difficulte etant de s'assurer qu'il ne sorte pas des frontieres.  
  • Continuer en l'etat et facon MS attendre que le proces arrive. Le cout du redressement judiciaire etant de toute facon ridicule compare aux revenus d'apple en france.

T'es sûr que ce terme est approprié? Je verrais plutôt "amende" là.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Redressement_judiciaire


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Jouez à un jeu intelligent
mood
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Posté le 21-03-2006 à 19:16:29  profilanswer
 

n°7951689
Ciler
Posté le 21-03-2006 à 19:38:56  profilanswer
 

Mine anti-personnel a écrit :

T'es sûr que ce terme est approprié? Je verrais plutôt "amende" là.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Redressement_judiciaire


fixed :jap:
 
Voila ce qui arrive quand on traduit de l'anglais a l'arrache :o


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And I looked, and behold a pale horse: and his name that sat on him was Death, and Hell followed with him. Revelations 6:8
n°7955174
peace_ange​lh
Monopole, monoculture, dangers
Posté le 22-03-2006 à 09:32:47  profilanswer
 

De toute facon apple peut bien se retirer de la france avec son itunes, il ne retireront pas de la vente leurs (chers) ipods vu que c'est 95% de leur benefices... :sarcastic:


Message édité par peace_angelh le 22-03-2006 à 09:40:30
n°7955208
troll en c​hef
Posté le 22-03-2006 à 09:43:57  profilanswer
 

Merci vivendi de faire du lobbyong pour M$ gratos.

n°7955389
peace_ange​lh
Monopole, monoculture, dangers
Posté le 22-03-2006 à 10:17:00  profilanswer
 

Et puis j'espere que le format (si il le font) sera rélement du .mp3 standart et non du .wma foireux avec d'autres protections inside made in Micro$oft...:pfff:

Message cité 2 fois
Message édité par peace_angelh le 22-03-2006 à 10:17:11
n°7955422
Z_cool
HFR profile rating:⭐⭐⭐⭐
Posté le 22-03-2006 à 10:22:59  profilanswer
 

peace_angelh a écrit :

Et puis j'espere que le format (si il le font) sera rélement du .mp3 standart et non du .wma foireux avec d'autres protections inside made in Micro$oft...:pfff:


 
 
ahhhahahah tu espere qu il passe d unformat protege qui les met a l abris et place 1er mondial a un systeme sans aucune protction ?
 
allé arrete de rever

n°7955429
troll en c​hef
Posté le 22-03-2006 à 10:24:36  profilanswer
 

peace_angelh a écrit :

Et puis j'espere que le format (si il le font) sera rélement du .mp3 standart et non du .wma foireux avec d'autres protections inside made in Micro$oft...:pfff:


 
Mais bien sûr et demain en grande première M$ libère les sources de vista.

n°7955443
peace_ange​lh
Monopole, monoculture, dangers
Posté le 22-03-2006 à 10:27:27  profilanswer
 

De toute façon le seul format réellement compatible partout est le .mp3, donc si le wma passe ce sera bien la preuve que même grosoft ne se cache même plus... :pfff:

Message cité 1 fois
Message édité par peace_angelh le 22-03-2006 à 10:27:41
n°7956513
Z_cool
HFR profile rating:⭐⭐⭐⭐
Posté le 22-03-2006 à 12:29:11  profilanswer
 

peace_angelh a écrit :

De toute façon le seul format réellement compatible partout est le .mp3, donc si le wma passe ce sera bien la preuve que même grosoft ne se cache même plus... :pfff:


 
ba ... en meme temps, un Widows reclamé par l Europe sans Windows Media player devant arriver, ca va etre amusant de lire les WMA+DRM sans ....

n°7956670
Profil sup​primé
Posté le 22-03-2006 à 12:49:04  answer
 
mood
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Posté le 22-03-2006 à 12:49:04  profilanswer
 

n°7956812
Parrapa Da​h
dah parrapa
Posté le 22-03-2006 à 13:07:41  profilanswer
 

Drapal, histoire de  :pt1cable:


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Topic RPG
n°7956893
peace_ange​lh
Monopole, monoculture, dangers
Posté le 22-03-2006 à 13:16:41  profilanswer
 

trop fort, [:alvas] mais tellement vrai !  :pfff:

n°7956973
ToYonos
Ready to code
Posté le 22-03-2006 à 13:27:20  profilanswer
 
n°7964984
reset.smit​h
Posté le 23-03-2006 à 10:21:01  profilanswer
 


 
 
:lol:  
 
Excellent !  [:xp1700]

n°7967953
wilka91
Murders and Executions
Posté le 23-03-2006 à 16:39:10  profilanswer
 

:lol:


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I'm into, well, murders and executions ... I mean mergers and acquisitions.
n°7973927
the bulleu​r
Born to be alive ☺☺☺
Posté le 24-03-2006 à 08:55:57  profilanswer
 

Ecellent!!! [:sygus]


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http://www.flickr.com/photos/88605
n°8027701
Ciler
Posté le 30-03-2006 à 13:28:15  profilanswer
 

Je reposte ici depuis le topic DADVSI un article assez edifiant sur l'etat de l'industrie du disque en france :
http://fr.news.yahoo.com/29032006/ [...] ligne.html
 

Citation :

DADVSI : sacrifier 8000 emplois pour libérer la musique en ligne ?
Par Bruno Moldave.
 
Cet article a été rédigé par un reporter d'AgoraVox, le journal média citoyen qui vous donne la parole.

 
Le Disque, en France, c'est à peine 8000 emplois. Bien loin des 300 000 invoqués par notre expert national en économie des Médias, Marc Lavoine sur LesTelechargements.com, ou des 100 000 évoqués par Christian Vanneste lors des débats à l'Assemblée sur la loi DADVSI. Mais, surtout, dans un modèle en ligne, la musique n'a pas besoin du disque, qui ne crée pas d'emplois annexes hormis ceux directement liés au support physique, qui sont à terme condamnés. Les parlementaires auraient tout intérêt à sacrifier le disque pour que vive la musique en ligne.
 
Ne soyons point trop provoquants. Expliquons-nous :
 
Dans les maisons de disque, en France, le personnel se limite à 8000 personnes (200 à 800 personnes pour chaque section française des majors, 1 à 30 personnes pour un indépendant). Les éditeurs de variété emploient moins de 1000 personnes (alors, chose étrange, que la SACEM répertorie 3500 éditeurs... Ces chiffres (et cette contradiction) sont décrits en toutes lettres dans l'excellent livre Les métiers de la musique, édité par la Cité de la musique (à qui l'on doit tous les rapports les plus inattaquables et les plus dérangeants sur l'industrie phonographique).
 
Bon, 8000 emplois seulement, mais près d'un milliard d'euros de chiffre d'affaire. Cherchons ce que représente cet argent. Avec 1 milliard de chiffre d'affaire, on se dit au moins que ceci permet d'investir dans de nouveaux talents...
 
Penchons-nous donc sur ce supposé investissement, en nous concentrant avant tout sur l'investissement "créatif", c'est-à-dire, concrètement, celui qui aide un créateur à s'exprimer en enregistrant le disque de ses rêves.
 
Seuls 30 millions d'euros peuvent être considérés comme un investissement "artistique" : le SNEP signale en effet que seuls 3% du prix moyen d'un CD provient de l'enregistrement. Les ingénieurs du son, les musiciens, le matériel, les studios : le disque ne dépense en tout et pour tout que 30 millions par an.
 
Détaillons cette horreur :
 
- La Cité de la musique considère que seules 240 personnes ont une fonction "artistique" au sein des maisons de disques.
 
- 30 millions d'euros consacrés à la création phonographique, ceci donne 1360 équivalents d'emplois au SMIC (toutes charges payées). Rajoutons donc ces 1360 emplois. Même si cet argent n'allait qu'aux musiciens ou arrangeurs et autres mixeurs, le disque ne constituerait mathématiquement qu'une infime fraction des revenus des 40 000 instrumentistes encartés ADAMI et SPEDIDAM ou autres.
 
=> en tout et pour tout, la partie "créative" du disque ne peut faire survivre que 1600 personnes... c'est-à-dire autant que le nombre d'employés de la SACEM...
 
Parallèlement, le disque ne représente que 20% des droits d'auteurs perçus par la SACEM : largement compensable, à court ou moyen terme par la vente en ligne, et plus tard par la licence globale (ou redevance sur les abonnements haut débit), que nos politiques ne manqueront pas de voter dans quelques années face à la persistance obstinée de la réalité du P2P...
 
L'essentiel du milliard de chiffre d'affaire (du moins la partie qui ne repart pas à l'étranger, n'oublions pas qu'une bonne proportion des ventes est le fait d'artistes étrangers) sert à rémunérer une file d'intermédiaires à la valeur ajoutée incertaine (en particulier, le rôle d'un éditeur par rapport au producteur, quand les deux sont dans la même major à s'occuper du même artiste...), à payer des écrans publicitaires et des accords de diffusion ("Je te paie, tu me matraques sur ta chaîne" ) toujours plus coûteux (les télés et les radios profitant massivement de leur position stratégique d'accès au TCD - temps de cerveau disponible), et à payer la filière de distribution et ses marges arrière. Ce sont là des dépenses complètement "à fonds perdus", dans des secteurs très faibles en génération d'emploi.
 
Le reste sert à rémunérer des frais généraux (25%...) largement grevés par les salaires des patrons de labels, soit quelques dizaines de personnes complètement surpayées (30 à 80 000 euros par mois, c'est ridicule), souvent artistiquement incultes, crocodiles uniquement experts dans l'art de survivre dans un marigot qu'ils ont creusé eux-mêmes et dont ils entretiennent eux-mêmes l'assèchement. (voir l'excellent article de P. Astor ).
 
Baisser de moitié le salaire de P. Nègre (960 000 euros annuels) permettrait de dégager quatre fois le budget d'enregistrement d'un album "à fort investissement artistique" comme celui du dernier Fersen (Cf Epok) qui se montait à 119 000 euros (soit 20% du budget total du disque (550 000 euros), ce qui est une proportion très exceptionnelle... la moyenne étant de 3% rappelons-le). En divisant par deux le salaire et le bonus des principaux cadres et chefs de labels du disque, il est possible qu'on puisse lancer une bonne vingtaine d'artistes de plus par an!
 
Dans le langage des maisons de disque, "investir" sur un artiste, ce n'est pas vendre sa musique, c'est essayer d'en faire une marque qui se vende indépendamment de ce qu'il chante. Pour vous en convaincre, réfléchissez à la valeur commerciale du remix d'Abba Hung Up s'il était chanté (aussi bien) par une cantatrice entre deux âges de Mâcon. En ce sens, le disque se contrefout de la musique. Ce n'est d'ailleurs pas neuf : c'est consubstantiel à cette industrie, qui s'est bâtie d'abord sur l'ambition de rentabiliser des brevets sur les phonographes, et enregistrait n'importe quoi du moment que ça faisait du son.
 
Quand les majors nous disent : "Comment voulez-vous, sans votre argent, que nous investissions sur des talents ?" ce qu'elles disent, en termes économiques, c'est : "Comment voulez-vous, si vous refusez de financer votre propre décérébration, que nous puissions encore demain vous convaincre que cette bouillie sonore est bonne pour vous ? "
 
En payant le prix exorbitant du disque, en alimentant la machine inflationniste  le public finance la propagande qui sert chaque jour à le convaincre que la musique, c'est avant tout ce qui s'entend sur Fun et NRJ, et rien d'autre.
 
A moyen terme, le public qui achète des disques fournit aux majors l'argent nécessaire pour le dégoûter à tout jamais de la musique.
 
Le spectacle vivant se réorganisera très bien sans les majors. La mort des majors accélèrerait en particulier la chute de la quinzaine de "tourneurs" (intermédiaires entre les maisons de disques et les salles de spectacles) qui asphyxient la scène française - encore un aspect méconnu du marché de la musique... Les 8000 employés se recaseront sans aucun souci. Les plus passionnés iront sur le Net dans un marché enfin concurrentiel. D'autres se recaseront comme commerciaux dans d'autres boîtes, avec sur leur CV la mention flatteuse d'avoir réussi à vendre très cher des excréments sous cellophane pendant des années.
 
Le disque devient un support annexe. Un modèle d'affaire "en ligne" n'en a pas besoin, ou alors juste en tant que produit promotionnel, ou au contraire produit "premium" de luxe, réservé aux fans, vendable par correspondance, ou commandable rapidement auprès des grandes surfaces spécialisées, obligées, faute de gros interlocuteurs, de faire du vrai commerce de détail (et pas du supermarché).
 
Le disque n'organise que sa propre survie : il n'est pas indispensable au spectacle vivant, ni à la diffusion télé, radio ou webradio. Il n'en n'est plus qu'un parasite ennuyeux.
 
Pour achever de convaincre nos politiques, déboulonnons le mythe du poids supposé du soutien des artistes pour gagner de supposées élections.
 
Rassurez-vous, chers parlementaires et chers candidats : ce poids est négligeable, voire nul. Les dépenses musicales restent avant tout des dépenses de loisir : hormis pour les "fans" purs et durs, ils se comportent avec eux comme avec des saltimbanques à qui l'on jette l'argent qu'on a en trop (même si c'est sous la forme d'un billet de 10 euros de plus pour acheter le disque de Camille à Carrefour, ce qui est la pratique d'achat de musique la plus courante en France). Saltimbanques : c'est dur à entendre, tant pour les artistes que pour les ... (et en tant que mélomane, ça me fait mal, car je tiens la musique pour la forme d'art la plus élevée qui soit). Mais c'est la réalité : une affiche en 4 par 3 avec Johnny recommande Sarko aurait en France davantage de risques de faire naître la polémique, et nuirait hautement à ces deux saltimbanques-là. Soutenu par la plus grande partie de la classe showbiz, John Kerry est arrivé derrière Bush, souvenez-vous.
 
Un dernier obstacle pourrait freiner nos parlementaires sur la décision d'euthanasier le disque : l'importante somme d'argent que les majors paient aux télévisions. Un esprit paranoïaque pourrait voir derrière la loi DADVSI la main de TF1 pour éviter de perdre la manne que représenteraient ces précieux annonceurs. A l'intéressante page 25 du non moins intéressant rapport du CSA, intitulé "Étude sur les relations entre TF1 et Métropole Télévision et la production phonographique", on découvre avec autant d'intérêt que d'effroi que les majors sont en effet constamment dans le top 10 des recettes publicitaires de TF1 et M6. En 2002, Universal engloutissait à elle seule 130 millions d'euros sur ces deux chaînes. Nos chers politiques auraient-ils peur de fâcher TF1, avant la grande ligne droite vers 2007 ?
 
Là encore, chers parlementaires, pas de panique! Les 9 autres annonceurs sont tous des lessiviers (Danone, Procter, Lever, Nestlé, Ferrerro, Henkel...) : ils auront tôt fait de combler le vide que laisseront les majors. Après tout, le temps de cerveau disponible (TCD) est un bien rare qui se vendra toujours très très cher.
 
Les parlementaires seraient bien inspirés de mesurer l'insignifiance totale de l'industrie du disque en termes d'emploi : leur poids économique (1 milliard de chiffre d'affaire) est une illusion : tout repart dans des poches obscures, et finance une industrie de l'intermédiation par essence inflationniste et de rareté organisée.
 
Voici donc le message au Parlement : vous pouvez sans aucun souci ruiner les majors, sans faire de mal à la musique ni à votre image, bien au contraire. Les auteurs et musiciens finiront par vous remercier d'avoir arrêté ceux qui les traitent comme des serfs. Ils se retrouveront enfin du côté du manche, avec un marché de la production phonographique moins arrogant et moins dévoreur de marges, au service du public et des créateurs.
 
Les vendeurs et fabricants de disque, qu'ils le veuillent ou non, sont des vendeurs de fiacres à l'heure de l'automobile. Le disque n'a pas créé la musique : il l'a juste exploitée. Rien à voir avec le cinéma, qui a créé un art nouveau. Le disque est une petite tumeur que la musique s'apprête à exciser de son corps.
 
Le vrai business, à venir, est celui de la musique en ligne. Quelle que soit la manière de la vendre (au forfait, en licence globale, à l'unité...) elle aura pour objectif non plus de produire un artiste à sensation (the "next big thing" comme disent les vieux producteurs) pour le vendre à 1 million de personnes, mais de produire en continu des centaines d'artistes nouveaux ou anciens qui plaisent à 5000 ou 10 000 personnes, 30 000 pour un grand succès. Le vrai producteur de demain est davantage une sorte de "supermanager", structure commerciale multifonctions, directement au service de l'artiste, qui peut même être l'artiste lui-même, au moins à ses débuts. C'est d'ailleurs le sens du rapport Cocquebert sur le financement de l'industrie du disque, remis en 2004 au ministre de la Culture, qui l'ignora superbement. Une des propositions était de créer un statut de "l'artiste producteur"... [["Grâce à l'évolution des outils informatiques, les artistes sont souvent en mesure de livrer des productions pratiquement achevées à leurs producteurs. À plus long terme, il est probable que l'accès direct à la distribution offert par Internet aux artistes producteurs conduise de plus en plus d'entre eux à produire leurs disques. Bon nombre d'entre eux ne mesurent pas la charge administrative générée par la création d'une structure de production et n'ont pas les capacités nécessaires pour assurer ne serait ce que la gestion administrative d'une société. Il serait donc intéressant d'étudier l'opportunité de mettre en place un statut fiscal, social et juridique simplifié, adapté à l'activité d'artiste producteur et pouvant évoluer facilement vers un apport en société si le projet se développe." page 4]
 
Méditons ces chiffres, chers parlementaires!
 
Tout ceci n'est qu'une affaire de reconversion industrielle. Pour que la musique en ligne vive, ne faut-il pas commencer par aider le disque à mourir ?


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And I looked, and behold a pale horse: and his name that sat on him was Death, and Hell followed with him. Revelations 6:8
n°8042023
drkarma
Old boy
Posté le 31-03-2006 à 22:37:04  profilanswer
 

avant de lire ton lien, je constate que Yahoo reprend des articles d'Agoravox.
pas mal :)

n°8042199
fils_de_la​_lumiere
Posté le 31-03-2006 à 22:57:09  profilanswer
 


comment c'est excellent ça :love:
 
c'est toi dans la vidéo?

n°8050305
the bulleu​r
Born to be alive ☺☺☺
Posté le 02-04-2006 à 00:08:19  profilanswer
 

Bon, je recentre, derniére news Ratatium http://www.ratiatum.com/news2998_S [...] _RATP.html
 
Ca va DL dans le métro...  :whistle:  (quoique...)
 
 

SFR propose son Wifi aux usagers de la RATP

 
 
SFR annonce un partenariat qui permet à l'opérateur de proposer un accès WiFi à ses abonnés qui voyagent sur les lignes de transport parisiennes de la RATP.
 
 
L'opérateur SFR annonce qu'il a signé un accord d'interopérabilité avec Naxos, la filiale télécom de la RATP en charge du déploiement de la technologie WiFi. "Les abonnés de SFR peuvent désormais se connecter à l'Internet haut débit sans fil, avec la technologie WiFi, au cours de leurs déplacements dans certains transports en commun parisiens", annonce ainsi l'opérateur. Sont concernées la ligne de bus 38, ainsi que les lignes A et B du RER. Certaines grandes stations telles que la gare Montparnasse, Saint Lazare, ou encore Châtelet, sont également couvertes.

 
Et le débit?!  :??:  
 
Côté tarifs, SFR propose trois formules, de 3, 8 ou 15 euros pour respectivement 20 minutes, 1 heure et 3 heures de connexion Va faloir optimiser niveau tarifs  [:groody] . Son concurrent Orange, qui dispose également d'un partenariat avec Naxos depuis le 1er mars 2005, propose lui une offre destinée à de plus gros consommateurs, avec des forfaits qui commencent à 10 euros pour 2H de connexion et vont jusqu'au Pass 30 jours à 120 euros. Bouygues, le mauvais élève du WiFi, ne propose qu'un seul forfait de 2H à 15 euros, et une offre libre à 0,25 € la minute...

Message cité 1 fois
Message édité par the bulleur le 02-04-2006 à 10:45:25

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http://www.flickr.com/photos/88605
n°8058390
fils_de_la​_lumiere
Posté le 03-04-2006 à 00:15:21  profilanswer
 

payer internet à la durée :lol:
 
bienvenue en 1996 :sarcastic:

n°8060277
mr_qno
Posté le 03-04-2006 à 09:58:50  profilanswer
 

fils_de_la_lumiere a écrit :

payer internet à la durée :lol:
 
bienvenue en 1996 :sarcastic:


 
En plus à des tarifs super intéressants [:dawa] .

n°8061205
Z_cool
HFR profile rating:⭐⭐⭐⭐
Posté le 03-04-2006 à 12:16:41  profilanswer
 

Pour ma part, j ai utilise un acces wifi proposé pas T-Online depuis un hotel.
 
ca m avait couté 15€/3H
pour 20€, c estait 24H il me semble.
 
enfin ca fait quand meme chere je trouve.
 
Je me rappel plus trop, mais il me semble que si  javais eu T-Online comme Provider, ca aurrait ete beaucoup moins chere

n°8061960
mr_qno
Posté le 03-04-2006 à 13:45:33  profilanswer
 

Z_cool a écrit :

Pour ma part, j ai utilise un acces wifi proposé pas T-Online depuis un hotel.
 
ca m avait couté 15€/3H
pour 20€, c estait 24H il me semble.
 
enfin ca fait quand meme chere je trouve.
 
Je me rappel plus trop, mais il me semble que si  javais eu T-Online comme Provider, ca aurrait ete beaucoup moins chere


 
Faut bien rembourser les lourdes infrastructures Wi-Fi après tout  :ange: .

n°8066135
drkarma
Old boy
Posté le 03-04-2006 à 21:27:53  profilanswer
 

fils_de_la_lumiere a écrit :

payer internet à la durée :lol:
 
bienvenue en 1996 :sarcastic:


 
 
moi je ne trouve pas ça choquant.
 
Tu ne paye pas un simple acces Internet. Tu payes un autre service. Celui d'avoir le net mobile et qui plus est, pas plus grand qu'une main, et dans un moment de ta journée habituellement gaspillé (quoique moins depuis l'explosion des baladeurs et les journaux gratuits).
 
C'est donc un service totalement nouveau, c'est normal qu'au début ça se paie au prix fort. Dans 3 ans, quand cette pratique sera bien répandue, je doute que 3 euros pour 20 minutes soit encore le tarif en vigueur.

n°8081390
peace_ange​lh
Monopole, monoculture, dangers
Posté le 05-04-2006 à 13:35:09  profilanswer
 

Mais vous n'y êtes pas du tout !  :non:  
Ce sont les majors qui ont demandé a ces nouveaux FAI de mettre un prix dissuasif afin de ne pas encourager le P2P dans les transports en commun c'est tout ! :sarcastic:


Message édité par peace_angelh le 05-04-2006 à 13:35:45
n°8081531
the bulleu​r
Born to be alive ☺☺☺
Posté le 05-04-2006 à 13:50:54  profilanswer
 

Vi t'as raison, stun complot des majorts commandée par les chinois du éfbihaille... [:spamafote]


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http://www.flickr.com/photos/88605
n°8084565
wilka91
Murders and Executions
Posté le 05-04-2006 à 19:31:30  profilanswer
 

the bulleur a écrit :

Bon, je recentre, derniére news Ratatium http://www.ratiatum.com/news2998_S [...] _RATP.html
 
Ca va DL dans le métro...  :whistle:  (quoique...)
 
 

SFR propose son Wifi aux usagers de la RATP

 
 
SFR annonce un partenariat qui permet à l'opérateur de proposer un accès WiFi à ses abonnés qui voyagent sur les lignes de transport parisiennes de la RATP.
 
 
L'opérateur SFR annonce qu'il a signé un accord d'interopérabilité avec Naxos, la filiale télécom de la RATP en charge du déploiement de la technologie WiFi. "Les abonnés de SFR peuvent désormais se connecter à l'Internet haut débit sans fil, avec la technologie WiFi, au cours de leurs déplacements dans certains transports en commun parisiens", annonce ainsi l'opérateur. Sont concernées la ligne de bus 38, ainsi que les lignes A et B du RER. Certaines grandes stations telles que la gare Montparnasse, Saint Lazare, ou encore Châtelet, sont également couvertes.

 
Et le débit?!  :??:  
 
Côté tarifs, SFR propose trois formules, de 3, 8 ou 15 euros pour respectivement 20 minutes, 1 heure et 3 heures de connexion Va faloir optimiser niveau tarifs  [:groody] . Son concurrent Orange, qui dispose également d'un partenariat avec Naxos depuis le 1er mars 2005, propose lui une offre destinée à de plus gros consommateurs, avec des forfaits qui commencent à 10 euros pour 2H de connexion et vont jusqu'au Pass 30 jours à 120 euros. Bouygues, le mauvais élève du WiFi, ne propose qu'un seul forfait de 2H à 15 euros, et une offre libre à 0,25 € la minute...


 
je pensais que c'etait un poisson d'avril!
 
vu que de toute facon il suffit d'avoir un telephone portable pour pouvoir surfer sur le net.


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I'm into, well, murders and executions ... I mean mergers and acquisitions.
n°8114720
el_boucher
Posté le 09-04-2006 à 10:39:24  profilanswer
 

je fais une présentation orale en Anglais sur le p2p dans la semaine...
 
est-ce que vous auriez un lien vers un site faisant un peu le point sur la situation au niveau du p2p ? (j'ai déjà pas mal d'infos plus ou moins éparpillées...j'aimerais une vision globale...)
 
sinon, tout point de vue cherchant à lier le phénomène p2p et la sociologie m'intéresserait vraiment ?
 
merci d'avance si quelqu'un peut m'aider !


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"This snake-skin jacket is the symbol of my individuality and my belief in personal freedom" - Saylor
n°8114922
Magicpanda
Pushing the envelope
Posté le 09-04-2006 à 11:43:34  profilanswer
 

http://gdrtics.u-paris10.fr/pdf/do [...] auphin.pdf


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" Quel est le but du capital ? Le but du capital c'est produire pour le capital. L'objectif, lui, est illimité. L'objectif du capital c'est produire pour produire." - Deleuze || André Gorz - Vers la société libérée
n°8115125
el_boucher
Posté le 09-04-2006 à 12:25:59  profilanswer
 

salut !
 
tu connais les deux personnes qui ont écrit ce papier ?
 
je viens de le lire, c'est vraiment pile-poil ce que je recherchais :) (je suis pas d'accord avec tout mais ya pas mal d'idées à explorer en tout cas...)
 
par contre, pas terrible l'orthographe pour un travail universitaire...
 
si tu veux me filer plus de précisions sur l'origine de cela (contexte, devoir ? , niveau des auteurs...etc) par MP, c'est cool !
 
PS: je te montrerais le boulot que j'aurais fait quand ça aura un peu avancé ;)
 
merci beaucoup en tout cas !


---------------
"This snake-skin jacket is the symbol of my individuality and my belief in personal freedom" - Saylor
n°8385054
peace_ange​lh
Monopole, monoculture, dangers
Posté le 12-05-2006 à 12:10:09  profilanswer
 

Vous avez vu ce qui est finnalement passé (en fait rien ne change par rapport à aujourd'hui !  
 
Principale innovation : l'introduction d'une autorité administrative indépendante chargée de traiter tous les conflits suscités par les mesures techniques de protection, et notamment de définir le nombre de copies privées autorisées. Mais aussi de favoriser l'«interopérabilité», et donc la possibilité pour une oeuvre d'être lue sur tous les supports et tous les logiciels, tout en respectant les secrets industriels des Microsoft et autres Apple, qui commercialisent ces verrous. :lol:  
 
C'est Micro$oft et Appl€ qui vont être content ! :pfff:
 
http://www.liberation.fr/page.php?Article=381431
 
http://www.zdnet.fr/actualites/int [...] 759,00.htm  
Projet Dadvsi: les sénateurs se rangent aux demandes d'Apple


Message édité par peace_angelh le 12-05-2006 à 14:28:02
n°8484717
matpclsm
Posté le 23-05-2006 à 20:09:14  profilanswer
 

le topic se meurt... en fait, débat clos ???

n°8487142
Profil sup​primé
Posté le 24-05-2006 à 00:34:32  answer
 

matpclsm a écrit :

le topic se meurt... en fait, débat clos ???


 
Oh que non...
Car selon toute logique, si les ventes de CDs ne redécollent pas ces prochains mois, il faudra encore durcir le durcissement :sarcastic:

n°8489574
matpclsm
Posté le 24-05-2006 à 11:53:03  profilanswer
 

ya plus ka attendre un miracle koi. Les Français sont pas connus pour leur dicipline...

n°8499976
Roi de Yam​imakai
Posté le 25-05-2006 à 13:20:21  profilanswer
 

Voilà une news que je trouve assez hallucinante, elle nous vient de PCInpact.com.
Cela montre bien la mauvaise foi que fait preuve la Riaa (et consort) et la manière dont nous sommes manipulés, pour que ces "gros" s'engraissent encore plus.
 
"Voilà des recherches intéressantes menées par ce blogger. Face aux chiffres souvent démesurés avancés par la RIAA lorsqu'il s'agit d'évoquer les ravages économiques des contrefaçons, l'intéressé a mené sa petite étude.
 
Lorsqu'il s'agit d'attaquer un internaute, l'association des majors américaines indique souffrir d'un préjudice de 150 000 dollars par morceaux de musique. On peut le voir encore avec la récente affaire XM Satellite. La RIAA part du principe, contesté, que chaque morceau téléchargé est un morceau qui n'est pas acheté. Et l'organisme d'estimer que le piratage lui cause 300 millions de dollars par an de dommages, rien qu'aux États-Unis (voir ce communiqué). Ce qui fait plus ou moins 2000 morceaux téléchargés annuellement, chiffre pour le moins problématique.
 
Pour son étude, le blogger a rédigé un petit logiciel pour connaître le vrai coût du piratage, version Riaa. Sa création scrute les liens .Torrent disponibles en janvier 2006 sur le site ThepirateBay.org. En janvier 2006, donc, il y aurait eu selon lui 2370 liens torrents vers des fichiers musicaux postés. En tenant compte du nombre moyen de morceaux par albums, du nombre de personnes ayant téléchargé ces liens .Torrent, il obtient 76 272 931 violations des droits, pour seulement un mois. En tenant compte du préjudice subi par la RIAA au regard de chaque morceau « piraté », ce n'est pas moins de 11 440 939 650 000 dollars qui partent en fumée, là encore chaque mois.
 
Si l'on analyse la situation à l'échelle de l'année, la planète(*) enregistre un PIB de 44 433 002 millions de dollars pour 2005. Une somme qui serait ridicule par rapport aux pertes enregistrées par la RIAA sur l'année. Avec « un morceau = 150 000 dollars de coûts », elles dépasseraient de loin le PIB global de tous les pays de la terre cumulés. On sait que les .Torrent finissent dans les océans, mais l'expression « que d'eau que d'eau » sonne parfois bien juste.
 
* du moins les 180 membres du FMI"
 
"C'est beau."
 
 
[scuse pour le modo d'avoir créé un topic ^^]
 
 
 
 
edit: j'ai lu quelques posts au début du topic ptdrrrrrrrrrrrrrr
allez j'apporte ma contribution :"le pay2pay cai male, pis le capitalisme cai bieng, etc"  
bref... je sens les modos poindre le bout de leur nez, passons.


Message édité par Roi de Yamimakai le 25-05-2006 à 13:26:29
n°8500002
7063
Non Mollare Mai
Posté le 25-05-2006 à 13:26:04  profilanswer
 


Et ils redécolleront c'est une évidence :jap:
 
Au pire ils changeront le mode de calcul, compteront pour 2 CD les double albums, ils mettront dans la catégorie musique les DVD musicaux, mettront tout et n'importe quoi en oeuvre pour montrer que leur combat fonctionne et qu'il faut continuer dans ce sens.
 
Cf la sécurité routière, la méthode de comptage des tués sur la route :bien:

n°8500011
Roi de Yam​imakai
Posté le 25-05-2006 à 13:26:55  profilanswer
 

MAIS C EST PHILIPPE DE VILLIERS O____O

n°8500290
the veggie​ boy
Who's taking my Lorazepam?
Posté le 25-05-2006 à 14:15:28  profilanswer
 

MAIS C EST ERNESTO GUEVARA ... :sleep:


---------------
blacklist
n°8500313
Roi de Yam​imakai
Posté le 25-05-2006 à 14:19:09  profilanswer
 

(ben ouais ! sacré contraste avec villiers hein ! mais là n'est pas le débat)
 
le gros délire de la Riaa ne semble pas provoquer plus d'émoi que ça o_o

n°8504155
Mine anti-​personnel
Posté le 26-05-2006 à 00:07:03  profilanswer
 

Article du Monde:
 
http://www.lemonde.fr/web/article/ [...] 539,0.html

Citation :


Le président de la MPAA, Dan Glickman, devait rencontrer cette semaine à Cannes le ministre de la culture, Renaud Donnedieu de Vabres, pour discuter piratage, et notamment l'alerter sur les faibles sanctions ou amendes infligées par la France à l'encontre des contrevenants.


 :lol:  
 

Citation :

Les réseaux peer to peer (P2P) classiques (eDonkey2000/eMule, Gnutella/Ares, Kazaa/FastTrack, BitTorrent/Azureus, etc.) sont maintenant systématiquement envahis par des fichiers-leurres, et l'on n'accède plus que rarement à une version regardable des films. Il est de plus en plus fréquent de se retrouver en fin de téléchargement devant un navet porno, un fichier de format inconnu ou, maigre consolation, la bande-annonce du spectacle convoité.


Ah bon, pas remarqué  :??:


---------------
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