2024 UK general election platform as Reform UK
On 17 June 2024, Reform UK launched their manifesto, Our Contract with You, which Farage presented during an interview. The key policy proposals included:

   Tax cuts, including: raising the minimum threshold of income tax to £20,000, raising the higher rate threshold from £50,271 to £70,000,[211] abolishing stamp duty for properties below £750,000, and abolishing taxes on inheritances below £2 million.[212][213]
    Reducing legal immigration by freezing "non-essential" immigration, and eliminating illegal immigration by ending the settlement of any illegal immigrants, returning migrants who arrive on boats crossing the English Channel back to France. To encourage companies to employ British workers, they would raise employers National Insurance to 20% for foreign workers.[212][213]
    Scrapping and rejecting net zero as "the greatest act of negligence". Reform UK wants to increase drilling for gas and oil, seeing their expansion as growth opportunities.[214] It would also "fast-track" clean nuclear energy and shale gas licences.[215] It pledges to support the environment with tree planting, recycling and less single use plastics.[213][216][217]
    Eradicating waiting lists within two years by giving the NHS an extra £17bn a year and increasing the use of the private sector in the NHS, giving tax breaks to nurses and doctors to increase their number, and other measures including less tax for private healthcare and insurance, offering vouchers for private healthcare and looking to France's insurance-based health model.[213][212][214]
    Increasing the number of police officers by 40,000 in five years, "clamp down on all crime and antisocial behaviour", by instituting zero tolerance policing.[218]
    Introducing a "patriotic curriculum" in schools, such that, for example, where imperialism or slavery is covered, examples are also given of non-European instances. "Transgender ideology" would be banned, no gender questioning, social transitioning or pronoun swapping would be allowed in schools, universities would have to offer two-year courses to reduce student debt.[212][213] Scrap interest on student loans and extend the loan capital repayment periods to 45 years.[219] Encouraging the use of private schools via a 20% tax relief on private schooling.[220]
    Increasing defence spending to 2.5% of GDP in three years, and then to 3% over the following three. 30,000 additional people would be recruited to join the army.[218]
    Focus on new rail and road infrastructure in coastal regions, Wales, the North and the Midlands.[221][222] Public utilities and critical infrastructure would come under 50% public ownership, the other 50% being owned by UK pension funds.[217][218][223]
    Increasing the farming budget to £3bn, focus on small farms, bring young people into farming.[224]
    Stopping EU fleets taking British fishing quotas, ban massive supertrawlers, and other fisheries measures.[225]
    Replacing the existing second chamber, the House of Lords, with a more democratic smaller alternative, having a referendum on the replacement of first-past-the-post voting with a system of proportional representation.[226]
    Eliminating the TV licence fee.[213]
    Leaving the European Convention on Human Rights.[214]
    Immediately cutting the rate of corporation tax from 25% to 20% and then further reduce corporation tax to 15% in the third year of parliament.[227]
    £150 billion per year in spending reductions, including public services and working-age benefits.[227]

C'est pour cette raison que je ne comprends pas qu'une grande partie de la population puisse se laisser embobiner une nouvelle fois.

La Suisse avec sa démocratie directe résiste, mais pour combien de temps? Quand on voit que seuls ~40% des Suisses participent au votations, et que la médiane d'age est > 60 ans, cela sent le sapin pour le futur...

Les abstentionnistes ne sont jamais les mêmes
 
Les chiffres de la participation en Suisse doivent d’ailleurs être relativisés. Tout d’abord, les abstentionnistes ne constituent pas un groupe homogène. Ce ne sont pratiquement jamais les mêmes qui boudent les votations. Dans les faits, une étude réalisée en 2016 par Simon Lanz, chercheur à l’Université de Genève, démontre que, sur une période de cinq ans, près de 90% des citoyens se prononcent régulièrement, bien que de manière sélective.
 
Le politologue Nenad Stejanovic, professeur assistant à l’Université de Genève rattaché à l’Institut d’études de la citoyenneté, confirme qu’une «minorité de gens ne vote jamais, une autre minorité vote à chaque fois, la majorité donnant son avis de manière irrégulière». Les proportions varient d’une étude à l’autre, mais fixent les fourchettes entre 10 et 20% d’abstentionnistes, 10 à 20% de citoyens assidus et 60 à 80% de votants irréguliers.

L’abstention, un signe de confiance
 
D’après Lionel Marquis, le phénomène serait lié de manière inhérente au système suisse et n’est pas nouveau. Dans un ouvrage de 1978, le constitutionnaliste Jean-François Aubert démontre que l’abstention, bien que moins importante, est déjà bien présente à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Pour les élections, le phénomène s’explique, entre autres, par le fait que les gens sont souvent consultés lors de votations populaires, ce qui limite l’influence des représentants élus.
 
En outre, le système de consensus des partis désamorce la virulence des campagnes politiques. Ainsi, le «poids des élections semble plus négligeable que dans des démocraties parlementaires où le résultat décidera de la composition du gouvernement», précise Lionel Marquis.
 
En ce qui concerne les votations, il semble que leur rythme fréquent décourage la participation d’une partie des citoyens. «Une des explications souvent avancées est que les gens sont plutôt satisfaits des institutions et de la démocratie en général, rappelle Lionel Marquis. Ils ne votent pas, ou moins, parce qu’ils pensent que les choses ne vont pas si mal et qu’ils peuvent laisser les autres décider à leur place.» Les gens se mobilisent plus largement quand les objets ont une importance cruciale: le taux le plus élevé de participation fut de 79% en 1992 sur l’entrée de la Suisse dans l’EEE, tandis que le référendum sur les épizooties, obscur et seul objet de votation en novembre 2012, n’a mobilisé que 24% des votants.

Une conséquence de l’accord sur l’électricité, qui fait partie des bilatérales III, aurait pour effet de supprimer le tarif garanti aux gens qui injectent du courant issu du solaire dans les réseaux. Mais les interprétations diffèrent

Le manque de ressources prive les Suisses d'une grosse étude sur les PFAS
Une étude nationale sur l'impact des PFAS et autres polluants sur la santé des Suisses est abandonnée, révèle ce mardi la SRF. L'OFSP renonce au projet de 240 millions de francs en raison de contraintes budgétaires. Les Vert-e-s s'opposent à cette décision.
 
Le projet était ambitieux: 100'000 personnes des quatre coins de la Suisse devaient être suivies sur 20 ans afin d'évaluer l'impact de diverses substances présentes dans nos corps telles que les PFAS, ces polluants éternels qui se retrouvent dans des milliers de produits de notre quotidien.  
 
Sauf que ce projet de recherche d'envergure nationale, l'«Etude suisse sur la santé», n'aura pas lieu faute à des contraintes financières, révèle la SRF ce mardi 2 septembre. Dans une interpellation de l'élue verte Manuela Weichelt, qui a questionné le Conseil fédéral sur la poursuite de l'étude, on y apprend que l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), sous pression, a dû abandonner l'étude. Il le justifie par son coût élevé, estimé entre 10 et 12 millions de francs annuels, soit 240 millions au total. Une dépense qui a probablement du mal à passer dans un contexte de coupes budgétaires fédérales.  
 
Un manque de données
Les Vert-e-s déplorent cette décision. Ils promettent de se battre pour obtenir des financements pour cette étude, les connaissances scientifiques actuelles étant très limitées. Un constat partagé par l'OFSP et les auteurs de l'étude.

L'homme qui a sorti une arme à feu n'était pas un policier
 
Lors des émeutes de Prélaz, une personne a menacé des jeunes avec un pistolet. Une vidéo soulignant que c'était un policier a abondamment circulé sur les réseaux.

La police de Lausanne explique avoir eu connaissance de cette vidéo le soir même. «Immédiatement, des investigations ont été menées», souligne le porte-parole Michel Gandillon. Mais ce dernier se montre catégorique: «Il ne s’agissait pas d’un policier.» En effet, les enquêteurs sont parvenus à identifier et interpeller l'homme au pistolet. «L’auteur a été entendu par les inspecteurs. Il a reconnu les faits. Les armes qu’il détenait légalement ont été saisies», poursuit la police de Lausanne.