Ma famille maternelle vient d’un petit village sur le Larzac, où, derrière les apparences d’un catholicisme traditionnel, les superstitions restent profondément ancrées. Ainsi, il est de tradition dans mon village, au premier anniversaire de chaque nouveau-né, de l’amener à la Diseuse. Une vieille femme, vivant seule dans une vieille maison isolée sur une colline. Un peu rebouteuse, bien plus sorcière. Peu sociable, elle ne sort presque jamais de sa tanière sauf pour acheter quelques poireaux sur la place du village, le marché du vendredi. Tout le monde s’écarte et se retourne sur son passage. Toute habillée de noir, jamais on ne l’a vu sourire à quiconque. Il émane d’elle une énergie étrange. Inquiétante. Surnaturelle ? Nul n’en sait rien. Gamin, ma mère me disait de ne pas trop m’approcher de sa colline.
 
Malgré cette crainte sourde, tout le village vient consulter la Diseuse lorsqu’un nouveau-né approche de son premier anniversaire. Parce qu’elle SAIT. Et parce qu’elle DIT. Pour presque rien – un roquefort, deux saucissons, un petit billet. Jamais elle ne se trompe.
 
Ainsi, à mon premier anniversaire mes parents, un peu anxieux, m’ont amené sur la colline. Bien sûr, mes souvenirs sont vagues, mais je me souviens du vent frais cinglant mon visage. Du chien borgne aboyant furieusement à l’approche du repaire sinistre. Du regard d’aigle de la Diseuse se penchant sur mon front. Du crachat sur sa main, étalé sur mon visage. Des formules mystérieuses en occitan, sans doute millénaires, prononcées dans un souffle.
 
Alors la Diseuse s’est tournée vers ma mère : « Ton fils aura une vie morne et tranquille. Il aura la vie quelconque des anonymes, un métier ordinaire, une vie bien rangée. Nul ne le détestera, mais nul ne l’admirera. Il s’accouplera et il enfantera. Il restera auprès de toi toute sa vie. Nul ne se souviendra de lui après sa mort. Il sera passé sur ce monde comme un songe. »
 
Ma mère, femme douce et aimante, s’est tournée vers mon père, comme cherchant une validation...
 
Mais après une pause, la Diseuse, se penchant de nouveau sur moi et me scrutant de ses yeux perçants, a repris : « Ou alors… Ton fils aura une vie toute entière faite d’adversité et de solitude. Il devra s’exiler et il parcourra le monde. Il devra sans cesse se battre. Il sera jalousé. Jamais il ne sera tranquille. Tu le verras rarement, mais son intelligence sera tranchante comme un glaive et ses réalisations feront l’admiration de ses contemporains. Il fera ce qu’aucun de ses ancêtres n’a réalisé. »
 
Puis se tournant vers mon père : « Et l’argent le favorisera. »
 
Puis concluant, se tournant de nouveau vers ma mère, elle a crié : « Choisis ! »
 
Ma mère, pétrifiée face à ce choix impossible, s’est tournée vers mon père.
 
A la fin de chaque année, quand je constate que mon portefeuille a surperformé une nouvelle fois par rapport à l’ETF Monde, je sais bien que ce n’est pas seulement mon talent de stock-picker qui l’explique, mais surtout la réponse qu’ont faite ce jour-là mes parents à la Diseuse.
 
Et je me dis aussi que pour chaque bénédiction, il y a un prix à payer, un sacrifice à faire. Car telle est la loi de la Diseuse. C’est ainsi que vivent tous les hommes.
 
Du coup, j’imagine que pour toi, le choix de départ a été bien différent ? Je te souhaite en tout cas le meilleur.

TLDR : Quand on achète une action LVMH on n'a pas besoin de se poser toutes ces questions.

Oublie pas de mentionner le levier de ton portefeuille, pour les lurkeurs. Ça joue !

En tout cas on parle des pavés de Mevo mais un banquier central semble avoir beaucoup de temps libre finalement

Ma famille maternelle vient d’un petit village sur le Larzac, où, derrière les apparences d’un catholicisme traditionnel, les superstitions restent profondément ancrées. Ainsi, il est de tradition dans mon village, au premier anniversaire de chaque nouveau-né, de l’amener à la Diseuse. Une vieille femme, vivant seule dans une vieille maison isolée sur une colline. Un peu rebouteuse, bien plus sorcière. Peu sociable, elle ne sort presque jamais de sa tanière sauf pour acheter quelques poireaux sur la place du village, le marché du vendredi. Tout le monde s’écarte et se retourne sur son passage. Toute habillée de noir, jamais on ne l’a vu sourire à quiconque. Il émane d’elle une énergie étrange. Inquiétante. Surnaturelle ? Nul n’en sait rien. Gamin, ma mère me disait de ne pas trop m’approcher de sa colline.
 
Malgré cette crainte sourde, tout le village vient consulter la Diseuse lorsqu’un nouveau-né approche de son premier anniversaire. Parce qu’elle SAIT. Et parce qu’elle DIT. Pour presque rien – un roquefort, deux saucissons, un petit billet. Jamais elle ne se trompe.
 
Ainsi, à mon premier anniversaire mes parents, un peu anxieux, m’ont amené sur la colline. Bien sûr, mes souvenirs sont vagues, mais je me souviens du vent frais cinglant mon visage. Du chien borgne aboyant furieusement à l’approche du repaire sinistre. Du regard d’aigle de la Diseuse se penchant sur mon front. Du crachat sur sa main, étalé sur mon visage. Des formules mystérieuses en occitan, sans doute millénaires, prononcées dans un souffle.
 
Alors la Diseuse s’est tournée vers ma mère : « Ton fils aura une vie morne et tranquille. Il aura la vie quelconque des anonymes, un métier ordinaire, une vie bien rangée. Nul ne le détestera, mais nul ne l’admirera. Il s’accouplera et il enfantera. Il restera auprès de toi toute sa vie. Nul ne se souviendra de lui après sa mort. Il sera passé sur ce monde comme un songe. »
 
Ma mère, femme douce et aimante, s’est tournée vers mon père, comme cherchant une validation...
 
Mais après une pause, la Diseuse, se penchant de nouveau sur moi et me scrutant de ses yeux perçants, a repris : « Ou alors… Ton fils aura une vie toute entière faite d’adversité et de solitude. Il devra s’exiler et il parcourra le monde. Il devra sans cesse se battre. Il sera jalousé. Jamais il ne sera tranquille. Tu le verras rarement, mais son intelligence sera tranchante comme un glaive et ses réalisations feront l’admiration de ses contemporains. Il fera ce qu’aucun de ses ancêtres n’a réalisé. »
 
Puis se tournant vers mon père : « Et l’argent le favorisera. »
 
Puis concluant, se tournant de nouveau vers ma mère, elle a crié : « Choisis ! »
 
Ma mère, pétrifiée face à ce choix impossible, s’est tournée vers mon père.
 
A la fin de chaque année, quand je constate que mon portefeuille a surperformé une nouvelle fois par rapport à l’ETF Monde, je sais bien que ce n’est pas seulement mon talent de stock-picker qui l’explique, mais surtout la réponse qu’ont faite ce jour-là mes parents à la Diseuse.
 
Et je me dis aussi que pour chaque bénédiction, il y a un prix à payer, un sacrifice à faire. Car telle est la loi de la Diseuse. C’est ainsi que vivent tous les hommes.
 
Du coup, j’imagine que pour toi, le choix de départ a été bien différent ? Je te souhaite en tout cas le meilleur.

Mon voisin a une chienne
 
Cette chienne a 2 chiots
 
Ces chiots chient devant mon garage
 
Qui est responsable?

Mon voisin a une chienne

Cette chienne a 2 chiots

Ces chiots chient devant mon garage

Qui est responsable?

Y a pas l'option j'en ai turbo rien à foutre de la politique, je haïe à mort les Politiciens qui ne sont que des dangereux Tarés éleveurs d'un électorat complètement à la masse et débile !!!!
les politiciens n'ont aucune moral et en vrai ne croient en rien si ce n'est de l'utilité de leurs élection, ré-élection et de l'élection de ceux qui lui succèderont dans le bord politique, tout le reste est vide.

Ils n'ont que pour idée de casser encore plus de système puis après l'avoir bien cassé de le Réparer ce qu'ils ont eux-mêmes bien détruit pour démontrer qu'ils sont utiles à la société.

Les Politiciens ce sont des fous dangereux à enfermer !!!!

Toi, tu n'es pas allé voir certains Discord qui pullule de ce genre de sondage.

 
 
   
 
Sors de ce corps Fred Vargas !  
 
   

Ma famille maternelle vient d’un petit village sur le Larzac, où, derrière les apparences d’un catholicisme traditionnel, les superstitions restent profondément ancrées. Ainsi, il est de tradition dans mon village, au premier anniversaire de chaque nouveau-né, de l’amener à la Diseuse. Une vieille femme, vivant seule dans une vieille maison isolée sur une colline. Un peu rebouteuse, bien plus sorcière. Peu sociable, elle ne sort presque jamais de sa tanière sauf pour acheter quelques poireaux sur la place du village, le marché du vendredi. Tout le monde s’écarte et se retourne sur son passage. Toute habillée de noir, jamais on ne l’a vu sourire à quiconque. Il émane d’elle une énergie étrange. Inquiétante. Surnaturelle ? Nul n’en sait rien. Gamin, ma mère me disait de ne pas trop m’approcher de sa colline.
 
Malgré cette crainte sourde, tout le village vient consulter la Diseuse lorsqu’un nouveau-né approche de son premier anniversaire. Parce qu’elle SAIT. Et parce qu’elle DIT. Pour presque rien – un roquefort, deux saucissons, un petit billet. Jamais elle ne se trompe.
 
Ainsi, à mon premier anniversaire mes parents, un peu anxieux, m’ont amené sur la colline. Bien sûr, mes souvenirs sont vagues, mais je me souviens du vent frais cinglant mon visage. Du chien borgne aboyant furieusement à l’approche du repaire sinistre. Du regard d’aigle de la Diseuse se penchant sur mon front. Du crachat sur sa main, étalé sur mon visage. Des formules mystérieuses en occitan, sans doute millénaires, prononcées dans un souffle.
 
Alors la Diseuse s’est tournée vers ma mère : « Ton fils aura une vie morne et tranquille. Il aura la vie quelconque des anonymes, un métier ordinaire, une vie bien rangée. Nul ne le détestera, mais nul ne l’admirera. Il s’accouplera et il enfantera. Il restera auprès de toi toute sa vie. Nul ne se souviendra de lui après sa mort. Il sera passé sur ce monde comme un songe. »
 
Ma mère, femme douce et aimante, s’est tournée vers mon père, comme cherchant une validation...
 
Mais après une pause, la Diseuse, se penchant de nouveau sur moi et me scrutant de ses yeux perçants, a repris : « Ou alors… Ton fils aura une vie toute entière faite d’adversité et de solitude. Il devra s’exiler et il parcourra le monde. Il devra sans cesse se battre. Il sera jalousé. Jamais il ne sera tranquille. Tu le verras rarement, mais son intelligence sera tranchante comme un glaive et ses réalisations feront l’admiration de ses contemporains. Il fera ce qu’aucun de ses ancêtres n’a réalisé. »
 
Puis se tournant vers mon père : « Et l’argent le favorisera. »
 
Puis concluant, se tournant de nouveau vers ma mère, elle a crié : « Choisis ! »
 
Ma mère, pétrifiée face à ce choix impossible, s’est tournée vers mon père.
 
A la fin de chaque année, quand je constate que mon portefeuille a surperformé une nouvelle fois par rapport à l’ETF Monde, je sais bien que ce n’est pas seulement mon talent de stock-picker qui l’explique, mais surtout la réponse qu’ont faite ce jour-là mes parents à la Diseuse.
 
Et je me dis aussi que pour chaque bénédiction, il y a un prix à payer, un sacrifice à faire. Car telle est la loi de la Diseuse. C’est ainsi que vivent tous les hommes.
 
Du coup, j’imagine que pour toi, le choix de départ a été bien différent ? Je te souhaite en tout cas le meilleur.

8,5/10
Belle rédaction.
Je conseille à cet enfant de faire des études littéraires plutôt qu'économiques.

Achat equasens (ex-pharmagest) en promo

8,5/10
Belle rédaction.
Je conseille à cet enfant de faire des études littéraires plutôt qu'économiques.

Mon voisin a une chienne
 
Cette chienne a 2 chiots
 
Ces chiots chient devant mon garage
 
Qui est responsable?

Les chiots

Mon voisin a une chienne
 
Cette chienne a 2 chiots
 
Ces chiots chient devant mon garage
 
Qui est responsable?

 
Ce sont des petits anges, ils ne peuvent pas être responsables.  

Ils ne sont pas tout blancs.

J'ai eu exactement le même cas. Le garage plein de merdes à la libération des lieux.
J'ai retenu la caution, et une entreprise spécialisée a tout nettoyer.

Ma famille maternelle vient d’un petit village sur le Larzac, où, derrière les apparences d’un catholicisme traditionnel, les superstitions restent profondément ancrées.
 
…
 
Du coup, j’imagine que pour toi, le choix de départ a été bien différent ? Je te souhaite en tout cas le meilleur.

Bah si, le risque 1 justement de ton courtier...
 
Et d'ailleurs, pourquoi ne pas parler du fair d'acheter les actions directement auprès du service investisseur de l'entreprise ? AI le fait très bien (nominatif non porté).

C'est les soldes sur SCOR, j'hésite à ouvrir une ligne c'est dans ma liste de course

J'ai eu exactement le même cas. Le garage plein de merdes à la libération des lieux.
J'ai retenu la caution, et une entreprise spécialisée a tout nettoyer.

Comme tous les influenceurs LinkedIn qui racontent quasi la même histoire tirée du script de leur formation pour faire 20K par mois.

J'envisage de faire des sondages "sociologiques" (= sans rapport direct avec la bourse) pour mieux connaître la sociologie du forum, du type :
- autopositionnement politique (sur une échelle de 1 = très à gauche à 10 = très à droite)
- activité professionnelle
- localisation géographique
 
Par curiosité. Mais (1) je ne veux pas que ce soit perçu comme intrusif et (2) je ne veux pas que cela entraîne des HS (notamment politiques).
 
Si vous avez une opinion positive ou négative sur de tels sondages, dites-le moi en réponse à ce message (ou bien par MP). Si je reçois plus d'un tiers de retours négatifs sur cette idée, je ne conduirai pas ces sondages (et les prochains sondages resteront strictement sur la bourse).

Quelle est la bonne nouvelle sur LVMH ?
Ne me dites pas que les ouvriers vendent parce que sir Pion l’a cité dans son mémoire « comment devenir riche » ?