Reprise du message précédent :
Bah si personne sait que c'est nul, facile d'imaginer que si le candidat le met, c'est que c'est un bon score

Règle numéro de la vie: Ne jamais prendre les autres pour des cons. Même s'ils le sont.

Ben quand j'ai dit que j'allais passer le TOEIC dans mon entreprise, à part une personne qui fait un stage (qui est donc étudiante), aucun de mes collègues ne savait que ce c'était.
 
C'est pas être con, c'est juste de l'ignorance. C'est normal pour quelqu'un qui travaille de ne pas être aware sur les derniers diplomes qui sortent (déjà que la réforme LMD a dû être dure à avaler...hihihi !).
 
Et pour quelqu'un qui ignore ce qu'est le TOEIC, 650 ca fait 12/20 donc assez bien. J'ai passé pas mal d'entretiens (dont un qui a débouché sur un contrat, signé et tout le tralala) avec cette mention et à chaque fois ca passait bien. Donc pas de tracas de ce côté ci.
 
Bien sûr, depuis j'ai un peu progressé (800) mais je pense qu'il vaut mieux mettre un score (si pas trop mauvais) plutôt que rien. Mon bac je l'ai eu sans mention et pourtant je le mentionne (ahaha !). Ben là c'est le même raisonnement !
 
Mais c'est un avis perso, hein...

Non mais, si tu réfléchis un peu. Tu vas avoir deux types d'employeurs:
 
1/ Ceux qui exigent des compétences en anglais pour leur poste.
2/ Ceux qui se foutent de l'anglais pour leur poste. (genre ta boite qui ne connaissait pas).
 
 
Si tu mets ton TOEIC 650,  
Recruteur 1/ t'es d'office éliminé
Recruteur 2/  
      a/ Il ne connait pas le TOEIC, donc ca n'a pas d'incidence. Mais tu ne l'aurais pas mis, ce serait le même résultat.
      b/ Il connait le TOEIC, tu passes pour un branque avec un résultat aussi merdique.
 
 
Donc pour moi, au mieux, ca n'a pas d'incidence. Je ne vois donc pas l'intérêt de mettre un score aussi faible. Un toeic mérite de figurer si la note est très bonne. Perso j'ai eu 780 en le faisant à l'arrache, ben je le mentionne pas.

De nouveaux salaires ? de nouvelles expériences ? (drapal )

Miage Créteil en alternance
Poste d'ingénieur support en finance, SSII
39K€ sur 13 mois + 6.5€/jour de frais

+chomage tres bientot.

au contraire, tout fraichement recruté par le client ^^ et dans une SSII très sérieuse....si si il en existe !!!

en période d'essai alors... J'aurais très peur à ta place !

justement!!! qui dit SSII très sérieuse dit aussi zéro chance de partir même si aucune mission n'était disponible

 
Je veux pas du tout etre oiseau de mauvais augure et j'espere pour toi que tout se passera bien. Mais si tu n'es pas vite staffé tu risques vite de déchanter.
 
SSII sérieuse = SSII qui gère bien ses activités et ne garde pas du personnel on the bench dans un secteur qui dévisse. En gros qui fait tampon ? les stagiaires pas embauchés, et les périodes d'essai pas reconduites...
 
Ta SSII quelle qu'elle soit sera dépendante avant tout de ses clients, et ses clients en finance risquent de sacrément serrer la vis..  
 
C'est quelle SSII d'ailleurs ?

Je connais la situation actuelle et le principe de se faire recruter maintenant par un client vient justement du fait qu'il y aura toujours besoin de prestataires au support pour que les traders et autres puissent continuer à travailler.
Si j'annonce que ma SSII ne licencie aucun presta en ce moment , même en période d'essai et même sans piste de mission, ce n'est pas pour rien.
Pour plus d'infos sur ma boite, mp.

Pas mal comme salaire !!
C'est quoi exactement ingénieur support en finance ?

en résumé : quelque soit le problème sur un poste en front/middle/back office, tu dois l'avoir résolu le plus rapidement possible avant de perdre de l'argent donc très stressant avec les traders
environnement technique assez large mais avec un périmètre d'action bien délimité donc bien savoir qui contacter en cas de problème plus complexe que prévu, surtout quant tu as des centaines d'applications "maisons"

Il y a encore quelques temps, le secteur informatique - un des secteurs phares du marché de l'emploi - était plutôt prospère. Les miagistes n'avaient pas vraiment à se plaindre... 4ans que l'offre était plus forte que la demande, que les recruteurs étaient prêt à tout pour nous embaucher. Mais depuis fin 2008, c'est la crise
 
 
Comment les écoles s'adaptent à la crise ?
 
L'affaire du «master 203» continue de faire des remous. Dans le milieu universitaire français, on a encore du mal à croire à la suspension, l'an prochain, de cette prestigieuse formation de Dauphine, réputée pour avoir formé des bataillons de «quants», ces analystes quantitatifs très recherchés par les banques d'affaires à Londres ou New York. Justification de la fac parisienne, début avril : «Il est [...] de notre responsabilité de tenir compte du gel des embauches par de nombreuses banques sur les activités de marché.» Officiellement, ce master ultra-spécialisé, l'un des douze proposés par Dauphine dans les métiers de la finance, est simplement reporté d'un an, en attendant que le secteur reprenne du poil de la bête. En fait, il devrait subir une profonde opération de ravalement - contenus aménagés et nouveaux enseignants. Car la crise est passée par là. D'autres écoles ont pris des mesures similaires comme HEC, Polytechnique, etc.
 
Qu'en est-il des salaires des miagistes aujourd'hui et, qu'en sera-t-il demain ?
 
En effet, c'est une question qu'on peut se poser avec la conjoncture actuelle de plus en plus morose.
L'informatique est le troisième secteur le plus touché par la crise aux Etats-Unis en nombre de licenciement. Le marché commence à se retourner, sur les biens technologiques on avait pas vu cela depuis 10ans en France. Les prévisions à venir sont plutôt pessimistes et ce, malgré une demande soutenue.  
 
En France, tous les secteurs sont touchés par la crise, industrie (jusqu'à -35%), commerce (jusqu'à -24%), construction (jusqu'à -17%). Certains secteurs résistent mieux que d'autres : le secteur financier devrait très mal résister (jusqu'à -29%) alors que le secteur de l'informatique devrait s'en sortir un peu mieux (jusqu'à -20%). De la même manière certaines régions résistent mieux que d'autres, c'est le cas de l'Ile-De-France, de l'Aquitaine, de la Picardie, etc.
 
Quelques chiffres clés
 
" 70 Md$ : c’est l’estimation par le cabinet Forrester de la dépense IT en France en 2009, soit 8 % de moins qu’en 2008 (76 Md$). 54 % : C’est le pourcentage de DSI qui prévoient une diminution en 2009 de leurs achats en assistance technique ou de forfaits selon le baromètre Hitechpros. 140 904 : c’est le nombre de suppressions de postes dans la high-tech recensées par Techcrunch depuis la fin août. Soit 351 plans de licenciement dans le monde. On retrouve cette triste comptabilité sur Layoffblog.com ou Washtech.org "
 

 
Tous les grands groupes (ou presque) de l'informatique sont touchés, les licenciements se comptent par milliers (en hausse de près de 75% aux Etats-Unis en 2008) :
Panasonic (15 000), Nec (20 000), SAP (3000), IBM (2800), Microsoft (5000), Oracle (500), AT&T (12 000), Intel (6000),  etc. Au total, c'est près de 190 000 emplois en moins en 2008, qui fait du secteur le troisième en nombre de licenciements. Certains comme HP préfèrent limiter les licenciements en baissant les salaires. Une tendance qui pourrait se généraliser à terme.
 
Les effets se font déjà sentir au niveau des recrutements en France : le nombre d'embauches baisse quand elles ne sont pas pas directement gelées dans de nombreuses SSII (qui emploi près de 90% des recrutements informatique !). Certains spécialistes n'hésites pas à faire des pronostiques plus pessimistes que la chambre professionnelle Syntec-Informatique qui parle encore de croissance du secteur au premier semestre, c'est le cas  Richard Nguyen, analyste à la Société Générale, qui prédit une baisse de l'ordre de 5%.
 
 
Il n'y a pas que les CDD et les interim qui subissent
 
En effet, selon journal LeMonde :  " Le coup de frein sur le marché de l'emploi des cadres est brutal' et le recrutement dans les années 2010, 2011 et 2012 devrait être comparable à ce qui s'était passé en 2002 après 'l'éclatement de la bulle Internet ". Un chômage de longue durée semble se profiler pour nos cadres français.
 
Selon une étude de l'Apec publiée en février 2009, les recrutement de cadres devrait chuter de 17% à 165100 embauches, quasiment 40 000 embauches en moins par rapport en 2007.
Source: AFP
 

 
Les jeunes et les hommes sont les plus touchés
 
Comme toujours dans le secteur informatique, ce sont les plus jeunes inexpérimentés et plus vieux "trop chères" qui sont les plus touchés. Pour l'Unedic, les projections de l'assurance chômage sont très pessimistes en France : 282.000 demandeurs d'emplois de plus en 2009, 65 000 de plus qu'en 2008. L'ingénierie n'est pas en reste, notamment à cause du secteur automobile prisé par les Miagistes.
Heureusement, le secteur des services résistent un peu mieux mais pour combien de temps?
 

 
Selon Olivier Bouderand, secrétaire général du Syndicat des sociétés de service et des conseils en informatique :
« Pas d’effondrement des affaires, mais un gel des recrutements ». «Le taux de chômage actuel de la filière demeure en effet sous la barre des 4,4% »
Dans le même temps, Capgemini (l'une des plus importante SSII mondiale) qui tablait sur une croissance organique de 4% il y a quelques mois vient d'annoncer une baisse possible de 2% et mise sur des départs volontaires. Les pays low-cost ont la côte, et l'offshore qui apparaît comme un vrai palliatif anti-crise en ce moment pourrait croître en France de plus de 50% d'ici 1an. Les français sont trop chères : d'ici quelques semaines, Capgemini comptera plus d'indiens que de français dans ses effectifs et ce n'est pas prêt de s'arrêter. Avec 90 000 demandeurs d'emplois supplémentaires pour la France en janvier 2009, la situation ne risque pas de s'arranger rapidement...
 
Sources :
http://www.lexpress.fr
http://www.zdnet.fr
http://www.01informatique.fr
http://www.jobetic.net
http://fr.news.yahoo.com
http://journaldunet.com
 
Je relance le débat, où en êtes vous dans votre carrière professionnel ou votre fin de parcours universitaire ?

C'est assez intéressant de parler de ça.
 
Moi j'en suis toujours au même point profesionnellement (2ème année que je travaille, première année salaire de 38 k€, seconde augmenté à 40 k€).
 
Le truc, c'est que j'ai commencé à bien me spécialiser en finance, coté fonctionnel. J'ai même entamé un master finance de marché au CNAM.
 
Mais est-ce que le but des miagiste est au final de rester cloisonné à l'univers informatique ? Non, moi je ne pense pas. L'informatique est l'outil sensé être parfaitement maîtrisé par le miagiste pour mettre à bien des projets fonctionnels commandés.
 
Et le combo technique + fonctionnel permet souvent de tirer son épingle du jeu en terme d'emploi et de salaire.

Je plussoie.
 
Le miagiste peut à la fois évoluer vers l'expertise technique (MOE), mais aussi vers le côté fonctionnel (MOA). Dans tous les cas, l'aspect relationnel est essentiel, sinon LA valeur ajoutée du miagiste par rapport à une formation misant tout sur la technique.

Du nouveau?
 
J'arrive l'année prochaine sur le marché

pareil.
ALors t'as signé? quel secteur et à combien?

drapal   , promo 2011 les amis

salaire moyen miage de ma promo: 28KE

Net ou brut ?

et surtout province ou Paris.

 
bizzare j'ai eu une propal à 38 ce matin et dans ma promo c plutot 35-39.

 
Il est très probable que cela corresponde à un salaire en province ( quoique un peu faible) mais bon, à confirmer.
Sinon pour ta part pas mal la propale à 38k, bien joué ^^.
C'est pour quel secteur et quel poste ?  
Je supose que tu dois faire partie de la promotion 2009-2010 ? ( qui profite entre autre du fait que le marché reparte )

Et maintenant tu es à combien?

Salut,
je rouvre le topic version 2012.  
 
RP, diplômé en septembre, 2 ans d'apprentissage, je cherche un poste de dév java.  
Je me situe (enfin pour l'instant, étant donné que je n'ai pas encore négocié/discuté avec des recruteurs) sur une fourchette 35-37 k€.
Ca me semble un peu haut mais pas irréalisable. Après je me dis que je suis pas à 1k€ près, et que ca dépendra bcp de la boite.  
oy

Ta fourchette est possible, mais tu risque de pas la trouver partout  

34, mais en province et avantage des petits avantages sympa.

@rdz-oliv : en idF (surtout Paris) ça se fait.
En province oublie

Et GROS déterrage !  
 
Du nouveau sur les diplômés de ces 3 dernières années ?

Drap

Je vais avoir une propale d'une grosse banque bientôt. En sachant que j'ai 3 ans d'exp en apprentissage et que le poste possède pas mal de responsabilités (petit chef de projet), vous pensez que je peux viser combien à peu prêt ? 40k c'est faisable ?

Ca dépend de la localisation du poste Paris / RP / Grande ville de province / perdu ?

J'aurais du précisé en effet, ça varie pas mal en fonction de la région. Ici, c'est à Paris.

Ça me paraît beaucoup détaillé un peu le posté si tu veux plus de réponses. Et sache que l'apprentissage n'entre jamais en compte dans là nego salariale.

Si ton alternance est en relation est avec le poste si

40k brut annuel ca parait un poil haut, m'enfin bon tu peux demander.
38k semble plus jouable, mais si c'est en grosse banque tu auras interessement/participation/prime diverse donc meme a 36k ton global sera a plus de 40k.

Je contribue :
 
Diplôme : M2 MIAGE
Alternance : 5 ans  
Poste : Consultant BI  
Salaire : 39K  
Lieu : IDF  
Boite : SSII
 
J'ai été contacté par des SSII, boites de conseil et cabinets de recrutement pour des clients finaux plus ou moins intéressants...

J'apporte ma pierre à l'édifice
 
Diplôme : M2 MIAGE ISIDIS Créteil 2011
Alternance : 3 ans  
Poste actuel : Développeur .NET
Salaire actuel: 3350€ net/mois
Lieu : IDF  
Boite : SSII

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