Reprise du message précédent :

 
 
j'ai acheté ce matin le parisien car il parlait de la soit disant derive d'internet. J'ai du mal a la voir.  
 
Voici en gros ce qu'ils disent.
 
- depuis 1996,   270 000 sites pedophiles recenses dont  40 000 payants.

 
C'est quoi ces chiffres à la con ?
270.000 sites pédophiles ça veut dire quoi ? Qu'est-ce qu'ils considèrent comme sites pédophiles ? C'est sur la France, l'Europe, le Monde ?

 
autre question
pourquoi il cite une de mes interventions qui n'a rien a voir avec la choucroute

 
Ben si tes interventions n'ont rien à voir avec la choucroute, faut pas les poster

 
   
le passage qu'il cite n'a rien a voir avec les sites pedophiles ou les trucs du genre.
franchement je comprend pas pourquoi il me cite

 
En effet

 
 
http://www.leparisien.com/home/inf [...] =241026291
 
 
LA DELINQUANCE SEXUELLE 270 000 sites pédophiles recensés  

 
parce que c'est ce cette ingredient de cuisine qui a été rajouté pour faire passer la recette (LEN).

 
et ça va ? t'arrives à dormir la nuit ?  

tiens un petit article sympa dont je viens de croiser la route en passant : http://www.cnn.com/2002/SHOWBIZ/Mu [...] index.html
 
 
 
 
pour les non-anglicistes : http://babelfish.altavista.com/

Personnellement, je pense que si tant de personnes téléchargent de la musique, c'est d'abord, parce-que le Net le permet. Désolé, hein !  
En outre, le prix des... "productions" est prohibitif. Surtout si on le compare à la... "qualité" des produits actuellemnt pondus.  
 
En effet, les REprises, les REmix, les REmasteurisarions et le RE-réchauffages de soupes déjà servies, ne valent pas le prix demandé pour un CD rom. Je pense que les amateurs de  musique, n'ont pas à payer l'incontestable vide créatif, qui frappe depuis longtemps, le monde de la chanson. Il y a quelques mois, l'artiste Goldman, traitait carrément de voleurs, ceux qui téléchargent de la musique sur le Net, sans rien payer.
 
A titre d'exemple, un cours d'anglais interactif et complet, avec dictées, exercices,corrections, micros et écouteurs est vendu à moins de trente €. A combien les simples plaques du Sieur Goldman sont-elles vendues.
Eh oui, Jean-Jaques... les voleurs, ne sont pas toujours ceux que l'on désigne...

 
Pardon ?    
 
Prodigy

 
 
http://www.leparisien.com/home/inf [...] =241026291
 
 
 
regarde à la 8 eme ligne en partant du bas.  
 

>>> samedi 29 à 14h manifestation a paris contre la LEN (départ place colonel fabien) <<<
 
a votre avis ca sert vraiment a qqchose d'aller manifester ?  

 
non  

 
40.000 sites pédophiles payants, avec pignon sur rue ?    
 
Et personne n'aurait rien fait ?    
 
Prodigy

 
ce samedi je travaille pas,  je vais pouvoir y aller.

 
 
ils attendent 1 er juin 2004 date officielle de la mise en application de la LEN      

http://www.liberation.fr/page.php?Article=208343
 
Indignation contre une pub menaçant de prison les adeptes du «peer-to-peer».
 
Musique sur le Net: artistes et public unis contre la répression
 
Par Florent LATRIVE
 
lundi 24 mai 2004 (Liberation - 06:00)
 
Tir de barrage sur la croisade des producteurs de disques contre l'échange gratuit de musique via l'Internet. A peine trois semaines après le lancement de leur campagne de publicité menaçant les millions d'utilisateurs français de peer-to-peer de poursuites judiciaires (Libération du 5 mai), un collectif d'organisations d'artistes et d'associations dénonce la «campagne indécente et irresponsable du Syndicat national de l'édition phonographique (Snep) qui insulte et menace 20 millions d'internautes». Selon nos informations, un communiqué commun ­ signé tout à la fois par des sociétés de gestion des droits des artistes-interprètes, des associations de consommateurs et familiales (1) ­ doit être rendu public aujourd'hui ou demain. Sous le titre «Artistes et public disent non au tout-répressif», cette déclaration place désormais les producteurs en porte-à-faux avec certaines des plus importantes associations françaises (la Ligue de l'enseignement compte 1,8 million d'adhérents) et une partie des acteurs de la filière musicale.
 
Avertissement. C'est bien la campagne du Snep, inaugurée le 4 mai sous forme de pleines pages de pub dans la presse, qui a déclenché la bronca : on y voit une main stylisée le majeur dressé (symbolisant avec élégance l'internaute qui fait un doigt d'honneur aux maisons de disques), puis la même main en prison. Cet avertissement se veut le dernier avant l'offensive judiciaire : affirmant que le téléchargement gratuit de musique via le Net est la principale cause de la crise du disque (- 15 % des ventes de gros en 2003), le Snep rappelle que «la musique gratuite a un prix» et que le piratage est puni de peines allant jusqu'à trois ans de prison et 300 000 euros d'amende. Les premières vagues de plaintes sont annoncées pour les semaines à venir, sur le modèle américain : le cousin du Snep outre-Atlantique, la Recording Industry Association of America (RIAA), a poursuivi plus de 2 500 personnes depuis septembre. Et les Américains ont pris l'habitude de voir des retraités et des adolescents envoyés devant les tribunaux.
 
«L'industrie du disque va trop loin, c'est indécent, excessif et vulgaire», dénonce Xavier Blanc, le directeur des relations juridiques de la Spedidam, qui gère les droits d'une partie des artistes-interprètes. Le communiqué critique «une vision archaïque de l'Internet qui prétend éradiquer les échanges de fichiers (peer-to-peer) alors que ce mode de diffusion en plein développement peut être une source de progrès et de diversité pour le public mais aussi pour les artistes». Il fustige aussi «une logique purement répressive qui ne peut que détériorer durablement les relations entre les artistes et leur public».
 
Les organisations signataires ne sont pas pour autant pour la «gratuité des échanges», mais plaident pour des «solutions innovantes, acceptables par tous, pour favoriser l'émergence de nouveaux modèles économiques». Sans pour l'instant s'engager sur des pistes concrètes, même si l'idée d'une forme de taxe prélevée sur les abonnements à l'Internet pour rémunérer les auteurs, artistes et producteurs suscite un intérêt grandissant (lire ci-dessous).
 
«Fléau». Cette alliance entre les artistes-interprètes et le public risque aussi de mettre le gouvernement en difficulté. Les signataires exigent que leur voix «soit entendue [...] alors que n'est actuellement écoutée que celle des industriels». Une allusion directe à la politique menée par l'ex-ministre de la Culture Jean-Jacques Aillagon et son successeur Renaud Donnedieu de Vabres, qui cèdent à toutes les demandes des maisons de disques. A leur demande, le gouvernement pousse une refonte de la loi informatique et libertés qui autorise des organismes privés à établir des fichiers de fraudeurs présumés, prérogative jusque-là réservée à la puissance publique. Et un projet de loi sur le droit d'auteur entérinant la mise en place de dispositifs anticopie sur les CD et restreignant la copie privée (la possibilité de dupliquer de la musique pour son usage personnel) doit être présenté à l'Assemblée nationale mi-juin. La semaine dernière, Jacques Chirac a évoqué le «fléau» de la piraterie, critiquant de la même façon les ateliers sauvages de gravage d'Asie du Sud-Est et les échanges de fichiers sur le Net.
 
Face à ce discours martial, les signataires demandent «l'arrêt immédiat des pressions et menaces fondées sur des poursuites judiciaires à l'encontre des internautes tant qu'un vrai débat n'aura pas eu lieu et que des solutions innovantes n'auront pas été proposées».
 
(1) Côté «artistes-interprètes» : Adami (Société civile pour l'administration des droits des artistes et musiciens interprètes), Spedidam (Société de perception et de répartition des droits des artistes interprètes de la musique et de la danse), Syndicat français CGT des artistes-interprètes, Snam (Syndicat national des artistes musiciens). Côté «public» : UFC-Que Choisir, CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), Ligue de l'enseignement, Unaf (Union nationale des associations familiales).

 
Pour reprendre une phrase de l'article
 

 
On va vraiment laisser ceux là prendre des décisions qui nous conernent ? Comme d'hab, l'internaute n'est pas consulté.

 
+1, je ne comprends pas ce qu'on attend, là
 
Je sais bien que la plupart de ces sites sont dans des pays peu regardant, mais quand même

 
Il faudrait leur envoyer l'armée américaine (les memes qu'en irak ), ça leur couperait l'envie

 
La pédophilie est légale dans certains pays ?    
 
Prodigy

 
Je n'ai pas dit qu'ils étaient hébergés dans des pays où c'est légal (d'ailleurs il ne doit pas y en avoir et c'est tant mieux), mais dans un pays où la répression est plutôt légère, voire inexistante. Et d'autant plus inexistante que tu es riche et/ou membre d'une puissante mafia...

 
Tu as une source ? Ca m'interesse.

 
dans des pays comme la tailande je pense que oui ou alors que les autorites s'en foutent un peu

 
 
 
Ce qui est en gras, explique bien que le programme ZOMBIE DE CONSOMMATION est en marche.

Y'en a qui sont interdits d'image, d'autres interdits de signature, faudrait songer à interdire a F18 l'expression zombie de consommation.
 
Ceci bien sur en vertu de la nouvelle loi len, la loi fasciste des majors qui veulent tuer internet en nous mettant des prises usb dans le dos pour nous faire acheter des sonneries nokia

F18, je vois pas les zombies dans ton message.
 
Moi ce que je vois, c'est un collectif regroupant des associations de consommateurs et des société de gestion des droits musicaux qui annoncent fort et clair que le gouvernement leche les bottes des grands patrons de la distribution actuelle de musique.
 
Perso, je ne considère pas ça comme une définition correcte du terme zombie.

 
 
Et moi ce que je vois, c'est que la LEN faite pour transformer internet en Centre Commercial Virtuel. ( internet avec la LEN deviendra : t'es la pour acheter et tu la fermes ou tu degages )

 
non
 

 
oui, enfin, ils manquent un peu de moyens
 
Mais par contre, j'ai déjà vu la police thaïlandaise à l'oeuvre pour arrêter tous les vendeurs de CD gravés dans une rue très fréquentée, eh ben ils plaisantent pas

 
et puis il doit y avoir pas mal de corruption

 
Clairement. Quoique pour la corruption, ma palme personnelle revient à la police philippine. Pas mal de pédophiles là-bas s'en sortent sans rien grace à quelques billets.
 
Par contre, quand la justice philippine tape vraiment, elle tape fort.
 
(Désolé on s'éloigne du sujet, là )

Le syndicat de l'edition video confirme que ses chiffres ne prennent pas en compte toutes les ventes, et qu'il ne faudrait donc pas les utiliser pour leur faire dires des choses (sur les baisses des ventes) qu'on ne peut pas en tirer:
 
http://www.dvdfr.com/news/news.php?id=2709
 
A+,

[ A sa demande, posté pour Ciler, qui ne peut intervenir, car  actuellement ]
 
Je trouve amusant que cette nuance stock/vente reapparaisse. Ce n'est pas la meme nuance qu'avait souligne Nielsen dans une etude aux USA, mais pour les ventes de disques ?  
 
A+,

 
 
Bon, il fallait bien remettre les choses à leurs places.

 
C'est quoi acutellement teletubbies ???
 
Sinon, oui, c'est bien de ça dont on a parlé récement pour les CD aux US.

 
Il s'est fait virer temporairement par ce qu'il/elle...
 
 

Les ventes de disques annoncées par le SNEP en France sont fausses, puisque ne tenant pas compte des ventes sur le web :
http://www.disqueenfrance.com/actu [...] 2003_4.asp
 

 
Reste à savoir combien de CD sont vendus par le net "français" (amazon, alapage, cdiscount, fnac...)
 
Je remonte cette très bonne intervention de ma part , malheureusement noyée quelques pages en arrière.

 
 
Euh, arrêtez d'utiliser des smileys, il ou elle quoi ???

 
elle est TT parce qu'elle a refusé les avances d'un modo  
 
edit :  
En fait il est chez les TT.
c'est une sanction qui fait que tu peux lire le forum mais a chaque fois que tu poste tu es rediriger vers le site web des teletubies