Après une convalescence musculaire de six mois, j’y suis retourné dans cette salle, mais pour mon plus grand malheur, personne ne m’avait oublié et j’ai fini mon année comme un gros paria.

En plus ça t'as servi à rien

Bon ça fait un bail que je lurke et j’ai envie de contribuer à ce topic d’anthologie. Donc voila ma modeste contribution :

 
énorme  
 
Et ce bide finalement ?

Bon ça fait un bail que je lurke et j’ai envie de contribuer à ce topic d’anthologie. Donc voila ma modeste contribution :
 
Il y a quelques années la sortie du film « 300 » m’avait motivé pour commencer à faire de la musculation et perdre mon bide si durement acquis grâce à mon alimentation Weight watcher de type pizza, chips, bière.  Le signal d’alarme étant le moment où je m’étais rendu compte que je devais commencer à rentrer ton bide pour voir ou je pissais. C’est la que j’ai su que je point de non retour étais atteint.  
 
Donc je m’inscris à un club de sport et je prends direct un abonnement annuel car je suis très motivé à ce moment la. Je mate un peu sur le net ce que se dit au niveau diet (Tout et son contraire) et donc j’improvise : Le premier jour, je mange comme un porc pour nourrir mes muscles, histoire de pouvoir pousser plus de fonte et démarrer en beauté.  
 
Je me pointe la bas déjà bien ballonné mais la séance se passe relativement bien jusqu’au moment ou je veux faire le kéké, que je prends un poids deux fois trop lourd pour moi. Sanction immédiate : que je reste coincé sous la barre. Plus moyen de remonter ce putin de poids qui m’écrabouille littéralement le thorax. Tout ce que je peux faire c’est pousser un petit râle en crachant un peu de bave façon Gollum dans l’espoir que quelqu’un s’aperçoive que je suis en train d’agoniser comme une merde à un mètre d’eux. Finalement une des filles qui faisait du rameur à coté de moi alerte un prof de fitness qui arrive et me décoince en prenant tranquillement la barre. Il regarde mon épaule qui pendouille lamentablement d’un coté du banc et me dis devant tout le monde que le bodybuilding, c’est pas pour moi.   Durée de la séance en temps réel : 5 minutes.  
 
Ma honte aurait pu finir ici mais non, car il existe une règle immuable ; la loi des séries.
 
Après la prestation pathétique que je viens de fournir, je me dis que je vais aller faire un tour au hammam histoire de décompresser et surtout de me faire oublier. J’ai les deux épaules littéralement explosées et je galère comme un chien juste pour ouvrir la porte hermétique de la cabine.
Je rentre dans la pièce enfumée et je me glisse au milieu d’inconnu(e)s dont je distingue à peine la silhouette. Je me pose quelques instants et j’ai tout d’un coup une énorme envie de lâcher une caisse. Je me dis que dans la fumée et les odeurs de savon ça passera comme une lettre à la poste et donc je largue le truc. Mais comme je m’en doutais,  je sens déjà l’odeur qui monte et vraiment ça pue le cadavre de hyène donc ma réaction réflexe c’est de me lever et de me casser avant que ça arrive aux nez des autres participants. J’arrive à la porte, j’essaye de la pousser, mais la incompréhension, pas moyen de l’ouvrir !!  Le truc bouge pas d’un centimètre.  Je lache l'affaire, je vais me ré-assoir dans un coin et je m’enfonce dans la vapeur pour devenir invisible, je deviens la vapeur tellement je suis invisible. Mais un gros black musculeux se lève à coté de la porte, l’ouvre dans l’autre sens et j’entends bien fort un « toi le dégueulasse, tu sors » que je devine m’être adressé. Courageux mais pas téméraire, je me lève et prends la porte, suivi peu après par tout les occupants sous des regards lourds de haine.
 
Après une convalescence musculaire de six mois, j’y suis retourné dans cette salle, mais pour mon plus grand malheur, personne ne m’avait oublié et j’ai fini mon année comme un gros paria.  

+1  
 
gros effort pour ne pas éclater de dire arrivé à "toi le gros dégueulasse"

Je me rend chez un client
J'entre dans le hall d'entrée de son immeuble, et la il y a, aux pied des boites aux lettres, une femme, de dos, accroupi au pied d'un carton (apparement elle etait en train de demenager).
Moi je me dirige vers cette rangée de boite aux lettres, cherchant l'étage de mon client.
Je me baisse pour voir les boites aux lettres les + basses, et a ce meme moment la femme se retourne, et se retrouve face a moi  
Et machinalement, on se fait la bise, sans un mot ...
 
Gros moment de solitude pour nous 2 (je precise elle avait 50 ans) et la dessus je me barre, en me demerdant pour trouver l'etage
 
Voila, c'etait bien nul comme honte   , mais apres coup la situation etait bien risible  
 
 

Non mais clair, une barre vide c'est quand meme 20-25kg donc faut se derouiller au debut, apres ca vient vite =)

Ouf vous ma rassurez ! faut dire que j'ai jamais trop persévéré. Mais honnetement ca rassure.

Non, il y a des barres à 10,12,15,20 et 25kg. Mais bon, tu t'es pas chier dessus, t'as pas failli mourir à vouloir le faire seul dans ton coin : t'as pas trop à avoir honte

 
une barre de DC de 10kg? ca me semble tres peu...

 
une barre de DC de 10kg? ca me semble tres peu...

Pareil, je me plaque la main sur la bouche pour pas me marrer.

Ca me rappel une honte de ma jeunesse. J'avais style 14 ans, gringalet comme pas possible, les bras en biscotte. Chaque année mes parents m'inscrivaient a un sport différent que je detestais. Un jour ils decidèrent de m'inscrire carrément a un club de musculation. Le jour où ils m'annoncerent la nouvelle, j'etais tranquillement en train de jouer sur mon Amiga. J'étais sous le choc.

Bref, on va visiter le club et entretien avec le gérant qui sort son pipo style "mais oui, on va bien s'occuper de lui blablabla bien coacher blablabla suivit personalisé blablabla". Mon père emballé signe le chèque d'inscription.

1er "cours", le mec me fait faire le tour des exercices de bases. J'en chie grave. Le cauchemar comme je l'imaginais. J'ai trop envie d'arreter, ne plus jamais y retourner, mais je sais que je peux pas. Donc je me force. J'en peu plus, j'ai mal dans tout le corps. Je suis mort et là le mec me montre le banc pour les developpés couchés, avec la barre et les poids. Je le sens pas mais je me résigne.

Le mec choisis des poids. J'essaye et niet, j'y arrive pas, j'ai l'impression de devoir soulever une voiture. Le mec tire la gueule et laisse juste un poids mini de chaque coté, style 1kg. J'ai honte.
je re-tente le coup en faisant un effort maximal, je suis a 2 doigts de l'attaque cerebrale, le mec m'encourage "allez vas y, pousse ! tu vas y arriver ! allez !" mais l'illusion de dure pas longtemps, il faut se rendre à l'evidence. Grand silence. Je regarde le sol. Le mec ne dis rien, reflechis longuement, se résigne, et fini par enlever carrément les poids. Il reste que la barre nue.

Mega silence. A ce moment là, je vis un sentiment qui va au delà de la honte. Une sorte d'acceptation totale de la verité. Il sait, et je sais, qu'en sport, je suis une brelle irrecuperable. Je me rallonge sur le banc. Le moment de verité absolue. Je suis tellement mort que je suis meme pas certain d'y arriver. Mais j'ai pas le choix. Je me concentre a fond ... et péniblement arrive tant bien que mal a faire mes series. Heureusement c'etait un mini club quasi desert

Avec le temps j'arrivais à ajouter quelques poids, mais malgré les 6 mois passés à m'entrainer, je suis resté une sacré brelle et mes parents laisserent définitivement tomber

 
Pareil, je me plaque la main sur la bouche pour pas me marrer.
 

Bon ça fait un bail que je lurke et j’ai envie de contribuer à ce topic d’anthologie. Donc voila ma modeste contribution :
 
Il y a quelques années la sortie du film « 300 » m’avait motivé pour commencer à faire de la musculation et perdre mon bide si durement acquis grâce à mon alimentation Weight watcher de type pizza, chips, bière.  Le signal d’alarme étant le moment où je m’étais rendu compte que je devais commencer à rentrer ton bide pour voir ou je pissais. C’est la que j’ai su que je point de non retour étais atteint.  
 
Donc je m’inscris à un club de sport et je prends direct un abonnement annuel car je suis très motivé à ce moment la. Je mate un peu sur le net ce que se dit au niveau diet (Tout et son contraire) et donc j’improvise : Le premier jour, je mange comme un porc pour nourrir mes muscles, histoire de pouvoir pousser plus de fonte et démarrer en beauté.  
 
Je me pointe la bas déjà bien ballonné mais la séance se passe relativement bien jusqu’au moment ou je veux faire le kéké, que je prends un poids deux fois trop lourd pour moi. Sanction immédiate : que je reste coincé sous la barre. Plus moyen de remonter ce putin de poids qui m’écrabouille littéralement le thorax. Tout ce que je peux faire c’est pousser un petit râle en crachant un peu de bave façon Gollum dans l’espoir que quelqu’un s’aperçoive que je suis en train d’agoniser comme une merde à un mètre d’eux. Finalement une des filles qui faisait du rameur à coté de moi alerte un prof de fitness qui arrive et me décoince en prenant tranquillement la barre. Il regarde mon épaule qui pendouille lamentablement d’un coté du banc et me dis devant tout le monde que le bodybuilding, c’est pas pour moi.   Durée de la séance en temps réel : 5 minutes.  
 
Ma honte aurait pu finir ici mais non, car il existe une règle immuable ; la loi des séries.
 
Après la prestation pathétique que je viens de fournir, je me dis que je vais aller faire un tour au hammam histoire de décompresser et surtout de me faire oublier. J’ai les deux épaules littéralement explosées et je galère comme un chien juste pour ouvrir la porte hermétique de la cabine.
Je rentre dans la pièce enfumée et je me glisse au milieu d’inconnu(e)s dont je distingue à peine la silhouette. Je me pose quelques instants et j’ai tout d’un coup une énorme envie de lâcher une caisse. Je me dis que dans la fumée et les odeurs de savon ça passera comme une lettre à la poste et donc je largue le truc. Mais comme je m’en doutais,  je sens déjà l’odeur qui monte et vraiment ça pue le cadavre de hyène donc ma réaction réflexe c’est de me lever et de me casser avant que ça arrive aux nez des autres participants. J’arrive à la porte, j’essaye de la pousser, mais la incompréhension, pas moyen de l’ouvrir !!  Le truc bouge pas d’un centimètre.  Je lache l'affaire, je vais me ré-assoir dans un coin et je m’enfonce dans la vapeur pour devenir invisible, je deviens la vapeur tellement je suis invisible. Mais un gros black musculeux se lève à coté de la porte, l’ouvre dans l’autre sens et j’entends bien fort un « toi le dégueulasse, tu sors » que je devine m’être adressé. Courageux mais pas téméraire, je me lève et prends la porte, suivi peu après par tout les occupants sous des regards lourds de haine.
 
Après une convalescence musculaire de six mois, j’y suis retourné dans cette salle, mais pour mon plus grand malheur, personne ne m’avait oublié et j’ai fini mon année comme un gros paria.  

moi je me pince le nez pour pas rire mais ya de l'air qui sort par les yeux

Pareil, je me plaque la main sur la bouche pour pas me marrer.

Ca me rappel une honte de ma jeunesse. J'avais style 14 ans, gringalet comme pas possible, les bras en biscotte. Chaque année mes parents m'inscrivaient a un sport différent que je detestais. Un jour ils decidèrent de m'inscrire carrément a un club de musculation. Le jour où ils m'annoncerent la nouvelle, j'etais tranquillement en train de jouer sur mon Amiga. J'étais sous le choc.

Bref, on va visiter le club et entretien avec le gérant qui sort son pipo style "mais oui, on va bien s'occuper de lui blablabla bien coacher blablabla suivit personalisé blablabla". Mon père emballé signe le chèque d'inscription.

1er "cours", le mec me fait faire le tour des exercices de bases. J'en chie grave. Le cauchemar comme je l'imaginais. J'ai trop envie d'arreter, ne plus jamais y retourner, mais je sais que je peux pas. Donc je me force. J'en peu plus, j'ai mal dans tout le corps. Je suis mort et là le mec me montre le banc pour les developpés couchés, avec la barre et les poids. Je le sens pas mais je me résigne.

Le mec choisis des poids. J'essaye et niet, j'y arrive pas, j'ai l'impression de devoir soulever une voiture. Le mec tire la gueule et laisse juste un poids mini de chaque coté, style 1kg. J'ai honte.
je re-tente le coup en faisant un effort maximal, je suis a 2 doigts de l'attaque cerebrale, le mec m'encourage "allez vas y, pousse ! tu vas y arriver ! allez !" mais l'illusion de dure pas longtemps, il faut se rendre à l'evidence. Grand silence. Je regarde le sol. Le mec ne dis rien, reflechis longuement, se résigne, et fini par enlever carrément les poids. Il reste que la barre nue.

Mega silence. A ce moment là, je vis un sentiment qui va au delà de la honte. Une sorte d'acceptation totale de la verité. Il sait, et je sais, qu'en sport, je suis une brelle irrecuperable. Je me rallonge sur le banc. Le moment de verité absolue. Je suis tellement mort que je suis meme pas certain d'y arriver. Mais j'ai pas le choix. Je me concentre a fond ... et péniblement arrive tant bien que mal a faire mes series. Heureusement c'etait un mini club quasi desert

Avec le temps j'arrivais à ajouter quelques poids, mais malgré les 6 mois passés à m'entrainer, je suis resté une sacré brelle et mes parents laisserent définitivement tomber

Salut    
Bon, petite honte du jour :  
Ce matin je me lève, et remarque avec plaisir que pour la première fois depuis 3 jours affreux la météo se résume en un grand ciel bleu sans l'ombre d'un nuage  
De bonne humeur, je me prépare, puis avant de partir en cours, je me dis que je devrais profiter de ce temps magnifique pour aérer un peu mon appart, qui commençait à sentir le refermé. Donc j'ouvre bien grand le vélux et la fenêtre pour faire passer un bon petit courant d'air . J'en profite également pour m'habiller été et venir en vélo  
 
Bon, la journée commence par quatre heures de TP Mycologie (champignons et moisissures... ), TP qui se passe affreusement mal :  
je me crame avec le bec bunzen, j'écrase la lame de ma préparation avec l'objectif du microscope, trempe le compte rendu du groupe dans la javel, ma souche ne correspond à rien, et j'enchaine toutes sortes d'erreurs de débutants que je réserve habituellement pour les mauvais jours... (Bon c'est déjà une série de mini hontes, hein... )
Pour finalement sortir de cet enfer une heure plus tard que prévu, sous le regard courroucé du prof...  
 
Du coup je n'ai plus qu'une petite vingtaines de minutes pour manger, ce que j'accomplis avec tellement de zèle que j'ai passé toute l'après midi horriblement ballonné...   En sortant du RU pour rejoindre ma salle de cours, je note au passage avec un certain malaise, la présence à l'horizon de lourds nuages d'orage...    
Mais je n'ai clairement pas le temps de rentrer chez moi comme d'habitude, étant déjà en retard pour le cours suivant    
 
Bon comme on pouvait s'y attendre l'après midi continue dans la lancée, avec le prof qui me détruit parce que j'arrive en retard, une mini intérro surprise qui se passe très mal, et deux heures de TD durant lesquels je regarde avec horreur les cumulonimbus se rapprocher inexorablement...    
 
Et en fin de journée ce qui devais arriver arriva : un terrible déluge s'abattit sur Bourg en Bresse !!!    
Bon, je rentre sous la flotte avec mes deux collègues de projets tutorés, avec qui on devais se rejoindre chez moi pour bosser.
On arrive chez moi trempés de la tête aux pieds, en dégueulassant à mort mon appart que je venais de nettoyer à fond la veille ( )...
 
Mais je me rends bientôt compte que le pire de cette journée est pour maintenant : j'avais complètement oublié le vélux ouvert, et découvre ma chambre totalement détrempée, les papiers de mon bureau (notamment mes fiches de révisions, que j'avais passé la soirée à faire et ceux des projets tutorés...) totalement illisibles, et subi cette fois le courroux de mes collègues    
 
Bref journée de merde puissance 1000...    

C'est pas dla honte, c'est dla grosse journée de merde

Et toute la Fac l'IUT demain quand t'es crevards de collègue vont tout raconter mettre sur FaceBook

Mais quelle horreur, tout mais pas ça, quoi
 

 
 
Mini-honte qui me revient ...  Pour le rentrer dans le coffre, on doit déserrer le guidon ... On ressert tous les boulons, ...

C'est pas dla honte, c'est dla grosse journée de merde

 
Quoted  
 
Enfin perso je trouve que la honte revient plutôt aux parents.
J'ai jamais compris l'intérêt de forcer un gamin à faire un sport qu'il n'aime pas...
 
Entre ça et le touché-du-pénis-du-papa, vla les parents en bois que tu as eu
 

photos, mensurations et disponibilités en MP  

Une honte rapide mais qui fait mal...
 
 

Une honte rapide mais qui fait mal...
 
J'habite dans une maison à 2 etages, les chambres en bas, les toilettes en haut
Le truc c'est que le soir quand j'ai envie de pisser jdois monter les escaliers pour arriver aux escaliers qui sont à l'étage.    
Moi vu que jsuis une feignasse    j'ai decidé de plus monter à l'étage pour pisser:
 
la solution pisser dans une bouteille (J'ai choisi une bouteille d'oasis tropical)    
 
Resultat : jsuis trop content sa m'evite de sortir de ma chambre, monter les escaliers etc ...
 
Cependant probleme comment se séparer de la substance ?  
Etant en maison je decide dans la jeter ni vue, ni connue sous une tonne d'epines de pin dans le jardin  
La honte s'arrete la ...  
jusqu'a jour ou le jardinier vient à la maison ....et manque de pot, a voulu veridfier si l'"Oasis" était toujours frais    
 
Resultat : On cherche un nouveau jardinier    
 
Inutile de préciser que mes parents m'ont bien niqué ma gueule    

Une honte rapide mais qui fait mal...