Vietnam and the Philippines agreed on Jan 30 to boost cooperation among their coastguards and to prevent untoward incidents in the South China Sea, in an announcement during a state visit by President Ferdinand Marcos Jr.
 
The two South-east Asian countries have competing claims over some parts of the South China Sea, a conduit for US$3 trillion (S$4.02 trillion) of annual ship-borne trade that China claims almost in its entirety.
 
The agreement in Hanoi, details of which were not disclosed, could risk angering Beijing, which has deployed its vast fleet of coastguard throughout the South China Sea to police its expansive territorial claims.

Chine, le règne du mensonge

La Chine existe-t-elle ?

L'essai de plus de 300 pages commence d'ailleurs par une savante discussion sur ce qu'est la Chine, décryptant les débats les plus pointus des historiens. Car si la Chine paraît une évidence, à nous Occidentaux, elle ne l'est pas pour les « Chinois » – le terme n'existant pas en mandarin. Chine est en effet le nom donné par les étrangers. Zhongguo, le « pays » (guo) du « milieu » (zhong), désigne au fil des époques des États différents, dominés par des ethnies et des dynasties parfois étrangères, comme la cour des Qing mandchous. Zhonghua, qui figure dans les dénominations officielles de la RPC et de la « République de Chine » exilée à Taïwan, se rapporte, quant à elle, d'abord à la civilisation des plaines s'étendant de Pékin à Canton, qui se pensait elle aussi au centre, par opposition aux peuples barbares des périphéries.

Un réseau d’au moins 123 sites d’informations pro-chinois a diffusé des articles comprenant des attaques à l’encontre d’opposants chinois dans une trentaine de pays, dont la Belgique. Le groupe de recherche canadien The Citizen Lab a révélé mercredi ce réseau de désinformation.
 
Les chercheurs de l’université de Toronto ont dressé une liste de sites se faisant passer pour des médias locaux. Selon le groupe The Citizen Lab, ces sites sont gérés par l’entreprise chinoise de relations publiques Haimai. Parmi des centaines d’articles, on peut y lire des messages critiquant des personnalités qui s’opposent aux autorités chinoises. Des théories du complot préjudiciables aux États-Unis et leurs alliés ont également été publiées, rapportent les chercheurs.
 
The Citizen Lab appelle cette opération « Paperwall » et affirme que les sites sont déguisés en sites d’information locaux. Un site actif en Belgique, sous le nom de domaine boicpost.com, présente ainsi des articles provenant de l’agence Belga ou des médias néerlandophones Het Nieuwsblad, Het Laatste Nieuws ou De Standaard, entre autres. Le site récupère ces articles locaux grâce à une technique appelée « scraping ». Ces publications sont mêlées à des reportages des médias d’État chinois, des publireportages et de la désinformation.
 
Les premiers noms de domaines autour de cette opération ont été enregistrés en 2019, les derniers en 2023. Bien que l’influence des sites soit « négligeable » jusqu’à présent, les chercheurs parlent d’un « risque accru » à l’avenir.
 
« Paperwall » a opéré dans trente pays d’Europe, d’Asie et d’Amérique latine. Des experts préviennent dans le rapport de The Citizen Lab que les détracteurs de la Chine critiqués sur ces sites peuvent subir de graves répercussions, notamment du harcèlement en ligne.

The nearly 50-page report comes as US-China tensions over Taiwan and other key issues remain high and shows how central cyber operations could be to Chinese efforts to hobble US infrastructure in the event of a conflict between the two superpowers, according to US officials. The report would be the most detailed disclosure yet by the US government of the hackers’ stealthy techniques, one aimed at helping private owners of critical infrastructure spot the Chinese hackers in their networks.
 
The hackers’ presence in critical US networks has sparked a monthslong effort by US national security officials to kick the hackers out.

VW Sues To Crush German Dealer’s 22 ID.6 EV Imports From China

The ID.6 is exclusively available in China as part of the rapidly expanding ID sub-range from the German brand. Essentially, it’s an extended-wheelbase version of the ID.4, about a foot longer, with three rows of seats accommodating up to seven people. It’s available in two flavors, the ID.6 X and ID.6 Crozz. In China, prices for the ID.6 start at ¥259,888 or US$36,500 / €33,700, while in Germany, the smaller wheelbase ID.4 starts at €40,335 or $43,600.

La Chine est-elle en passe de rattraper son retard en matière de semi-conducteurs ? “Les champions chinois des puces prévoient d’entamer la fabrication de processeurs de smartphones dernière génération, malgré les efforts des États-Unis pour restreindre le développement chinois en matière de technologies de pointe”, écrit le Financial Times.
 
Selon les informations du quotidien britannique, Smic (Semiconductor Manufacturing International Corporation), premier fabricant chinois de composants électroniques, s’est lancé, à Shanghai, “dans la production en série de puces conçues par le géant de la technologie Huawei”, qui équipent ses smartphones dernière génération.

Ces nouvelles puces de 5 nanomètres sont, certes, “une génération en dessous” des plus avancées (à 3 nm), mais l’initiative “montre que l’industrie chinoise des semi-conducteurs continue de progresser, malgré les contrôles à l’exportation”.
 
D’ailleurs, note Bloomberg, le fabricant chinois annonce ce mardi 6 février un bénéfice trimestriel “supérieur aux prévisions”, à 174,7 millions de dollars au quatrième trimestre 2023, “grâce à la forte demande de smartphones de Huawei”, et avec un chiffre d’affaires de 1,68 milliard de dollars.
 
“Le fabricant de puces chinois a joué un rôle déterminant dans le redressement surprise de Huawei l’année dernière en produisant des processeurs à 7 nanomètres” pour ses smartphones. Ses puces ont aidé le constructeur à “revenir sur le marché des smartphones 5G après des années de sanctions américaines qui ont limité son accès aux puces avancées”, explique le média économique américain.

Les États-Unis voulaient empêcher l’industrie chinoise d’accéder à la technologie de pointe. Un rapport de la Commission européenne observe que les plus grandes entreprises chinoises “ne cessent d’augmenter leurs dépenses en recherche et développement, éclipsant leurs homologues européennes pour se classer en deuxième position derrière les États-Unis en 2022, sous l’impulsion de géants de la technologie tels que Huawei”, rapporte Nikkei Asia. Les quelque 2 500 firmes mondiales examinées par la Commission ont dépensé 1 250 milliards d’euros en 2022, la Chine représentant 17,8 % du total (4,3 % en 2012), contre 17,5 % pour l’Europe et 42,1 % pour les États-Unis.