Reprise du message précédent :

La production de gaz naturel s'est effondré au Royaume-Uni ces dernières années (de par l'épuisement des gisements) et ils ne sont même plus autosuffisants donc pour l'exportation...
 
Assez logique qu'ils conservent leur gaz pour eux.
 
J'espère que certains pays comme la France n'attendaient pas trop du gaz britannique.  

Voilà, on peut le faire, mais l’intérêt est souvent pas dément. Sauf pour la raison esthétique en gras.

C'est quand même bizarre l'affichage sur Degiro :

Entre ça et les pourcentages démentiels de Boursorama, je ne suis pas aidé

Édit: c'est revenu à la normale.

 
Tres bon bouquin. Essaye philippe Murray c'est excellent aussi.

Amazon qui va racheter iRobot.
Des supers aspirateurs en vue ?

Trop de création d’emploi NFP, l’économie qui va trop bien. C’est quand même un paradoxe.

Ces chiffres sont énormes. Surtout que le mois précédent est aussi révisé à la hausse.

L'économie américaine est décidément très solide.

Elle supporterait (nécessiterait ?) une politique monétaire plus agressive...

 
non, c'est pas un paradoxe: 5% de hausse sur le revenu moyen => inflation par les salaires possible => hausse des taux.
On parlait de l'inflation en uk hier: 13%...
 
Et boum, l'inflation US est peut être loin du pic: https://www.boursorama.com/bourse/a [...] 035b5502a6
 
J'ai bien peur que ce ne soit pas la fin de ce bear market. Encore un niéme dead cat bounce. Ca me fait presque pensé à 2008;

Où ça un bear market ?

 
Grosso merdo, pour annoncer la fin officielle du bear market, il faudrait franchier 4200 sur le sp500. Je sais, c'est de l'AT à la noix mais bon comme bcp ont les mêmes pivots ancrés dans la tete.

Qui va surveiller les 4.200 ?

Ou alors il suffit de changer la définition de bear market comme on change la définition de récession  

Ils le font déjà sur le topic crypto

Les chiffres US sont bons. La FED doit continuer sa montée des taux de manière plus agressive maintenant.

MOI.
 
30k d'eseh vendu. Je reviendrai après le cpi du 10 aout. Pas envie de me prendre un mawashi dans la tete.

 
Non, c'est ce que certains économistes appellent un hard-landing annoncé    
Pour arrêter l'inflation, dont le moteur est la bonne santé économique du pays (et le carburant les prix), cela va passer par un arrêt brutal de l'économie, via hausse forte des taux, et non via un ralentissement progressif du moteur (économie)  

Quand on pense au nombre de posts de Vonfake qu'on s'est mangé sur l'eau qui frémit pour les petites grenouilles avec la hausse des taux

 
Quel est le calendrier de la FED? Le fait qu'elle soit en mode "no guidance" peut impliquer de mauvaises surprises dans le sens où la FED ne préparera pas le marché non? Ai-je bien compris où suis-je à coté de la plaque?
 
Autre question: un "mauvais cpi" le 10 peut-il suffire à faire plonger le marché?

 
C'est assez inquiétant au contraire non ?
La hausse des taux n'a aucun impact  
On va voir si l'inflation se calme (j'en doute) dans ces économies en plein délire.

Je regarde un peu le cous du bitcoin pour avoir un indicateur du "Kevin risk on/off". Pour l'instant ça va: Kevin est en forme.

Keskisspasss encore..
 
L'essoreuse n'a pas finis de tourner
Une seconde tournée de fragiles
Les p'tites mains qui faiblissent
 
Sirconsflake va revenir sans nul doute..
 

 
La FED a déjà annoncé que sa politique monétaire des mois a venir était totalement data-dependant, à savoir que ses décisions sont dictées au quasi-jour le jour par les statistiques économiques du pays. Ses guidances c'est l'inflation cible de 2% et un marché du travail tonique avec peu de chômage.
 

 
Donc si mauvais cpi en pleine surchauffe, les types peuvent sortir un +100pdb sans prévenir où je me fais un mauvais film? Je ne comprends pas pourquoi le mode "no guidance" a été bien perçu par les marchés.

 
Le marché est à mon sens, depuis 2009, focus sur le comportement des BC.
La chute des marchés US début d'année c'est le fait que la FED était behind the curve, avec une politique peu claire face à l'inflation (el famoso transitoire ).
Depuis quelques temps, JP a clarifié la position de la FED, ce qui a rassuré les marchés.
 
Autrement dit, les marchés US réagissent non pas à la situation économique du pays, mais au comportement de la FED face à l'économie du pays.
Le marché peut très bien anticiper une FED qui combat fermement l'inflation avec encore des fortes hausses des taux à venir, puis une FED qui relance un QE lorsque l'économie sera en récession (suite à la forte hausse des taux) : ici le marché va jouer dans un premier temps les secteurs portés par l'inflation et la hausse des taux, et dans un second temps tous les titres sans distinctions

 
Si le Marché donne, on doit prendre et remercier le Marché

 
Le Marché récompense les patients, les fidèles qui n'ont pas cédé à la tentation de vendre

 
Les fragiles, les vendeurs de peur, les liquides seront chassés des cieux du POGNON  

Bon réflexe.  
Conclusion ?  
Perso, c'est que l'essoreuse n'a pas encore tournée assez vite.
 
A mon sens, la FED devrait se montrer beaucoup plus agressive :
- sans faite mon gauchiste de service, ce sont les plus pauvres (jusqu'à la classe moyenne) qui en prennent plein la gueule en ce moment, ça porte aussi un risque politique important
- ça nettoyait une économie sous perfusion depuis 2 ans ce qui serait très bon à long terme (voir la période post Volcker)
 
A CT, ouin ouin mon CTO/PEA va baisser.
OSEF du CT.

 
Ouai c'est bien continue d'acheter le top  

 
Oui ils peuvent, et ils ont déjà prévenu : leurs décisions ne sont pas arrêtées et se font en fonction des dernières statistiques économiques. C'est assez clair    
Le no guidance ici, c'est des décisions qui s'adaptent aux dernières conditions économiques  

 
C'est ce qu'on nous disait en décembre 2019

Clairement !
Donner une guidance, en ce moment, c'est se lier les mains. Au contraire, la FED a tout intérêt à se laisser la possibilité de s'adapter ou même de surprendre.
 
Perso, je pense que le marché pourrait prendre positivement +100 points de base contrairement à ce que l'on pense.
Le pire serait que la FED perde sa crédibilité.

 
Je vois les choses comme toi avec 2 différences:
 
- la FED n'a pas autant de latitude qu'à l'époque de Volcker (ne parlons même pas de "l'indépendance de la BCE" qui fait doucement rigoler).
- la perfusion de morphine dure depuis une décennie: difficile de sevrer un marché drogué aux liquidités du jour au lendemain comme sous volcker non?
- enfin, le CT, le cash et le money management ont plus d'importance dans un bear market assez long que dans un bull market.

Bon ben moi je vends tous les LQQ qu'il me restait
(PRU 632, quasi crapoussinage)
J'hésite à larguer aussi mes Netflix (à presque -40% )

 
Des avis des autres frers sur ce point?
 
Quid du cpi qui sort le 10/8: est-ce que ça va avoir du poids où le marché s'en tape un peu?

 
Et fin 2013. Et en 2016 "à l'orée d'une recession mondiale liée à la Chine", et en 2019 effectivement.
 
Nous ne sommes toujours pas à l'abri d'une secousse violente évidemment mais le pire n'est jamais certain.
 
La probabilité d'une recession très violente ET d'une inflation galopante.... ET d'un marché tout à fait résilient n'est pas du tout à exclure selon moi. Avec une dichotomie scandaleuse entre la bourse et la réalité économique du terrain, tout simplement parce que les grands groupes pourraient continuer à pomper une portion toujours plus grande des profits des économies developpées.

 
+1
Ces dernières années, il y a eu de nombreux articles de presse qui ne donnaient pas envie de se dire actionnaire de cette société.
Après, j’ai en PF des actions où d’autres peuvent en dire autant    
 
 

 
Il y a aussi un sujet récemment en Australie concernant l’exportation (et si je ne dis pas de bêtises il s’agit là encore du gaz).

 
avatar ? ?

1/ Je ne pense pas non plus que l'inflation soit aussi solidement ancrée qu'au début des années 80. J'espère bien qu'on ne devra pas monter le taux aussi fort ! On est encore dans la période post-covid et la douche de pognon [que l'on a cru] gratuite. La boucle prix-salaires est à peine enclenchée.  
2/ Je parle plutôt de l'économie "réelle". Il y a quelque temps, on parlait de zombification de l'économie du fait des taux bas. J'ai l'impression qu'on y arrive à force de perfusion en tout genre. Refuser une crise, c'est fermer l'une des dynamiques principales du capitalisme (= destruction-création).

 
Dans les années 70 et début 80, inflation galopante et le sp500 qui donnait effectivement du 6.5% par an environ. Le problème c'est que lorsque l'on retranche l'inflation, on obtient un rdt négatif sur une décennie malgré la capitalisation de rendements plutôt sympathiques. A cette époque, un type lambda qui collait bêtement son argent dans de l'immo en empruntant comme un fou pour maximiser son effet de levier battait un marché plus risqué.
 
A l'époque, les salaires étaient assez bien indexés sur l'inflation. Ce n'est absolument pas le cas aujourd'hui. Dans ce cas je ne vois pas comment le marché pourrait être aussi resilient que pendant les 2 chocs pétroliers? Je connais ton argument sur les 1% qui drivent 40% de la conso US mais j'ai de sérieux doutes quand même.

 
Les salaires des employés aisés suivent largement l'inflation aux US en tout cas, voire la batte nettement. Bref je ne serais pas étonné que les revenus du top 5-10% de la population US suive l'inflation assez largement. Et qu'ils representent 70-80% de la consommation.  
 
Dans les 80s tous les salaires étaient indexés. Actuellement c'est l'offre et la demande et les tops profils pompent tout ce gisement d'augmentation de salaire pour eux, laissant des miettes pour les autres.
 
Je pense seulement que l'inflation n'est plus vraiment un sujet. Pour la partie boucle prix salaire en tout cas. Les crises energetiques vont être la norme encore un moment. Et oui, il est possible que d'autres classes d'actif fassent mieux que les actions mais elles devraient se défendre decemment. Les Actions ont fait 7-8% p.a. depuis la seconde guerre mondiale et ça a toujours été BRUT d'inflation. La moyenne long terme de l'inflation est d'environ 2% et nous avons vécu une décennie avec plus de 10% p.a. pour les Actions et 1% d'inflation, c'était incroyablement bon Si on se fait une décennie à 6% p.a. avec 3-4% d'inflation, c'est le jeu, pas de quoi déprimer.

La cotation de BBIG qui est toujours suspendue depuis presque 24h...    
 
Je partais du principe que c'était lié au merge avec Zash, mais putain qu'est ce qu'ils sont à chier au niveau de la communication dans cette boite...
 
Edit décollage d'AMC peut être ?
C'est passé de -8% à l'quilibre presque.

BABA