Impossible de rouler en étant complètement pété.

Impossible de rouler en étant complètement pété    
 
 

Allez une petite un peu trash, désolé c’est un peu dégueu...
Il y a une quinzaine d’années, quand j’étais un petit jeunot qui commençait à tenir la bibine, il m’en est arrivé une bien honteuse.
Au nouvel an, mes potes et moi on avait passé la soirée et la nuit à s’imbiber d’alcool autant qu’on pouvait. Après avoir prouver que je pouvais à moi seul apporter richesse et prospérité aux bars de la région, je me suis décidé à rentrer chez moi vers 9-10h00 du matin dans un état vraiment, mais alors vraiment pitoyable, j’arrivais même plus à parler.  
A l’époque je vivais chez ma mère au deuxième étage dans un grand bloc de petits immeubles résidentiels tout tranquilles et bien fréquentés. A mon arrivée, elle dormait encore, nickel, elle ne pouvait pas voir mon état…je me suis tapé une petite bouffe tant bien que mal avant d’aller me coucher.
Et là idée géniale si l’en ai, je me dit qu’une petite cigarette magique dans ma chambre pour finir la soirée serait la cerise sur le gâteau de ma nuit d’ivrogne.
Evidemment, dès les premières taffes, je sens que ça va pas être possible de gérer, j’ai dépassé les limites, je suis allez trop loin, le bad trip va me frapper de plein fouet. Après je me rappelle avoir ouvert la fenêtre et être rester affaler sur le rebord à vomir tant que je pouvais pendant pas mal de temps, et puis je me suis endormi.
Les résultats de cette action à la con ont commencé à se faire sentir quand les voisins du dessous sont venus sonner chez moi dans l’après-midi, engueulant ma mère au sujet de pots de géraniums remplis de vomi et de « on en a plein la fenêtre ».
Quand elle m’a réveillé, j’ai tout d’abord nié, comme tout bon pochtron qui se respecte, et puis j’ai fini peu à peu par céder et me rendre compte de la méga connerie et surtout de ces conséquences…  
Finalement j’ai passé le reste de la journée, avec une sacrée gueule de bois, à nettoyer les « coulées » le long de la façade de l’immeuble, les fenêtres des voisins des deux étages du dessous, les pots de géraniums et la flaque devant la porte de l’immeuble…un grand moment de solitude devant tout les habitants de la résidence, les enfants m’ont jeté des pierres, ma mère m’a presque renié. On me regarde encore bizarrement quand j’y retourne, je crois que peu à peu je deviens une légende dans ce quartier    

Impossible de rouler en étant complètement pété    
 
 

Très respectable honte...
J'ai la même à peu près au même age.  
[...]
Comme quoi l'expression ne plus avoir les yeux en face des trous n'est pas usurpée...

En allant voter tout à l'heure, je rentre dans l'isoloir avec mes bulletins. Je mets mon bulletin dans l'enveloppe. Tiens, l'urne est un sac poubelle, original... Je balance le tout dedans (l'enveloppe et le reste des bulletins). Je ressors et je me retrouve devant l'urne (la vraie) sans enveloppe. Je bafouille "heu j'ai oublié mon enveloppe", et je retourne comme un con la chercher dans le sac poubelle.
Le mec me dit "a voté" avec un petit sourire en coin, l'air de se dire "we've got a winner".
 
Première fois que je vote avec ces conneries de bulletins, avant c'étaient des machines.

Allez une petite un peu trash, désolé c’est un peu dégueu...
Il y a une quinzaine d’années, quand j’étais un petit jeunot qui commençait à tenir la bibine, il m’en est arrivé une bien honteuse.
Au nouvel an, mes potes et moi on avait passé la soirée et la nuit à s’imbiber d’alcool autant qu’on pouvait. Après avoir prouver que je pouvais à moi seul apporter richesse et prospérité aux bars de la région, je me suis décidé à rentrer chez moi vers 9-10h00 du matin dans un état vraiment, mais alors vraiment pitoyable, j’arrivais même plus à parler.  
A l’époque je vivais chez ma mère au deuxième étage dans un grand bloc de petits immeubles résidentiels tout tranquilles et bien fréquentés. A mon arrivée, elle dormait encore, nickel, elle ne pouvait pas voir mon état…je me suis tapé une petite bouffe tant bien que mal avant d’aller me coucher.
Et là idée géniale si l’en ai, je me dit qu’une petite cigarette magique dans ma chambre pour finir la soirée serait la cerise sur le gâteau de ma nuit d’ivrogne.
Evidemment, dès les premières taffes, je sens que ça va pas être possible de gérer, j’ai dépassé les limites, je suis allez trop loin, le bad trip va me frapper de plein fouet. Après je me rappelle avoir ouvert la fenêtre et être rester affaler sur le rebord à vomir tant que je pouvais pendant pas mal de temps, et puis je me suis endormi.
Les résultats de cette action à la con ont commencé à se faire sentir quand les voisins du dessous sont venus sonner chez moi dans l’après-midi, engueulant ma mère au sujet de pots de géraniums remplis de vomi et de « on en a plein la fenêtre ».
Quand elle m’a réveillé, j’ai tout d’abord nié, comme tout bon pochtron qui se respecte, et puis j’ai fini peu à peu par céder et me rendre compte de la méga connerie et surtout de ces conséquences…  
Finalement j’ai passé le reste de la journée, avec une sacrée gueule de bois, à nettoyer les « coulées » le long de la façade de l’immeuble, les fenêtres des voisins des deux étages du dessous, les pots de géraniums et la flaque devant la porte de l’immeuble…un grand moment de solitude devant tout les habitants de la résidence, les enfants m’ont jeté des pierres, ma mère m’a presque renié. On me regarde encore bizarrement quand j’y retourne, je crois que peu à peu je deviens une légende dans ce quartier    

Ah ouais, la vieille honte qui reste bien  

surtout s il reste des traces sur la facade

Très respectable honte...
J'ai la même à peu près au même age.  
Retour au bercail dans un état piteux. Une gorgée de yop avant de dormir, puis panique dans l'estomac, la face qui tourne au verdartre, et direction le trone. Je tire la chasse tranquilement et puis dodo.
Le matin je suis réveillé par des cris qui viennent des toilettes. En fait j'ai jamais compris comment j'avais fait, mais j'avais laché tout mon dégueuli à coté des chiottes, ce dernier encerclait littéralement le trone, mais il n'y avait rien dans la cuvette.
Comme quoi l'expression ne plus avoir les yeux en face des trous n'est pas usurpée...

Par contre ayant dormis chez mes parents ce soir là (plus proche de la soirée que mon appart), j'ai eut bien honte au petit dej familial: "heu maman j'ai eut un accident cette nuit "

J'ai tjs pensé qu'il était impossible de vomir en dormant... Ou dumoins, que l'on se réveillait aussitot que l'on commençait à vomir. Je suppose plutôt que t'étais tellement déchiré que t'as pas dû t'en souvenir...
 
Autrement, si on s'en rendait pas compte en dormant, on pourrait s'étouffer avec son propre vomi si l'on est de ceux qui affectionnent le dodo sur le ventre ou sur le dos.
 
Enfin, jdis ça jdis rien, belle honte par ailleurs !

J'ai tjs pensé qu'il était impossible de vomir en dormant... Ou dumoins, que l'on se réveillait aussitot que l'on commençait à vomir. Je suppose plutôt que t'étais tellement déchiré que t'as pas dû t'en souvenir...
 
Autrement, si on s'en rendait pas compte en dormant, on pourrait s'étouffer avec son propre vomi si l'on est de ceux qui affectionnent le dodo sur le ventre ou sur le dos.
 
Enfin, jdis ça jdis rien, belle honte par ailleurs !

Autrement, si on s'en rendait pas compte en dormant, on pourrait s'étouffer avec son propre vomi si l'on est de ceux qui affectionnent le dodo sur le ventre ou sur le dos.

J'ai tjs pensé qu'il était impossible de vomir en dormant... Ou dumoins, que l'on se réveillait aussitot que l'on commençait à vomir. Je suppose plutôt que t'étais tellement déchiré que t'as pas dû t'en souvenir...
 
Autrement, si on s'en rendait pas compte en dormant, on pourrait s'étouffer avec son propre vomi si l'on est de ceux qui affectionnent le dodo sur le ventre ou sur le dos.
 
Enfin, jdis ça jdis rien, belle honte par ailleurs !

J'ai tjs pensé qu'il était impossible de vomir en dormant... Ou dumoins, que l'on se réveillait aussitot que l'on commençait à vomir. Je suppose plutôt que t'étais tellement déchiré que t'as pas dû t'en souvenir...
 
Autrement, si on s'en rendait pas compte en dormant, on pourrait s'étouffer avec son propre vomi si l'on est de ceux qui affectionnent le dodo sur le ventre ou sur le dos.
 
Enfin, jdis ça jdis rien, belle honte par ailleurs !

 
Un gars par chez moi, sur le parking d'une boite, il mort étouffé par son vomi en dormant dans sa voiture la tête en arrière.
C'est quand même pas très glorieux comme mort...  

J'ai tjs pensé qu'il était impossible de vomir en dormant... Ou dumoins, que l'on se réveillait aussitot que l'on commençait à vomir. Je suppose plutôt que t'étais tellement déchiré que t'as pas dû t'en souvenir...
 
Autrement, si on s'en rendait pas compte en dormant, on pourrait s'étouffer avec son propre vomi si l'on est de ceux qui affectionnent le dodo sur le ventre ou sur le dos.
 
Enfin, jdis ça jdis rien, belle honte par ailleurs !

Impossible de rouler en étant complètement pété    
 
 

la honte c'est la R5 ?

Un problème avec les R5   ?  
 

J'ai rattrapé mon retard    
 
Après ouatmille pages sans poster, me revla et j'ai vécu y'a quelques temps la honte d'un collègue...  
 
Un collègue, qui bosse juste en face de moi et avec qui j'entretiens des relations polies/cordiales mais sans plus, se retrouve aux pissotières à côté de moi juste après une réunion. Nous devisons sur des banalités tout en scrutant au choix le plafond ou le bout de notre zob, tandis que je remplis allègrement la faïence d'une urine franche et parfaitement propulsée. Mon collègue, visiblement plus introverti, a du mal à démarrer son épanchement de pisse et se concentre, fixant avec une ferveur presque religieuse sa lance, comme s'il lui intimait de se mettre en action.
 
Ne voulant pas perdre la face et passé pour un bloqué de l'égouttage, il cesse quelques instants de bavasser tandis que je poursuis ma vidange. Soudain, son jet part... en biais, totalement à côté de la cuvette. Je retire brutalement mon pied, tout en continuant à pisser correctement, tandis que sa pisse s'écoule sur la marque laissée par ma chaussure. "Hé bé? kékispasse!" lâche-t-il en tentant de contrebraquer brutalement pour remettre son petit vélo dans le droit chemin.  
 
J'hésite quelques secondes, hésitant entre le rire bien gras et l'accablage en bonne et dûe forme, puis je me résigne finalement à quelques phrases anodines (c'est bizarre/t'as failli me pisser dessus...) prononcées un sourire limite sadique   ... tout en sachant que quelques allusions pernicieuses lâchées durant diverses réunions seront plus jouissive qu'une foutage de gueule en privé

J'ai rattrapé mon retard    
 
Après ouatmille pages sans poster, me revla et j'ai vécu y'a quelques temps la honte d'un collègue...  
 
Un collègue, qui bosse juste en face de moi et avec qui j'entretiens des relations polies/cordiales mais sans plus, se retrouve aux pissotières à côté de moi juste après une réunion. Nous devisons sur des banalités tout en scrutant au choix le plafond ou le bout de notre zob, tandis que je remplis allègrement la faïence d'une urine franche et parfaitement propulsée. Mon collègue, visiblement plus introverti, a du mal à démarrer son épanchement de pisse et se concentre, fixant avec une ferveur presque religieuse sa lance, comme s'il lui intimait de se mettre en action.
 
Ne voulant pas perdre la face et passé pour un bloqué de l'égouttage, il cesse quelques instants de bavasser tandis que je poursuis ma vidange. Soudain, son jet part... en biais, totalement à côté de la cuvette. Je retire brutalement mon pied, tout en continuant à pisser correctement, tandis que sa pisse s'écoule sur la marque laissée par ma chaussure. "Hé bé? kékispasse!" lâche-t-il en tentant de contrebraquer brutalement pour remettre son petit vélo dans le droit chemin.  
 
J'hésite quelques secondes, hésitant entre le rire bien gras et l'accablage en bonne et dûe forme, puis je me résigne finalement à quelques phrases anodines (c'est bizarre/t'as failli me pisser dessus...) prononcées un sourire limite sadique   ... tout en sachant que quelques allusions pernicieuses lâchées durant diverses réunions seront plus jouissive qu'une foutage de gueule en privé

Grande maîtrise de l'outil urinatoire tu as  

y en a qui sont morts etouffes par leur vomi.
 
Jim morrisson Jimmy Hendrix pour ne citer que l un des plus celebres

Ca m'en rappelle une, à l'étranger ce coup là.
Avnat dernière nuit de bringue, nous allons nous coucher dans un état lamentable... On se couche habillés, bien entendu...
Cinq minutes après m'être couché, mon pote (qui tenait le rhum beaucoup mieux que moi) me reveille avec fracas: lève toi, faut aller chercher les billets retours...
J'avais du mal à marcher, je ne pouvais pas le suivre, pourtant, il marchait normalement. A un moment excedé de se trainer un zombie, il me demande de l'attendre là, juste à l'entrée d'une sorte de porte cochère. Le temps passe, j'ai l'impresion que ça fait 2 heures que je l'attends, l'air est chaud et difficile à respirer, alors je m'accroupis, me planque dans le retrait de la porte. S'ensuit un bon gros dodo.  
La honte c'est qu'il m'a retrouvé endormi au milieu du trottoir en position foetale, un filet de bave dégoulinant sur le bitume, et qu'il était pas parti plus longtemps que 10minutes.
M'en fout c'était pas ma ville, pas mon pays...  

 
Il aurait dû te laisser là, la honte n'aurait été que plus belle

Il me doit bien ça... lui le gars tellement rincé qu'il s'est vu se faire voler sa montre juste en donnant l'heure, et ce, sans réaction autre que la stupeur. C'est dire si je ne l'ai pas à plusieurs reprises tiré d'affaire le loulou.  

. "Hé bé? kékispasse!" lâche-t-il en tentant de contrebraquer brutalement pour remettre son petit vélo dans le droit chemin.