Reprise du message précédent :
C'est du mousseux donc pas du champagne, on est d'accord

 
putain le mariage au rabais ou quoi
 
autant ne rien faire.

En même temps c'est pour faire une soupe champenoise, pas besoin de Krug.

 
 
encore pire  

avec un petit tournez les serviettes en fond sonore pendant la dégustation

 
avec une bonne saint-jacques gratinées dans sa coquille pour l'entrée et un rôti de porc à la moutarde sur le plat.  
 
J'ai déjà eu le coup une fois, j'ai filé à la friterie vers 20h, je me suis fais capté en plus par des invités qui arrivaient pour demander le chemin.

Je suis allé à un mariage comme ca une fois, j'avais oublié mon Lance-Flamme

 
C'était inbouffable à ce point la ?

nan c'était les portions qui étaient assez congrues, j'avais du tenir la journée sur 5 toast et 5 petit four (métro) + st jacques + 3 haricot et 80 gr de rôti de porc et un timbre poste de gratin; le tout arrosé de vin insipide.

Moi ce genre de truc me dérange pas forcément (Même si c'est pas mon trip).
Chacun fait avec ces moyens.
Par contre le coté beauferie /fête du village / Confessions intimes, j'ai vraiment plus de mal

bien d'accord, tu fais avec tes moyens, alors invite pas 200 personnes et tu restes en famille.

C'est pas faux

Nuits-Saint-George 2008 de la copé de Sainte Marie la Blanche et Givry 1er Cru 2012 Michel Sarrazin hier midi, ma foi, on a vu pire

 
 
et ça a donné quoi ce balme?

 
On a les amis ou la famille qu'on mérite.
 
Personne t'oblige à y aller    

 
+1

 
Famille déportée (cousin de ma femme) ou très bon pote du Lycée (il y a 15 ans)

J'avais goûté son CdR 2014 cet été, ramené chez des potes et bu sur des grillades : il avait été très facilement descendu    Super RQP (8e la bouteille de mémoire).
 
Hier on a donc goûté son Rasteau 2014 : ça titre à 14,5° et j'avais donc un peu peur d'un "alcool" trop présent, or que ce soit au nez ou en bouche c'est tout à fait net de ce côté là   Pour ce qui est de l'aromatique, on est sur des notes poivrées très franches au nez, léger fumé aussi à l'agitation, en bouche y'a une étonnante fraîcheur, du fruit noir fondu et du poivré toujours avec une belle amertume genre zeste d'orange en finale    Grenache, Syrah, Carignan pour l'assemblage. La couleur dans le verre est d'une sombritude   Il reste 1/3 de bouteille pour ce soir, histoire de voir ce qu'il donne avec un peu plus d'aération.
 
Attention avis de noob : ça doit être le genre de vin à laisser tranquille 2-3 ans. Non pas qu'on sente un élevage de dingue, mais qu'il y a moyen que ça soit plus complexe vu la matière qu'on sent au palais    
 
Voilà voilà  

je lis les commentaires sur lpv ou bde sur le marché d'ampuis, je reste quand même subjugué par l'émoi produit par le domaine Gangloff. Ou alors je suis très sensible au bois, y'a quand même mieux dans le coin je trouve, surtout à ce prix là.

 
+1
 
Mais cherche pas trop me suis fait engueuler en MP quand j'ai osé touché à l'idole de certains ...

http://www.buveurs-detiquettes.fr/ [...] 019#p77019
 
ça me faire rire ces classements à deux balles où c'est toujours les hdg qui ressortent sur les domaines phares.

Ce qui serait marrant c'est de le faire à l'aveugle ....

 
 
quand tu vois que la côte-blonde de Rostaing et la landonne à Guigal ( jamais goûté, j'admet) qui sont sur des registres diamétralement opposé, tant le terroir que le style de vinification, je trouve cela ridicule des les mettre au même niveau, c'est nier leurs caractéristiques intrinsèques à moins d'avoir un palais omniscient qui sait faire fi de ses goûts personnels.

Tu pourrais en dire plus sur le sarrazin ? quelle cuvée ?  

Je pense justement le contraire.
 
Les gouts personnels influent sur "la note" qu'on donne à un vin c'est sûr. Mais on peut reconnaitre un grand vin même s'il n'entre pas dans nos goûts/styles appreciés (c'est d'ailleurs une des caractéristiques d'un grand vin pour moi). Tu trouves ainsi, des gens qui n'aiment pas le grenache, mais qui adorent Rayas; des amateurs de chateauneuf qui trouvent une romanée grande... bref pour moi noter 18 rostaing c'est surtout une indication pour signifier que le vin est grand et qu'il est suceptible de transcender les goûts/styles.  
 
Typiquement si je n'aime pas une AOC, je n'acheterai pas les vins jugés bons, voire très bon, alors que je pourrais me laisser tenter par des vins exceptionnels du coin.

 
 
Mwoauis, je suis pas trop d'accord.  
 
J'aime les condrieu en général, avec un peu de tension, mais je n'aime pas ceux de Gangloff, je ne saurais pas lui mettre un 17 ou 18 alors que je n'aime pas ce style, hors ça doit être un grand vin vu comme certains s'arrachent ses vins et au prix où c'est vendu.
 
Idem pour C9DP dont je ne suis pas un grand fan, à part Beaucastel (avec 10 ans) et l'écurie reynaud (mais qui est à la marge du reste de la production castelpapal) j'aurais du mal à trouver un janasse VV ou un clos des papes comme un grand vin et lui taper un 17.
 
Ce type de liste ressemble à de la récitation du HDG qui sert à flatter l'auteur sur sa capacité à avoir accès à ces vins.  
 
De plus, et tu saurais difficilement me contredire, la moitié des vins qu'ils citent sont fermés à triple tours. Des côte-brune de jamet, des landonne, sereine noire en jeunesse, c'est dur, austère et inapprochable, alors si la grandeur du vin, se sont ses tanins et sa fermeture....

Autant c'est vrai que le beaucastel que j'ai bu était absolument magnifique et j'en garde vraiment un souvenir ému (pour moi c'était LA claque de la soirée alors qu'on a bu plus prestigieux), autant je suis étonné que clos des papes ne te plaise pas du tout. Tu en as déjà bu des bien vieux de bons millésimes ?

Enfin certes, c'est plus lourd et moins un vin de gonzesse

Ah oui tiens, l'assyrtiko, monde père nous a ramené ça directement de santorin

 
t'as tout résumé.  
 
ah ; l'approvisionnement n'est pas aisé alors.

Dites moi, quelqu'un a une bonne idée pour des etageres a bouteilles, bien optimisé mais qui coute pas 200€ comme celui la
 

 
osb + parpin

a) C'est le débat même de la notation absolue vs la notation relative. Et je suis partisan de la notation absolue (qui comporte toujours bien sûr un biais plus ou moins léger selon les goûts du dégustateur). En notation absolu ce qui est noté c'est la grandeur d'un vin "dans son style" en faisant abstraction des considérations personnelles (par exemple à la dégustation d'une janasse, la question à se poser c'est quelle note donnerais-je à ce vin si j'étais amateur de vins puissants, de caractère, amples et massifs). L'avantage c'est qu'il permet à n'importe qui d'utiliser les notes du dégustateur là où une notation relative implique une connaissance pointue des goûts de celui-ci. Le désavantage peut-être résumé par la parkerisation des C9P puisque les vignerons sont tentés par une surenchère dudit "style" au détriment de la buvabilité : le genre de vins qui est super en salon (on n'en boit qu'un verre) mais dont on se rend vite compte qu'on en boira pas des tonnes car trop mur, extrait, massif...

b)pour la question des vins fermés à triple tour notés 17 ou plus c'est simplement l'expérience du dégustateur sur une cuvée où il note un potentiel en fonction de son historique personnel de dégustation. Il peut bien sûr se tromper, d'où les revisions de notes (bien sûr moins médiatisées par les domaines "déclassés" ). Mais par exemple, pour avoir bu une trentaine de Gonon sur tous les millésimes depuis 2007 je peux reconnaitre des similitudes des la mise en bouteille et donner une note basée sur les bouteilles précedentes bue, même s'il est plus honnête j'avoue, de donner deux notes, une pour le plaisir immédiat et une autre pour le potentiel.

PS: bien sûr les considérations de "base" telles que l'équilibre, la précision, la complexité sont à prendre en compte. Mais, vu qu'on parlait "style", je n'ai pas voulu faire de HS. Et je ne nie pas non plus que les "dégustateurs officiels" ont biais important vers les vins HDG (peut-être parce que c'est plus difficile de mettre un 15/20 à un RSV de Leroy qu'une mauvaise note à un vigneron lambda car attention au retour de bâton)

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

 
c'est vrai que ça doit être sympa.

 
 
Avec ce type de considérations, tu perpétues l'ordre établi, personne (autre que pro et encore) ne boit des LaLaLa ou des chave de chaque millésimes sur 15 ans régulièrement; sur des vins à 25€ c'est faisable sur le HDG pas vraiment, et qu'elle en serait l'intérêt.

 
Se méfier de l'essence du bois et se méfier des colles dans l'OSB

J'ai du mal à voir comment je perpétue un ordre établi  
Du coup j'ai du mal à savoir ce que tu proposes voire même ta critique. Noter en dessous 10/20 une LaLaLa parce qu'elle est fermée après la mise en bouteille et que guigal boise à outrance ?  
 
Parce que c'est l'un des intérêts même d'un spécialiste/pro que de pouvoir utiliser son expérience pour prédire le futur d'un vin (aussi bien HDG qu'abordable). D'autant que les grands vins ont tendance à mettre du temps pour se faire.

 
Je considère qu'il a un biais dans le raisonnement car :  
 
- Tu dis toi même qu'il faudrait scinder la cotation en deux : une "plaisir immédiat" et l'autre pour le potentiel.  
- Tu admets toi-même que des les grosses cuvées HDG au boisage conséquent n'offrent pas grand choses en jeunesse, donc le plaisir immédiat est à mon sens très en-deçà du prix payé.
- Tu dis ensuite "pour la question des vins fermés à triple tour notés 17 ou plus c'est simplement l'expérience du dégustateur sur une cuvée où il note un potentiel en fonction de son historique personnel de dégustation" et là j'ai un gros soucis parce que c'est vachement subjectif , tu en conviendras car comment refléter le millésimes dans la note, si les méthodes de vinif ont changés dans le temps ( des gars qui passe au nature en douce, des chauffes un peu trop poussée sur les fûts sur un millésime donné) comment peux-tu être sûr de pérennité du vin. Enfin, et c'est la part la plus importantes de mon interrogation  tes expériences passées se font-elles à l'aveugle? Si la réponse est négative, t'es quand même tenté de reproduire la hiérarchie officieuse de l'AOC  
 
Enfin et je termine par une question, tu arrives à transcender tes goûts personnel pour déterminer si le vin est grand ou non? Donc, si tu n'aimes pas le vin jaune, tu arriverais à dire qu'un macle est plus grand qu'un tissot?  
 
Parce que c'est l'un des intérêts même d'un spécialiste/pro que de pouvoir utiliser son expérience pour prédire le futur d'un vin (aussi bien HDG qu'abordable). D'autant que les grands vins ont tendance à mettre du temps pour se faire.[/quotemsg]
 
Ca, je t'invite à voir la note que Bettane a mis au Mas Jullien 2007 et de le boire pour constater l'écart entre le commentaire dithyrambique et la sécheresse q

Ca me fait penser au Clos des sorcières ta dernière phrase

 
Je considère qu'il a un biais dans le raisonnement car :  
 
- Tu dis toi même qu'il faudrait scinder la cotation en deux : une "plaisir immédiat" et l'autre pour le potentiel.  
- Tu admets toi-même que des les grosses cuvées HDG au boisage conséquent n'offrent pas grand choses en jeunesse, donc le plaisir immédiat est à mon sens très en-deçà du prix payé.
- Tu dis ensuite "pour la question des vins fermés à triple tour notés 17 ou plus c'est simplement l'expérience du dégustateur sur une cuvée où il note un potentiel en fonction de son historique personnel de dégustation" et là j'ai un gros soucis parce que c'est vachement subjectif , tu en conviendras car comment refléter le millésimes dans la note, si les méthodes de vinif ont changés dans le temps ( des gars qui passe au nature en douce, des chauffes un peu trop poussée sur les fûts sur un millésime donné) comment peux-tu être sûr de pérennité du vin. Enfin, et c'est la part la plus importantes de mon interrogation  tes expériences passées se font-elles à l'aveugle? Si la réponse est négative, t'es quand même tenté de reproduire la hiérarchie officieuse de l'AOC  
 
Enfin et je termine par une question, tu arrives à transcender tes goûts personnel pour déterminer si le vin est grand ou non? Donc, si tu n'aimes pas le vin jaune, tu arriverais à dire qu'un macle est plus grand qu'un tissot?  

 
Ca, je t'invite à voir la note que Bettane a mis au Mas Jullien 2007 et de le boire pour constater l'écart entre le commentaire dithyrambique et la sécheresse qu'il te reste en fin de bouche, idem pour la production de saint-sylvestre ou mieux les notations toujours positive du domaine leflaive de la RVF alors que tout le monde sait qu'une bouteille sur deux est flinguée.
 
Alors je ne propose rien d'autres de laisser l'amateur se faire un avis, ce que je critique c'est ces classements "absolus" où jamais tu ne verras un semaska ou un pichon au niveau des habituelles jamet-rostaing-LaLaLa, le tout sur les cuvées HDG.

Je suis plutôt d'accord avec bud.
D'autant plus que les notations sont quasi-systématiquement accompagnées de commentaires de dégustation qui permettent de bien comprendre à quel type de vin on a affaire.
Je préfère qu'un dégustateur se contente de noter la qualité et de commenter le style.

 
 
pas sur le classement sur lequel j'émets des réserves, à savoir celui de buveurs d'étiquettes.