Reprise du message précédent :
Salut
4mecs entrain de discuter au tour d'une table en terrasse. Comment les emmerder sans se faire prendre ?  
C'est eux qui ont commencé

Bof... J'avais fait l'allé retour Nord/Portugal 27h l'allé 23h retour 2h de "pause" sur place avec ma R19. Pas les mêmes contrôle qu'aujourd'hui. Sans que ça ne pause problème... Par contre t'allume ta clope sur le collecteur d'échappement
C'est tenir au ralenti de longues heures en plein cagnard qui te fusille un moteur.

 
Tu roules en cox?  

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Han    
 
Et bien une r19 c'est censé avoir un système de refroidissement.

Système permettant de faire what mille km/jour pendant what mille jours à 80miles à l'heure    
 
C'est Deep truc qui dit qu'une bagnole tombe en panne quand elle roule "trop"! Mais hormis sa Traban tout véhicule peut tenir la distance et la durée...

avec une traban tu vas au bout du monde.
n'importe quelle voiture correctement construite peut rouler sans s'arreter des jours durant...
une fois le moteur a temperature, tout est regulé correctement pour que ca tombe pas en panne.
d'ailleurs, ca use bien moins une voiture de faire de long trajets comme ceux la, que des petits trajets en ville...

Je savais pas qu'on était sur le topic méca

ok, alors bon, si le me part faire un long trajet, tu lui desseres les flexibles de frein.
ca te va?  

drapal

 
Au final, tout dépend du profil d'aile

T'as un problème d'élocution?

Je pense qu'il a oublié le C à meC
Ca c'est un coup de pute pour comprendre sa phrase...

enfin un type qui suit.
ca doit etre facile a vous faire des coups de pute avec une intelligence au rabais    

drap'

bah, moi je dis pas fake car j'ai déjà fait plusieurs fois des 2000 km par jour, dont certaines fois en étant seul conducteur  
 
j'ai déjà vu des transports routiers rouler plus d'une semaine consécutive avec plusieurs chauffeurs qui se relayaient
idem certaines compagnies low-cost qui font voler leurs avions 24/7 pour les rentabiliser

Petit CDP récent et involontaire.
 
une femme en voiture s’arrête et me demande son chemin    
je lui indique de tourner juste au feu a droite sauf que je ne savais pas que c’était devenu une zone de travaux finissant pas un beaux cul de sac entouré de camions benne venant juste de déposer du bitume extra frais.
 
moi en la voyant tourner :    
 
 
 
 

Futur coup de pute pour un futur gosse
 

 
Jean-Mouloud ?
 
Pierre-Abdel ?
 
Loubna-Marie ?

Adelbert-Fessal
 
 

Moktartiflette

 
Go topoc prénom originaux les gars    

Après avoir lu les 150 pages de ce topic epique, je me devais de poser ma briquer à l'édifice...  
 
Je vais essayer de faire ça bien. Je n'sais pas si c'est un CdP, mais ça mérite d'être raconté amha.
 
Je vous explique le contexte, je vis à Paris depuis maintenant un an et demi. Ayant grandi dans des villes moyennes de Province j'ai du mal à supporter le Parisien moyen et surtout son territoire de chasse à l'embrouille préféré : les transports en commun !  (d'autant que je m'en tape une palanquée par jour...)
   
 
J'ai donc développé une philosophie   qui tient en une phrase : "Ne nous chions pas des les bottes les uns les autres, on est tous dans la même merde". En gros j'emmerde personne et personne m'emmerde. Par contre si un gugusse commence à m'engrainer, alors le démon tapis au fond de moi-même se réveille. Je ne suis pas quelqu'un de méchant, je ne m'énerve jamais (merci aux années de karaté), je garde la tête froide et les rembarre sèchement et généralement en les faisant passer pour des guignols.    
Généralement ça me mets de bonne humeur pour la soirée
Bref, en voilà deux dont je me souviens :
 
 
 
Number one :
Métro ligne 13, pour ceux qui le savent au bout de chaque wagon, il y a deux banquettes de trois places.  
Deux gugusses    sont assis au fond, en train de discuter. Je m'installe juste à côté de l'un d'eux qui me sort "vous pouvez éviter de me coller". Au début je le prend très bien, je m'excuse, je me dis que ça arrive, qu'en effet je trouvais qu'on était un peu trop collés, que moi non plus ça me plairait pas, que si ça se trouve je suis pas bien sur mon siège et que j'empiète sur le sien. Je vérifie que mon royal arrière-train était bien garé sur mon siège ou non ; verdict : un magnifique rangement bataille parfaitement dans les lignes. Pire, c'est en fait de sa faute si on est collé, c'est lui qui empiète sur le mien. Naïvement, je lui fait remarquer et il me répond "y'a quand même d'autres sièges"
En gros, il voulait que je laisse un siège entre nous deux (un peu comme pour les urinoirs quoi), alors que la logique RATPienne veut qu'on remplisse un wagon par le fond, comme ça les gens qui rentrent n'ont pas à bousculer tout le monde.
J'ai passé les 15 minutes suivante à lui balancer des réflexions cyniques marrantes, une par station, une sélection dont je me souviens :
- C'est pour la chaleur humaine...
- Si vous voulez sur le toit, il y a toute la place que vous voulez
- Regardez la dame qui vient de s'assoir juste à côté de moi, je suis pas allé lui casser les noix
Et comme finish him, au moment où il quitte le métro, je lui sors : "Je suis désolé monsieur, mais je suis comme un écureuil, quand j'ai trouvé un gland, je n'le lache pas... Au revoir"
Fou rire général  
 
 
 
 
Number two
Autre ligne de métro, bondée (sûrement la 9), je suis debout en face d'un poteau, un journal plié pour que je puisse le lire tranquillement sans embêter personne. Le gugusse arrive se fout à côté de moi et attrape le poteau à environ 1m80 du sol, alors qu'il aurait pu le prendre plus bas. Résultat, outre le fait d'avoir une vue plongeante sur son aisselle, je ne peux plus lire mon journal. Sans me déboulonner, je pose le journal sur son coude, c'est un peu trop haut mais j'arrive à lire. Je me dit qu'il va pas m'embêter pour ça, c'est quand même lui qui s'est foutu devant moi, ça le gène pas du tout et puis ça m'est souvent arrivé qu'on lise sur mon dos (un jour on m'a même callé la pointe d'un sac longchamp dans les fesses (et je me suis retenu de péter en plus...).  
Ni une ni deux, il donne un violent coup de coude vers le haut pour dégager mon journal. Je remets mon journal sur son coude, rebelotte, sauf que cette fois il joint la parole au geste et m'avoine copieusement de noms d'oiseaux bigarrés en me disant d'arréter de placer mon journal sur son coude. Coup d'oeil autour de moi pour vérifier que ce type a bien un problème...  
Quelques visages que j'ai pu voir à ce moment :              
 
Pour corriger le vil faquin, je place mon journal sous son coude et lui dit très poliment (toujours être très poli, ça les emmerde encore plus "Excusez-moi, je crois que vous avez votre coude sur mon journal" et je le gratifie de mon plus beau sourire"  
Résultat un   bien  , un wagon et moi

ah ces petites gens des transports en commun, c'est assez pitoyable des deux côtés.

 
Une fois de plus je suis quelqu'un de particulièrement courtois autrement.

 
Je ne connais pas cette règle. Ma règle est de ne pas me scotcher à qui que ce soit et de laisser le maximum d'espace entre les gens. Le remplissage par le fond? Ya 4 portes dans une rame et personne ne sait qui va monter ou descendre et quand ça va se faire. C'est comme ceux qui s'assoient juste à côté de toi dans une salle de cinéma vide de 400 places...

tu connais pas la 13 en heure de pointe, en 4 stations elle est pleine à craquer, et je ne te parle pas des places debout mais des 6 places au fond

 
t'es sur ? belle blague a bide... c'est peut etre toi dont les gens riaient.
 
il ne t'ait rien arrivé a tes chaussures impeccablement cirées ou un costard ?

 
J'ai pensé exactement la même chose

Pitin le mec qui casse les burnes avec son journal dans un métro blindé  

Va raconter ça là-bas pour voir
http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 5501_1.htm

 
Haha je m'y attendais, sinon j'en ai rien à (impécablement hein !) cirer de ton avis
 
 

Journal plié en 4, lecture demi-page par demi page, ça fait chier absolument personne