Reprise du message précédent :

On peut méditer avec quelqu'un (du coup je suppose que c'est aussi possible en groupe, sans que ce soit chaqun qui le fait indépendamment dans son coin mais physiquement au même endroit).

Éventuellement, essayez. C'est assez heu... intéressant/spécial/déroutant.

Il y a un topic méditation d'ailleurs.

Je viens de finir le bouquin d'apfeldorfer ça m'a bien aidé j'avoue qu'il m'a réconcilié aussi avec les yaourts au lait entier (je n'en mange pas non plus souvent hein mais ceux là je les évitais comme la peste )

Je surveillais déjà les quantités et faisais attention à mes sensations de faim et satiété mais commençais à partir vers la restriction des types d'aliments, ce qui avait tendance à me faire pas mal déprimer (je complexe pas mal sur mon corps et surtout mon ventre, malgré pas mal de kg perdu je me vois toujours grosse).

Ça m'a permis de mieux comprendre les choses et de mieux peaufiner la méthode. Revenir vers une alimentation plus simple également parce que avec les délires healthy sur insta t'as l'impression qu'il faut passer ton temps à bouffer que du quinoa à la spiruline hawaïenne et aux graines de courges (et à la whey ).

Enfin concernant le sucre je suis d'accord avec colonelle pour dire que c'est comme une drogue  le sevrage (pas forcément supprimer mais juste réduire) paraît difficile quand on est habitué mais ce n'est pas si insurmontable que ça, faut juste prendre son temps et surtout ne pas culpabiliser en cas de craquage. Quand tu changes ton alimentation tes goûts changent naturellement.

Il semble un peu à l'abandon ^^
 
 
 
Sinon, vous pensez qu'on peut définitivement guérir d'un tca ?

Je ne pense pas  

Pareil.
 
Je pense que c'est un mode de "protection" spécifique développé.
On peut essayer de guérir de ce qui nous a fait tomber dedans, on peut travailler pour que ça soit un canal moins utilisé, mais je pense qu'on aura toujours une certaine "fragilité".

Ce n'est pas impossible mais ça reste rare je dirais (je parle surtout pour l'anorexie, que je connais mieux pour avoir eu un cas dans l'entourage).

Hello tout le monde.  
Je m'y remets lundi ET on m'a offert une balance
 
Je note étrangement que j'ai zéro fois zéro "envie de manger émotionnelle" à Quiberon

Idem ici.
J'ai tendance à penser que pour quelqu'un souffrant/ayant souffert de TCA, la nourriture restera toujours quelque chose à aborder avec précaution.

 
Pourquoi attendre lundi? Ce n'est pas censé être contraignant, est ce que justement ce n'est pas le bon moment pour reprendre?
 
 
Je ne sais pas si le terme de "précaution" est le bon.
Si jamais je "replonge", c'est que j'en aurai besoin. Finalement la nourriture m'a sauvé la vie en quelque sorte. C'est plutôt un allié que quelque chose dont il faut se méfier je pense.

Ah oui, un allié pour toi ?
Intéressant de voir qu'on a tous des visions un peu différentes du sujet

La nourriture m'a "sauvée", elle a "englouti" (littéralement) ce qui n'allait pas, jusque'à ce que je sois prête à m'en occuper.
C'est comme un antidépresseur, pourtant on se dit rarement que l'AD est un ennemi quand ça ne va pas.

Je suis assez sur cette ligne.
 
Pourquoi lundi ? Parce que je rentre dimanche. Mais en effet depuis la semaine dernière, je mange quand j'ai faim.

 
 
Ce que je voulais dire par là, c'est "pourquoi attendre un jour précis, un jour de coupure, alors que c'est quelque chose qu'il faut s'efforcer de faire tout le temps?"
Ca introduit une notion de "date couperet" un peu angoissante je trouve.

Moi je fais ça  avec les chocolats...
Lundi je remplace mes chocolats  par du fromage  blanc  et des fruits rouge.

Évidemment le mardi ça  recommence...

Oui, je comprends. Mais moi je vois ça comme un chouette projet pour me consoler de mon retour à Paris  

Punaise les exos sur laisser la bouffe dès que t'as plus faim sans culpabiliser du gaspillage

Ça va j'avance, je culpabilise moins mais j'ai l'impression de gâcher la nourriture, j'ai horreur de ça (j'évite de jeter mais même me dire que je remangerais demain voilà quoi )

Et à l'extérieur n'en parlons même pas

Voilà quoi ?
 
Au pire, tu peux congeler, non ? Après, ça permet aussi d'apprendre à se servir une quantité adaptée à son appétit ^^.

salut a tous
 
 
Comme beaucoup, je trouve aussi refuge dans la bouffe, et se lever la nuit pour descendre une plaquette
de chocolat et un paquet de petit gâteaux est un plaisir intense, le besoin d'être "plein".
Je suis en surpoids depuis toujours (?), mais depuis que j'ai arrête de fumer j'ai rajouté 30k de plus.
tant qu'on se sent bien ça va, mais quand on se sent "gros" c'est plus possible.
 
J'ai mis des garde-fou en place, il n'y a rien a grignoter chez moi, aucun plat tout fait, et si je veux grignoter
je ne peux trouver que des tomates ou alors il faut que je décongèle quelque chose et que je le cuisine.
Il y a l'alcool aussi, je suis handicapé et j'ai découvert il y a plusieurs années que l'alcool est une chose fantastique
pour mes douleurs, un voire deux verres et hop, je me déplace sans douleurs et une chape de sérénité me descend dessus.
Donc pas de réserves d'alcool non plus impossible de picoler en douce, j'ai trouvé d'autres moyens fumables qui me fond
un meilleur effet, mais qui ne sont pas sans conséquences, impossible de conduire (plus longtemps que l'alcool) et risque
de fringales, mais comme il n'y a rien a grignoter ...
 
Pour mes bonnes résolutions de l'année j'ai acheté deux balances, l'une pour me peser, et l'autre pour peser mes repas.
pour surtout apprendre à ne manger qu'une part, quand je me faisais une plâtrée de pâtes, c’était au pif et toujours trop bien sur.
et interdiction totale de l'alcool (je ne suis pas alcoolique, je raconte tout à mon médecin).
J'ai essayé aussi de manger plus raisonnablement des repas complets, et choisir une meilleur alimentation.
finit la cote de boeuf de 1k que je m'avale en deux bouchées.
J'ai limité la viande rouge au maximum, le soir une soupe chinoise maison, j'ai 15l de bouillon en réserve dans le congelo
et des petits sachets individuels de pa^tes et légume pour l’accompagnement, c'est quasiment aussi rapide a faire que celle toutes faites,  
et meilleur sur tous les plans.
 
résultat, perte de 15k hyper rapidement, en près de 3 mois, puis un palier dur a passer et 5k perdus sur les 3 mois suivants.
j'essaye de faire un peu de sport en plus, mais c'est pas facile vu ma santé.  
Ca fait donc une vingtaine de kilos en 6 mois, alors que je m’étais donné 15k a perdre sur l’année.
 
Malheureusement mes douleurs augmentent en même temps (je m’attendais au contraire), j'ai fait donc une pause pour juillet et août,
en essayer toujours de manger mieux, mais je suis moins strict. J'ai bien sur repris un peu, mais je suis le seul a m'en rendre compte,
car tout le monde me dit que j'ai encore maigris, peut être une meilleur répartition ???
Je peux profiter des bouffes de vacances bbq et autre, que je m’étais interdit.
 
Je me sens (malheureusement) un peu mieux, mais je reprend le ""régime"" a la rentrée, et je vais voir avec mon médecin et un nutritionniste
si il faut mettre en place un vrai régime, pas un truc ou tu reprends tout et plus quand tu le termine.
 
je m’étais donné 3 ans pour perdre 40k, pour l'instant c'est bien avancé, mais peut être trop rapide.
et je suis surtout content que cette perte se fasse de façon "naturelle" en essayant juste d'être plus raisonnable.
 
voila pour un petit 3615 mylife
 
 
 

Au moins tu es lancé maintenant, c'est le principal.
 
Je voudrais justre réagir sur un truc:

La façon dont c'est formulé me dérange, car la seule explication d'une reprise de poids après un régime hypocalorique c'est juste de se remettre à manger "comme avant" ou simplement trop pour le poids auquel tu es maintenant (et l’activité).
Donc la seule composante d'un régime qui fait que tu reprends pas quand tu arrêtes, c'est de ne pas générer trop de frustration, puisque celle-ci amènerait à exploser les calories à la fin du régime en te disant "ça y est fini, ça c'est fait" ou bien exploser en vol et tellement craquer que tu risquerais d'abandonner. Une perte de poids c'est tout au mental, et pas dans le sens qu'il faut se forcer et résister, au contraire, il faut manager son mental pour trouver le bon équilibre entre réduction calorique et ne pas tomber dans la frustration. Et que ce soit maintenable sur le moyen/long terme.
 
Et dans ce que tu racontes on ressent beaucoup la frustration donc fais attention à ça.
Faut pas voir le régime comme une perte de poids et le non-régime comme "je mange comme avant" et ensuite planifier des régimes pour pouvoir de nouveau acheter du temps et continuer à trop manger le reste du temps. Le but du régime c'est de revenir à un poids normal et gérer la sortie progressive pour manger en quantité adéquate toute ta vie derrière, ce qui n’empêche pas de se faire plaisir (au quotidien comme exceptionnellement).
Voilà je t'ai fait économiser une consultation
 
Bon courage.
 

Voilà.

merci pour ta réponse et tes avertissements

Ce que tu me dis, si je ne l'ai pas précisé, et si ça n’apparaît pas, est totalement pris en compte et fait partie intégrante de ma démarche.
c'est ce que je me tue à expliquer a ceux qui me disent que je suis un naze de ne pas faire un Ducan ou autre ...
et c'est bien pour ça que j'ai planifié la perte sur des années et non pas des mois.
D'ailleurs autant la perte importante et très rapide au début était bien vue par mes proches autant elle l’était moins par moi.

ce qui me fait le plus chier, et ce dont je dois parler sérieusement avec mon toubib, c'est l'impact de ce """régime"" (c'en est pas un, je mange juste normalement)
sur ma santé, moralement c'est super, physiquement pas top, d'oui ma frustration.

Mouep, à mon avis, faudrait surtout bannir le mot "régime" (même si je sais que son sens premier ne signifie pas "restriction, frustration" ) et parler de rééquilibrage alimentaire, de réapprendre à manger correctement, de retrouver une relation normale à la nourriture.

tu notera la quantité de """ avant et après et le "c'en est pas un, je mange juste normalement"
c'est juste pour montrer et nommer une changement dans la façon de faire

Je répondais à Make install, ton message s'est glissé entre les deux

comme quoi j'ai pas mal perdu pour avoir réussi à le faire

Ce mot a été perverti.
Tout le monde suit des régimes alimentaires, même sans désirer perdre du poids, c'est juste ton schéma d'alimentation.
Même ceux qui prennent du gras et sont en train de devenir obèses suivent un régime : un régime hyper calorique pas très sain

 
 J'ai remedié au même problème de la même façon.
La surconsommation/malconsommation alimentaire a forcement des conséquences mais parfois plus sournoises sans aucune prise de poids.  
Là tout le monde vous dit que vous avez de la chance et dans mon cas vous encourage même à manger plus (vu mon IMC invariable c'est logique), comme si s'empiffrer n'avait aucune conséquence simplement parce qu'on ne grossit jamais
 Maintenant je paye la note et bien sûr on continu à m'encourager à manger partout ou je passe, toujours des trucs les plus riches possibles tant qu'à faire, normal ça ne me fait rien -.-
 
 

 
 Si c'est pas trop indiscret, qu'est-ce que tu veux dire par payer la note?
 

Ben c'est pas parce qu'on ne prend pas de gras qu'on est immunisé contre le cholestérol, le diabète, les maladies vasculaires, les cancers etc...

Hum

 
Oui je sais, là j'étais plutôt curieuse(mon vilain défaut) quant à son cas personnel...

 
Gros problème de rationnement pour ma part. Quelques exemples :
- Je suis incapable de manger un conditionnement en plusieurs fois. Si c'est entamé, c'est fini. Biscuits, bonbons, chips, saucisson, céréales, glace : je ne referme jamais un paquet ! C'est pareil pour une boisson, je peux boire 1,5 l de n'importe quoi : jus de fruit, soda...
- Quand je participe à un événement en société (apéritif dînatoire, pot d'entreprise, vernissage, repas chez des amis...) où je dois manger en quantité raisonnable, généralement la nourriture m'excite et je passe au supermarché m'acheter ce que j'ai vu pour me gaver.
- Même en m'imposant une interdiction de faire les courses plusieurs fois par semaine, mon régime ne suit pas : je mange tout le premier soir.
- Pour le chocolat, j'achète du chocolat noir fort et amer type noir 95 % mais ça ne m'empêche pas de manger une tablette en une fois, c'est même mieux que le chocolat au lait ou le chocolat blanc qui m'écœurent davantage.
- Au McDo, je mange pour plusieurs, je m'en sors généralement pour 30-40 €. Si je passe au camion à pizza, j'en prends au moins 2.
 
J'ai essayé de manger plus lentement, par petites bouchées, ça n'a pas marché. Donc j'ai agi en amont en supprimant la tentation. J'essaie de boire uniquement de l'eau. J'évite la malbouffe. Il y a juste un soir par semaine où je me permets tous les excès J'essaie de réduire la taille de mon estomac en mangeant moins mais ça va être très long.
 
Beaucoup de gens disent que s'envelopper d'une couche de gras est une façon de se protéger, d'exprimer un mal-être. Je ne suis pas d'accord. Je pense qu'on peut aimer manger, tout simplement. J'aime la malbouffe. Pour moi, le repas idéal c'est Curly, glace, saucisson, le tout en grosse quantité...
 
Actuellement, j'ai encore de gros problèmes avec les courses de la semaine qui ne tiennent pas la semaine

 
Je ne te connais pas et je ne veux pas faire de psychologie de comptoir mais je crois que tu te caches derrière ça. Je suis d'accord sur le fait qu'on puisse aimer la malbouffe (moi même twix, chips et saucisson, mon saint graal). Là où ça coince, c'est sur ton incapacité à refermer un paquet ou le fait que tu manges toutes tes courses en une fois. Qu'en est-il de tes sensations de faim et satiété ? Est-ce que tu les ressens ? Est-ce que tu les respectes ? Est-ce que tu différencies la faim de l'envie de manger ?

 
Je n'ai presque jamais "faim" à proprement parler. C'est uniquement de la gourmandise, de l'envie de manger par pur plaisir. Quant à la satiété, elle arrive tardivement Je pense qu'à force de faire 4 repas par jour et de grignoter entre, j'ai agrandi mon estomac.
 
Tu arrives à ranger un paquet de chips entamé, toi, et à supporter cette idée qu'il en reste ?

Depuis quelques années, oui ^^.
 
Avant, j'étais comme toi, chaque paquet de biscuits/chips/trucs apéro entamés devaient irrésistiblement être terminé sans quoi j'y pensais encore et encore jusqu'à céder à la tentation. Et comme toi, je n'avais pas de sensation de faim ou très peu. Vu tout ce que je mangeais, normal j'ai envie de dire ! Je ne peux pas te dire ce qui a déclenché l'arrêt de ce truc là mais ça s'est arrêté. Peut-être à force de lire sur le sujet et de me poser des questions. Peut-être que j'ai évolué, peut-être que je n'en ai plus besoin, je ne sais pas. Et je me disais aussi que c'était de la pure gourmandise, que j'aimais manger, que j'étais une grosse mangeuse et tout. En réalité, la nourriture a toujours été un réconfort pour moi, une source de plaisir évidemment mais surtout un réconfort. Jusqu'à il y a peu, j'arrivais à obtenir ce réconfort avec des quantités relativement moindres (quelques biscuits, une poignée de chips sans pour autant que je sois dans la restriction). Actuellement, j'en suis à une phase nouvelle pour moi où je ne mange que quand j'ai faim et où j'essaye de m'arrêter quand je suis à satiété (je ne respecte pas toujours cette sensation) La partie "réconfort" a disparu (et ça me perturbe beaucoup). Là pour te dire, j'ai un paquet de chips, il ne me fait pas envie.  
 
Un truc qui joue pas mal, je crois, c'est la diabolisation des aliments et la culpabilisation. Curieusement, le paquet de chips interdit est beaucoup plus tentant que le paquet de chips normal. Je veux dire, si tu manges un cookie en te disant "c'est mal, je ne devrais pas, j'suis nul" ça risque de se finir en "perdu pour perdu, je m'enfile le reste du paquet". (enfin, tout ça, c'est mon ressenti à moi)
 
Je pense que le travail sur les sensations de faim et de satiété est très important. Tu ne peux pas avoir la satiété si tu n'as pas la faim (je parle des sensations physiques, pas mentales).
 
(Mouerf, désolée pour le racontage de vie !)

 
C'est ça le plus horrible je pense. Quand je suis dans mes phases de crise, je ne sais même plus ce qu'est "avoir faim"
 
Sinon je suis d'accord avec Astravia. Je pense qu'on peut très bien aimer manger mais je ne crois pas qu'il y ait quelque chose de sain dans le fait de vouloir être rempli constamment...
 
 

C'est surtout quand je glande que ça devient quasiment irrepressible. Parce qu'en fait je n'ai absolument aucun souci à gérer la faim, je peut jeûner 24h c'est à peine si je m'en aperçoit si je suis occupé, par exemple lorsque j'étais dans ma période MMORPG.
 
Il y a surement beaucoup d'autres facteurs, de toute façon je suis excessif dans beaucoup de domaines, question de tempérament.
 Avec l'âge je dois me surveiller en permanence, humeur, bouffe etc parce que des trucs qui passent quand t'es plus jeune à 40 ans passé c'est plus possible que ce soit dans le relationel, la bouffe etc ...
   
 Là comme je disais je paye la note, les paquets de Chipsters, les viennoiseries à s'en faire éclater la panse, les briques de lait chocolatées à la chaine, les pizzas 2, 3, 4, fois par semaines etc ...
 Rétrospectivement je m'aperçois qu'a certaines périodes je mangeais énormément de céréales et de lait, bol de muesli Kellogs ras bord pendant une trentaine d'années pour commencer la journée, très souvent pâtes, pizza, quiches etc, toutes les boissons lactées imaginables, chocolat, lait menthe et autres.
 
 Arrivé à 40+ je pèse précisement toujours le même poids, ça c'est strictement invariable.
A coté de ça de ce que j'ai pu voir, probablement la partie émergée de l'iceberg ...
 
 - Desquamation sur le crane et la face, parfois jusqu'à la démangeaison (entre les sourcils).
 - Douleur constante dans les dernieres articulations des doigts.
 - Acnée sévère. (à l'adolescence mais bon ...)
 - Rhinite chronique.
 - Conjonctivite.
 - Douleur articulaire dans les genoux.
 Et des trucs indescriptibles à la con sur les doigts, que même les médecins préférent ignorer o/
 Mais tout de même l'un d'eux m'a mis sur un début de piste "à l'insu de son plein gré"  
 -> maladie auto-immune, ce que le médecin te dit pour se débarasser de toi en gros.
 
 Finalement j'ai peut être trouvé une partie de la solution en lisant ce forum, un message de moonboots je crois, et un premier bouquin de D. Servan Schreiber "Anticancer" qui trainait chez mes parents.  
 Ensuite un second livre tout à fait déterminant de J. Lagacé.
Et là j'ai compris et surtout constaté puisque tout ce que j'énumère au dessus, et même plus (j'ai besoin de dormir environ 2h de moins qu'avant), s'est dissipé.  
Tout ça ne demande qu'à resurgir lorsque je fait de gros excès.  
Je ne m'attendais pas à grand chose, fidèle à ma nature d'éternel pessimiste, mais étonnamment tout s'est déroulé comme ce que j'ai pu lire.  
Je suit ces recommandations depuis décembre 2015.

Si ce n'est pas indiscret, tu n'as plus besoin de réconfort ou tu as trouvé d'autres moyens de te procurer du réconfort ? Moi, je ne pense pas chercher du réconfort dans la nourriture
 
En effet, je n'ai ni la faim ni la satiété
 
C'est sûr

Oui : être chez soi, avoir de la bouffe prête à consommer chez soi (pas des fruits et légumes, quoi), vivre seul...
 
Marrant que tu ne grignotes pas en étant sur l'ordi
 
Intéressant que tu dises avoir un "tempérament excessif", je pense en effet qu'il y a des prédispositions de cet ordre.

C'est curieux à dire mais j'en ai plus besoin (en tout cas en ce moment). Je parle de réconfort mais ce n'est pas forcément le bon terme. C'est manger ses émotions, compenser en mangeant. Typiquement, quand je rentrais du boulot, frustrée de ma journée, je mangeais. Le dimanche, si je m’ennuyais, ne savais pas quoi faire, glandais sur le pc, je avais tendance à grignoter.

Ah ok, je vois bien de quoi tu parles