Reprise du message précédent :
[quotemsg=70887072,160317,1103015]
 
A mon tour de raconter une situation cocasse dans les transports.
A l'époque du lycée (ça fait bien longtemps), voyage scolaire en car. Au bout d'un moment, j'ai vraiment besoin d'aller dans les WC du car (pour pisser).
1ère difficulté : la lumière ne fonctionne pas, donc je ne vois pas ce que je fais.
2ème : la cuvette est bien plus étroite que des toilettes habituelles.
3ème : débout dans un car qui roule, on est peu stable.
4ème : j'avais très envie, donc c'est parti très fort.
J'ai dû kärchériser tout le cabinet, et j'ai laissé tel quel. Une élève y est allée juste après, elle est ressortie en se plaignant que c'était sale !

'culé !
(Même pas de jambes)

C'est facile de se plaindre aussi...
Qu'elle essaye de pisser debout, dans un bus qui roule et dans le noir  

Dans ce genre de situation on s'assoit (après avoir essuyé le bordel du porcasse d'avant)

Celle là, j’en suis peu fier…
J’étais ado, en classe de quatrième. En début d’après midi, on avait l’habitude de se retrouver avec mon copain pour aller faire un tour en vélo. Ce jour là, j’avais décidé qu’on aille faire un tour au cabanon de mon grand père.
En fouillant dans les placards, on a trouvé de quoi se désaltérer. Pastis, eau de vie de Marc, pas de jus de fruit…
On a commencé à consommer, mon copain un peu, moi beaucoup. J’ai commencé à devenir euphorique, complètement incontrôlable. Bien bourré quoi. C'était l’heure de reprendre les cours au collège, je sais pas comment j’ai fait pour y aller, mais je me suis retrouvé complètement démonté dans la cours du collège. J’ai commencé à faire sortir le trop plein, avec une gerbe d’alcool tous les quatre/cinq mètres. Mes camarades de classe ont jugé que je n’étais pas apte à rentrer en cours, ils m’ont fait rentrer dans les toilettes juste à côté de la classe, et m’ont enfermé. Je n’ai plus aucun souvenir de comment ils avaient pu boucler la porte des toilettes, je me souviens juste m’être affalé par terre. Je me suis endormi   et réveillé plus tard en mode bourré qui tient pas debout, mais qui veut sortir. J’ai commencé à taper partout, pour finalement réussir à défoncer la porte. Et là surprise, au service d’accueil, y’avait ma prof de latin qui me regardait d’un œil effaré, avec derrière elle toute la classe venu contempler le spectacle. Je me suis retrouvé ensuite dans la voiture du dirlo, qui m’a raccompagné chez moi. Ben oui, le directeur du collège était un ancien camarade de mon père, il s’est chargé de la besogne. Pour couronner le tout, j’ai rien trouvé de mieux que de gerber dans sa voiture  .
Il était furax   . On arrive devant chez moi, avec ma mère sur la terrasse, il lui a juste dit, Lulu, je te le ramène… Pas la peine d’en dire plus, elle a compris ce qui se passait…
Après les grosses enguelades de rigueur, je suis retourné au collège en mode tranquille, pas de vague…
J’avais droit à des sourires moqueurs, quoi de plus normal…

Propre.  

Sale

Sympa le dirlo… je t’aurais fait nettoyer la voiture le lendemain… le vomis dans une voiture c’est l’horreur

Ouais, je confirme. Mon fils avait gerbé lors d’une balade dans les gorges du Verdon. Après plusieurs nettoyages, on pensait être débarrassé de l’odeur. Encore longtemps après, si on laissait la voiture au soleil, en entrant odeur de  

Ma femme a vomi dans le vide poche de la porte arrière d'une voiture de location après un après midi paillote / magnum de rosé / plein soleil avec des potes  

Un pote avait gerbé dans les grilles d’aération… l’horreur absolu  

C'est là qu'était l'os : laisser à l'odeur 24h de plus pour s'incruster uniquement pour mieux punir un malappris, ce serait surtout un très bel auto-CDP...

Un pote avait vomit à l'arrière de ma caisse un soir de réveillon, plein le dossier du siège avant, son fut recouvert, un carnage. Sa seule excuse était que soit disant les vitres ne s'ouvraient pas assez a l'arrière (c'était vrai).

Je me suis garé et il a nettoyé avec des mouchoirs et une bouteille de vieille flotte. Il avait du enlever son fut et était penché dans ma voiture en caleçon quand une copine nous a doublé. Par chance elle avait un appareil photo jetable (pas encore de portables avec photo en 2002), la photo de la "petite pute" penchée dans ma voiture sans pantalon l'a suivi longtemps et a même été numérisée plus tard

Il avait bien nettoyé en plus ça sentait plus rien le lendemain

Ça m'est arrivé dans ma folle jeunesse par contre j'avais été suffisamment réactif pour repeindre l'aile arrière gauche, lui offrant un joli cachet Woodstock

Presque pareil, " dans ma folle jeunesse " il y a deux ans Soirée à 70 bornes de chez moi, où je finis complètement torché, incapable de marcher, on me porte jusqu'à ma bagnole, je m'allonge sur les sièges arrière, et c'est le drame Sauf que j'ai un coupé, donc les fenêtres à l'arrière s'ouvrent de 4cm, j'ai été suffisamment réactif pour me jeter sur la vitre avant heureusement ouverte et ai repeint entièrement la portière passager  
 

Joli

Une petite que je ne suis pas certain d'avoir posté ici et qui a eu lieu lorsque nous étions ados.

Une soirée classique, organisée toutefois sur un week-end "parents absents". Ceci n'est pas sans conséquence puisque les protagonistes sont restés sur place, ce qui se traduit par une alcoolémie /   plus conséquente que d'ordinaire.

Dans les joyeux loufoques, il y avait une personne que l'on nommera "Kevin". Kevin avait pour habitude de faire des monologues plus qu'ennuyeux lorsqu'il avait abusé des breuvages proposés . Cela était devenu tellement récurrent qu'on ne l'écoutait plus lorsqu'il se lançait dans ses théories plus fumeuses les unes que les autres.

Mais qu'à cela ne tienne, Kevin n'en tirait aucune expérience, et à chaque soirée, il recommençait.

Durant cette soirée, Kevin commence son oeuvre, et comme de coutume, Kevin nous saoule... Sauf que le soir en question, nous sommes chez lui, et par respect, nous décidons de l'écouter  .

30 minutes plus tard, Kevin est toujours en train de parler, seul... Il ne se rend pas compte que personne ne lui répond et qu'il débite des conneries depuis bien trop longtemps. De mon côté, je suis depuis longtemps focalisé sur mes pensés, je lâche des "hum" / "ouais" à intervalles réguliers pour que Kevin se sentent moins seul... Mais comme la soirée était très arrosée, arrive le moment ou il faut aller faire de la place pour la suite... Je me lève et lâche un "faut que j'aille pisser".

L'assemblée (nous étions 5, avec Kevin) hors Kevin suit le mouvement et durant le trajet vers la haie, un pote dit tout bas "putain j'en pouvais plus, merci"  

Nous voilà donc 4 idiots côte à côte en train de vidanger les nombreuses bières accumulées dans la soirée.

Ne voilà pas que Kevin est vexé de se retrouver seul, il se pointe, arrive à notre droite et nous lâche énervé "Si je vous gonfle faut le dire"...  
Il poursuit avec une phrase du genre "j'étais en train de vous parler et vous vous barrez comme des connards"...

Sauf que Kevin passe devant les 4 idiots côte à côte, sans se rendre compte que nous étions en pleine vidange... et sans que personne ne stoppe son oeuvre...

Il s'est rendu compte qu'on lui pissait dessus arrivé à la hauteur de la personne la plus à gauche...  

PS : sympa les potes... personne n'a eu la présence d'esprit de lui dire / de stopper  

PS2 : il y en aurait tant d'autres à raconter sur Kevin. Il nous a bien fait rire...

Manque un bout, là, non ?

Simple, rapide, efficace

Message édité, mes excuses

Tiens, ça m'en rappelle une, toujours dans le thème adolescence.
 
Petite soirée chez un pote, parce que ses parents nous ont laissé la baraque pour qu'on soit entre jeunes.    
 
La soirée suit son cours, alcool (enfin, bières de merde, on a que 17 piges), shit, normal pour un groupe de jeunes. A un moment, j'entends la porte d'entrée claquer. Je me retourne... Et découvre que le père de mon pote vient d'entrer !   Je me rends compte que j'ai un joint à la main, un canette de bière à l'autre et que personne ne semble avoir remarqué l'irruption subite de l'intrus.
 
Je me retourne vers le groupe, essaye désespérément de leur faire "discrètement" signe de planquer les boulettes de shit tout en passant mes mains sous mes cuisses pour espérer planquer les objets du délit... Ce qui n'a aucun sens vu tout ce qu'il y avait sur la table et ne pouvait que me faire paraitre encore plus suspect. Bref, je panique et fait n'importe quoi en espérant me faire discret mais à la fois être compris.
Mon pote remarque son père, lui lance un joyeux "salut papa !"... Et je reste comme un con à ne pas comprendre pourquoi il est aussi détendu.    
 
Le vieux balance un "vous occupez pas de moi les jeunes, je viens juste chercher qqch", se dirige vers sa bibliothèque, en sort un boite, ouvre la boite, en sort un sachet, referme soigneusement la boite, la range derrière les livres dont elle avait été tirée... Et vient vers nous. A ce étape, j'essayais simplement de fusionner avec le fauteuil dans lequel je me trouvais, imaginant la gueulante que j'allais prendre une fois mes parents avertis de ma soirée de débauche, la fin de toute vie sociale à venir jusqu'à ce que je quitte le domicile familial.    
 
Une fois arrivé derrière le fauteuil de ma voisine directe, je vois le paternel inspecter la table, hésiter... Puis ouvrir le sachet qu'il venait de prendre, déposer un petit pochon d'herbe sur la table et déclarer le plus naturellement du monde : "tenez, ça c'est mieux que votre merde, puis vous n'en avez pas assez de toute façon. Allez, bonne soirée !". Sur ce, il se retourne comme si de rien n'était et reprends le chemin de la porte d'entrée en fourrant son sachet dans sa poche de veste. Mon pote déclare simplement en retour un "merci papa, bonne soirée !" devant mon regard interdit.    
 
Quelques autres potes, qui connaissaient le père en question et sa conception de l'éducation, n'avaient rien manqué de chaque étape que j'avais traversé pendant toute la scène... Et j'ai donc fait l'objet des railleries du groupe pendant plusieurs jours.
 
Pas une méchante honte, mais quand on a 17 ans et qu'on vient d'une famille hyper coincée, ça marque.

Ça me rappelle une mini-honte pour un pote pendant un barbecue arrosé dans le jardin de ses parents.

Son père repasse en coup de vent parce qu'il avait oublié quelque chose, alors notre hôte nous briefe rapidement en voyant la voiture encore au loin : "cachez l'autre déjà carpette, et soyez naturels sans en faire trop".
Le père passe la porte, nous salue, qui est répondu par un "Bonjour Monsieur Machin" tous en coeur, digne des alcooliques anonymes et qui laisse un léger malaise pendant une dizaine de secondes . Jusqu'à ce que le cousin de l'hôte essaye de détendre la situation en attrapant ses bouteilles : "Wesh Bernard, goûte-moi ça ! Oh bah merde, c'est vide, bah la prochaine fois alors." .

Quelques jours plus tard, on a eu le droit à un débrief de l'hôte un peu salé d'être passé pour un con .

Je propose qu'on arrête ici le decrescendo de la honte.

Un jour mes cousins ils sont allés dormir chez ma grand-mère !

Alors j'ai dormi dans la chambre du bas parce que j'avais prêté mon pull !

La honte c est de mettre un pull , ça pu l'ovaire  

Après les hontes caca, les hontes vomi, ça a une autre saveur

 
Une fois, en stage d'été, ben j'me suis enfoncé une flute dans la chatte.

J'alerte  

Grosse honte estudiantine du temps que je faisais mon DUT « génie de l’environnement » (tu parles d’un génie vous me direz, après ). ATTENTION, pavé !
 
On avait un cours de météorologie, passionnant par ailleurs, qui convenait parfaitement à mon tempérament un peu rêveur, où on apprenait les noms et les formes des nuages, à deviner s’il allait pleuvoir (ça se passait à Brest, c’était trop facile  ), ce genre de choses.
 
Et puis vint le jour où il m’a fallut faire un projet avec mon binôme préféré (Luc, si tu me lis ) Me souviens absolument plus du sujet mais il y’avait deux parties, un écrit et surtout, comble de l’horreur pour le timide over9000 que j’étais, un ORAL  
 
Bon an, mal an, on se coltine l’écrit, enfin surtout moi, mon binôme préférant jouer au ping pong sur le mur de ma chambre .  
 
Cela dit, c’était peut être pas plus mal, car, en seconde année (c’est important !), au cours d’un TP qui consistait à mesurer les matières en suspension contenues dans un litre d’eau de la Penfeld, vlà t’y pas qu’en pesant le filtre avant et après le passage dudit litre, il me trouve une masse négative ???!!!!  
 
« Luc lui dis-je, mais comment c’est possible bordel à queue ???!!! Montre moi comment tu as fait ? »
« Ben, j’ai pris filtre, comme ça , et puis j’ai noté le poids. Après, une fois qu’il était sale, j’ai pris le filtre, comme ça et j’ai repesé et j’ai noté le poids   »
« Et la tare bougre d’andouille Rennaise de mes deux !!!! »
« La quoi ???? »  
 
Vous l’aurez compris, il découvrait qu’une balance à usage collectif devait être tarée avant usage et que ça faisait deux ans qu’il notait des poids totalement farfelus Je comprenais tout à coup bien mieux les notes assez souvent pourries de nos TPs de chimie
 
Bref, après cet intermède caprin , revenons à nos moutons. L’écrit était donc assez solide dans l’ensemble et il aurait pu nous valoir la moyenne si l’oral avait été du même acabit. Sauf que
 
L'ORAL, j'ai jamais aimé ça Me tenir devant une foule de gens qui n'avait d'yeux que pour moi me freezait le bulbe tout en me ratatinant le scrotum Mais bon, un oral, ça se PRÉPARE. Un minimum. Ben non.
 
Fort d'une confiance en moi (que je savais au fond de moi ne pas posséder ) et procrastinant comme un cochon, je n'ai RIEN préparé Même pas un bout de post it avec introduction/I/II/conclusion, le néant...
 
De plus, la veille de cet oral maudit, pour faire encore meilleure mesure , je fêtais dignement notre victoire contre les zôtres de Guingamp en rubgy universitaire et rentrais complètement torché à je ne sais trop quelle heure du matin
 
Tous les ingrédients étaient donc en place pour une honte cataclysmique, tendance intersidérale !!! Luc passe le premier, déblatère deux trois trucs, on voit bien qu'il ne maîtrise pas bien son sujet mais le meilleur était à venir   Tout en l'écoutant, je tente de faire ce que j'aurais dû faire en amont, une amorce de plan et trouver quoi dire. Mais l'angoisse grandit tandis que le peu de lucidité qu'il me restait encore disparait ! J'ai des aigreurs d'estomac et le tocsin sonne sous mon crâne imbibé d'alcool  
 
C'est mon tour, je monte bravement sur l'estrade et je croasse un ou deux mots, pas plus, la gorge sèche comme une chatte frigide de 80 ans. C'est le trou, le trou noir, vaste et terrible, de celui qui vous anéanti sans le moindre espoir de salut Je change de stratégie, je tente d'écrire un mot, un seul, au tableau. Mon élégante dysgraphie ne trompe personne et si un quart de l'auditoire est capable de le déchiffrer, c'est déjà un petit miracle.
 
Le silence est assourdissant, on entendrait une mouche péter s'il y'en avait une. Je regarde vaguement la classe sans oser planter mon regard de bête mortellement blessée dans le regard d'un camarade qui n'a rien demandé  
 
Finalement, vaincu et totalement aphone, je regagne ma place sans avoir aligné plus de 4 mots distincts, le regard baissé, enfermé dans mon monde de honte et de douleur, sourd aux autres exposés. Le prof ne fera aucun commentaire, ne posera pas de question et nous collera un 7/20 pour la partie écrite. Personne ne m'a jamais reparlé de ce moment de gênance absolue, ils ont été sympas    
 
Toujours debout aujourd'hui, je peux vous dire que la honte ne tue pas

Hop, toujours dans la veine adolescente, une ancienne qui n'est pas pour moi mais pour un ancien camarade.
 
Sur ma période lycée, on avais un gars dans notre classe qui était sympa, apprécié de tous, mais con comme un balais. Un peu le genre idiot du village, qui ne fait de mal à personne, avec de qui on s'amuse, mais ça ne va pas plus loin. Et il s'avère que le bougre était affublé d'une particularité criante : un pic, un cap ! Que dis-je, une péninsule ! Vous avez compris, son pif était gigantesque. Cette particularité aura tout son sens pour l'histoire.
 
Bref, le pauvre avait pris pour habitude de se mettre au fond de la classe, où il pouvait passer le plus clair de son temps à glander ou même pioncer sans ne déranger personne. Ce qui arrangeait bien nos professeurs, n'ayant pas à gérer son absence totale d'investissement dans ses études, il était transparent pour eux. Parfois, il arrivait au bonhomme, on ne sait pour quelle raison, de sortir de sa torpeur et de s'essayer à suivre tant bien que mal les cours, sans grand succès dans bien des cas.
 
Arrive un jour où notre prof de français, une nouvelle venue dans l'éducation nationale (la pauvre) nous exposait je ne sais plus quelle notion, avec toujours notre cher glandeur qui pionçait au fond de la salle. Ladite prof essaye de nous faire comprendre quelque-chose et de nous faire réagir, mais ce jour là nous étions aussi coopératifs qu'un cheptel d'ânes broutant leurs touffes d'herbe (peut-être digérions-nous après un passage à la cantine, je ne me souviens plus des détails). Après sa tirade enflammée (toute jeunette, elle n'avait pas encore atteint le désespoir des vieux professeurs n'attendant plus que la pause café en salle des profs et la retraite), qui monte crescendo, la prof laisse un moment de silence, l'oeil brillant, espérant une quelconque réaction de l'assistance... Qui ne viendra bien entendu jamais. Le silence s'éternise, dure 5, 10, 15 secondes pendant lesquelles la jeune enseignante est de plus en plus tendue, pleine d'espoir, tout son corps exprimant un élan vers la classe...
Puis elle abandonne. Elle s'affaisse sur elle-même, reprends son souffle, puis s'apprête à reprendre son exposé en lançant un tonitruant "NEANMOINS !".
 
La suite a été logique : notre glandeur affublé de sa péninsule nasale avait décidé de tenter de suivre le cours à cet instant précis. Il a donc brusquement relevé la tête et lancé un non moins tonitruant : "MAIS EUH !!! Pourquoi moi ?". Eclat de rire général, même l'enseignante s'en est retrouvée ragaillardie.
 
Notre cher ami venait de trouver là son surnom.

et il s'appelait comment en fait ?  

Stewball

 
C'est malheureusement le genre de personne qui ne marque que par certains de ses faits saillants (tout comme son attribut), mais dont on ne retient pas grand chose d'autre. Le gars sympa, mais transparent.
J'ai donc souvenir de lui que par quelques anecdotes, mais pas de son patronyme... Que, si tant est qu'il me revenait, je n'aurais jamais fourni ici, par égard pour sa personne si jamais un lecteur le connaissait ou s'il passait en ces lieux. C'est improbable, mais sait-on jamais ?

Bordel, que se passe-t-il sur cette page  

on retrouve un peu l'ambiance d'il y a 20 ans "tiens c'est les vacances scolaires"  

Des pavés au style ampoulé pour des hontes de merde (mais pas caca attention).