Reprise du message précédent :
Ah ok, je vois bien de quoi tu parles

La solution est peut être aussi de manger différemment tout court. La malbouffe, c'est rapide, gras, sucré, ça satisfait le palais immédiatement.
Mais je t'assure que tu pourras trouver un plaisir aussi grand et même supérieur en mangeant de la vraie bonne nourriture, parce que le palais, ça s'éduque aussi, sans parler du plaisir de la préparation quand tu cuisines et celui de savoir que tu fais du bien à ton corps.
Evidemment je ne te parle pas de manger des légumes verts surgelés bouillis, mais de découvrir de nouvelles saveurs. Pourquoi ne pas tenter un bon resto de poisson, par exemple ? En mangeant "normalement" niveau quantités (aka genre menu normal et en voyant de retour chez toi si tu as vraiment encore besoin de manger).

 Les épices m'ont énormément aidé à me passer de malbouffe, de sucre, de sel.
Je trouve qu'elles sont très peu utilisées dans la cuisine "traditionnelle" Française.
 
 Je m'approvisionne sur ce site : http://meszepices.com/
 
 Découvert sur ce sujet : http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0
 
 
 
 

Gros +1

J'ai un palais. Mais la cuisine raffinée ne remplace pas la malbouffe, elle vient en complément

Pourquoi stp ?
 
 
Moi, ce qui m'a aidé c'est de ne pas stocker de nourriture prête à manger chez moi, plutôt des ingrédients à cuisiner. Au moins, pas de tentation. Si j'achète un lot de biscuits salés, il va être mangé aussitôt, donc je n'en achète pas. La deuxième chose c'est le sport. Au début, j'ai repris le sport pour compenser, dans ma tête ça me permettrait de continuer à manger autant voire plus. Mais le sport régule, j'ai moins faim après un effort

Et parfois le problème se déplace. Chez moi ça s'est transformé en achats compulsifs

Bon ici, ça va faire un peu plus de 2 semaines sans faire de crises. Même durant les phases d'ennui à la maison.
J'ai toujours pas acheté les bouquins mais ça ne saurait tarder. J'arrive à manger à ma faim, des aliments sains qui me plaisent sans avoir le sentiment d'être privée de cochonneries. J'espère continuer ainsi!
Par contre je fais toujours cette putain de fixette sur les glucides. Là je culpabilise parce que j'ai l'impression d'avoir manger trop de riz à midi (alors qu'il y en avait une quantité raisonnable avec des légumes)    
Encore une fois, j'en viens à diaboliser des aliments avec l'idée que d'en bouffer aura immédiatemment des conséquences néfastes sur mon organisme et que je dois donc me purger...
 

 
Putain, je crois que ça commence à devenir mon cas    
En tout cas je ressens de plus en plus le besoin d'acheter (sans toujours le faire cela dit) depuis que la nourriture n'est plus vraiment un exutoire.

J'essaye de faire gaffe quand même en me posant la question si cet objet va réellement me servir ou non. Ça allège le panier mais j'ai l'impression qu'il n'y a jamais ce qu'il faut a côté de ça j'epargne un peu chaque mois (merci les virements automatiques )

Sinon je comprends pour la diabolisation des aliments j'ai eu la même chose ça s'est amenuis en lisant le livre d'apfeldorfer. Je n' en suis pas à manger des petits pains mais il m'a réconcilié avec les yaourts au lait entier que je ne voulais plus toucher du tout Et puis quand tu veux faire un cheatmeal tu prends du sucre et du gras de qualité et tu savoures encore mieux Le soucis c'est quand ça devient assez régulier (j'ai envie de ça puis ça puis ça ) un moment faut appuyer sur stop

Pour les glucides je ne sais pas quelle est ta proportion mais généralement la dose ideale c'est l'équivalent d'un verre en cru (pâtes/riz non cuites) ou 4 à 6 cuillères à soupe en cuit (chez moi c'est 5 ). J'ai diminué progressivement au profit de plus de légumes ça s'est fait presque naturellement.

En ce moment je travaille sur la "séparation" où je dois m'arrêter de bouffer quand je n'ai plus faim et laisser ce qu'il reste sans culpabiliser. Habituellement je suis quelqu'un qui a horreur du gaspillage quand j'ai vu ce passage dans le livre j'ai fait les gros yeux.

Le soucis c'est au niveau de la logistique chez ma mère (cross topic famille). Ayant connu la famine dans son enfance elle a tendance à stocker et cuire en grande quantité alors qu' on est que deux, résultat plein de bouffe dans le frigo, râle parce que je suis devenue lente à manger et que je mange moins du coup il y a encore plus de bouffe dans le frigo. Et qu'importe les limites de conservation si ce n'est pas bouffé au bout de 2/3 jours et si ça ne l'intéresse pas, "comme il y a trop et qu'il faut aller vite" c'est jeté.

Déjà rien qu'hier j'ai laissé un peu de salade de fruits/compotes n'ayant plus faim, je me dis que je le mangerais le lendemain je vois aujourd'hui que c'est parti à la poubelle c'est un peu ce que je dois apprendre, "tant pis" si c'est jeté. Même si quand j'aurais mon chez moi je ferais autrement (et ça sera plus facile à gérer je pense).

Idem avec le poulet, un entier pour deux il y en reste encore sauf que je n'ai pas envie d'en bouffer. J'ai sauvé mon cordon bleu quorn et mes pains naan sous vide en les congelant faut espérer que ça reste (oui parce que si ça traîne trop au congélo c'est pareil ). Et prier que mon deuxième fromage trappiste reste dans le frigo ça se conserve bien ce truc bordel

A part je me rends de plus en plus compte qu'on vit bien en surabondance de malbouffe c'est toujours mieux que la famine certes mais bon...  ce n'est finalement pas toujours de notre fait, ce déséquilibre entre surabondance/famine, c'est le système qui veut ça et l'on n'y est pour rien. Nous on a juste à gérer notre estomac et notre porte monnaie

Oui, clairement les changements se font assez naturellement. En ce moment j'ai plus envie de mes paquets de m&m's après le repas (je les ai troqués contre le combo noix/fruits secs).
Je mange des légumes tous les jours sans problème. La contrainte pour moi par contre c'est le fait de devoir cuisiner (je déteste ça) et devoir faire mes propres courses. Je trouve ça assez peu évident quand on ne vit pas seul. Mais bon, je me force. Du coup, je mange de moins en moins les plats préparés par mère. Puis de toute façon, le soir, je mange naturellement peu parce que j'aime pas dormir le ventre lourd donc c'est facile.
 
Pour les glucides: en fait j'en mange uniquement le matin de façon générale. Actuellement je mange à la restauration de mon taff mais je crois qu'ils en mettent un peu trop quand il s'agit de féculents (d'où le fait que j'en prenne quasiment jamais mais aujourd'hui j'ai craqué   ).
Et comme toi, j'aime pas le gaspillage donc je mange tout . Mais bon, je ne mange pas excessivement quoiqu'il en soit et c'est déjà une grande avancée.
 
Par contre, j'ai peur des vacances, je sais absolument pas comment organiser mes repas dans ces moments là   .
Finalement, ce qui me fait un peu chier, c'est que manger est devenu un vrai casse-tête.
 
[mode discussion de comptoir]
Concernant la question de société de surabondance, en effet on en vit un peu les effets pervers qui sont la tentation permanente. Ca demande une grande maîtrise de soi de s'en défaire. Et puis ça ne concerne pas forcément uniquement la bouffe malheureusement [/mode discussion de comptoir]

Jai expérimenté un truc assez étonnant pendant mes vacances.  
 
Contexte : voyage en Mongolie, globalement on y mange que du mouton sous différentes formes (raviolis vapeurs, beignets frits, pâtés au mouton...)
 
Je pensais que j'allais rien manger car pas aimer, et en fait c'était plutôt pas mauvais. Sauf que rien n'était vraiment "très Bon". Et pas de fruits, pas de desserts, rien de tout ca.  
 
Et bien ma sensation de satiété a complètement disparue. Je pouvais manger des quantités énormes sans ressentir la satiété (alors que j'avais bien travaillé là dessus ces derniers mois et que Ca me posait plus trop de problèmes). Je pense que j'ai énormément trop mangé pendant ces vacances.  
Retour à la capitale y a 2 jours, on se remet à manger des choses plus classiques : hop, la satiété revient.  
 
Jai pas trop d'explications :
- soit cest le fait de manger une nourriture "inhabituelle" : mon corps a eu du mal à évaluer là correspondances "énergétique". Mais c'est pas la première fois qu'on voyage et ca ne me l'a pas fait les fois précédentes.  
- soit c'est le fait de manger une nourriture qui ne m'apportait pas complètement du plaisir : une sorte de recherche inconsciente du plaisir par la quantité plutôt que par la "qualité"?
 
Bref, je sais pas trop, mais Ca a été assez perturbant.

J'avais eu le même genre d'expérience chez ma belle-mère il y a une dizaine d'années: quatre semaines à manger du colin sauce tomate et du riz blanc exclusivement. Au bout d'une semaine j'en pouvais plus. Ca et l'odeur des gamelles de ses chats, j'avais plus faim.  
Je n'avais jamais été aussi mince.

Ben c'est plutôt tout l'inverse du coup non?

Ah merde, j'avais mal compris, je pensais que ton appétit avait disparu.

Pour moi, quand la nourriture n'est pas satisfaisante (ce n'est pas bon, ce n'est pas ce dont j'ai envie), y'a presque forcément envie de compenser derrière. Même si j'ai suffisamment mangé et qu'objectivement, je n'ai plus faim. En général, un carré de bon chocolat noir et ça roule ^^.
 
Sinon, j'en reviens à cette histoire de goûter et de réconfort. Je suis passée par vacances (dont 1 semaine où j'étais seule à la maison la journée) et aujourd'hui donc, reprise ! La semaine où j'étais seule à la maison, ça a été un peu nawak : Pas/peu de respect des sensations, grignotages, grignotages par désœuvrement/ressentiment (un peu agacée par mon conjoint) et forcément culpabilisation !! Le point positif malgré tout, c'est au niveau des quantités des grignotages, je suis moralement satisfaite avec des quantités beaucoup plus faibles qu'avant. J'avais pris l'habitude d'écrire un peu chaque soir sur mes impressions de la journée, évidemment, cette semaine là j'ai beaucoup moins écrit !
La reprise me faisait flipper parce que qui dit boulot dit "pas contente" mais au final, ça va (nous ne sommes que lundi ), je n'ai pas eu de grosses pulsions en rentrant.
 
Un truc sur lequel il faut que je travaille (et qu'il faut que j'arrive à accepter surtout), c'est qu'en fait, je n'ai pas un gros appétit. Je suis incapable de manger les quantités que je mangeais avant et parfois c'est un peu frustrant. C'est con mais ce n'est pas facile de gérer correctement les quantités et les envies !
 
/3615 mylife

Tenir un journal, même si ce n'est que quelques mots par jour, ça aide beaucoup    (pour identifier les circonstances des épisodes de TCA, mieux comprendre et donc anticiper, mieux cerner la véritable émotion du moment aussi)

 
Idem, il y a des jours j'ai souvent l'impression de ne rien bouffer alors que mon estomac est calé mais finalement je rencontre exactement la même problématique que j'ai dans d'autres domaines: devoir faire des choix qualitatifs et quantitatifs devant un grand champ de possibilités.  
 
En cherchant un peu je pense aussi qu'il y a des comportements alimentaires lié à l'environnement familial, parfois sur plusieurs générations. Ma mère a vécu la guerre et la pauvreté où elle était en sous-nutrition du coup il y a une grosse peur du manque.  
 
n'empeche je suis fascinée par les gens qui appliquent la méthode AZ naturellement (cf. Ma plus grande des nièces d'ailleurs très mince alors qu'à son age j'étais grosse. Un vrai modèle pour moi  )

bon allez, c'est parti pour 6 mois de line coaching  

avec un peu de chance je ferais aussi le programme sportif   ça sera peut-etre un début pour me motiver (je ne suis pas du tout fitness et quelque peu dégoutée du sport, merci les cours d'EPS )

Avec le questionnaire je rends compte que le cercle vicieux des émotions est embourbé avec celui des restrictions (je déprime -> je bouffe sucré/chocolaté -> je culpabilise d'avoir céder -> je me réduis -> je fini par rebouffer du sucré/du chocolat -> je déprime) tout va bien

à part ça l'ergonomie du site sur pc et tablette est pas mal, on s'y retrouve facilement. Par contre l'interface est peu lente à charger mais ça va. Il n'y a pas d'appli sur android mais j'ai mis un lien à l'écran d'accueil pour palier à ma fénéantise

Tu nous raconteras ^^.  
 
Je n'avais pas trop aimé le côté "scolaire" de la chose. Sans parler de l'échéance (fin de l'abo) qui met une forme de pression et de culpabilisation si on bloque sur un point (en tout cas, c'est comme ça que je l'ai ressenti)

ça ne me semble pas trop scolaire (pour le moment). Il y a juste la partie remplir le carnet de son comportement alimentaire à remplir pour la première semaine mais  
il est hyper court, t'as juste à cliquer sur les réponses et mettre 2/3 lignes d'impressions. ça me semble moins relou que semainier de priser alimentaire que je dois faire pour la diététicienne (je suis censé le faire sur 1 mois, je ne fais que 10/15 jours ). Ils ont l'air d'avoir saisie les grosses feignasses qu'on peut etre
 
Je comprends ce que tu veux dire pour le blocage de mon coté j'avais déjà appliqué pas mal de choses du livre d'apfeldorfer et j'ai finalement pris la formule 6 mois pour ne pas me mettre la pression.  
 
Pour le paiement tu peux le faire en plusieurs fois, en 4 échances, et j'ai programmé automatiquement mon e-mail de résiliation pour début mars    (merci right inbox )

Bonjour,  
 
Je suis nouvelle sur ce forum    
J'ai 20 et je souffre d'hyperphagie depuis presque 1 an. Depuis que je suis partie à l'étranger pour mes études je me sens extrêmement seule et je fais des crises à répétition... Je me sens très mal moralement, et fatiguée. Je me dégoûte lorsque je fais des crises mais ça ne m'empêche pas de recommencer le lendemain    
J'ai pris presque 8 kilos en 2 mois et j'ai très envie de retrouver le corps que j'avais avant.  
 
Avez-vous des conseils pour m'aider à stopper ces crises ?

tes crises se passent tous les combien de temps ? Tu manges quoi lors de tes crises ? C'est souvent les même aliments ?

 
En ce moment c'est presque tous les jours. Je suis seule dans un studio donc il n'y a personne pour me surveiller et m'aider...
Je commence par manger du salé à ma faim et puis je sors m'acheter du pain au fromage, pains au chocolats, glaces, gâteaux, yaourts etc et je me gave  
 
Je précise que ce ne sont pas des aliments que j'aime particulièrement mais je prends un peu n'importe quoi quand je suis dans le supermarché  

essaye de trouver  un loisir qui te permette de rencontrer des gens déjà si tu penses que ça vient du fait que tu te sentes seule.

Deuxiement, pour travailler sur l'hyperphagie, sans que ça soit un avis médicale mais juste basé sur mon expérience, il faut que tu travailles sur la longueur entre  deux crises et la quantité.  Je ne dis pas que que tout va s'arrêter du jour au lendemain, non, il faut faire les choses très progressivement.

Note quelque part dans un journal, tout ce que tu manges lors de tes crises d'hyperphagie et au fur à mesure, enleve   ce que tu peux enlever. N'enleve pas trop si tu va remanger plus deux jours après, non, fais le progressivement, très progressivement, de sorte que tu ne voies quasiment pas  de changement.

Pour la durée entre deux crises, si tu fais ça tous les jours ou 2 jours sur 3, essaie de resister mentalement en passant déjà à  1 jour sur deux puis progressivement , pareil espacer lentement les crises.

Mais bon avant tout, il faut bosser sur le côté emotionnel donc résoudre le problème de solitude...

Merci pour ta réponse  
 
Oui mon état a empiré depuis que je me suis retrouvée seule à l'étranger. Je comble des manques avec la nourriture.  
J'essaie de faire des rencontres mais c'est un peu compliqué    
 
Je vais effectivement noter ce que je mange, ça m'aidera.  

Petit retour sur les quasi 1an (en fait 11mois) depuis que j'ai arrêté de compter les calories avec MFP en essayant de me fier à mes sensations alimentaires.

J'ai quand même perdu du poids, même si tout doucement (moins de déficit calorique et je pense approcher/être de mon poids d'équilibre). Je n'ai pas eu de période de reprise de poids, même sur des périodes d'excès (Noël l'an dernier, les voyages où on mange au resto à tous les repas, etc...)

Il m'arrive encore de trop manger, et malheureusement pas toujours par plaisir :
- parfois "de rage" quand je suis énervée à propos de quelque chose, pour me calmer
- plus souvent à la recherche d'un plaisir qui n'existe pas (ce qui rejoint mon expérience de mon dernier voyage, voir quelques post plus haut). Dernier exemple en date : une fondue au fromage pas bonne. J'aurai pu en profiter pour manger très peu, au contraire j'ai trop mangé, comme si à chaque bouchée j'espérais trouver le plaisir que j'imaginais dans ma tête.

Ca me conforte dans mon idée que je ne dois manger que des choses bonnes

Drap, j'ai lu la FP ça m'a l'air intéressant

Étoile tu étais inscrite sur linecoaching?

Non, j'ai juste lu des bouquins d'Apfeldorfer (dont je préfère l'approche à celle de Zermatti, même si les différences sont très légères).

J'en suis à la phase d'observation des EME et j'ai beaucoup de mal à analyser ce qui se passe en moi.  
Je me suis quand même rendu compte que je ne mangeais jamais en ayant faim. Je trouve ça incroyable.

Bonjour je suis aussi en plein métabolisme pour manger.Avant je mangeais de tout et n'importe comment à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit.  
 
Ce qui n'arrange rien c'est que ma cantine du boulot c'est beaucoup de gras, frite, patates, steak haché gâteaux etc.  
 
J'ai diminué ma consommation de coca, j'étais de 1,5L à 50 CL, à 33 CL et là je suis à 25 CL de Zéro.
 
Le matin je me fais 100G de flocon d'avoine avec un lait de soja vanille et quelques goute du miel + 1 yaourt à au grec.
 
J'hésite avec le jus d'orange, ou autres jus du matin.Le midi je ne prends plus que le plat et un yaourt ou un fruit.
 
Le gouter c'est 4 tranches de blanc de dinde/Poulet et une pomme.
 
Le diner, je prends un filet de blanc de poulet 100G environ avec 80G de riz et 100/150 de haricot vert ou petit pois.Un yaourt activia 1H avant d'aller me coucher.
 
Mon PB c'est que parfois j'ai encore fin après mon repas du soir, j'aimerais me faire une entrée simple? thon /mais? Le matin est-ce conseiller de prendre un jus de fruit? si oui lequel?  
 
Je pense que le midi se serait bien de me faire un plat mais si je me fais le même que le soir ça va vite tourner à la même chose...Que me conseillez-vous? Merci

Tu n'es pas sur le bon topic, va plutot voir REF pour ce type d'approche

ça bug bien leur site aujourd'hui    

Le simple fait de parler de ça dans un topic veut dire qu'on aura des difficultés à perdre du poids..
 
Perdre du poids à mon avis c'est comme un suicide, si on en parle, on le fait jamais et tout au plus on vient chercher de l'aide, un soutien moral tout ce qui démontre que l'esprit est complexe et ce n'est pas avec des envies qu'on décide de changer des habitudes alimentaires sans point de satiété atteint..
 
Un exemple : Une personne que j'ai connu 80kg de muscles et avant 150kg de gras, il a bouffé du choux fleur tous les jours en plus de 15km chaque soir car il avait honte de son surpoids et ne sortait jamais le jour..
 
Peut être 3% des personnes arrivent à maigrir avec un mental d'acier..

maigrir au mental c’est le meilleur moyen de rechuter.

J’ai débuté là méthode Z avec le coaching en ligne en septembre : 105 kg et des poussières.
Aujourd’hui j’en suis 92 et des poussières.
Pas de frustrations, des « envies émotionnelles » evidemment mais content du résultat  .

Pareil, pas de frustrations, je respecte mieux ma sensation de faim, les EME ça dépend des périodes en revanche (quand c'est déprime sur le chocolat ) mais j'ai tendance à attendre ma faim.

Salut,

je cherche du conseil en nutrition.  

Je voudrais calculer la quantité de calories journalière X que je peux absorber pour perdre du poids jusqu'au niveau Y, tout en conservant un bon apport en vitamines / protéines.

Et le tout sans cuisiner si possible. Genre barquettes weight watchers s'il le faut.

Si quelqu'un peut me guider vers un site ou une app' pour commencer

-ps: j'avais pas vu que le topic était mort depuis 2018. Désolé pour le déterrage.

C'est pas le principe de comme j'aime ça ?

En tout cas compter ses calories n'est pas du tout l'idée du topic. Je tenterais plutôt côté REF (remise en forme)

 
 Ca ne répondra pas à ta question, mais la premiere page pourrait t'intéresser