Reprise du message précédent :

On s'en fout de la marque, il peut même y avoir moins de différences entre 2 enceintes de marques différentes que de même marque (grande variété de modèles).
Ce qui compte c'est la "compatibilité électrique" entre l'enceinte et l'ampli, et dans le cas d'un HC (donc plus que 2 enceintes stéréo) faut voir si tu peux ajuster le niveau sonore de la centrale indépendamment du reste ce qui est possible avec un ampli HC classique (mais je ne connais pas ton système).
A noter qu'il ne faut pas sous-estimer la qualité de l'enceinte centrale en HC : si c'est une enceinte toute pourrie, ça vaut pas le coup de la récupérer.

 
j'ai investi dans un ampli marantz d'occasion et effectivement il y a la possiblité de régler l'enceinte centrale ! La centrale est de marque "Celestion" ... je verrai bien à l'usage

 
Enorme +1 j'ai fait cette erreur quand j'avais encore mon HC. La centrale reproduit les voix et c'est tellement important pour des raisons évidentes

 
Je dirais de taper juste dans la gamme au dessus de "la moins cher" histoire que ce soit pas un jouet en plastique qui vibre de partout et ou tu peux même pas changer la cellule.
Dans les ~230€ en neuf y a des trucs.
Sinon +1 pour l'occaz

En "le moins cher possible" tout en étant upgradable, j'ai vu la project primary E ou la Elispon alpha.
Après, c'est clairement un caprice... J'aime l'objet, j'aime le côté un peu design et rétro, le côté régressif de mettre mon disque, mais ce ne sera clairement pas ma source principale...
Du coup, je suis pas certain que ca vaille le coup, mais j'ai envie
 
Je dirai pas non plus que je regarde éventuellement un caisson kef Kube pour coupler aux LSX
 

 
Oui voilà, c'est ce que j'avais en tête.
 
Perso j'achetais toujours les CD des albums que j'aime, par principe, et j'arrive vraiment pas à payer pour du démat.
Ca en devenait ridicule dans le sens ou j'ai même pas de lecteur CD audio  Du coup maintenant j'achète le vinyl, c'est un bel objet, petit rituel pour la lecture de temps en temps, avec des éditions ""rare"" quand j'ai l'occaz, mais oui sinon pour la qualité de la source wala ..

Si je devais faire dans le régressif, étant de la génération vinyle et n'ayant en conséquence aucune intention de retrouver les emmerdements d'une platine TD et d'une discothèque de LPs 37 ans après avoir largué tout ce bazar avec soulagement, j'irais vers ça :
 

 
Design, rétro, ça coche toutes les cases. Mais je n'ai pas de tendances à la régression donc je vais rester sur le démat'.    

D'ailleurs c'est étrange que personne n'est sorti le véritable phonographe d'antan.
Fabriqué main comme à l'époque avec un son authentique

Tout à fait, il est étrange que personne ne l'ait sorti, surtout un gramophone avec des rouleaux de cire .

Moi j'ai encore celui de mon arrière grand père, la Voix de son Maître, avec la boîte d'aiguilles et tout et tout. Autour de 1890, je dirais. Il marche encore, mais il avait pas des goûts très sûrs, vu la jolie collection de disques qui accompagne l'engin, rien de bien fameux. Chaque disque pèse une tonne et ça casse comme du verre.

Le son est bien cracra, et le rituel est encore plus savoureux que pour les 33T, les tours de manivelle, quelle extase !

Mais jamais un idiophile n'aurait envie d'un tel engin, ils ne pourrait plus se délecter du son moelleux des câbles là-dessus.

Du coup, faut que j'aille dans le topic idiophile avec mes envies de vinyle, ou c'est passe encore ici?

C'est idiophile uniquement si tu penses que le vinyle c'est de la haute fidélité, et que c'est bien plus fidèle que le format CD.
Ici c'est le topic de la pure Hi-Fi, donc ça n'a pas vraiment sa place
Mais il y a un topic dédié https://forum.hardware.fr/hfr/Video [...] 5065_1.htm

 
Perso, j'en ai un, en super état de conservation, un modèle assez sympa avec pavillon externe et pavillon de nuit interne et plus petit, avec des boites d'aiguilles, une petite collection de 78T, le son est assez étonnant, sans être de la haute fidélité, le son est loin d'être cracra.

 
Le vinyle peut être de la haute fidélité dans des conditions drastiques que peu de particuliers peuvent se permettre, en particulier à cause de la poussière. J'avais construit il y a une quinzaine d'années une machine à laver les vinyles, ça fonctionnait vraiment très très bien, avec une bonne platine et une cellule descente, j'avais d'excellents résultats.

Il y aura toujours à redire ...
Tout comme on saura dans disons, 20 ans, trouver ce qui se disait de nos jours totalement idiophile
C'est comme ça, moi, j'ai arrêté tout ça

 
Oui, il ne faut pas oublier que les vinyles ont été le support une véritable révolution culturelle dans les années 60. Et pour le coup, c'était une avancée majeure par rapport à ce qui se faisait avant.

Les tubes de cires aussi en leurs temps.

 
Eh bien j'ai un ami qui a une collection incroyable de limonaires, de tableaux animés, enfin, des choses de ce genre. Il a un cylindre d'Edison avec quelques rouleaux, le son est moins bon qu'avec un phonographe, mais c'est déjà tellement moderne pour l'époque, c'est fascinant !

Ça plafonne à 60 dB de dynamique quand la platine est HDG et le disque neuf et de qualité... C’était la hi-fi en 1960, mais aujourd’hui c’est moins hi-fi par nature qu’un CD ou un MP3 320, n’en déplaise aux nostalgiques. Après ça peut avoir un son sympa, chaleureux et un peu doux, à cause justement de la disto et de la dynamique poussive.  
 

Haskil, un forumeur plutôt calé sur HCFR, racontait que Cabasse faisait ses démos de HP à la grande époque sur des bandes (reel to reel), qui était une source bien plus fidèle que le vinyle de l’époque (c’est d’ailleurs avec ça qu’on faisait les masters)...

 
Moi ça me va. En tous cas, je trouve souvent en brocante des vinyles qui n'ont jamais été réédités et pour les opéras, c'est tout de même très pratique d'avoir un livret pas format timbre poste et avec des photos qui n'existent pas sur les jaquettes de CD.
 

 
Mais qui avait ce matos dans les années 60 ??? Par contre tout le monde ou presque avait une platine, un mange-disque ou un truc dans le genre.

C’est sûr que c’était un magnifique objet. Avec une belle pochette, des grandes photos et un livret bien plus lisible et pratique... après ça prenait de la place...
 
 

J’avais un mange-disque bleu quand j’étais enfant dans les années 80
Et oui le R2R n’étais pas pour tout le monde. C’est juste pour dire que le vinyle n’a jamais été un support parfait. Et en tous les cas on ne peut pas le considérer comme « hi-fi » en 2021. Un flux Spotify compressé sera plus hi-fi par nature qu’un vinyle en parfait état sur une platine à 20k€... Just science...

 
Ca l'est toujours ! Bien que j'aie à peu près toute ma musique sur un NAS, je ne résiste pas à un bon vinyle en bon état avec une belle pochette pas décolorée.
 

 
Moi rouge.

Je ne résiste pas à mordre puis violer une belle fille les cheveux en bataille vêtue d'une peau d'ours et un os dans le nez.  

Oui, ça fait du bien, le retour aux ours.

Belle, belle... ça dépendait de la pochette. Y'a eu de ces horreurs, quand même. Et jeureusement que je n'ai jamais écouté de classique (au sens large) parce que les pochettes kitschouilles avec de la dorure façon boîte de chocolat Carrouf... Mais grandes, oui, elles l'étaient. Solution pour les fétichistes : n'acheter que des vinyles en état pourri à très bas prix, jeter le disque et mettre le CD à l'intérieur.  
 
Quant aux livrets, ils auraient été plus lisibles s'ils avaient existé, mais à l'époque du LP roi, tu t'estimais déjà très chanceux quand t'avais les paroles. Les livrets copieux avec détail des sessions, liste du personnel, discographie, petit essai illustré de photos etc. c'était le gros bonheur du CD à partir des années 90.

Ouiche, et comment. Les vrais livrets, bourrés de photos, paroles, et autres infos sont apparus et se sont généralisés avec le CD.  
Dans quelle planète vivaient donc les fétichistes du vinyle... ? Moi je vivais dans celle des entubés: magasins de 33 T souvent déjà ouverts et déballés (passés au moins une fois chez un client ou écoutés en magasin (*)), traces de doigts sur vinyles vendus comme neufs et souvent gondolés et mal pressés; quant à leur supprimer craquements avant de les enregistrer tu pouvais te gratter.
 
(*) certains magasins avaient un appareil pour ré-emballer sous plastique les 33 T ouverts pour un client précédent...

 
C'est tout de même un peu cliché  

 
C'est bon comme ça, ou je passe toute ma collec, parce que là, j'ai juste pris les premiers qui venaient...
 

 

 

 

 

 

 

 

Et j'ose aussi vous rappeler que dans le Sergent Pepper, il y avait les masques à découper pour se déguiser, en version CD, ça le faisait moins...

Oh là là, tu vas faire quoi avec ta collec le blaireau ?  
Me démontrer que l'époque des vinyles était bourrée de livrets inclus ?  
 
Hé c'est à un vieux singe que tu parles. J'ai +/- le même âge que Borabora. J'en ai eu des vinyles moi aussi, pas tant de très belles et onéreuses coll de classique ni opéra, mais les livrets extrêmement denses en pages ne se sont généralisés/systématisés que depuis le CD.  
Faut arrêter le jus de chaussettes à l'opium bonhomme.
Le monde du vinyle ce n'est pas que tes collections de classique et de grands vendeurs. Y avait quasiment jamais de livret dans les éditions d'auteurs de musiques populaires d'Amérique centrale/sud, Italie, Caraïbes, France, Espagne, proche/moyen orient depuis les balkans (j'en sais rien pour l'orient/extrême orient).  

oui, les enregistreurs a bande avaient un niveau de bruit plus faible et une meilleure dynamique, avec de bonnes bandes, que les autres systèmes. ça marchait très bien.
il doit rester ici ou là quelques trésors jamais numérisés qui finiront à la poubelle, hors ceux qui y sont déjà passés, faute de lecteur de bande ou même de gens qui sachent ce que c'est.
 

bin un audiophile averti, et pas trop pauvre parce que l'appareil et les bandes coûtaient cher (en plus d'être fragiles et de prendre beaucoup de place).  
donc quand les enregistreurs stéréo a cassette se sont popularisés tout le monde en a prit, les cassettes de bonne qualité étaient bien plus abordables (et moins encombrantes).

 
Déjà, tu vas me parler correctement, ça sera pas mal.
Ensuite, tous ces disques datent plus ou moins de l'époque de leur enregistrement, soit quand-même quelques années avant le CD. Le Karajan, je crois que c'est 63 ou un truc dans le genre, sinon j'achète directement en CD.

On retrouve quand-même régulièrement des enregistrements inédits lors des successions, je pense que maintenant, les héritiers essaient d'en tirer profit, donc les mauvaises années sont passées.
Alors perso, je n'ai jamais été trop cassette, je suis passé du vinyle au MD car comme je faisais pas mal de concerts, j'enregistrais avec. Je crois qu'en tout, je dois avoir 3 cassettes.

Je parle comme il se doit à un gars qui invite à faire croire à des cracs avec un échantillonnage sélectionné et non représentatif.  
Dans mon jargon, ça s'apparente à un biais, ou pire à une fraude s'il est intentionnel et conditionne une publication d'importance. Je n'ai que mépris pour ces méthodes.

 
Désolé, c'est représentatif, d'ailleurs tu peux voir une partie de ma collec derrière. Désolé aussi si j'écoute de l'opera, mais en général, les coffrets sont plutôt documentés et comprennent au mieux les livrets entiers, au pire la doc qui va avec et quelques photos. J'ai aussi une petite collec de jazz, en particulier Reinhardt, c'est assez semblable.

Les coffrets... de musique classique, ou de longs opéras, qu'on payait une petite fortune avaient souvent un livret inclus. Quelle information !
 
"Désolé, c'est représentatif, d'ailleurs tu peux voir une partie de ma collec derrière."
 
  C'est représentatif de la sélection que tu as ouverte pour tes photos. De la tocardise aggravée.

Donne moi un nom de compositeur...

Claude François ? Les Rubettes ?    
 
Tous les Top50 de ces disques qu'achetaient les jeunes dès les années 60, souvent des imitations, n'avaient aucun livret. Le monde du vinyle en France et ailleurs était aussi et surtout celui des jeunes qui consommaient ça avec leur tourne-disque. Demi Roussos, Claude François, Enrico Macias, Julio Iglesias, se sont enrichis en France grâce au 33 T simple et sans livret (livret de quoi ? Des paroles des Rubettes ?) - ni aux coffrets de classique ni aux livrets de grands compositeurs. Pareil ailleurs.