Reprise du message précédent :

 
+0.25%    

   
 
Genre Arianespace consomme une quantité phénoménale d'hydrogène...

LVMH va saisir la justice en riposte à Tiffany, dont il met en cause la bonne gestion.

Bernard pas content

C'est passé chez vous ça?
 
https://www.h2o-am.com/fr/communication-h2o-04-09-2020/

Ah non, pas vu ici, merci. Ça mériterait d'être crossposté sur Épargne, où on a largement évoqué le sujet.

Bloomberg
"ECB SAID TO AGREE THERE IS NO NEED TO OVERREACT TO EURO GAINS"

Scipion, tiens un peu Christine

 
Ça a été déjà tr s largement discuté effectivement. Quel désastre. Les pertes essuyé es par des gens ici ou sur IG sont parfois à 5 chiffres. Triste histoire.

Ah ouais donc t'achètes un fond "multibonds" et en fait t'as 20 à 30% de private equity...

Tesla, ça va encore démarrer un peu sec, restez attachés pour l'ouverture

 
Franchement, ce serait une grosse bêtise pour la BCE d'exprimer la moindre inquiétude sur le niveau actuel de l'EUR/USD :
 
- D'abord, sur le plan économique, YARIEN : l'EUR/USD est proche de sa moyenne de long-terme (1,20), il n'y a aucun souci. Si des entreprises européennes ont du mal avec ça, c'est qu'elles méritent de se réformer ou de disparaître. C'est de la destruction créatrice, c'est bien.
 
- Surtout, sur le plan stratégique, c'est dangereux pour une banque centrale d'exprimer un souci sur le niveau d'un taux de change, et de se montrer impuissante ensuite si ce taux de change continue d'évoluer dans le "mauvais" sens : ça endommage la crédibilité de la banque centrale. Donc il vaut mieux attendre que le niveau du taux de change présente un risque réel, et si possible agir alors de façon coordonnée avec les autres banques centrales (Fed, BoJ). Si la BCE voulait déprécier l'euro "toute seule", soit par un QE surdimensionné, soit par des interventions de change (à un niveau bien plus haut pour l'EUR/USD, évidemment), contre l'avis des autres banques centrales qui essaient aussi de déprécier leurs monnaies par leurs propres QE, ça aboutirait à un jeu contre-productif pour tout le monde, et une perte de crédibilité. "Don't fight the Fed", ça s'applique aussi (en partie) à la BCE. On préfère toujours agir de façon coordonnée.
 
Mais bon, c'était un peu la doxa implicite à l'ère Trichet/Draghi, je ne sais pas comment la BCE réfléchit aujourd'hui.

Petite question Scipion8, j'ai vu dans ta répartition géographique que tu différencies l'Europe de la France https://www.devenir-rentier.fr/p415478#p415478
Tu fais ça comment ? Une action au sein d'un PEA, c'est forcément France et que je sache la France fait partie de l'Europe  

Le Nasdaq semble bien parti pour retourner oklm vers les 12k  

Le gros a fait une pause dans les escaliers, il a repris son souffle, et se remet en route, lu sur des forums assez pointus traitant de l'économie  

Hindenburg se lance sur NKLA
 
Short seller Hindenburg alleges that electric truck maker Nikola is an 'intricate fraud' in new report

Sympa le vent de face avec l'€/$ pour les ETF US aujourd'hui

 
Quand je dis "Europe" dans mes reportings, c'est Europe sauf France. Mes actions françaises sont dans des portefeuilles distincts, 100% français (avec quand même quelques actions belges et luxembourgeoises). C'est le cas de mes 3 poches sur Easybourse : PEA, PEA-PME et CTO France (avec une légère orientation dividendes pour ce derniers).  
 
Je n'ai pas d'actions françaises dans mon portefeuille "européen" sur Binck.
 
Cette distinction géographique des poches est due à la fois à mon souhait d'avoir un suivi plus simple de la performance (vs. benchmarks géographiques appropriés) et aux contraintes liées aux brokers : le choix d'actions étrangères sur Easybourse est bcp plus réduit que sur Binck, et les frais de transaction plus élevés. Donc j'utilise Easybourse pour la France, Binck pour l'Europe et IB pour les USA, l'Australie et les émergents.
 
Mais bon, ces frontières ne sont pas très nettes : par exemple j'ai des valeurs canadiennes et américaines sur Binck, et des valeurs françaises sur IB (ce qui est objectivement une bêtise, compte tenu des retenues sur les dividendes des actions françaises chez un broker étranger), pour des pourcentages mineurs de ces poches. Il faudrait que je nettoie tout ça à un moment donné, mais je n'aime pas vendre.

 
 
En fait... c’est un sprinteur.
Seulement la minuterie de la lumière a expirée.
Il est descendu de quelques marches pour atteindre la palier inférieur, il a rallumé la lumière....
 
Maintenant il monte de nouveau.
 
D’après un forum très pointu, si ce n’est LE plus pointu en terme de pointure en économie.  

 
Après elle peut toujours faire une Powell  
 
"si l'inflation reste longtemps en dessous de 2%, il n'est pas exclu en cas de retour au dessus de la cible d'attendre un peu avant de monter les taux"
Un discours dans ce genre calmait un peu l'EURUSD
 
AMF : actionnaire à 95% d'actions US donc pas forcément satisfait de la hausse de l'EURUSD il faut le savoir

 
Mes put Nikola approuvent

Ben non.

 
Éventuellement, oui, mais ce genre de communication serait à mon avis bcp moins efficace qu'aux USA, car la probabilité d'un retour à moyen-terme de l'inflation à sa cible de 2% est beaucoup plus faible, aux yeux du marché, en zone euro qu'aux USA (on pourrait vérifier ça en regardant la distribution des anticipations d'inflation à moyen-terme).
 
Et ce genre de communication par la BCE nécessiterait des discussions très (très) intenses et compliquées à la BCE et dans l'Eurosystème (Bundesbank notamment). La cible d'inflation c'est un peu le cœur du réacteur, on réfléchit bcp avant d'y toucher. Au sein même de la BCE, le cœur du réacteur est gardé par le clan des chevaliers teutoniques (avec mon ex à leur tête), on ne s'en approche pas comme ça...  
 
Ce qui doit gêner aussi Lagarde, c'est le report (pour cause de COVID) de la revue stratégique qu'elle avait lancée dès son arrivée, et dont les résultats étaient prévus pour fin 2020. La cible d'inflation et la communication sur cette cible était l'un des sujets majeurs de cette revue. Désormais il va falloir attendre, je ne pense pas que Lagarde puisse improviser sur ce sujet.
 
La bottom-line, c'est que la Fed a des coudées bcp plus franches pour déprécier le dollar (si elle le souhaitait) que la BCE pour déprécier l'euro (si elle le souhaitait) : autant en termes de marge de manœuvre sur le QE (cf. le jugement de la Cour de Karlsruhe en mai 2020, qui va à mon sens contraindre la BCE même si elle ne se juge pas liée par ce jugement), que sur la communication autour de la cible d'inflation. Bref, "don't fight the Fed" : à ce stade, il vaut mieux pour la BCE prétendre qu'elle est cool sur l'EUR/USD (ce qu'elle devrait être de toute façon, d'un point de vue économique, à mon avis).

Toujours en quête d'entreprises de qualité, je m'attarde beaucoup sur le marché suisse.  
J'ai déjà du Nestlé, du Sika, Interroll et Straumann.  
 
Là je me pose des questions pour Geberit.
Eh oui un fabricant de chiottes ! C'est d'ailleurs la marque que j'ai choisie pour mes propres besoins. J'en suis ma foi très satisfait.
Pour ce que je vois chez les plombiers, ils aiment travailler avec Geberit parce que c'est bien conçu et solide.
 
Sur le plan opérationnel, c'est vraiment pas mal. La marge brute est impressionnante pour le secteur (> 70), ROIC idem (> 20), la croissance est régulière sans être folle. Par contre, ça vend surtout en Europe (particulièrement en Allemagne, autre pays qualitat).
Ca rachète aussi quelques actions. PE autour de 30.
 
Ce n’est pas l'entreprise du siècle, mais je me dis que pour diversifier un portefeuille très tech comme le mien, ça peut le faire.
 
Des frers pour me contrarier ou me suivre ?

 
D'accord avec toi sur la qualité des entreprises suisses, et j'ai eu du Nestlé, mais ce qui me bloque c'est les frais de courtage et le prélèvement à la source des dividendes, non entièrement récupérables.
 
Là je préfèrerais utiliser un ETF pour leur index    

Tu mets le doigt sur les deux soucis avec la Suisse :
- Les frais de courtage, c'est vrai qu'il vaut mieux les réduire, mais sur le long terme, on les oublie parce qu'on ne les paye qu'une seule fois. Nestlé est l'un de mes premiers achats en bourse. À l'époque avec des frais astronomiques. Maintenant, c'est un double baggers.
- La retenue à la source de 35%, par contre c'est tous les ans. 15% donnent droit à crédit d'impôt en France, les 20% restants peuvent être récupérés (si j'ai bien suivi) avec un formulaire à adresser à l'administration suisse en application de la convention fiscale. Le problème, c'est que les banques françaises ne fournissent pas les documents demandés selon ce que j'ai pu lire.

 
dette élevée non ?

0,5x l'EBITDA

 
En parlant de plomberie, y a aussi une bonne petite entreprise aux US qui vend des chauffe-eaux, un business chiant mais relativement stable malgré 30% du CA en chine :
 
AO Smith corporation.
 
Frr scipion doit connaître cette entreprise.

« L'épargne réglementée des Français va servir à financer la relance »
 
https://www.moneyvox.fr/actu/80996/ [...] la-relance
 
« Compte tenu des besoins de financement nécessaires à la relance économique, « le gouvernement a donné son accord à la Caisse des Dépôts pour faire évoluer les conditions des prêts accordés à partir des livrets d'épargne réglementée », est-il précisé.
 
Ces prêts pourront financer des projets prioritaires dans le cadre de la transition écologique et énergétique (TEE), la santé ou encore le tourisme. »

Le report sur NKLA , une vraie coquille vide à 20b, bien pire que Theranos, et le plus beau, je ne serais pas surpris que ca passe vert ce soir.

 
   Merci, je ne connaissais pas Geberit. La profitabilité est belle, mais la croissance du CA trop molle à mon goût. Le consensus des analystes n'est pas enthousiaste (0 acheter / 3 accumuler / 11 conserver / 5 alléger / 2 vendre). A mon sens, ça peut éventuellement s'acheter à des fins de diversification sectorielle, mais sans excès car la croissance des résultats ces dernières années se fait sur la marge et non sur le CA, donc n'est pas forcément soutenable.
 
Par ailleurs, perso pour les valeurs suisses je cible des valeurs de croissance à faible dividende pour minimiser le pb de retenue fiscale sur les dividendes.
 
Dans ce genre, tu peux peut-être regarder Lonza, Givaudan et Temenos - assez chères bien sûr (surtout les 2 premières), mais en fond de portefeuille, compte tenu de leur qualité, je suis assez tranquille avec ces valeurs.
 
D'autres noms sur ma watchlist helvétique : Logitech, Alcon (Soros), Barry Callebaut (découverte en face chez Ankh), BKW, Huber+Suhner, Inficon, Jungfraubahn Holding, Kuehne und Nagel, Partners Group, SGS, Siegfried Holding, Sonova, Tecan, VAT Group, Vetropack, Vifor Pharma. A regarder éventuellement, mais si je les ai en watchlist plutôt qu'en portefeuille (contrairement aux 3 premières citées), c'est que je ne suis pas convaincu pour le moment.
 
 
 
Oui, ça fait longtemps que je la regarde. AO Smith est un peu un proxy trade sur la Chine, mais perso je vois ça plutôt positivement que comme un risque.
 
C'est un peu comme Geberit : bonne profitabilité mais croissance mollassonne du chiffre d'affaires : du coup je ne l'ai pas achetée, même si dans le cadre d'un portefeuille bien diversifié ça peut se faire à mon sens.

 
 
https://hindenburgresearch.com/nikola/
 
ils n'y vont pas mollement chez Hindenburg.
 

 
Qu'en penses notre VC préféré ? Lookoom bullish sur Nikola ?

Peut être serge ferrari / SEFER qui travaille beaucoup en Suisse ( 2 des quatre sites de prod sont en Suisse ) , bon c'est un fabriquant de bâche plastique sans MOAT hein ...      Bon ok c'est une petite valeur déjà citée sur le forum .https://www.sergeferrari.com/fr-fr/realisations/episode-3-tout-savoir-sur-la-membrane-qui-recouvre-le-toit-retractable-du-cours

Sinon ASSA ABLOY semble avoir les clefs pour battre les record  mais c'est suédois  , perso je suis très François le français, j'ai du SFPI  

ZoneBourse Investir dans les megatrends
https://www.youtube.com/watch?v=qThVGKXjRhQ
 
à un moment il parle de MCPHY ENERGY !!!!

Ah non c'est completement du flan Nikola.

Ils ont recruté des gens talentueux par accident par contre, cette boite n'est pas "sans" valeur mais sa valeur est très faible. Maintenant c'est spéculatif donc est-ce vraiment important ?

Merci pour le lien, ça a l'air croustillant

 
 
   
 
Je vais peut etre me positionner  sur Euronet Worldwide

 
 
Oui, reçu par courrier hier ou avant hier

Nestle classique. Sika belle boîte bien placee pour le green deal, interoll aussi. Straumann j’aime bien mais ils souffrent bien du COVID. On dirait qu’au final les implants dentaires sont pas des opérations si urgentes ... sonova est aussi une belle boîte mais un peu dans la même situation. En industrielle de bonne qualité tu as aussi George Fischer, Sulzer. Pour du nestle like, givaudan. Implenia s’est fait massacree ces dernières semaines, Je suis tenté mais j’ai l’impression de rater qqchose. Autre nom qui me fait de l’œil, cassiopea. Après tu veux pas de tech mais ams est pas mal. Pas chère historiquement, et en qualité Logitech (cher).  
Mais bon si tu veux de la qualité, suisse faut aller vers les pharma, lonza meilleure perf du smi, les géants roche Novartis... et en financières, swiss Life Zurich et partners group.

Alstom va remplacer Accor dans le CAC 40.

Ohhh, intéressant et compliqué pour Accor.
J'aurais préféré des plus petites boîtes aussi.

Je suis en MV de 35% sur Euronet Worldwide, donc je suis assez déçu et je ne sais pas trop quoi en penser : j'aurais cru que ça aurait rebondi plus fort depuis avril.

Cette année, la profitabilité devrait être faible, mais ça devrait bien repartir l'an prochain, avec une croissance certes pas explosive, mais quand même sympathique. Les analystes semblent raisonnablement confiants.

ça se paie à un PER 2021e 16,5 et un VE/EBITDA 2021e 10 : en comparaison du reste du secteur US, ça ne me semble pas cher. Donc oui, c'est un dossier qu'on peut regarder, à mon avis.

Je suis en train de finir un gros exercice de screening, assez exhaustif sur la cote US (pour les capi > 5 milliards $), je publierai bientôt mes résultats. Bien sûr bcp de valeurs sont chères, mais j'ai été surpris de trouver quand même pas mal de bonnes valeurs pas si chères, qui n'ont pas encore rattrapé la baisse de février/mars.