Reprise du message précédent :

GP5000 Tubeless en 28 ici, et très content.

 
Je pense que le minimum chez conti c'est le grand sport Race.

Notre légende de l'ultra distance actuellement lancé dans une folle aventure
En photo 8
https://www.instagram.com/p/C9C6iAZ [...] RveHQ2cQ==

Le live
https://owaka.live/elevation-vercor [...] zSMI6FTTAw

Sortie un peu plus longue que d’habitude (je dépasse rarement 70-80km)
 
Un grand merci à ceux qui m’ont conseillé les GP5000 en 28
 
Vraiment mieux que les Gavia en 25 que j’avais en terme de confort et peut-être même de rendement

ah oui c’est vrai qu’il m’en avait parlé son plan c’était : « je me mets minable »

 
Il ressemble un peu à : https://www.youtube.com/@ridesofjapan/videos

oh ils ont carrément fait un post sur lui !

https://www.instagram.com/p/C7OP6BS [...] BiNWFlZA==
 
Sur tous les participants (ou une grosse partie) j'ai l'impression

chut, laisse-moi croire que c'est une VIP

une personality

intéressé par la différence d'usure (éventuelle) entre un GP5000 tubetype et tubeless, à l'arrière dans une pratique/gabarit similaires. Tu pars sur le STR je suppose ?
Tu nous diras ça dans quelques milliers de km

J'essaierai un jour ces légendaires GP5k. Les Michelin PowerCup sont pour l'instant mes "meilleurs" pneus, mais j'ai effectivement l'impression qu'ils s'usent vite (et pourtant je fais tourner les différents vélos).
 
Ali

J'ai des GP 5000 qui m'attendent. Et des Roubaix Pro. Mais je roule encore encore sur du stock de GP 4000 II S. Tout en tubetype évidemment.    
 
À chaque fois que je prends des chemins qui finissent immanquablement par défoncer les pneus je culpabilise de pas me bouger le cul et de pas équiper une deuxième paire de roues avec des pneus plus passe-partout    et d'en changer selon les sorties. J'ai ce qu'il faut en plus et c'était le plan avec les Roubaix Pro. Mais faut le faire. Et puis après ça fausse tout le suivi kilométrique dans Strava qui sait pas gérer (c'est déjà tout pourri avec les séances indoor ceci dit). Et puis faudrait aussi que je bouge le capteur de vitesse en m'explosant mes doigts de fée entre les rayons (c'est clairement pas viable, la bonne option sera d'en acheter un deuxième). Braÿf...    
 

 

 
Avec une petite semaine de recul, à mon tour de me lancer dans le CR de la Marmotte 2024, qui pourrait être sous-titré "la double rédemption"
 
Ma journée de samedi dernier a beaucoup ressemblé à celle de crami mais j'avais surtout envie de partager ce que j'ai appris depuis ma première participation et changé dans l'approche de l'épreuve après mon semi-échec de l'an passé (CR ici : https://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t68722580)  
 
1er changement : la préparation physique
 
J'ai vraiment commencé la prépa début mars en mettant l'accent sur le volume en Z2 et surtout l'entraînement à sweetspot puis quelques séances de PMA à partir de fin avril.  
 
Côté sorties longues, je me suis limité à des sorties de 4-5h, avec une sortie de 6h fin mai. J'ai chopé un virus qui m'a mis à plat pendant 15 jours début juin, donc je n'ai pas fait de sortie de plus de 3h dans les 30 jours qui ont précédé l'épreuve, et ça ne m'a pas empêché de rouler près de 9h en finissant plutôt bien, à mon avis l'essentiel était fait avant.
 
Ce qui m'a le plus aidé physiquement c'est vraiment le volume réalisé > Z2 et en particulier à sweetspot, majoritaitement sur home trainer vu que je n'ai pas de relief adapté à proximité de chez moi. Il faut se préparer à une journée où on passe (selon le niveau) entre 5 et 7h en prise dans des pentes majoritairement entre 6 et 10%, donc c'est important d'accumuler du temps dans la zone d'effort correspondante et de se sentir à l'aise et résistant en Z3.  
 
A refaire, je ferais encore plus de sweetspot et des 3x1h un peu en dessous, en Z3 / allure col, sans forcément chercher à faire des sorties très longues (maxi 4-5h, pour moi ça suffit)
 
2ème changement : l'alimentation
 
J'avais touché les limites de ma routine d'alimentation l'année dernière, avec du solide uniquement (barres, pain d'épice, pâtes de fruit) assez difficile à assimiler à une intensité col. J'étais arrivé à 40g de glucides par heure en moyenne en ayant l'impression de passer mon temps à manger, et ce n'était pas assez sur une épreuve aussi longue. J'ai par ailleurs du mal à tolérer une boisson trop sucrée ou une boisson d'effort trop concentrée, ce qui limite la prise de glucides par ce biais. Il fallait changer.  
 
J'ai commencé à tester des gels dès la fin de l'hiver sur mes sorties longues pour trouver ce qui me convenait. Je n'ai pas trouvé mieux que les SIS Beta Fuel : 40g de glucides par portion, non écoeurant, immédiatement assimilable avec une très bonne digestibilité.
 
A 2€ l'unité, c'est un produit de luxe à réserver aux grandes occasions mais soyons clair, c'est magique.  
 
C'était la base de mon plan d'alimentation pour l'épreuve, avec 1/2 gel toutes les 30/45 minutes et du solide en haut des cols. J'avais aussi prévu des sandwiches au jambon comme l'an dernier, à manger en haut des cols pour casser le goût sucré. Je les ai oubliés dans le frigo avant de partir à 6h du mat et ils m'ont beaucoup manqué
 
J'ai complété avec les gels caféinés coca de chez D4, un poil plus sucrés au goût mais excellents
 
Globalement, je suis parti sur un plan de 60g de glucides par heure et je suis parvenu à le respecter au gramme près. Je pense que pour moi c'est le minimum pour maintenir un niveau d'effort constant dans les cols sur une épreuve aussi longue et exigeante, et encore, j'ai eu un coup de mou dans le Galibier après 5h30. L'idéal doit être de pouvoir se rapprocher des 80g par heure, mais je n'y étais pas préparé.
 
3ème changement : le capteur de puissance
 
Je pense que ce n'est pas indispensable si on a pas de billet à y mettre, mais dans le cas contraire c'est un vrai plus. Je me suis vraiment rendu compte de deux choses en roulant avec un capteur :
 
1) mes sorties longue en Z2 étaient trop cool (on baisse facilement d'intensité au bout 2h-3h, sans vraiment s'en rendre compte)
 
2) en conditions réelles (donc sorti de Zwift) la puissance varie énormément : même en se connaissant très bien, c'est vraiment difficile de lisser l'effort pour s'approcher de ce qui se passe dans un col régulier, à cause de plein de paramètres propres à chacun aussi bien qu'extérieurs (sensations, vent, variations de pente...)
 
Pour la Marmotte, j'ai pu me faire un plan d'allure avec une cible de watts pour chaque col. Je partais sur une cible à 75-80% de FTP pour le Glandon, ce qui par expérience me paraissait le maximum acceptable en terme d'allure pour ne pas me cramer sur 8-9h.
 
4ème changement : le mental
 
Sans doute le plus important avec la bouffe. Comme toutes les épreuves longues, la Marmotte est une épreuve mentale avant d'être une épreuve physique. Après avoir dû renoncer au pied de l'Alpe l'an dernier, le fait d'y revenir n'était évidemment pas indifférent pour moi, donc j'ai pas mal réfléchi à cet aspect-là.  
 
La différence par rapport à ma première participation, c'est tout simplement que je me visualisais sur la ligne d'arrivée. Ca ne m'a pas empêché de frôler le DNF encore une fois, mais cette fois-ci, j'étais confiant sur le fait d'aller au bout.
 
Marmotte 2024 : le récit
 
J'ai réussi à motiver un pote cette année, il est en sortie de Covid et part dans le sas derrière le mien, autant dire qu'on ne va pas beaucoup du tout rouler ensemble. On a décidé de faire chacun notre cyclo et de s'encourager par messages interposés
 
Je pars dans le même sas que crami, à 7h30, et le speaker nous casse effectivement bien les couilles. Départ rapide sans excès en accrochant un groupe, je prends un relais sans appuyer, on arrive vite au pied du barrage.  
 
J'apprécie toujours autant le Glandon, en particulier de ce côté, le pied dans les gorges, les paliers successifs, la lumière qui monte petit à petit... ça peut paraître paradoxal, mais je pense qu'on ne peut pas le faire dans des conditions plus calmes que sur route fermée dans ce genre d'événement de masse. On est au milieu de 70, 80 cyclistes à tous les étages de la montée, et pourtant tout ce qu'on entend c'est les oiseaux qui chantent et des boîtiers de pédaliers qui craquent
 
Je me cale à ma cible de watts, à ma limite Z2/Z3, j'essaie de tourner les jambes autour de 80-85 tpm, et ça grimpe plutôt bien. J'arrive à la bifurcation avec la route de la Croix de Fer 2h05 après avoir franchi la ligne de départ, soit 20 minutes de mieux que l'an dernier.
 
20°C à 2000 mètres au col du Glandon, l'atmosphère est déjà lourde, le ciel couvert. Après 30 minutes de descente, je remplis les bidons à Saint-Etienne de Cuisnes, et une autre épreuve commence.  
 
Le vent souffle à 50 km/h en Maurienne, de face, avec des rafales à 60/70. Il va falloir faire 20 km dans une soufflerie géante, en y laissant le moins de plumes possible
 
Je me retrouve rapidement décroché et isolé entre deux groupes et décide de faire l'effort dans une petite bosse pour recoller à un peloton de 30-40 personnes devant moi. J'y arrive juste avant la bascule et décide de garder les roues à tout prix, même si ça m'oblige à entrer en zone rouge.
 
Le vent est complètement invraisemblable, on est tous courbés dans les drops, en file indienne. Impossible de remonter ne serait-ce que pour tenter de prendre un relais mieux se cacher. J'essaie de m'abriter au maximum en me déportant à gauche ou à droite selon les moments, mais c'est délicat sur route ouverte, avec une bordure de trottoir présente par intermittence sur la droite, et de toute façon le vent tourne tout le temps
 
Dans les quelques faux-plats montants, les rafales sont telles qu'on se retrouve parfois quasiment à l'arrêt, puis il faut remettre 5W/kg pour ne pas perdre la roue devant, ça frotte, c'est nerveux, ça s'engueule, c'est interminable et pourtant ça finit par se terminer en arrivant au pied du Télégraphe. On a parcouru les 20 km à 1% à 23 km/h de moyenne
 
Il fait 30°C au pied du Télégraphe, c'est ici précisément que j'ai explosé l'année passée, et autant être clair, je suis pas venu pour que ça se reproduise
 
J'attaque le col à bon rythme, ça explose de partout dès la première rampe, c'est pas beau à voir. Plus ça monte, plus je double, les jambes tournent toutes seules, les sensations sont excellentes. Je repense à mon calvaire de l'an dernier mais ça me paraît bizarrement irréel et lointain, je suis euphorique au point de devoir me raisonner pour ne pas pousser plus
 
Il commence à pleuvoir, une petite pluie agréable, la température chute de 30 à 25°C, de 25 à 20°C, c'est une bénédiction.  
 
J'en termine en tout juste moins d'une heure, 20 minutes de mieux que lors de l'édition précédente, la revanche est prise
 
Pause ravito au sommet du Télégraphe où j'entame le deuil de mes sandwiches oubliés avec une poignée de TUC
 
8 minutes de descente vers Valloire et je décide d'enquiller le Galibier sans faire d'arrêt au ravito. La petite bosse à la sortie de Valloire se passe bien, ensuite la pente s'adoucit vers les 5-6% et tout à coup je me sens moins bien. Est-ce que je paye mon euphorie du Télégraphe ? Est-ce que c'est la fatigue qui s'installe après 5h30 de course ? Est-ce que j'ai raté quelque chose au niveau de l'alimentation ?  
 
En fait, on est à mi-parcours, et c'est ici que la vraie Marmotte commence, celle qui se joue dans la tête, en haute altitude et sur les plus fortes pentes. Le grand Galibier, c'est 35 km à 5,5% depuis la Maurienne, 2000 mètres de D+ cumulés en une ascension, avec moins de 10 minutes de récup au milieu. Il n'y en a pas beaucoup des comme ça en Europe...
 

Avant Plan Lachat
 
Je décide d'essayer de me réguler un maximum sur cette portion à 6% pour tenter de manger et de récupérer avant Plan Lachat et les gros pourcentages du Galibier, mais comparé à l'an dernier, le vent n'est pas de dos, mais de face. Je tiens difficilement le milieu de ma Z2, la pluie s'installe
 
Arrive Plan Lachat, virage à droite, et on entre dans une autre dimension. Finis les petits ruisseaux qui bouillonnent et les oiseaux qui chantent, la haute montagne nous réserve un autre défi : plus on monte, plus il pleut, plus ça souffle. Je me maintiens tout à gauche en milieu de Z2, 20W sous ma cible initiale, au mental, et en sachant que ce sera long.  
 
On essuie de plus en plus de grains, vent de travers, pluie à l'horizontale, on atteint les premiers névés sur le bord de la route. Certains enfilent les coupes-vents, je mets les manchettes, il fait de plus en plus froid à mesure qu'on approche du col enneigé et de ses murs de glace.  
 
J'atteins le ravito au pied du tunnel en 1h50 depuis Valloire, et un peu plus de 3h depuis Saint-Michel de Maurienne.  
 
Je ne peux pas avaler grand chose, il fait froid. Le vent est tellement fort que l'organisation et la gendarmerie ont pris la décision de fermer le col, on passera par le tunnel.  
 
Je mets tout ce que j'ai, manchettes, coupe-vent, buff, j'allume ma lampe arrière et je m'engage
 
Plus la sortie du tunnel approche, plus ma vision d'un rideau de pluie continue à l'horizontale se précise, à tel point que j'ai de l'appréhension à en sortir (mon pote est passé 1h après moi et le tunnel était embouteillé, les gens n'osaient pas sortir)  
 
De l'autre côté, exposé Sud, c'est la tempête. La descente vers le Lautaret est une dinguerie, avec des rafales de côté qui nous déportent systématiquement, certains mettent pied à terre dans les virages. Je passe le Lautaret et la pluie redouble, vent de dos à 70 km/h, ruisseaux sur la route.  
 
J'ai beau être à l'aise en descente, je me crispe petit à petit, le froid n'aidant pas, et je vis le premier phénomène de guidonnage de ma vie dans une ligne droite à 70 km/h
 
Le vélo se met à osciller, gauche droite, mon cadre vibre comme une harpe, ça s'amplifie jusqu'à ce que j'ai l'impression de ne plus rien maîtriser. J'ai lu des trucs là-dessus, je sais qu'il ne faut pas freiner ni se crisper mais plutôt se relâcher, j'essaie de laisser le vélo faire sa vie et choisir sa trajectoire, comme en cyclo-cross, mais bordel c'est pas facile de se détendre à cette vitesse.  
 
Je parviens à reprendre le contrôle et décide de modérer ma vitesse même si ça implique d'être tout le temps sur les freins, d'autant plus que je commence à trembler de froid et que je ne vois plus grand chose à travers mes lunettes.  
 
Je les enlève, me concentre sur les trajectoires, essaie de relancer dès que possible pour me réchauffer, mais ces 45 km de descente me paraissent interminables. L'altimètre du Garmin est noyé, le GPS est perdu. Il n'y a pas de groupes formés, on descend tous un par un, frigorifiés, en essayant de rester sur le vélo. Je suis assez lucide pour me dire que la prochaine étape, c'est l'hypothermie, et qu'il va peut-être falloir aller me mettre en sécurité dans la voiture au Bourg d'Oisans, et peut-être abandonner une nouvelle fois...
 
C'était sans compter sur les dieux de la montagne qui, après le déluge, nous offrent l'éclaircie à partir du lac du Chambon  
 
Je m'arrête au soleil pour me réchauffer quelques minutes et finis la descente calmement, en reprenant espoir.  
 

Le miracle au-dessus du lac de Chambon. Tout au fond à gauche Barad-dûr, invisible derrière le rideau de pluie
 
Le Bourg d'Oisans, km 160. C'est ici que ça s'est terminé pour moi l'an dernier, à regret mais en accord avec mes limites. M'y revoilà un an plus tard et au-delà, c'est l'inconnu.  
 
Je suis déjà sur la ligne d'arrivée à l'Alpe d'Huez dans ma tête, mais c'est avec les jambes qu'il va falloir monter les 13 km @ 8,5% de moyenne. J'arrive au pied de la première rampe, c'est déjà considérablement plus loin que l'an dernier.  
 
Il fait chaud, 30°C, mais vu ce que je viens de vivre dans l'heure précédente, c'est inespéré, et je suis en mission  
 
Je commence fort dans les premières rampes vers La Garde (3 km @ 9,5%) à près de 1000 m/h de VAM, au-delà de ce que je pouvais tenir dans Glandon et Télégraphe.  
 
Je me sens étonnamment bien, de mieux en mieux à mesure que ça monte, je double des gens, puis des paquets entiers
 
Je relance dans les virages, puis après La Garde, à plus de 900 m/h, ça tient, les sensations sont incroyables, même si je finis par faiblir au bout d'1h à hauteur d'Huez. Je rallie le Vieil-Alpe en 1h10, je me dis que je vais le faire, il reste rien, quelques tunnels, quelques rampes, et voilà, les barrières, le dernier virage, la ligne, c'est fait ! l'Alpe en 1h15, après 7h30 de course, et la Marmotte en 8h50, c'est la joie, c'est l'émotion
 
Mon pote en finit un peu après moi, après avoir connu des conditions pires encore au Galibier (ça s'est dégradé au fur et à mesure de la journée)
 
Voilà, c'est la fin d'une belle aventure. Le mental a tenu et les jambes aussi, le pacing était bon, tout comme la gestion. Les 8h30 étaient très certainement atteignables avec d'autres conditions météo, j'aurais peut-être pu manger un peu plus, ne pas oublier mes sandwiches, être moins conservateur sur l'allure dans le Glandon... ça n'a pas beaucoup d'importance au final.  
 
Le parcours est toujours aussi splendide, aussi difficile, et la montagne imprévisible. C'est un must.  
 
Le Strava bien sûr (because it finally happened) : https://www.strava.com/activities/11768411920

Ce CR  .
 
Bravo !
 
J'ai de la chance de ne jamais avoir descendu de cols avec des temps merdique comme vous avez eu au Galibier, mon seul souvenir était un col sous la flotte mais pas de vent/froid comme vous où c'était presque l'apocalypse.

Bravo !      
 
Et super CR.

Ouaouh, le level de ces CR  

Ca marche, je n'oublierai pas de faire un feedback quand ils seront rincés. J'utilise bien la version STR.

Super CR !! Et bravo

Superbe CR
 
Perso, une descente dans ces conditions, j’aurais produit assez d’huile à partir d’une seule olive pour relancer toute la consommation mondiale

J'aime quand un plan se déroule sans accroc  

J'en ai bien chié, c'était plutôt vtt / portage  

il a fini !

Super CR, merci

Carbonized par la légende en personne    

toujours trop fort, j'y peux rien

CR    

Pour info :

Je pensais que c'était tous les cols toute la semaine

Ce CR  
Et cette perf aussi    
 
Ali

X-topic gravel pour des détails sur 350 kms et 10000 D+ de    
 
https://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] #t71004512
 

 
Joli CR, et bravo... avec le récit + quelques photos je me rends mieux compte de la galère côté météo...
Et ça explique en partie les chronos des mecs tout en haut du classement (bien qu'en passant quelques heures plus tôt, c'était peut-être "moins pire" pour eux niveau vent/flotte).

Bon mon edge 530 aura tenu un an avant d'avoir la malédiction du baromètre foutu après une sortie sous la pluie... échange SAV contre un reconditionné. La seule chose à faire c'est de revendre et prendre un bolt v2 ?

Ne pas rouler sous la pluie

ça a aussi flingué mon capteur 4iii  

Il n'y a pas de baromètre sur les Bolt ?
Mon v1 a pris quelques bonnes saucées, il altimesure toujours

Je crois que si mais c'est plutôt ceux de garmin qui foirent fréquemment...

Bravo pour la revanche lecyclistemasque, j'ai revécu ma galère avec ton C/R  !  
On a du être pas très loin l'un de l'autre jusqu'à Valloire.

Dakota 20  

Ça empêchera pas la pluie de mouiller  

Dites, sur https://garmin.bbbike.org/ vous choisissez quel fond de carte ?
L'autre jour je me suis retrouvé sur une voie verte non marquée sur la carte donc je m'interroge.
Merci

204 bornes ici vers le Touquet faire trempette avec du vent à l'aller et de la flotte

retour à plus de 25 de moyenne avec le vent dans le dos

5minutes perdues à aller chercher de la flotte à l'autre bout d'un cimetière

quelques photos là :
https://www.strava.com/activities/11832306238