Reprise du message précédent :
putain le TADAAAAAAA

direct

Joli

Très bon ! J'imagine le smiley  
 

Chuis sur que t'as voulu désamorcer la situation comme dans la honte de la station-service, mais c'est rapé    

 
L'aurais-je loupé dans un instant d'egarement ! Je demande la source d'une telle référence !

Celle-ci ?

J'ai écrit un mot en cours d'anglais à une copine en parlant de la prof :  
"Putain, j'ai envie d'emballer mes affaires, de lui faire des fucks et de sortir du cours en criant SALOPE!!!!!!"
Malheureusement, la prof m'a chopé. Une demie journée d'exclusion, convocation des parents et depuis la prof ne peut plus me sentir...  

ouep

haaaaaannn        

plus aucun respect ces jeunes ...

 
Franchement ça m'arrive jamais ce genre de truc, j'ai jamais eu d'heure de colle ni rien mais là, c'était la grosse gaffe.  
 
J'avoue c'est pas très respectueux.  

mouais....
mais encore ?

je cite juste pour le "TADA" qui tombe a l'eau    

Je vois plus TADAAAAA

excellent ! c'est comme le "Tada" dans Hot Fuzz.

J'ai vu ce film, mais je vois pas à quel moment ?
C'est le flic débile qui regarde trop les séries TV policières qui dit ça, non ?  

EDIT : Sinon, mythique, la scène de fusillade avec les vioques dans le village. Tain', j'ai envie de revoir ce film tout à coup

[/b]
 
+1. J'me fais un thé, je prends des gâteaux et je vais le matter    

Enfoiré, t'as le film   . Je dois bosser  

Tu pourras le matter ce week-end quand je bosserai  

 
 
 
le dvd sort en janvier.
 
C'est dans le trailer, il fait TADA quand il se crève l'oeil, et quand fait c'est une pochette de ketchup (entre autre)
 
/ HS

Allez, une petite toute fraîche de ce matin.
Comme elle n’est pas très intense, je la romance un peu…
 
Pour chauffer notre maison, nous rentrons le week-end une grosse pile de bûches de bois derrière le poêle. La pile permet de tenir tranquillement 2 semaines en mi-saison et 1 semaine l'hiver (le poêle est le seul système de chauffage de la maison).
 
Pour des raisons oiseuses assaisonnées de mauvaise foi, les troupes de gardes ce week-end se sont défilées.  
 
Un rappel à l'ordre du commandant de la base fut claironné lundi matin, mais force est de constater que lundi soir, rien ne fut fait non plus.    
 
Les jours suivant, diverses activités tardives empêchèrent encore les troupes assignées d'agir.    
 
Hier soir, il arriva donc ce qui devait arriver : le dernier morceau au sec fut enfourné.
 
Ce matin, il fallait donc impérativement engager une action de survie. La responsabilité remonta donc au sous-officier de service qui se décida à assumer le je-m'en-foutisme des soldats du rang déserteurs.    
 
Il était 7h15, la nuit était totale, il gelait, le brouillard était épais, et une fine pellicule de neige sale recouvrait encore les environs. C’est en pyjama, chaussé de bottes, revêtus  d’une grosse parqua et coiffé d’un bonnet que la nuit froide fut affronté avec courage.

 
 
 
Quant à moi, réveillé de particulièrement bonne heure ce matin, j’étais prêt à partir à 7h30, en même temps que les soldats fainéants allant prendre leur bus pour le collège. Ca tombe bien, j’ai un max de taf en ce moment.  
 
Pendant que je finissais de me préparer, j’entendais les morceaux de bois passer par la trappe qui sert à le rentrer. Tout allait bien, je pouvais partir tranquille, ce n’est pas encore aujourd’hui que la maison mourra de froid.  
 
Fait inhabituel, cette nuit ma voiture n’a pas dormi dans le garage sous la maison, mais dehors. Je sors donc par la porte d’entrée, porte que je ferme consciencieusement à clé. Hop, je bondis dans la voiture et en route pour le boulot.
 
Je commence à descendre dans la plaine et pendant ce temps mon esprit vagabonde. Ceci, cela, autre chose, et puis : “super, ce matin j’ai pensé à bien fermer la porte à clé, comme ma petite chérie me le demande à chaque foi, parce qu’elle a peur des rodeurs lorsqu’elle est toute seule dans la maison“. Hum…, dans la maison...  Dans la maison ?  Aie, mais ce matin, elle n’était pas dans la maison : je l’ai laissé dehors, dans la froidure matinale, en train de pousser des brouettes pleine de bois !  
 
Honte sur moi !  
 
 
Epilogue : j’ai bien sur fait immédiatement demi-tour. Je l’ai retrouvé hilare, , commençant à se diriger vers chez la voisine pour y quémander un peu de chaleur…
 
Je crois que ce Noël je vais me faire chambrer dans la belle-famille…    
 
 
 
 
 
 
 

Ta honte vaut bien un petit post d'encouragement.

Ouais. +1
 
Mais arrête de romancer.  

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

"La plus grosse honte de votre vie?"
 
 
Je trouve plus le lien du topic gif

http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0

 
 
C'est la première fois que quelqu'un utilise mon smiley perso !!    
 
J'en suis tout ému    
 
Belle honte sinon

 
je viens voir le film, pas vue de "TADA"...
C'est à quel moment?

Merci  

   J'espère que sur la vidéo tout le monde peut t'identifier sinon c'est pas drole.

 
http://youtube.com/watch?v=i7J_vYN5ZkY 1:08  
 
/HS

 
Tu me rappelles mon cousin. Avec mon oncle et mes trois cousins, on va faire les courses au supermarché. Comme on est entre nous et qu'on est jeunes (environ 12 ans), on fait les cons. A un moment, je suis avec deux autres en trains de pousser le caddie.
 
Arrive le dernier avec un sachet de pistache. Il est environ à 4 mètres du caddie. Il nous regarde en criant bien fort pour que tout le monde entende "Regarde Michael Jordan, le sachet de pistache je te le balance direct dans le caddie"
 
Il le lance. Je me souviens encore de cette scène, où comme dans un film je vois le sachet en vol.
 
Et bien évidement...PAF !
 
Le sachet attéri sur la tranche du caddie et s'ouvre en deux. Et voilà que des centaines de pistaches se mettent à rouler partous dans le magasin, sous les rayons, entre les pieds des gens, tout ça sous le regard des personnes environnantes qui regardaient "Michael Jordan"    
 
Autour, tout le monde le regardait du genre
 
 
PS : je me souviens encore de cette époque. C'était quand mes parents étaient partis deux semaines et que mon oncle est venu nous garder avec mes cousins...rien que l'état de la maison était une honte    
Les escaliers étaient transformés en toboggan géant à l'aide d'énorme coussins, un pote a dormi chez nous une semaine sans jamais rentrer chez lui, quand son père est passé au bout d'une semaine pour prendre des nouvelles il a halluciné, pas de vaisselle faite pendant 1 semaine, des pizza à 2h du mat' pour des gamins de 12 ans, des oreillers et lampes explosées après quelques batailles, de la bouffe plein la moquette dans les chambres, nintendo et bagarres à fond les ballons, mon oncle qui achetaient du macdo tous les jours pour nous nourir, un jour il doit faire un truc sur paris et nous laisse un jour et une nuit tous seuls à la maison avec 10 pizza au congel etc..

Ce sont de bons souvenirs de gamin remarque

Et une autre honte de moi-même au supermarché toujours avec mes cousins et mon oncle. On paye, je prend le caddie et commence à sortir. Je vois en face de moi une grosse porte, légèrement entre-ouverte. Je me dis que c'est la sortie, et j'y vais en poussant les portes pour les ouvrir avec mon caddie.
Sauf que j'avais pas vu la chaine en plastique fluo qui était là pour qu'on ouvre pas ces portes  

Résultat : la chaîne s'envole en explosant, les portes claquent grandes ouvertes, et le comble, l'alarme du magasin qui se met en route pendant 10 minutes en faisant iouiouiouiouiouiouiouiouiouiouiou, avec appel des flics automatique    et tous les clients qui me regardent

 
la meilleure semaine de ma vie  

J'en profite pour poster une honte au taf cette semaine  

Il est environ 10h30, je me rends aux chiottes car cette envie de pisser devient de plus en plus pressante.

J'entre dans les chiottes en mode et là il faut savoir qu'on a à notre gauche trois chiottes (avec portes) qui sont alignés et au bout un truc pour pisser debout (chaÿ pu comment ça s'appelle ). Comme chui un mec un vrai je vais au trucpourpisserdebout . Et là belle surprise, celui qui est passé avant a du se rater car yen a par terre  .

Je me dégonfle pas et j'écarte les pieds histoire de pas marcher dedans, je défais ma ceinture, ouvre les boutons de mon fûte et fait mon affaire. Au moment de refermer le tout je me rends compte qu'avec la cravate qui pendouille et le peu de recul que j'ai (le pissoir étant entre le 3ème chiotte et le mur), le tout avec une flaque de pisse à mes pieds c'est vraiment pas top.

Le grand pro actif que je suis décide donc de prendre les choses en mains   , je fais un pas en arrière histoire de prendre de l'espace par rapport au mur du fond, problème je suis toujours à l'étroit entre les deux murs latéraux et la flaque de pisse n'arrange rien . Je fais donc un quart de tour vers la gauche ce qui revient à faire face à l'entrée des chiottes. Faire face à l'entrée c'est bien là le problème    je me retrouve nez à nez avec un mec qui devait attendre son tour pour le pissoir et que j'avais pas entendu rentrer. Le gars reste fixé sur moi en me regardant d'un air  

Je comprends pas ce qui lui arrive et mets quelques secondes à percuter avant de me rendre que pendant ma gymnastique j'en avais oublié de rentrer mon saÿske dans mon futal   . Je me retrouve donc donc nez à bite avec ce mec  

Je savais pas trop comment réagir donc j'ai plutôt adopté l'attitude du genre "quoi t'as jamais vu un saÿske  "

Bon après je suis sorti bien vite quand même

Il a peut-être cru que c'était toi qui avait pissé à côté ?

 
Ah ptin j'y avais pas pensé à ça