Reprise du message précédent :
Mais si, mais j'ai déjà tout raconté, et puis t'as fait pire que moi, vlad

 
J'imagine pas le bordel si t'avais décidé de crier à l'aide, en étant dans un coffre sur le parking de Carrefour. Ca aurait pu créer une magnifique pagaille, dommage

Bah de toute façon toutes les conneries ici relatent des faits d'ivresse sur la voie publique en général xD
Après y a connerie et connerie. Envoyer un mec en taule pour une de ses conneries, je vais pas cautionner perso.

Une fois lors d'une de mes conneries un mec s'est retrouvé en taule, mais il s'est démerdé tout seul, j'y suis pour rien, j'étais déjà en coma éthylique dans un coin. D'ailleurs tant mieux, sinon j'imagine que j'aurais pu prendre aussi. (pour la petite histoire il a juste pété un truc, et il s'est blessé, y a eu un petit dépot de plainte mais il était en sursis donc ça a suffit pour le faire replonger... je crois que je l'avais racontée ici)

Je crois que j'ai plus rien à raconter (d'intéressant/fun s'entend) c'est moche

Doctissimo

 
Perso j'ai fait les 3 en combo cuite, 3 dents, 9 mois de dentiste (environs 20h de souffrance), crane ouvert sur 5cm, et coquard.
 
J'ai plus pris de cuite durant 4mois après

Raconte

Bon une petite mignonette, ca me change des soirées où ej finis aux urgences pour nez cassé / arcade ouverte en tombant tout seul
 
Samedi dernier, soirée déguisée, youpi trop bien j'arrive en poulpe !
 
J'avais de jolis ventouses sur mon déguisement, c'est quand plus drôle ...
 
Picole / apéro / rouge / bières etc ... black out ... lendemain matin je vois ma tête :
 
2 jolies traces rouge rondes sur le front, dues aux ventouses que je me suis collé dans la soirée, ca part pas on dirait de jolis suçons ( je les ai encore )
 
Mattage d'appareils photos, celui de la mère de la copine qui faisait son anniv' à mon cul en plusieurs exemplaires, sur le bar, sous le bar, des ventouses collées au cul ...  
 
Bon c'est pas méga magnifique, y'a pas de caca, mais j'ai mes 2 espèces cornes au front encore aujourd'hui ><  
 

C'est quand même mignon Mulot44 lol !  
 
Spécialement l'air con avec les traces sur le front (pour le taff ou les cours ? ^^)

Taf ... je suis formateur ... va expliquer au client que "c'est du à des ventouses d'un déguisement de poulpe" ...
 
Bizarrement ils me croient pas  

Ce déficit de crédibilité que ça doit générer

       /
 

J'ai fais un exposé de physique sur les semi conducteurs dans le rer A à 19h (sorti des bureaux) un mardi entre Rueil Malmaison et Charles de Gaulles Etoile. Au final, les gens ont apprécié, j'ai même eu des questions. Ca fait un peu geek dit comme ça, mais comme je suis un super playboy ça compensait l'effet.

EDIT; la video existe, quelqun de mon labo filmait.

Pics Link vers la vidéo or didn't happen

Une fois, légèrement chier, j'ai dit a un pote qu'un Yéti avait voulu me voler mon vélo, le pote, encore plus chier, s'est mis a le rechercher, je l'ai aidé, on a passé une heure dans une soirée a se méfier de tout le monde et à chercher le Yéti...

 
Je viens de demander a ma collègue qui a filmé, c'est sur son ancien téléphone, mais elle est presque sûr de ne pas l'avoir effacée. Elle le ramène demain et je posterais la video.

ça sent l'a vidéo effacé ça

 
T'es conscient que si t'as pas la vid tu vas passer pour un mytho ?

et drap'

J'aimerais avoir la détachement de dire que je m'en tamponne le coquillard, mais ça serait faux. J'ai affirmé et je dois fournir. La fille est pas encore arrivée au labo. Tout ce que j'ai trouvé dans mon ordi pour l'instant, c'est une image tirée de la vidéo mais qui ne prouve rien...

Sinon, autre chose qui m'est arrivé: en boite de nuit à Tokyo (à la Feria, pour ceux qui connaissent). Je bois rarement et tiens mal l'alcool. J'avais bu 3 canettes d'une boisson de la bas qui s'appelle le "Strong" avant d'aller à la teuboi. Tu sens pas l'alcool dedans mais ça te tape vite la tête. Puis j'ai re-bu deux boissons dont j'ai oublié le nom à l'interieur de la teuboi (pour 3000 yens l'entrée, ils peuvent bien te filer deux conso les batards).  
Je n'ai que des bribes de souvenir de la soirée, mais je me rappel avoir dansé au 2ème étage avec deux mannequins Tchèque plus que comestible que mon pote et moi avons tenté de ramené dans un karaoké pour les motoculter après la soirée. Suite à leur refus (salopes), nous avons d'un commun accord décidé de rentrer dans notre banlieue lointaine de Kodaïra. Arrivé dans notre train (un genre de TER qui va vachement loin), nous avons l'un et l'autre juré de ne pas nous endormir et de ne pas rater la station. Juste après, assis entre deux salarymen qui allaient au boulot, j'ai vomi un long filet de bave transparent. Nous étions en plein mois de décembre et les sièges des metros/trains sont chauffés au Japon. Je me sentais bien...
Lorsque je me suis éveillé, il faisait un grand soleil. Le train quasi vide, avec mon pote la bouche ouverte en face. Je regarde par la fenêtre. Le Fuji Yama. Mais genre vachement proche. On était toujours dans la plaine, mais il y avait très peu de maisons autour de la voie ce qui veut dire qu'on était bien à perpet. La vision du mon Fuji aussi proche nous a vraiment surpris, on est bien resté 30 sec sans trop comprendre ce qu'on foutait la. On a fini par rentrer chez nous, il était 12h. Je garde a la fois un bon et un mauvais souvenir de cette soirée.
Voila, c'est pas complètement ouf non plus, je me suis pas retrouvé au pieu avec un Zèbre volé au zoo de Vincennes...

J'ai un dernier truc a raconter mais je le garde pour un peu plus tard (pas une histoire de Zèbre non plus hein)

Na jakim wątku znaleść Polaka ?

Od kiedy jesteś w Francji ?

hyper bourré, j'ai uriné au milieu du salon d'un ancien pote. J'étais tellement déchiré que je pensais uriner dans ses toilettes, finalement j'ai uriné sur une chaise sur laquelle se trouvait son pull-over.

simple mais efficace  

bah étant plus jeune il y a une dizaine d'années, les parents d'un pote pas là, il invite tout le monde pour le week end.

Bien torchay, je sens que ça monte, j'ai la taupe au gichet.
je trouve pas la lumière dans les chiottes. il fait nuit noire, j'avance à taton titubant  
 et je trouve les chiottes, putain c'est des chiottes de nains, la cuvette est vraiment basse.
je me défroque, et libère Nelson.  
je trouve pas la chasse d'eau, tant pis trop torchay pour réfléchir, je retourne à la picole.

Le lendemain, mon pote qui crie : "PUTAIN QUI EST LE CONNARD QUI A CHIE DANS LE BIDET?"

euhhh .
j'ai pas osé avouer  

JP si tu me lis c'était moi le porcasse

Et tu t'es pas torchay (les fesses)  

 
+1 lol

Ou alors il s'est chier et a mis le papier dans le bidet  

La serviette de toilette, yavait pas de PQ

 
bah je pense que oui quand même.  
 

Bon allez. Ça remonte à mes années lycée, y'a pas d'énormes conneries dedans mais la nuit entière est marrante quand même (ça risque de faire un pavé)
 
La situation : A 4, un mois de novembre dans une ville de RP entourée d'une petite forêt.
La soirée débute bien, on devait se retrouver dans la maison d'un pote histoire de manger des donuts, boire quelques bières et jouer à Combat Flight Simulator pour préparer un exposé sur la naissance de l'aviation. Normal, donc. Les bières et les donuts disparaissent vite et le Messerschmitt BF 109 nous paraît, sans discussion possible, bousiller la face du Spitfire donc on commence à se faire un peu chier maintenant que le boulot est terminé et qu'on est certains de s'en sortir comme des princes.
Après un court brainstorming aux effluves de Chimay, on se décide à aller faire un tour dehors, habillés de nos blouses blanches utilisées en physique-chimie et armés de chandelles histoire qu'on puisse y voir quelque chose dans le noir (oui, ça sent l'idée de merde, cher lecteur, je te l'accorde ). Le pote qui nous héberge tient à ce qu'on prenne avec nous sa dernière création éthylique, deux bouteilles d'un mélange artisanal de choix : vodka, alcool de menthe, alcool de serpent, tout ça bien frappé. Pas de soucis pour nous, on a déjà l'air de gros cons avec nos blouses, pourquoi ne pas s'embarrasser avec 1.5L d'un truc imbuvable dans un sac à dos . On ajoute une bouteille de limonade et des chips pour la forme et nous voilà partis pour l'aventure.
 
Dehors, les rues s'offrent à nous et nous marchons en ligne parfaite, bravant le froid, racontant des blagues avec des bites dedans, une scène digne d'un croisement entre un western soviétique et un épisode de Nip/Tuck. Je ne me souviens plus des-dites blagues donc je me permets une ellipse temporelle jusqu'à l'entrée de la forêt mais je peux dire bite une dernière fois pour vous mettre dans l'ambiance, bite. Nous voilà dans la forêt, ça caille sévère même si on est toujours un peu joyeux donc on décide de se poser dans une espèce de petite crique en bord de Seine et d'allumer un feu sur les cailloux. On se galère franchement à trouver des brindilles assez sèches pour crâmer mais finalement, notre persévérance paye et on se réchauffe les mains au-dessus de notre bûcher de tapette, en commençant à bouffer les chips et à faire tourner une des deux bouteilles, dont le goût rebute tout le monde au bout de deux-trois gorgées mais nous explose pas mal la tronche d'un coup
Sur la rive d'en face, à deux pas de la flotte, une fête a l'air de se dérouler dans une grande maison. Pas de soucis jusque-là, on gueule des conneries pendant un moment, improvisons une danse de la pluie paralympique au son des BOOM BOOM BOOM de la musique. Dix minutes passent avant qu'on entende un bruit de moteur suivi de lumières rouges et bleues : fête plus Seine juste à côté, ça a l'air d'inquiéter les flics qui ont la bonne idée de patrouiller sur le fleuve. Le temps de piger, on se retrouve avec les plein phares dans les yeux, quatre blaireaux en blouse devant un feu. On éteint le truc en tapant dessus et on se barre en courant dans les arbres. Le mec qui portait le sac à dos butte sur un rocher, se casse lamentablement la gueule et la bouteille de limonade explose (on comprendra jamais pourquoi le verre a tenu, nous pencherons pour le destin), ne nous laissant d'autre choix que l'alcool pour étancher notre soif après ce semi-marathon
A ce moment, un autre problème se pose : il doit être 1h du matin, on est en plein milieu de la forêt et on a plus aucune lumière, nos bougies étant restées près de l'eau. Bref, on est complètement paumés et pour pallier ce problème, on se remet quelques centilitres de vodka dans le gosier, parce que c'est plus facile de retrouver son chemin quand on a plus aucune idée de par où on est arrivés, ben oui
 
On avance au hasard pendant une demi-heure, entourés des bruits accueillants de la nuit, à pas flipper du tout, jusqu'à arriver dans une clairière d'où se dégage une odeur de mort. Une cabane trône fièrement au milieu et, tout courageux que nous sommes, on va voir ce qui MAIS BORDEL PUE AUTANT SA RACE, quand même. Devant la porte, d'énormes bidons et à l'intérieur, deux étals sur lesquels on trouve des carcasses à demi découpées, de la bonne bidoche AOC. On ressort, on donne des petits coups de pied dans les bidons, qui glougloutent. L'un de nous en ouvre deux et on manque tous de dégueuler en découvrant du sang dans le premier et des organes dans le deuxième (). On s'éloigne un peu, on finit la première bouteille en enchaînant sur la deuxième avant d'imaginer un gang de dépeceurs qui sévit dans le coin (ouais, bon, ça devait être de la vache ou quelque chose dans ce style, mais c'est plus marrant, un gang de dépeceurs dans la forêt en plein novembre, hein). Pas trop fiers mais bien bourrés à ce moment, on y retourne et on débat sur ce qu'on va pouvoir faire de tout ça jusqu'à ce qu'un pote file un grand coup de tatane dans le bidon de sang, éclaboussant bien nos blouses et mettant fin à notre petit jeu, parce que ça va bien un moment mais on veut pas attraper le sida de la vache non plus
On repart donc dans des petits sentiers jusqu'à se retrouver bloqués par des ronces. On sort nos portables en tentant d'éclairer le chemin et des buissons à côté sort un énorme "GRÜÜÜÜÜÜÜIIIIICKK " suivi de l'apparition d'un bordel de sanglier juste devant nous. On cherche pas à comprendre et on se tire le plus vite possible, le plus faible ou le plus gros se fera piétiner, il avait qu'à pas taper autant dans les chips, Darwin über alles et tout ça.
 
Par chance, ou parce qu'en fait, on était pas si loin que ça, notre course nous emmène à l'orée de la forêt (mais pas dans le bon sens, ça aura ses conséquences) et on se pose sur des troncs pour se remettre de nos émotions. Il doit alors rester 50 centilitres dans la bouteille et je la monopolise, les autres n'en voulant plus. Je me sens bien, jusqu'à ce qu'on se relève pour rentrer. A partir de cet instant, cher lecteur, tout est un peu flou jusqu'au lendemain matin, je vais néanmoins essayer de transcrire les faits tels qu'ils se sont passés. On se remet donc en route et je commence franchement à tanguer voire à atterir avec panache sur le sol. Deux potes essayent de me soutenir mais je n'ai pour seule envie que de m'étaler par terre et de dormir en attendant que ça passe. Pour rentrer sans devoir repasser par la forêt, on ne pouvait prendre qu'une portion de route nationale sur quelques deux kilomètres. Toutes les voitures qui passent se font hêler par des "PUTAIN DE POLONAIS " de ma part (je sais toujours pas pourquoi, mais tant pis) et je discours sur l'URSS en chantant l'hymne soviétique avant de conseiller un pote sur sa vie sentimentale parce qu'il ne sait SOÏOUZ NEROUCHYMYÏ pas ce qu'il RESPOUBLIK veut. Je ne sais pas combien de temps a passé jusqu'à ce qu'on puisse rentrer, couverts de boue, d'herbe, de ronces et de sang, mais je me rappelle encore ma tête au-dessus d'une énorme poubelle à gerber pendant presque une heure et demie avant de m'évanouir.
 
Le lendemain, je me réveille et suis persuadé d'être chez les flics sans trop savoir pourquoi. Mais il n'y a pas de moquette, chez les flics. Je suis en fait dans la salle de bains (oui, il y'avait de la moquette dans la salle de bains) et une tête dépasse de la porte : la mère de mon pote.
 
"- Bonjour
- Non mais j'ai, euh, on a, euh, fait un pari, j'ai perdu et j'ai, euh, dû dormir ici
- Bien sûr"
 
Je sais pas si ma blouse couverte du mélange cité ci-dessus plus les effets de ma régurgitation ont fait un si bon camouflage, finalement. Et je n'ai plus bu une seule goutte de vodka pendant quatre ans après ça. Voilà voilà, c'était un pavé

Enorme en effet
J'ai deja passé 3 heures dans une foret à essayer de retrouver mon chemin sans lumiere... au final j'ai decuvé, et ça m'a completement niquer ma soirée

C'est une classique je pense.  
A 16  ans, on s'etait pris une ptite mine a la Kro dans un bois a une dizaine de bornes de chez moi, des gens plus vieux (25 30 balais) s'etaient incrustes avec un shilom, une latte et s'etait la fete dans mon cerveau.  
En allant pisser dans les bois, j'entends des bruits hostiles venant du groupe, je vois donc une scene un peu tribale ou le feu au loin plus le ton qui a l'air de monter () et jme dis que ca se trouve ce sont les flics qui font leur ronde.  
Les bruits se rapprochent de moi donc je fuis plus loin... Erreur : je me gaufre dans des ronces
Ne pouvant pas revenir vu que je psychotais sur ce qui avait pu se passer au feu de camp, je continue tout droit a tatons dans les bois et debouche une bonne heure apres sur une route.  
J'ai du mettre deux trois heures pour rentrer chez moi...    
 
Jvous detaille pas la gueule de mes jambes le lendemain apres ma petite "balade" en foret...

J'ai vécu la même en forêt, m'étant pris un rateau auprès d'une nana lambda que je connaissais pas une heure avant, et complètement torché à la vodka, j'avise la forêt toute proche. J'y vais en me disant, "je vais pas m'enfoncer dedans, je reste proche de la civilisation pour pleurer mon malheur ".
 
Evidemment, je vais trop loin.  
 
Plus de lumières, plus rien ... J'entends des bruits. J'ai couru persuadé d'être poursuivi par des loups en plein finistère. J'ai fini par me rendre compte que je tournais en rond pendant une heure, et j'ai suffisamment décuvé pour retrouver mon chemin, couvert de sueur et jurant, mais un peu tard, qu'on ne m'y reprendrait plus à aller dans ces saloperies de forêts ...

Moi c'etait y a 3 mois  

Magnifique, ça mériterait bien une alerte qualitay
 
Super bien raconté en plus.

Merci²
 
J'en ai d'autres de la même époque (ouais, pas de teaser, je sais, la flemme tout de suite ) mais y'a p'têt moins matière à jouer au Père Castor avec. Mais plus de poupée gonflable, je verrai
 

 
   
 
Fumer la nuit en pleine forêt loin de tout, rien de mieux pour flipper    

_Nev

Ce topic    
 
Une petite, j'en raconterais d'autres demain (ou après demain)
 
Jeune conducteur, 4 potes et moi décidons d'allez faire une soirée sauvage près d'une belle rivière de montagne, on est mi-septembre si mes souvenirs sont bons, on ce gare a coté d'un lac, et ont y trouve un parc pour enfant (qui va avoir son importance) on fait pas attention, et on décide de ce charger et de trouver un coin tranquille!
 
Premier problème, porter tout l'alcool, en bagnole c'est facile, a la main, c'est différent, du coup, ont prend tous une bière, et ont charge le reste dans un duvet    on marche pas mal et ont croisent d'autre gens qui nous regardent déjà bizarrement (duvet vert, remplie d'alcool + nature, y ont du nous prendre pour des porcs)  
 
Arrivé a une sorte de clairière ont ce pose, l'herbe est verte, la rivière bien transparente, il fait frais, mais largement supportable, on plantent tous nos tente et ont s'aperçois que c'est hyper humide, tant pis, ont est là pour boire....
 
Donc on attaque fort, tout doit partir, la nuit tombe, et on a la dalle!
 
Premier problème ont est tous péter, c'est tremper, et y en a pas un qui a les capacités pour allumer un feu, on galère, mais il fini par jaillir une joli petites flammes, qui s'éteint rapidement, hé oui, le bois humide ça brûle mal  
 
Pas de souci, j'ai repérer une tas de bûche dans le village plus haut. On remonte donc a 2 en mission bois, on grimpe dans la voiture et go village...
 
Arrivé devant le tas de bois, je fait une marche arrière pas trop loin, j'ouvre le coffre, et la on court vers le tas de bois, et un, deux, et trois allez-retour nous suffiront a piller le tas, je me retourne une dernière fois et vois un type ouvrir un rideau  , on sautent dans la voiture, et gooo le lac le plus vite possible    
 
Ont arrive ultra fière au campement, le problème, c'est que faut du feu pour enflammer les bûches.
Qu'à cela ne tienne, on remonte au lac, a la recherche de bois sec, et on fini par s'amuser sur les jeux pour enfants, en essayant de renverser le moins d'alcool possible... au final un pote me pousse sur la barrière du parc, et cracc, tout le coté s'affaisse (petite barrière en bois léger, de 40cm de haut)
 
Ni une ni deux, on enlève tout ça, et go campement, ou ce fini la soirée, toute la barrière y est passée, les bûches, elles sont rester sur place, non brûler.
 
Le lendemain on a pas mi 20 minutes a partir, le reste de barrière calciner était trop compromettant pour ce permettre de traîner  
 
voilà pour la petite histoire.